Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Those who play with the devil's toys (Helel)

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Corona Taddeucci

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Those who play with the devil's toys (Helel)

mercredi 08 octobre 2025, 00:01:26

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Those who play with the devil's toys will be brought by degrees to wield his sword.

Corona était une succube. C’était un fait, et elle ne le niait pas. Elle refoulait ses souvenirs de sa vie mortelle, par contre, ainsi que ceux de sa métamorphose. Les premiers parce que ça ne servait à rien de s'y attarder et les seconds parce qu'elle avait honte d'avoir accepté la première offre venue. Quand elle y repense maintenant, elle aurait pu tomber sur un démon tellement mieux qu'Andras, grand marquis infernal semant la discorde et meurtrier des hommes.

Mais que voulez-vous. Elle avait signé, maintenant, et elle appartenait corps et âme au marquis Andras. Il ne l'utilisait même pas comme il le pourrait ! Semer la discorde sur terre était dans ses cordes après tout. Avec son corps, quel homme marié n'irait pas tromper sa femme sans vergogne ? Elle pourrait même monter des frères l'un contre l’autre !

Sauf que non. Andras n'avait pas le sens de la stratégie, malheureusement. Et Corona était condamnée à rester une petite succube parmi tant d’autres. Et même pas une des meilleures si on la comparaissait à celles des nobles du cercle de la luxure.

Avec un soupir, elle répondit a la convocation d’Andrasvet et abandonna le mortel dont elle sapait l'énergie.

« Vous vouliez me voir, ô Marquis ? Demanda-t-elle en arrivant, courbant l'échine pour le saluer comme il l'exigeait. »

Elle prit place à ses pieds sur un geste de sa part, et l’écouta patiemment dévoiler son nouveau « master plan » pour évoluer dans la hiérarchie. Surpris, surprise ! Pour une fois, elle figurait dedans. Mais elle avait un putain de mauvais pressentiment. Ça n'allait jamais marcher, c'était certain. Mais elle craignait que ça n'aille plus loin encore et qu’elle soit celle qui ramasserait les pots cassés. Elle ne tenait pas à être éliminée, merci bien ! Et s'attaquer à un Grand Duc comme ça…

Bien entendu, ses protestations ne servirent à rien sinon lui récolter une grande tarte dans sa gueule. Et c'est ainsi qu'elle se retrouve vêtue de sa plus belle tenue officielle de succube, attendant dans un boudoir qui faisait office de salle d'attente. Fermant les yeux, elle se remémorant sa couverture. Elle devait à tout prix convaincre le Grand Duc qu'elle souhaitait profiter de son savoir-faire pour s’améliorer en tant que succube (et le meilleur c'est que ce n’était même pas faux !) et qu'elle le faisait sans l'aval d’Andras (là, c'était juste du pipeau). Elle devrait ensuite en profiter pour le distraire ET fouiller en quête de quelque chose qui puisse le faire tomber. Elle ne nourrissait pas beaucoup d'espoir pour cette partie, croisant les doigts pour se montrer suffisamment pathétique qu'il ne l’élimine pas quand il se rendra compte du stratagème.

Et c’était sans compter les plans qu’Andras avait sûrement élaboré sans lui en parler. Elle était presque convaincue qu'il était assez con pour envoyer un tueur s'occuper du Grand Duc en comptant sur la distraction qu'elle représentait. Comme si une succube de son calibre (elle avait du potentiel, elle le savait, mais elle était consciente de ses talents et de leurs limites) pouvait tellement ensorceler un Grand Duc au point qu'il baisse sa garde.

Corona se massa les tempes brièvement avant de se reprendre et de relever la tête. Il fallait qu’elle fasse de son mieux, tout simplement. Et ses talents allaient devoir être mis en pratique sous peu, à en juger par l'aura qui se faisait de plus en plus présente. Par réflexe, la succube se mit à genoux par terre, courbant l’échine ainsi qu’elle le ferait devant Andras.

« Grand Duc, salua-t-elle quand la porte s'ouvrit. Je vous remercie humblement d'avoir accepté de me recevoir. Vous m'honorez grandement. »
cc99ff - Paroles de Corona.

Helel

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Re : Those who play with the devil's toys (Helel)

Réponse 1 mercredi 08 octobre 2025, 19:57:04

Un colosse. Un monstre à l’apparence d’un fantasme. Mais dans les yeux du Grand-Duc, derrière ses iris rouges comme le plus pur des rubis, il y avait une froideur à en glacer le sang le plus chaud. Ceux qui l’aimaient, ceux qui le haïssaient, jusqu’à même ceux qui n’avaient que faire de son existence, tous le craignaient. Souvent, on le comparait à un félin, que ce soit tigre ou lion. Quelque chose de sublime, marqué par l’instinct, par la compréhension implicite que cette créature pourrait tuer par simple amusement.

Et Corona n’avait rien d’une petite fille apeurée. C’était une succube, une créature pour qui la mort était ivresse, jouissance. Et pourtant, un malaise bien fondé devait s’immiscer en elle, face à la forme titanesque du démon.

Elle était dans sa demeure, un endroit où même ses pairs n’étaient pas invités. Un autre plan des enfers qui se manifestait par une île isolée au milieu d’un océan infini, contenant un petit hameau habité par les plus fidèles servants du Grand-Duc, surplombé par un manoir à la magie intemporelle, lequel changeait et muait de l’intérieur comme un labyrinthe possédé. La simple manifestation du désir de rencontrer Helel avait mené Corona à se faire happer par une fumée grisâtre, avant de réapparaitre dans un fauteuil confortable, dans un boudoir aux tons sombres et dorés.

De l’autre coté des murs, le bois couinait, tordait et grinçait lourdement sur le pas de ce qui devait être un buffle. Le bruit de cette démarche assurée et prédatrice résonnait jusque dans les murs, de quoi faire trembler jusqu’à la poitrine de Corona. Puis, alors que le bruit s’alignait avec la direction de la porte, il y eut un moment de silence. L’air était lourd, insupportable. Etouffant.

Comme si le manoir était conscient de la tension qui se créait autour de cette rencontre, l’encadrement de la porte se mit à trembler lourdement. Et enfin, l’apothéose. Comme si la lourde main d’Helel avait stabilisé jusqu’aux fondations de cette étrange demeure. Il n’y avait plus rien. Une seconde, puis deux. La poignée se mit à tourner lentement, déversant la créature qui attendait de l’autre côté dans cette pièce sobre et pourtant si lourde de sens.

« Corona. » Répondit-il à la salutation de la succube. Helel ne s’encombrait pas l’esprit de millions de noms sans valeur. Mais il connaissait celui de cette vassale. Elle était la protégée d’Andras. « J’apprécie une diablesse qui connait son rang, qui respecte notre loi. » Admira-t’il d’une voix semblable au tonnerre. « Voici mes salutations. »

A ces mots, le monstre fit un pas en avant. Ses chaussures noires luisaient de propreté, comme fraichement cirées et brillantes. L’odeur du cuir s’immisçait alors dans les narines de Corona, tandis que son nouveau maître posait fermement la semelle de sa chaussure contre le crâne de la diablesse. Helel sourit, pressant délicatement. Juste assez pour que la succube embrasse le sol, sans chercher à la blesser.

« Andras t’a appris les bonnes manières. Il faudra que je l’en félicite. » Ôtant son pied, le beau diable se glissa sa chaussure en avant, invitant sans avoir à le dire, Corona à embrasser le soulier bien propre. Il ne bougea pas, attendant qu’elle s’exécute. Puis, Helel se pencha sur son invitée, saisissant fermement une de ses cornes pour la redresser, sans pour autant lui accorder le droit de séparer ses genoux du sol. « Je sais pourquoi tu es ici, j’ai été averti de ta présence. » Insinuait-il qu’il connaissait la véritable raison de cette visite, ou Andras avait-il simplement averti son maître de la venue de sa vassale ?

Il était rare que le Grand-Duc se soucie des apparences, au-delà son affection pour sa forme d’ancien mortel. Mais pour la visite d’une élève en devenir, il avait fourni un petit effort. La chemise blanche qu’il portait, manches retroussées jusqu’aux coudes, dévoilait les premières stries musculeuses qui séparaient son torse. Un pantalon étroit de coton, noir, masquait quelque peu la musculature imposante de tout le bas de son corps, couvrant son sexe sans en cacher la forme ou la taille. Et enfin, les chaussures fraichement lustrées du démon, l’interlocuteur de choix de Corona. Impossible de savoir si la succube était au fait des habitudes du Grand-Duc, mais si c’était le cas, elle faisait face à une preuve de respect d’une grande rareté de la part d’un démon de ce rang. Peut-être plus qu’elle n’en avait l’habitude.

