Sariel était plutôt décontenancer par le son de sa voix qu’elle ne reconnaissait pas. Alors qu’elle était en train de subir l’un des sept péchés capitaux volontairement, elle rougit violemment, lorsqu’il continue à lui parler de son avenir à côté de lui. Elle allait pouvoir se délecter de ce genre de pratique avec lui, et devait avouer qu’il était terriblement beau avec un corps digne d’un dieu.
SARIEL : « haaaaa… ma bouche n’est pas vilaine…haaaaan…haaaaaa……»
Elle vient ouvrir grand, les yeux, lorsqu’il immobilise ses bras derrière son dos, n’ayant pas le choix de rester séquestré comme ça, alors qu’il continue de dévorer sa poitrine et son cou. Elle pouvait sentir sa peau chauffée sous les différents suçons, et les mordillements de plaisir qu’il était en train d’exercer sur chacune des parties du corps, dont il avait accès avec ses lèvres. Ses gros seins étaient couverts, de salive à force de se faire lécher et téter.
Elle qui voulait encore étouffer ses cris de plaisir, elle n’avait pas le choix que de les laisser sortir au grand jour et continue de jeter sa tête en arrière. Sa voix innocente était un pur plaisir et un paradoxe notable par rapport à ce que le reste de son corps était en train de faire. Elle avait de la bave qui coule à la commission de ses lèvres, alors que sa langue sort de plaisir, ne pouvant pas la contrôler, car elle essaye désespérément de retrouver un second souffle.
Il vient lui confier qu’il était au bord de la jouissance, pour marquer son territoire dans sa chatte, qui était désormais bien adaptée au contour de sa queue, rien que pour lui. Des papillons dans le ventre, lui indique qu’elle aussi elle était prête à faire quelque chose qui pourrait soulager la pression et la chaleur qu’elle ressent au fond d’elle.. Sariel à défaut de ne pas pouvoir pouvoir entraver ses cris de plaisir, elle détourne les yeux venant de temps en temps est fermé. Ce qui lui offre une sensation décuplée en se privant de l’un de ses sens
Elle continue de contracter sa chatte et de la détendre par épisode. La grosse bite était en train de taper au fond de son utérus de plus en plus souvent puis elle se décide à le regarder dans les yeux, la langue pendant le corps bien cambré sur lui alors que son cul continue de claquer contre les couilles de son nouveau Maître.
SARIEL : « haaaaa… Je sens que je vais exploser… si tu continues à taper… dans ma chatte, comme ça,…haaaaa…haaaaa…mon dieu…haaaaaa comment est-ce qu’on peut passer à côté de cette pratique au paradis…haaaaa…c’est tellement bon haaaaa…et à la fois honteux… j’ai l’impression que ça m’excite encore plus…haaaaa…haaaaaa…je vais être folle……»
Déjà pour une fois première fois, elle tenait vraiment bien à la marée, et elle encaisse la grosse bite comme une femme expérimentée alors que ce n’était pas le cas, mais comme c’était inévitable, elle ne peut se retenir et bien jouir abondamment sur sa grosse bite, mais continue de lui défoncer la chatte Tant qu’il n’avait pas assouvi son propre désir, alors que ses gros seins étaient en train de claquer l’un contre l’autre dans un bruit mélodieux et salace. Son visage était en train de refléter tout l’obscénité de la situation, ce qui la rend complètement bandante avec cette tête naïve et innocente, tout en étant lubrique.