Roy & Tenshi Lorsqu’elle entre dans la salle, je sais que c’est elle. Je ne lève pas immédiatement les yeux, me contentant d’écouter ses pas résonner sur le sol. Il y a une certaine lenteur dans sa démarche, une hésitation calculée. Elle sait ce qu’elle fait, et ça me fascine déjà. Elle dépose son sac, un geste anodin, mais je remarque tout. Ses mouvements sont un spectacle, une performance qu’elle m’offre sans même que je le demande. Chaque seconde nourrit mon anticipation.
Elle s’approche, et je prends enfin le temps de la regarder. Lentement, délibérément. Ses cheveux flamboyants semblent capter toute la lumière de la pièce, ses courbes parfaitement dessinées par ce tissu qu’elle a choisi avec soin. Tout chez elle crie qu’elle est prête à se donner, à prouver qu’elle peut être plus qu’une simple distraction passagère. Elle est magnifique, c’est indéniable, mais ce n’est pas seulement sa beauté qui m’intéresse. C’est la façon dont elle essaie de me plaire, sa soumission silencieuse qui m’intrigue et m’attire. Elle parle, ses mots teintés d’admiration, mais ce n’est pas ce qu’elle dit qui m’importe. Non, c’est ce qu’elle exprime sans mots : la légère cambrure de son dos, la façon dont elle écarte subtilement les jambes. Elle veut que je la remarque, que je la désire, que je la valide. Et je le fais, bien plus que je ne le laisse paraître.
«
Tenshi. »
Elle se cambre davantage, son souffle presque audible dans ce silence. Une part de moi admire sa détermination, cette volonté de se montrer à la hauteur. Une autre part, plus sombre, jubile à l’idée de tester ces limites, de voir jusqu’où elle ira pour me plaire. «
Tu es venue prête à prouver ta valeur, je vois. » Je tends la main, lentement, mes doigts effleurant la courbe de son menton, avant de reculer, la laissant sur sa faim. Le contrôle est tout. Elle doit comprendre que ce moment, cet espace, m’appartient entièrement. Comme elle m’appartiendra bientôt.
Je me place derrière elle, mon regard dévorant chaque courbe offerte par ce legging si outrageusement tendu qu'il semble supplier de céder, et sans la moindre hésitation, je laisse ma main glisser sur la courbure parfaite de son cul, le caressant d'abord doucement pour savourer la texture de ce tissu humide collé à sa peau, avant de presser mes doigts fermement, explorant chaque contour avec une avidité à peine dissimulée, le plaisir montant en moi alors que je sens son corps frémir sous mon toucher, soumis et vibrant d'une attente que je compte bien faire durer jusqu'à ce qu'elle ne soit plus qu'une marionnette à ma merci.
«
Putain ce cul... »
Sans prévenir, ma main s'abat sur son cul avec une force calculée, le claquement net résonnant dans la pièce vide, tandis que la chair sous le tissu tremble légèrement sous l’impact. Je laisse mes doigts s’attarder, savourant la chaleur qui monte là où j’ai frappé, un sourire satisfait sur les lèvres en voyant son corps réagir instinctivement.