« Et dis-moi exactement, que pourrais-je donc bien t’enseigner ? » Demanda enfin le démon, un sourire sadique en coin. Il lui tendit une main pour l’aider à se redresser, lui autorisant enfin un minimum de confort. « Andras pense-t ’il peut-être que t’envoyer à moi suffit à me faire oublier toutes les faveurs que je lui ai fait ? Ou compte-t ’il vraiment ajouter ta rééducation à la liste ? »

Corona Taddeucci

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Re : Those who play with the devil's toys (Helel)

Réponse 2 mercredi 08 octobre 2025, 22:30:34

La succube n’en menait pas large, lors de l’attente. La bêtise de son Marquis ne cesserait de l’étonner. Mais elle était plus concernée par sa propre survie pour faire grand cas de l’habituel manque de stratégie d’Andras.

Les indices de l’approche d’Helel étaient omniprésents. Comme si le boudoir conspirait afin de créer une certaine tension pour son invitée. Sous des dehors calmes, la démone était en réalité à deux doigts de tout abandonner. Au diable le contrat qu’Andras gardait précieusement. Elle ne voulait pas mourir une deuxième fois et était presque certaine qu’elle y laisserait sa peau quand (et non pas « si ») le Grand-Duc s’apercevrait de la tromperie.

Peut-être que c’était l’aura du démon qui la faisait se questionner ainsi, réfléchit-elle avec peine en calmant les battements de son cœur tout en se préparant à l’accueillir quand la pièce cessa de trembler.

Connaissant son rang, la belle ne releva pas les yeux quand il entra. Elle ne protesta pas non plus quand la chaussure en cuir l’invita à embrasser le sol face à son propriétaire, se contentant d’obéir et de coller ses lèvres pulpeuses contre le parquet lustré (et probablement plus propre que l’entièreté du domaine dans lequel elle vivait). Elle fit de même lorsqu’il lui présenta le dessus de sa chaussure, gardant ses mains à plat contre le sol.

Si afficher une telle servilité dérangeait Corona, elle ne le montrait pas. Elle n’était littéralement pas en position de l’exprimer. Par rapport à Helel, elle n’était qu’un moustique sur le point de se faire écraser. En Enfer, elle ne représentait pas grand-chose. Qu’était une simple succube -même modérément talentueuse- face à un démon tellement haut-placé ?

Quand la main du mâle attrapa l’une de ses cornes pour la faire se redresser, relevant le buste qui jusque-là était pressé contre ses genoux, la belle ne trahit la sensibilité de ses appendices qu’avec une inspiration saccadée et un tressaillement de sa queue (jusqu’alors sagement enroulée autour d’elle). Toujours à genoux, mais relevant les yeux pour étudier les habits portés par le Grand-Duc, la succube constata que la stature de l’être face à elle était encore plus imposante que ce qu’elle aurait imaginée.

Son cœur cessa de battre quand il affirma être au courant de la raison de sa présence. Puis repartit dans une furieuse cavalcade alors que les explications et les excuses fusaient dans sa tête. Quand la raison l’emporta enfin sur sa crainte, elle songea qu’Andras avait sûrement prévenu Helel qu’il lui envoyait sa succube pour qu’il l’aide à devenir meilleure encore à ce qu’elle faisait. Sûrement.

Ses prunelles écarlate restaient fixées fermement sur ce qui se trouvait face à elle, comme si elle ne pouvait en détacher le regard. Et quand elle reprit ses esprits, et se rendit compte de la direction de son regard, la seule réaction qu’elle montra fut de dérouler sa queue et de la laisser s’étirer sur le sol derrière elle.

Elle avait le regard fixé sur son entrejambe, comme si elle dévorait des yeux la masse que le démon avait en place. Putain, pas étonnant que tout le monde en parle, songea-t-elle distraitement. Mais plus que la taille de son organe, le démon était un véritable colosse. Une montagne de muscle, à en juger par les avant-bras qu’elle pouvait apercevoir sous les manches retroussées de la chemise blanche. Dans sa tête, la comparaison avec Andras se faisait. Et elle était toute à la faveur du Grand-Duc. Helel était puissant, aussi bien physiquement que dans le domaine infernal. Il paraissait cultivé aussi, à sa façon de parler. Il était soigneux dans sa manière de se présenter, de s’habiller, alors même qu’elle n’était qu’une succube de rang bien inférieur à lui. Il avait un certain magnétisme animal, félin et prédateur, là où Andras devait forcer pour se faire obéir. Pour recevoir la « vénération » de celle dont il maintenait le contrat.

« Il souhaiterait que vous m’appreniez comment faire plier les plus réticents à tel point qu’ils vous en remercient ensuite, Seigneur, souffle-t-elle en se relevant avec son aide, sa queue venant s’enrouler autour de sa cuisse nue, s’arrêtant juste à la lisière des cuissardes ornées qu’elle portait. »

Elle n’osait toujours pas lever les yeux plus haut que le cou puissant du démon, de peur qu’il puissent lire en elle comme dans un livre ouvert rien qu’en croisant son regard.

« Je ne saurais présumer de ses intentions, Seigneur. Il m’a dit qu’il verrait ça avec vous directement après cette… Mmh… Mise à niveau. »

Sa main restait dans celle d’Helel, paraissant si fragile comparée à la taille de celle qui la maintenait. Presque malgré elle, Corona imaginait déjà cette main retenir sa gorge prisonnière. Clignant des yeux, elle ajusta la position de ses ailes repliées dans son dos et osa relever les yeux un peu plus, essayant de lire sur les traits du colosse ce qu’il pensait, ce qu’il allait décider.

« Si je m’autorisais à imaginer ce que mon Marquis avait en tête, je me dirais qu’il pensait peut-être que vous offrir l’utilisation de ma personne compterais possiblement dans la réduction de sa dette ? Mais je ne suis pas le Seigneur Andras, je ne suis qu’une humb- Mh. Une succube. Je ne connais rien de la manière dont vous régler vos affaires, Seigneur Helel, laissa-t-elle échapper en portant pour la première fois ses prunelles sur les orbes écarlate du démon. »

De manière inconsciente, Corona commençait à caresser la paume d’Helel du bout des doigts. Non pas pour l’attendrir -si jamais c’était possible- mais parce que son magnétisme était tel qu’elle ne pouvait s’en empêcher. De l’autre main, elle glissa une boucle brune derrière une oreille effilée.

« Dois-je retourner chez mon Maître afin de lui faire part de votre interrogation ? Je ne veux certainement pas abuser de votre temps si précieux, susurra-t-elle tandis que sa queue se déroulaient de nouveau, flottant derrière elle sans oser s’approcher de la carrure du démon. »
cc99ff - Paroles de Corona.

Helel

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Re : Those who play with the devil's toys (Helel)

Réponse 3 jeudi 09 octobre 2025, 17:00:40

Helel, connu pour son orgueil et sa volonté de dominer autant les évènements que les êtres, était pourtant un fin manipulateur. Et quiconque manipule son entourage, sait reconnaître les empreintes de la manipulation d’autrui, lorsqu’elles cherchent à s’immiscer là où elles ne devraient être permises.

Pourtant, Helel était aussi connu pour un autre détail, quelque chose qui lui valait la loyauté presque incorruptible de ses plus proches sujets : il était un maître juste. Tout du moins, autant que pourrait l’être un seigneur infernal. Et dans son domaine, il était connu de tous que la perfidie ou la traitrise n’étaient pas des moyens adéquats de gravir les échelons.

Autrement dit, il était prêt à laisser sa chance à Corona.

Helel avait pour don de sentir les émotions des autres, comme un nez affiné saurait reconnaître les notes florales spécifiques d’un parfum. Le Grand-Duc, lui, sentait la peur, le désir, souvent les deux mélangés dans un bouquet enivrant. Il sentait cette odeur chez Corona, mêlée à son parfum naturel de diablesse.

La poigne du beau diable était ferme, décidée, et sa puissance se ressentait aisément que ce soit dans les cornes ou dans la paume délicate de Corona. Il sentait la frustration de cette petite succube à se faire ainsi rabaisser, et il s’en délectait. Le Grand-Duc se demandait combien de temps il devrait l’humilier ainsi, pour qu’elle finisse par le supplier de le faire encore. Un instant, il s’imagina un futur proche, dans lequel Corona embrassait et léchait même avidement ses chaussures lustrées, remontant vers son sexe baiser par baiser, gémissant sa frustration et son désir.

