Lioren, fesses relevées, frémit sous les caresses fugaces de la langue du Courtier qui effleure sa chatte puis sa pétite étoile : un contact léger qui la fait bouillir d’impatience. Elle en sert les dents, retenant un grognement. Sa fente trempée, palpite, réclamant plus. Puis sa bouche se colle, lapant son clitoris avec une avidité brute, ses quatre doigts s’enfonçant, étirant ses chairs humides. Scouitch scouitch. Les bruits que font ses doigts dans sa chatte sont obscènes.
– Haaaaan han encore !
Sa queue hybride qui serpentait jusqu'ici, descend doucement vers l'entrejambe de l'homme agenouillé derrière elle. Sensuellement, elle trouve le membre encore tendu et poisseux et le caresse. Elle pousse ses hanches, écrasant sa chatte contre sa bouche, son clitoris vibrant sous ses aspirations bruyantes. Ses gémissements de chienne résonnent dans la chambre, assez forts pour que l’aubergiste du rez-de-chaussée devine ce qui se passe derrière cette porte close.
–Nnghhhh aaaah.... Ta langue cause bien hmmm annnh... Mais elle lèche divinement bien aussi...
Ce salopard savait y faire. La frustration sexuelle et l'abstinence de Lioren l'avait poussée à céder à ses instincts. Ses doigts empoignent ses cheveux longs, tirant pour l’enfoncer plus loin, ses cuisses s’écartant toujours plus pour offrir sa rondelle et sa fente. Son sexe dégouline, chaque coup de langue l'amenait vers l'extase.
Son bassin se mouve, frottant son intimité contre son visage, son clitoris gonflé pulsant sous chaque succion. Et son anus qui titille le nez de l'homme. Sa peau frissonne, ses seins luisants se balancent, leurs pointes sont durcies, non pas à cause de l'air frais de la chambre mais bel et bien à cause des traitements du Courtier. Un orgasme approche, ses muscles se crispant. Ses ongles s’enfoncent dans la nuque du marchand. Sa chatte pulse, prête à exploser.
– Putain tu vas me faire jouir.... Aaaaanwh han han !
Lioren halète, bouche ouverte, yeux mi-clos. Son esprit jusqu'ici resté accroché à un contrat juteux, baisse sa garde et s'abandonne contre la bouche de l'homme. Sa mouille gicle, inonde la langue taquine. Elle se laisse à peine le temps de reprendre ses esprits que Lio se retourne et surplombe l'homme toujours agenouillé. Elle le rejoint au sol et plaque sa bouche contre la sienne, goûtant à son propre nectar en passant. Le baiser est fiévreux, salace. Elle lèche sa langue de la sienne.
Puis sa main libre empoigne la trique du Courtier, l'astiquant avec lenteur. Elle avait envie qu'il la prenne à même le sol. Alors elle le pousse vers l'arrière, l'obligeant à s'allonger sur le parquet brut de la chambre. Lioren le chevauche et fait glisser sa fente mouillée le long de son énorme queue, le branlant de sa chatte.