Lui apprendre à faire plier les plus réticents ? Pourquoi pas…

« Je suis un maître cruel, Corona. Juste, mais cruel. » Annonça le colosse, ne se privant pas de dévoiler son sourire carnassier. Il alla même jusqu’à s’avancer d’un pas de plus, plaquant son torse contre les formes délicates de la diablesse. Il était absolument brulant, à un point qui tenait dans un équilibre habile. Entre l’impression de fondre, et l’impression de s’enfermer dans une couverture au confort sans pareil. « Je me demande alors pourquoi un vassal égoïste et imbu de lui-même comme Andras t’envoie à moi. Pour te punir ? Pour me faire une offrande ? Ou bien pense-t’il t’utiliser pour me nuire ? » Son sourire s’élargit, grandes dents de fauve en évidence.

La sentence était sans appel, irrévocable. Helel avait été clair à travers ses propos : il se moquait pertinemment de la raison pour laquelle Corona était ici. Il n’avait ni peur, ni doutes. Si elle était ici pour lui servir de jouet, il la choirait et la briserait tout à la fois. Si elle était ici pour apprendre, sans doute repartirait-elle plus puissante encore qu’Andras, au terme d’un apprentissage jonché des hauts les plus orgasmiques et des bas les plus dégradants. Et si elle était ici pour lui nuire, elle découvrirait les extrêmes de la douleur comme du plaisir. Comme si punitions et récompenses menaient toutes à la même finalité. L’illusion du choix.

Tout ce temps, le sexe du beau diable pressait avec insistance, quoique totalement au repos et couvert de son pantalon, contre le nombril découvert de Corona, en raison de leur importante différence de taille. Et, quand bien même le frisson d’une passion incontrôlable n’eut-il pas encore trouvé Helel, sa simple forme suffisait à insinuer douleur et plaisir contre la chair nue de la diablesse. Le tigre ne cachait pas ses intentions de la dévorer. Toute crue.

« Tu n’es pas une idiote, Corona. » Minauda le beau diable, son sourire devenu plus avenant quoique très clairement espiègle. Il plissa les yeux, laissant à sa nouvelle élève le loisir de caresser sa paume calleuse. Grand seigneur, Helel daigna même offrir son autre main au visage de la petite diablesse. Elle était ridiculement minuscule comparée à lui, et cette paluche de monstre paraissait démesurée à coté du minois délicat de la succube. Pourtant, ce fut avec une grande délicatesse qu’Helel vint caresser les contours de ce petit visage. « Je te l’ai dit, peu importe pourquoi tu es ici. Je sens que tes aspirations et ta… Politesse. Sont gâchées chez Andras. »

Son pouce s’arrêta sur les lèvres de Corona, tirant légèrement contre pour en apprécier le moelleux. Comme un miroir, Helel se mordit la lèvre inférieure, avant de reculer d’un pas, la chaleur étouffante de son corps s’éloignant, offrant enfin un peu de répit à la succube. Il est de bon ton de savourer les bonnes choses, plutôt que de se jeter dessus.

« Tu es la bienvenue ici. » Annonça Helel, alors que la porte du boudoir s’ouvrait d’elle-même. Il posa sa main au creux du dos dénudé de Corona, la guidant derrière la porte, et dans les couloirs sinueux. Des halls tortueux, anormalement hauts de plafond, partant parfois en embranchements insensés et culs-de-sac. Et parfois même, lorsqu’Helel revenait sur ses pas, pouvaient-ils constater que le retour ne ressemblait pas du tout à l’aller, les couloirs ayant de nouveau changé de position et de forme. « La magie qui anime cet endroit est hors de mon propre contrôle. » Dit-il simplement. « L’esprit qui habite le manoir décide de tout, en ces lieux. »

Une porte s’ouvrit alors dans un léger grincement audible. Helel sourit en se tournant vers l’entrebâillement.

« Entre la première. Cette pièce t’appartient, aussi longtemps que tu seras mon invitée. »

Le manoir était incroyablement précis dans son jugement. Corona trouverait toutes les fournitures et meubles qu’elle souhaitait, décorés et agencés de la façon dont elle aurait pu rêver. Mais les divers outils déposés sur le lit étaient-ils le fait de ses désirs, une plaisanterie tordue du manoir, ou bien une manipulation sans vergogne d’Helel lui-même ?

« Intriguant, mais pas surprenant. » S’amusa Helel en voyant la panoplie étalée sur les draps : une laisse pour chienne, une petite gamelle avec le nom de Corona gravé dessus, et plusieurs lanières de cuir, pinces et baillons. « Qu’en penses-tu ? » Elle l’ignorait, mais le premier test avait déjà commencé. Sa première leçon.

Corona Taddeucci

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Re : Those who play with the devil's toys (Helel)

Réponse 4 jeudi 09 octobre 2025, 22:18:25

Est-ce que la présence du démon l’enveloppait si totalement qu’elle en perdait le fil de ses pensées, de la conversation ? Affirmatif. La succube pourrait en ronronner alors qu’elle profite de la chaleur qui l’entoure, de la main large et puissante qu’elle caresse comme si c’était une marchandise précieuse, de l’autre main contre laquelle son visage se frotte pour mieux ressentir la puissance contenue. Ses pensées sont éparses et se focalisent presque entièrement autour de la virilité qu’elle sent pressée contre son ventre.

Elle était à deux doigts d’incliner la tête pour venir suçoter le pouce qui pressait contre sa lèvre inférieure quand Helel se recula d’un pas, brisant presque le cocon de sensualité qu’il avait créé autour d’elle. Pas tout à fait comme un seau d’eau froide, mais presque, la sensation aida la démone à regagner ses esprits. En partie, du moins. Elle déglutit, et rouvre les yeux qu’elle ne se souvenait pas avoir fermé.

Sans voix, elle exhale brusquement quand il annonce qu’elle est la bienvenue ici. Elle voudrait le remercier de sa bonté, mais pas un son ne quitte la gorge nouée de la succube. Elle frissonne quand elle ressent la main qui se cale dans le creux de son dos pour la guider, et elle emboîte le pas au géant qui lui fait… Presque visiter les lieux. Corona arque un sourcil devant les petites bizarreries de l’agencement, mais trouve la particularité de la demeure du Grand-Duc charmante. Elle sourit, étirant ses lèvres pulpeuses, et incline la tête quand il lui montre sa chambre.

Comme il le demande, la servante d’Andras entre en premier dans la pièce. L’endroit est décoré de façon très moderne quand on connaît les habitudes humaines. Sobre, épurée, elle respire le minimaliste. Et le sexe. Parce que c’est quand même d’une succube dont on parle. Au murs, des tableaux représentant des corps enlacés. Des femmes plébiscités, comme la Vénus d’Urbin ou les Trois Grâces, sont affichés comme une ode aux peintres anciens.

Son regard se focalise soudain sur le lit, suivant le regard d’Helel. Les « outils » posés dessus étaient singuliers. Et pourtant presque attendus. Elle s’approche d’un pas souple, sa queue fouettant l’air tandis que ses doigts effleurent la gamelle avec son nom dessus. Que ses ongles griffent légèrement le cuir des lanières, de la laisse… Et il lui demande ce qu’elle en pense ? Déglutissant, elle serre les dents un instant. En elle, deux sentiments se battent. D’un côté il y a la petite succube assoiffée de sexe, de curiosité, qui ne demande qu’à le supplier de l’aider à tester ces instruments. De l’autre, il y a la Corona qui refuse de se laisser dicter ses choix. Celle qu’elle était avant d’apprendre les règles de vie ici-bas. Celle qui se doutait que le démon prendrait grand plaisir à dompter cette flamme rebelle en elle. Ou à la tuer quand il en aurait fini avec elle si Andras foirait le coup et se faisait prendre à tenter de duper Helel.

Le combat interne fut rude. Et, malgré quelques appréhensions, c’est la succube qui gagna. Sa main se saisit du collier accroché à la laisse tandis qu’elle se tournait pour faire face au Grand-Duc. Lentement, Corona se laissa tomber à genoux à nouveau. Bien qu’une partie d’elle refusait de s’avilir de la sorte, l’instinct de la succube était plus fort. Elle porta la laisse à ses lèvres, la glissant entre ses dents pour la maintenir. Et elle appuya ses mains contre le sol recouvert de tapis confortables. Le regard fixé sur les chaussures du colosse, elle s’avança lentement, sa croupe se balançant à chaque pas, jusqu’à ce qu’elle arrive à ses pieds. Là, elle s’assit sur ses talons et reprit la laisse entre ses doigts.

« Sauriez-vous vous montrer assez généreux pour m-m’apprendre à utiliser ces… outils, Seigneur ? Demanda-t-elle d’une voix basse, butant à peine sur les mots alors que sa queue fourchue venait s’enrouler délicatement autour de la cheville du diable. »
cc99ff - Paroles de Corona.

Helel

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Re : Those who play with the devil's toys (Helel)

Réponse 5 vendredi 10 octobre 2025, 11:13:11

Quelle pouvait bien être la leçon derrière pareille diablerie ? Fouets, cravaches, collier et laisse pour petite chienne docile, une gamelle qui laissait clairement présager de quoi elle serait remplie. Pourtant, Helel comptait bel et bien offrir à sa nouvelle élève une leçon qu’elle serait en mesure de réutiliser. Pourquoi pas même, une leçon qui lui permettrait de se hisser plus haut qu’elle ne l’imaginait. Elle n’était encore qu’un pion dans le jeu entre un seigneur et son vassal, mais elle pouvait devenir plus.

« Le doute n’a pas sa place chez nous. » Trancha fermement le beau diable devant l’hésitation qu’il percevait chez Corona. Il y avait encore trop d’humain en elle. Le genre qui s’encombre de morale, d’idéaux, de freins et de limites. Helel était bien placé pour comprendre ce déchirement intérieur, cependant. « Tu es une diablesse. Plus une humaine. » Evidemment, il le sentait. Elle n’était pas comme ceux qui étaient nés démons. Lui non plus, dans un certain sens.

Impossible de dire si ces paroles avaient influencé le choix final de Corona, alors qu’elle s’avançait comme une petite chienne docile vers ce nouveau maître, qu’elle se pensait vouée à trahir. Quoi qu’il en soit, Helel sembla clairement apprécier le spectacle, un sourire dénué de la moindre gêne sur le visage. Son regard lourd allait du délicat minois de la diablesse jusqu’à son cul bombé, qu’elle mettait en avant à chaque avancée.

Mais derrière ce petit jeu de dominateur perfide, il y avait une véritable volonté d’enseigner les règles de la cour infernale à Corona. Helel cherchait à aider ceux qu’il prenait sous son aile, quand bien même ces leçons étaient dispensées au prix de l’ego et de la fierté de ses victimes. Il comptait apprendre à cette succube comment elle pourrait user de ses charmes pour prendre la place de son propre seigneur.

« Est-il frustrant pour toi d’être une petite soumise ? Une petite pute tout juste bonne à dandiner devant son maître ? » Demanda le monstre, ne répondant pas vraiment à la requête de Corona. Il caressa doucement la chevelure soyeuse de la diablesse. De longues et intenses caresses, du revers de ses doigts. Puis, la direction naturelle de cette crinière le mena jusqu’à une corne, dont il se saisit avec autant de délicatesse que de fermeté. « Même dans la soumission, une succube ne demande pas. Elle prend ce qu’elle veut. »

Helel saisit alors la main de Corona, non pas pour récupérer la laisse qu’elle lui tendait presque timidement, mais bien pour guider la petite paume délicate de cette succube jusqu’à son sexe, toujours emprisonné dans le pantalon du maître. Le très léger frisson qui parcourut le Grand-Duc fut accompagné d’une soupir satisfait, finissant presque en un léger rire, alors que son chibre durcissait lentement.

« Tu en salivais, n’est-ce pas ? » En laissant la main de Corona découvrir la forme et toute l’épaisseur de son sexe, Helel en profita pour récupérer la laisse. Sans prévenir, il tira sèchement dessus, faisant sursauter Corona vers l’avant, lui collant même le visage contre le fruit de ses désirs. « Je parie que tu aboieras comme une petite chienne, quand j’en aurai fini avec toi. » De même, le démon ondulait du bassin, sensuellement, laissant la joue moelleuse de Corona ressentir la dureté grandissante qui l’attendait.

Elle était coincée, une main tirant sa laisse jusqu’à la tension maximale, une autre maintenant son visage par une de ses cornes. Helel cherchait à frustrer son ego tout comme son désir. Il ne punissait pas l’arrogance, loin de là. Au contraire, il comptait faire grandir la frustration chez Corona, jusqu’à ce qu’elle assimile cette première leçon : peu importe face à qui un démon se trouve, il doit saisir ce qu’il désire.

« Est-ce que tu le sens ? » Un nouveau mouvement de ses reins, frottant la longueur torride de son sexe contre la joue et le coin des lèvres de Corona. « A quel point j’ai envie de m’enfoncer dans ta bouche. Jusqu’à caresser le fond de ta petite gorge. » Il soupira longuement. Evidemment, Helel en avait terriblement envie. Mais il ne comptait pas récompenser l’indécision. « Tu dois oublier l’humaine en toi. Ce frisson de honte… » Il recula d’un pas, tenant toujours fermement la corne de Corona, alors que la tension de la laisse se relâchait légèrement. « Laisse-le devenir un frisson d’extase. » Ordonna-t’il alors.

Il continua à reculer, trainant d’abord la diablesse comme une petite chienne récalcitrante, tirant sèchement sur la laisse pour l’obliger à suivre, à quatre pattes. Un plaisir sadique le parcourait, alors même qu’il pliait Corona à sa volonté, alternant frustration et la promesse de ce sexe qui la faisait bruler de l’intérieur. Il se demandait quel choix elle ferait pour mettre fin à ce cruel petit jeu. Si elle en avait seulement le courage.

Corona Taddeucci

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Re : Those who play with the devil's toys (Helel)

Réponse 6 vendredi 10 octobre 2025, 20:48:38

La succube cilla un instant, ne comprenant pas la réponse du démon par rapport à la question émise, mais sa perplexité ne dura pas, son esprit s’activant de plus belle. Être aussi proche du Grand-Duc lui faisait vraiment perdre ses moyens. Sa chaleur, le magnétisme qu’il exsudait, sa carrure et sa façon de se comporter… Les bas-instincts de la brune était en ébullition.

Elle ne pouvait s’empêcher de pencher la tête vers la main qui caressait ses cheveux, recherchant le contact sans pudeur alors que ses prunelles rubiconde ne lâchaient pas l’entrejambe d’Helel. Elle releva les yeux vers lui seulement quand il parla de nouveau après avoir saisi l’une de ses cornes, lui transmettant une leçon quant à sa nature de succube. Une leçon qu’elle se promit de garder en tête et de mettre en application.

La brunette écarta les doigts quand il attrapa sa main, lui offrant la laisse en pensant que c’était ce qu’il voulait. Mais alors que l’instrument glissait de sa paume pour venir heurter le sol, il dirigea cette main contre la bosse que son sexe faisait au-travers du pantalon. « Oh oui, souffla-t-elle sans l’entendre en réponse aux paroles du démon. » L’attrait de cette queue qui se raidissait était sans pareil. La succube qu’était devenue Corona pourrait facilement en devenir une fervente adepte.

La laisse soudain tirée rapproche -colle- sa joue contre la protubérance qu’elle caressait de sa main et la jeune infernale en aurait geint de plaisir si elle n’avait pas été occupée à déglutir. Ses lèvres s’entrouvrirent en l’entendant parier -prédire- ses réactions à la fin de ce qui promettait d’être un « dressage » intensif. Elle aurait voulu le contredire, s’offusquer, clamer à cors et à cri qu’elle n’était pas comme ça mais… Il marquait un point. Alors même qu’il ne lui avait encore rien fait, qu’il n’avait fait que l’aguicher par sa simple présence, elle était déjà comme une chienne en chaleur. Si le rappel de ce pourquoi elle était réellement là n’était pas imprimé dans un recoin de son esprit, forcé là par la magie qui liait son âme au contrat détenu par Andras, elle en aurait déjà oublié rien que l’idée même de tromper ce démon.

Elle brûlait d’envie de lui arracher ce pantalon pour venir se saisir à pleine main de la verge épaisse qu’elle cramponnait presque au travers du tissu. Ses lèvres restaient entrouvertes contre la chair encore prisonnière, embrassant presque la forme phallique qui se frottait contre sa joue. La pression d’une main contre sa corne ne faisait rien pour aider à clarifier ses idées, et elle geignit doucement alors qu’il parlait de nouveau, attisant le désir en elle, la partie primale de sa nature de succube.

Il était fou de penser qu’à peine en sa présence la belle perdait ses esprits. Si Andras avait tenté de la soumettre aussi bien physiquement que moralement, il n’avait réussi qu’au premier de ses buts. Il n’avait pas la même emprise qu’Helel pouvait avoir sur ses sens. Et si elle se soumettait physiquement, sa nature succubique appréciant l’usage qu’il faisait de son corps, elle restait farouchement humaine dans sa façon d’être et de réfléchir. Alors se trouver ainsi déjà prête à renier ce qu’elle avait été après seulement quelques instants en présence du Grand-Duc ? C’était dur à avaler. Mais pas autant que cette magnifique virilité, murmura une petite voix dans un recoin de son esprit.

Déglutissant à nouveau lorsqu’il s’écarta sans la lâcher, elle relève lentement les yeux jusqu’au visage du démon qui la regardait. Elle grimaça quand il tira sèchement sur la laisse pour la forcer à le suivre, toujours à quatre patte, regrettant déjà l’absence de sa chaleur contre sa joue. Mais elle suivit, elle obéit, et sa queue revint fouetter l’air. Un peu comme un chat, il pouvait la sentir frustrée, irritée de ce petit jeu, mais ô combien affamée.

La guerre faisait rage en son âme. La succube contre l’humaine. La diablesse contre l’insolente gamine qu’elle était avant de mourir. Accepter que son corps soit soumis était tout à fait différent d’accepter que tout ce qu’elle avait été jusqu’à présent n’était qu’un lointain souvenir, une gêne pour devenir pleinement ce qu’elle était à présent. La frustration qu’elle ressentait aidait clairement sa nature infernale à prendre le dessus sur les habitudes humaines. Sa démarche, d’abord mécanique quand elle fut tirée sèchement par Helel, devint bientôt plus langoureuse. Plus chaloupée. Ses hanches se balançaient et le battement de sa queue s’adoucit, devenant joueur. Pour un temps, la succube avait gagné le combat. L’attrait de jeux sexuels et de félicité charnelle était plus fort que les réticences humaines à se montrer plus bas que terre.

Corona accéléra le pas, la laisse gagnant du mou, sans perdre de sa démarche gracieuse. Elle regagna du terrain, se rapprochant de nouveau de celui qu’elle désirait plus que tout à l’instant présent. Ses bras se fléchirent, quand elle arriva à ses pieds, et ses lèvres vinrent effleurer une chaussure lustrée, la chaleur de son souffle créant une impression de buée. Une main remonta contre le mollet en même temps que sa tête, s’agrippant pour aider à se redresser, jusqu’à ce qu’elle soit de nouveau avec le visage face à ce qui l’intéressait farouchement. Ses prunelles pourpres se relevèrent pour étudier les réactions du séduisant monstre alors qu’elle mettait en pratique la première leçon : Prendre ce qu’elle voulait, même dans la soumission. Et ce qu’elle désirait, c’était goûter à cet organe mâle qui la mettait dans tous ses états.

S’il la punissait pour chercher à suivre ses leçons ? Elle accepterait. Peut-être -sans doute- pas sans broncher, mais elle accepterait. Mais s’il ne la punissait pas rapidement, elle allait faire de son mieux pour faire glisser le coton du pantalon jusqu’à ses chevilles, pour venir agripper d’une poigne ferme la queue brûlante. Pour la découvrir au niveau tactile, puis oral. Pour la vénérer, l’embrasser, l’aspirer, chercher à la caler au fond de sa gorge comme elle le pourrait. Pour venir embrasser les bourses remplies qu’elle ne demandait qu’à vider. Qu’à goûter.

Elle en salivait déjà.
cc99ff - Paroles de Corona.

Helel

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Re : Those who play with the devil's toys (Helel)

Réponse 7 samedi 11 octobre 2025, 02:47:34

Le cryptique amant était satisfait de voir Corona appliquer ses leçons en temps réel. Elle était plus… « Studieuse » qu’il n’y paraissait au premier abord. Il sentait encore ce conflit en elle, ce besoin impérieux de ne pas être juste une autre pute soumise. Heureusement pour la succube, Helel n’était pas de ceux qui étouffent leurs partenaires. Et même s’il allait la dominer sans vergogne, il espérait qu’elle tire une leçon de ce petit jeu.

« Bonne petite chienne. » Soupira la voix du monstre, alors qu’il observait l’évolution dans la cambrure, la démarche de son nouveau jouet. Un coin de sa bouche s’étira en un sourire qui révélait ses dents pointues, acérées. Un sourire à mi-chemin entre la menace et la plus grande des satisfactions. « Embrasse ta vraie nature. »

Il aurait été cruel de continuer à reculer alors même que Corona respectait les règles de son apprentissage, mais Helel aimait tant titiller ses conquêtes… Cependant, la détermination dans le regard de la succube parvint à élargir encore un peu plus le sourire charmé et amusé du Grand-Duc, qui cessa enfin de reculer, glissant légèrement un pied en avant pour offrir une sorte de reddition.

« Embrasse, ma petite pute. » Ordonna-t’il, quoique son ordre fut complètement superflu tant Corona le désirait. Était-ce de la soumission, ou exploitait-elle une faiblesse apparente en vénérant Helel ainsi qu’il le désirait ? En tous les cas, le beau diable plissa doucement les yeux alors que les baisers passionnés de la diablesse remontaient le long de sa jambe, empreints du désespoir sensuel qui la brulait de l’intérieur. « Mhhh, est-ce du désespoir, ou de la conviction ? » Demanda-t’il, amusé.

Elle le remontait avec passion, cherchant avec empressement à le dévêtir. Et Helel ne faisait rien pour l’aider, pas plus que pour l’entraver. Simplement, il s’amusait à donner d’occasionnels petits coups sur cette laisse, enroulée autour de son poing pour en réduire le jeu, et à écraser le délicat visage de Corona contre son sexe. Il profitait des derniers moments de torture, ou tout du moins de cette torture spécifique, avant que la succube ne trouve sa libération.

« Régale toi. » Autorisa Helel, alors que son pantalon venait à la rencontre de ses chevilles. Son sexe était encore lourd, pendant entre ses cuisses, à mi-chemin entre une dureté de fer et un repos de chair. Mais les doigts de la succube eurent tôt fait de gorger ce membre de sang infernal. Corona n’avait rien d’une petite chose fragile, mais cette chose entre ses doigts semblait ne pas vouloir cesser de croître, pulsant à chaque effleurage, réclamant son souffle chaud. « J’espère que ton petit corps y survivra. » Minauda le monstre. « Mais je serais très heureux de parvenir à te briser en mille morceaux. Aussi. »

Appuyant ses propos, le beau diable offrit à Corona un spectacle aussi sensuel que terrifiant par sa force. Ses mains trahirent son impatience, saisissant sa chemise au niveau de son torse pour la réduire en lambeaux, dévoilant ses abdominaux taillés. Et ces derniers œuvrèrent alors, se contractant et ondulant en une poussée de son bassin, contractant jusqu’à ses fesses musclées tant il poussait fort, son chibre utilisant les mains exploratrices de Corona pour se masturber allègrement.

« Que tu es douce. » Murmura Helel, un soupir lourd quittant ses lèvres alors que son gland venait buter contre la petite bouche de la diablesse, à qui il avait rendu un peu de mou, lui laissant le loisir d’admirer l’arme qui allait la détruire. Lorsqu’elle tentait de s’approcher, il s’éloignait doucement et tirait la laisse vers le haut, empêchant les lèvres de Corona de venir rencontrer son sexe. « Oserais-tu te jeter dessus alors que ton maître t’en prive, petite chose ? »

Encore une fois, cela ne dépendait que d’elle. Elle découvrirait bien vite que choisir d’empaler sa bouche, sa gorge, sur le sexe d’Helel, ne lui serait pas refusé, pour peu qu’elle soit directe dans son approche. De même, le souffle chaud de cette petite diablesse contre ses bourses, sa queue douloureusement gonflée, arrachait au Grand-Duc des soupirs, parfois même un gémissement rauque lorsqu’il effleurait ses lèvres indécentes, pulpeuses et confortables. Lui aussi luttait contre l’envie de baiser brutalement le beau visage de Corona.

« Cette position te va à ravir. » Dit-il giflant doucement les joues de Corona de sa bite gorgée de désir, qu’il tenait d’une main ferme, avant-bras et poing crispés de désir. Les gifles devinrent caresses, mais toujours, il fuyait la bouche de Corona, se faisant souffrance. « Rappelle-toi. Pas d’hésitation permise. »

Corona Taddeucci

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Re : Those who play with the devil's toys (Helel)

Réponse 8 samedi 11 octobre 2025, 14:31:07

« Les deux, Seigneur, susurra la succube quand Helel questionna s’il s’agissait de conviction ou de désespoir. »

Elle n’avait même pas planifié de répondre, tout occupée qu’elle était à vénérer le sexe qu’elle sentait sous ses doigts, qu’elle souhait libérer pour mieux l’honorer. Il pouvait voir que le jeu auquel il s’amusait avec la laisse semblait frustrer autant qu’exciter la jeune démone sans toutefois la distraire de son but ultime du moment. Ce but qui se rapprochait de plus en plus… jusqu’à ce que le pantalon glisse finalement à ses chevilles. La succube prit une soudaine inspiration en voyant la queue qu’elle convoitait enfin libérée, offerte glorieusement à sa vue. A ses doigts qui s’empressèrent de venir l’enserrer autant qu’ils le pouvaient.

Corona releva le regard un instant, étudiant le visage du mâle, notant la puissance contenue qui émanait de lui, qu’il démontra en déchirant sa chemise et dévoilant le reste de son corps sculptural. C’était vraiment un colosse, et la brunette pouvait ressentir entre ses cuisses à qu’elle point cela l’excitait. L’humaine en elle, réprimée pour le moment, en aurait frémit d’horreur. A côté du démon, elle paraissait minuscule. Il pouvait la briser rien qu’avec ce membre qui prenait toujours de l’ampleur entre ses doigts. Mais la succube se complaisait dans la débauche qu’elle imaginait allait suivre. Elle ne pouvait pas attendre d’être ainsi ruinée par le séduisant Grand-Duc.

 Son attention se reporta sur l’objet de ses désirs. Ses lèvres s’entrouvraient à chaque fois que sa bouche se rapprochait de la masse virile d’Helel. Mais il semblait toujours s’amuser à la frustrer alors que la laisse l’empêchait de faire plus qu’effleurer la peau douce et brûlante qui la narguait. Un grondement de frustration fut ravalé avant qu’il ne sorte de sa gorge. Corona était déjà plus que moite de désir, mais il stoppait toute ses approches juste à temps pour ne lui laisser qu’imaginer ce que serait le résultat final. Le contact de la virilité contre ses joues, brusque ou doux, ne faisait que renforcer son désir de se l’approprier.

« Je ne saurais vous défier aussi ouvertement, Seigneur, ronronna-t-elle alors que ses mains venaient s’agripper aux cuisses musclées du géant. Mais je peux vous promettre de ne pas hésiter une seconde… »

… A venir prendre ce que je désire par un moyen détourné, termina-t-elle pour elle-même dans l’intimité de ses pensées.

Et elle lui offrit un sourire dénué d’innocence alors qu’elle força contre la laisse pour venir se rapprocher à nouveau de la turgescence du démon. Au lieu de venir enrober le gland de ses lèvres affamées, elle baissa la tête pour venir happer les bourses. Les aspirer doucement, jouer avec presque tendrement. Et le tout, avec son nez collé contre la base du sexe, comme si elle était prête à rester collée aux testicules sans jamais se plaindre.

Elle attendit patiemment que la tension de la laisse se relâche, sa langue jouant avec les fragiles joyaux d’Helel, avant d’autoriser ses lèvres à remonter, à relâcher leur prix de consolation pour venir se régaler de la vraie récompense. Elle refoula la moindre pensée qui trouvait cela dégradant, préférant se complaire ainsi aux pieds du colosse, ses mains s’accrochant à lui comme à une bouée de sauvetage, ses lèvres embrassant chaque millimètre de peau qu’elle pouvait atteindre, sa langue traçant des arabesques jusqu’à ce qu’elle en arrive à laper finalement le gland violacée qui semblait ne demander que ça.

Elle se redressa un peu mieux sur les genoux, ses cuisses écartées laissant voir une certaine humidité luire doucement dans la lumière tamisée de la chambre, et ses mains vinrent remplacer ses lèvres pour consoler les bourses. Sa bouche s’ouvrit après un instant, inspirant l’air en même temps que la queue du monstre. Ses yeux vinrent trouver ceux d’Helel, l’expression qui s’affichait dans ses prunelles rubis ayant l’air de signifier C’est ça que je veux. Et tant pis si ça ne me récolte que la ruine. Elle le défiait presque de la punir pour venir enfin chercher son dû, l’objet de ses désirs. Et, avec une lenteur délibérée qui ne pourrait pas être confondue avec de l’hésitation même les yeux fermés, l’infernale créature vint enfin refermer ses lèvres sur ce gourdin masculin, aspirant, creusant les joues, mais ne s’aventurant pas plus loin que le gland.
cc99ff - Paroles de Corona.

Helel

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Re : Those who play with the devil's toys (Helel)

Réponse 9 lundi 13 octobre 2025, 19:01:43

Malgré toute la contenance habituelle d’Helel, ce dernier n’était pas un amant silencieux ou retenu dans ses gestes. Il laissait l’instinct naturel du plaisir prendre pleine possession de lui, grognant, soupirant, serrant les cornes de Corona de son poing à chaque fois qu’elle le faisait frissonner de plaisir.

Bien sûr, le démon était joueur, à un point qui n’avait rien à envier aux espiègleries des succubes. La satisfaction de ces petites provocations se lisait aisément sur le visage d’Helel, alors qu’il empêchait son amante de trouver pleine satisfaction. Son gland gonflé et brulant semblait échapper aux lèvres de la diablesse, encore et encore jusqu’à créer un défi dans son regard.

« Hmm ! » Un léger sursaut lorsque Corona se jeta sur ses bourses. Helel s’y était attendu, bien évidemment. Ce n’était pas comme si elle avait de nombreux autres angles d’attaque, mais la technique de cette diablesse était des plus… confortables. « Ooooh… » Un long râle rauque, à mi-chemin entre le gémissement et le grognement d’abandon, alors qu’Helel rejetait la tête en arrière, fermant un instant les yeux comme si cela l’aiderait à en profiter encore plus.

Comme une approbation, il fléchit légèrement les genoux, offrant un peu plus de ses couilles douloureusement gonflées contre les lèvres moelleuses de Corona, un long souffle audible quittant sa gorge. Et la diablesse faisait preuve d’une subtilité toute féline, attaquant le Grand-Duc lors de ce moment d’extase, en profitant pour s’en prendre à ce que sa bouche convoitait réellement.

« Petite maline. » Grogna Helel, approbateur. Comme pour lui signifier qu’elle avait bien mérité sa récompense, le beau diable força un peu plus le minois délicat de Corona contre son sexe, lui tenant toujours fermement une corne. « Pauvre petite chose, tu en bavais d’envie, pas vrai ? Ta petite bouche dégouline de salive. » De sa main libre, Helel glissa deux doigts dans la bouche de son amante, se régalant de sa chaleur et de sa moiteur, juste avant qu’elle engloutisse son sexe. Il n’ôta alors index et majeur de sa bouche pulpeuse que pour venir saisir la deuxième corne.

Pourtant, la petite diablesse se faisait souffrance. Helel sourit, amusé d’avoir été pris à son propre jeu. Voilà que l’écrin sans pareil de sa bouche l’emprisonnait dans une chaleur moite à en arracher un hululement de plaisir, et pourtant. Elle ne bougeait pas, comme si elle lui renvoyait la leçon qu’il avait décidé de lui enseigner. Bien sûr, le beau diable était un professeur qui appliquait ce qu’il enseignait.

« Je vais baiser ta petite gorge, ma belle. » Murmura tendrement le démon, raffermissant sa prise sur les cornes de la succube. Une nouvelle fois, il sembla que chaque muscle de son corps se contractait alors qu’il poussait en avant. Et de cet angle de vue, Corona pouvait voir la machinerie musculeuse s’activer à s’enfoncer dans sa bouche, à buter contre la barrière de sa gorge. « Oooh, tu baves vraiment comme une petite chienne affamée. » Remarqua-t’il d’un ton sirupeux, sourire en coin.

Le souffle et les soupirs du démon se faisaient plus fréquents, en tandem avec le rythme de ses hanches et des contractions de ses muscles. Il respirait fort, sa forme colossale toisant Corona comme si elle était son festin, une petite proie à dévorer avec délices. Il la ménageait, bien sûr. Même si l’envie de s’enfoncer d’une traite dans sa gorge titillait le fond de sa pensée, Helel restait lent et provocateur. A chaque poussée, il allait un peu plus loin, centimètre par centimètre. Et à chaque retour de son bassin musculeux, il se donnait un peu plus d’élan. Où que viennent les mains de la succube, elle pouvait sentir chaque muscle capable de se contracter, le faire avec une puissance mécanique.

« Raaaaaah, putain ! » Un râle de pur plaisir, puis un soupir satisfait. Enfin, la base de son sexe sentait l’étau étroit des lèvres de Corona. Helel sentait sa gorge l’aspirer désespérément, sa langue écrasée par la taille de son sexe dans sa bouche, et pourtant le caressant encore et encore. Et avec toujours autant de sensualité, le beau diable faisait l’amour à la petite bouche de son amante, la laissant gémir à chaque fois de son sexe s’échappait d’entre ses lèvres, pour y replonger fermement, poings crispés sur les cornes qui lui servaient de poignées. « Je vais cracher dans ta petite gueule d’amour, puis remplir cette gamelle avec le reste et te faire laper ça comme une petite salope. » Grogna le démon, les yeux embrumés par le désir.

Corona Taddeucci

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Re : Those who play with the devil's toys (Helel)

Réponse 10 mardi 14 octobre 2025, 18:49:40

La brune succube étouffa un gémissement contre le gland qu’elle venait de happer. Les mains du démon tenant ainsi ses cornes lui firent onduler des hanches alors même qu’il n’y avait rien pour frotter là où elle le désirait le plus. Elle ne savait pas ce qui était le plus excitant : Avoir enfin libre accès à ce vît colossal, turgescent, qui appelait au stupre ? Ou bien sentir la poigne d’Helel contre l’une de ses parties érogènes les plus sensibles ?

Finalement, elle était incapable de se décider et laissa la question en suspens, préférant focaliser toute son attention sur la scène qui se déroulait. Une partie d’elle se réjouissait de savoir que la lenteur délibérée avec laquelle elle aspirait le gland entre ces lèvres poussa Helel à venir s’enfoncer de lui-même plus profondément. Et encore. Et plus loin encore. Ses mains relâchèrent les bourses pour venir s’agripper aux cuisses du Grand-Duc, pour s’y maintenir alors que peu à peu ses sens s’affolaient. La partie humaine de son âme chuchotait au fond de son esprit. Elle s’affolait, mais pas dans le bon sens. Elle craignait de finir étouffée, avec la mâchoire déboîtée. Mais la succube la refoula sèchement. Elle se savait capable d’avaler le gourdin qui se frayait peu à peu un chemin de plus en plus loin dans sa gorge. Elle savait également qu’elle n’en mourrait pas. Elle serait une bien piètre succube autrement.

Son propre bassin avançait ou reculait, complémentant les mouvements du Seigneur infernal. Ses cuisses restaient bien écartées, luisantes de l’excitation qui s’échappait et coulait contre sa peau échauffée. Ses gémissements s’étouffaient parfois contre le chibre qui prenait possession de sa gorge, mais s’exprimaient dès qu’il se retirait presque totalement. Les yeux rubiconds de Corona se fermaient sous le plaisir qu’il lui procurait rien qu’en se faisant une place entre ses lèvres. Et quand enfin le nez de la petite succube put se caler confortablement contre l’aine de son amant, un frisson la fit trembler de la tête aux pieds. Elle adorait sentir la maîtrise du diable au fond de sa gorge, contre ses cornes, contre sa langue. Elle se serait frottée contre sa jambe si elle n’était pas trop occupée à savourer la fermeté d’Helel, le goût de son sexe qui venait taper dans sa gorge encore et encore et encore… Il pouvait voir ses yeux papillonner, tenter de rester ouvert sans succès alors qu’elle dérivait lentement dans la douce agonie du plaisir.

Ses ongles s’enfoncèrent dans les cuisses puissantes du monstre alors qu’il dévoilait la suite du programme. Ses reins s’enflammèrent de plus belle, la langue de désir lapant tout son être d’un frémissement anticipateur. Si sa bouche n’était pas occupée à recevoir toute cette chair démoniaque tendue, veinée, elle aurait probablement soupiré ou gémi son approbation, son avidité à l’idée de s’avilir ainsi. Et si la succube ne dominait pas -portée par la luxure et le désir- contre la part humaine qui s’accrochait désespérément, nul doute que l’écho de ce qu’elle avait été eue été horrifiée.

Comme pour compenser l’absence de paroles, la gorge de la belle se contracta autour du chibre qui revenait s’y nicher, encore et encore et encore, sa langue redoublant d’efforts pour essayer de satisfaire l’impatience qui la rongeait désormais. Le zèle qu’elle mettait à accueillir le gland tout au fond de sa gorge se propagea à ses lèvres qui tentaient de compresser la rigidité qui coulissait entre elles. Tout son corps semblait appeler à la réalisation de ce programme alors qu’elle ondulait sur ses genoux, gémissant et bavant tant que tant, ses yeux brillants d’ardeur quand elle levait le regard vers ce Maître dont elle n’aurait osé rêver.

Une main se décrocha des cuisses d’Helel et revint cajoler les testicules qui contenaient tout ce délicieux foutre dont elle se repaîtrait. Et quand enfin elle sent le monstre repeindre sa gorge avec ce fluide encore brûlant, tout son être capitule devant le plaisir de son Maître. Sa gorge se contracte alors qu’elle essaye de déglutir, d’avaler une bonne part de ce qu’il lui offre. Le menton brillant de salive de la succube reçut bientôt sa part de jus alors que Corona ne pouvait pas tout avaler, et le tout coula contre sa poitrine encore gainée de cuir et d’ornements métalliques.
cc99ff - Paroles de Corona.

Helel

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Re : Those who play with the devil's toys (Helel)

Réponse 11 mercredi 15 octobre 2025, 18:37:24

Au-delà du plaisir, il y avait une leçon à tirer dans chaque étape. Une succube du rang de Corona pouvait soutirer à Helel des grognements et gémissements qu’aucun ennemi n’aurait pu arracher au Grand-Duc. Et pourtant, elle était agenouillée en face de lui, son sexe en bouche, jusqu’en gorge même, faisant parfois trembler le bassin du colosse lorsqu’il la sentait aspirer avidement son sexe.

« Hmfff… » Un franc soupir, exhalé alors que le beau diable fermait les yeux, juste avant qu’il ne morde sa lèvre charnue, son aine musculeuse se poussant instinctivement vers l’avant, aussi profond qu’il le pouvait. « Putain… Avale moi. » C’était, bien évidemment, un ordre. Un ordre murmuré, suivi d’un râle d’extase à pleins poumons.

Les gémissement de Corona lui massaient le sexe alors qu’Helel limait sa petite gorge de diablesse, le faisant presque reculer subitement de plaisir, tant la sensation était intense. Mais aussi étroite et confortable cet écrin soit-il, le Grand-Duc n’allait pas s’incliner simplement face à la petite gorge étroite d’une succube. Doucement, il avança une jambe, en plaquant le muscle bien dur contre l’intimité de Corona, l’invitant à s’y frotter allègrement, à s’y abandonner complètement. A laisser le désir moite de la diablesse mouiller la jambe de son maître.

En tant que démon, en tant qu’être tout autant fait de magie que d’instincts et d’émotions pures, Helel devinait également, ressentait presque, le plaisir brulant qui s’emparait de son amante. Il savait à quel point cette poigne sur ses cornes la rendait folle. Aussi lui offrait-il, généreux maître qu’il était, le loisir de ressentir encore plus cette possessivité. Ses mains serraient toujours davantage, poings tournant légèrement autour de ces poignées à mi-chemin entre une caresse et un étranglement. Et en même temps, le muscle de sa jambe forçait un peu plus contre l’intimité couverte de sa proie.

« Bois, ma belle petite pute. » Encore une fois, ces paroles tendrement soupirées se trouvaient à mi-chemin entre l’ordre et l’invitation. Mais la poigne ferme contre les cornes de Corona trahissait la véritable nature de ces paroles, le fait qu’elle n’avait pas le choix. Et sans doute ne souhaitait-elle pas l’avoir. « Aaaaaaaah. » Un râle satisfait, alors que les bourses du monstre se contractaient, que son sexe tressautait impatiemment, vidant giclée sur giclée de foutre chaud dans la petite gueule de Corona.

Le corps d’Helel se crispait tout entier à chaque rasade, avant de se détendre doucement jusqu’à la prochaine. Le beau diable semblait n’en pas finir, alors que sa jambe musclée insistait contre l’intimité. Et pourtant, il finit par quitter lentement les lèvres de Corona, observant avec satisfaction toute la longueur de sa queue bien lustrée s’extirper de ce fourreau si étroit. Le bruit qui retentit dans la pièce, tandis que son gland échappait à la succion de la diablesse, fit grogner d’approbation le démon.

« Pauvre petite chose. Tu dois être affamée. » Minauda-t’il, tendant la main pour que la gamelle vienne à lui, flottant doucement. Il la laissa négligemment tomber au sol, avant de viser le centre du récipient, soupirant encore alors que sa queue ne cessait de tressauter impatiemment. « Hmmmf, putain… » Evidemment, pour un monstre comme Helel, même son essence était irrésistible. Son foutre était crémeux, épais, d’un blanc immaculé. Et même goût ou odeur étaient d’une autre nature. Semblable à rien d’autre, et pourtant irrésistible. Et si quelques gouttes auraient suffi à faire planer une succube comme une drogue euphorique aurait fait planer une petite mortelle, alors cette gamelle remplie à ras-bord devait être une overdose concentrée.

De son pied, le beau diable s’amusa à éloigner le récipient quelques fois, ressentant un plaisir sadique à éloigner l’objet de ses désirs hors de la portée de Corona. Même dans un acte aussi humiliant, il lui rappelait qu’elle n’était là que pour obéir à ses caprices. Après tout, elle l’avait bien fait gémir et grogner de plaisir. Hors de question que le démon reste sur une telle défaite. Aussi agréable soit-elle.

« Bois à grandes goulées, je veux voir ta gorge se contracter comme autour de mon sexe. » Ordonna impérieusement le Grand-Duc. Et pendant que sa petite chose s’exécutait, le démon prit place derrière elle, griffant doucement son cul qu’il obligea à se bomber en attrapant les cuisses de la démone. Impatient, il déchira ce qu’elle portait dans un grognement moqueur et amusé, son sexe pointant contre l’intimité trempée de la diablesse. « Je ne veux pas t’entendre gémir, petite chienne. Bois. » Bien sûr, c’était une demande des plus injustes et cruelles, alors qu’il s’enfonçait lentement en elle, frissonnant d’extase alors qu’il sentait ses chairs s’écarter douloureusement autour de son sexe inhumain.

Corona Taddeucci

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Re : Those who play with the devil's toys (Helel)

Réponse 12 jeudi 16 octobre 2025, 22:06:23

Si le démon offrait sa jambe pour que la succube vienne s’y frotter comme une chienne, qui était-elle pour refuser ? Et si elle le souillait de ses fluides, si elle le marquait de sa cyprine, elle n’en oubliait pas pour autant d’activer sa bouche, sa gorge, pour lui rendre ce plaisir qui irradiait dans son être échauffé.

Il pouvait sentir l’effet qu’il lui faisait à ainsi lui emplir la gorge de ce foutre brûlant. La diablesse frottait sa fleur en rythme avec les giclées de foutre qui envahissaient sa gorge, qui luisaient contre sa peau diaphane. C’est avec reluctance que la jeune démone laissait le monstre s’extraire d’entre ses lèvres, un geignement de dépit s’échappant alors qu’elle se retrouvait désœuvrée.

« Oh oui, Seigneur, exhala-t-elle en réponse. »

Affamée de son foutre. De son odeur musquée. De la chaleur insoutenable et pourtant si délicieuses qu’il émanait.

Dans un état second, les prunelles de Corona accrochèrent la gamelle qui s’approchait, qui tomba aux pieds du colosse. Elle se lécha les lèvres alors qu’il la remplissait, jet crémeux après jet crémeux. Ses mains se crispèrent sur ses cuisses tandis que sa queue fouettait l’air, trahissant son impatience, sa volonté de chasser après le récipient que son Maître éloignait du bout du pied.

Quand enfin Helel la laissa se repaître, qu’il le lui ordonna même d’un ton qui ne souffrait aucune désobéissance, la succube se jeta sur la gamelle comme s’il s’agissait du met le plus raffiné qu’elle ait goûté. Comme si elle venait de passer un siècle sans se sustenter. Son petit corps gracile se pencha, ses mains griffant presque le sol dans sa hâte de s’attabler comme la petite chienne qu’elle était, et elle le prit au mot. Les lippes sanguines de Corona s’écartèrent et elle plongea sa bouche dedans, aspirant, avalant, se gorgeant de la semence démoniaque qui lui semblait aussi aphrodisiaque qu’alléchante.

Ses reins arqués par les mains du Grand-Duc, la diablesse laissa sa queue venir lui caresser le torse comme si c’était sa petite main curieuse qui le faisait. Ses ailes, fermement repliées dans son dos, frémirent alors que les mains du colosse s’emparaient de ses hanches. Un gémissement étranglé lui échappa, avant qu’il ne lui interdise d’en émettre d’autres. La pauvre succube dû se faire violence pour se contenter de boire le foutre sans rien laisser échapper. Ses doigts agrippèrent la gamelle, ses ongles griffant et s’enfonçant même dans le matériau sous l’effort déployé pour rester silencieuse durant la délicieuse torture qu’était en train de lui concocter Helel.

Fermant les yeux, Corona ne laissa pas échapper un seul son semblable à un gémissement durant la lente intrusion qui lui écartelait les chairs intimes. A la place, et parce qu’il ne le lui avait pas interdit, la perverse petite démone avalait bruyamment de grandes gorgées de foutre. Tour à tour, elle lapait comme une petite chatte, avant d’inspirer de grandes goulées comme une chienne dévergondée. Elle avait la sensation de ne vivre que pour obéir à ce Maître cruel, la conviction qu’elle ne servait à rien si ce n’était à le satisfaire. Elle planait tout autant qu’elle avait l’impression que le sol se dérobait sous ses genoux.

Dans son esprit embrumé par le désir, par l’extase, une idée se fit soudain nette. Occupée à vider la gamelle comme elle était, Corona ne put s’empêcher de laisser un sourire mutin étirer ses lippes. Comme ordonné, pas un gémissement ne quittait sa gorge. Ils étaient étouffés, noyés par la semence du diable dont elle se gorgeait. Mais son corps menu se déhancha, se contracta autour du sexe démesuré qui l’investissait. Elle ne pouvait pas gémir ? Soit. C’est donc son Maître qui allait le faire à sa place.

Les yeux fermés, l’esprit divisé entre deux tâches, l’insatiable gourmande mettait tout son cœur à s’assurer qu’Helel donne voix à l’extase qu’il lui faisait ressentir. Elle s’était même aplatie contre le tapis, sa poitrine s’écrasant contre le sol, pour relever les hanches, creusant les reins et enserrant le monstre qui s’appropriait son corps. La pointe de sa queue vint griffer le torse musculeux, descendant entre ses pectoraux, ses abdominaux, pour venir contourner les hanches mâles et meurtrir les fessiers qui se contractaient. Puis elle se fit plus douce, et se glissa sur la cuisse masculine avant de venir agacer les bourses encore gonflées du monstre. Elle s’enroula autour comme les parois intimes de la belle se contractaient de plus belle contre le passage du mandrin démoniaque.

Bien évidemment, la petite maline jubilait de son idée. Électrisée par la présence d’Helel, il ne lui effleura pas l’esprit que son petit jeu pouvait être à double tranchant. Et pourtant, elle aurait dû s’en douter.

Léchant les dernières gouttes qui tâchaient encore la gamelle, la brune se prit à se mordre les lèvres pour contenir les sons d’extase qui voulait s’échapper. A trop vouloir forcer le monstre à exprimer les gémissement qu’il lui interdisait, elle s’exaltait elle-même en lui rendant la progression dans son antre chaude et serrée plus savoureuse encore.

Comme dernière parade, la jeune infernale exprima sa délectation à grands cris.

« Ah, Seigneur ! Que vous êtes délicieux ! Je vous en prie, ravagez-moi comme personne n’a su le faire jusqu’à présent ! »
cc99ff - Paroles de Corona.


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