Il manque la couleur… rouge, bien sûr, pour cette ambiance incandescente.
Moment comme de pause, dans cette ambiance qui continue d’être uniquement portée sur le sexe, sur la baise, sur la jouissance.
Les corps des deux amants ne sont pas repus, ne sont pas au repos. Camille n’a pas débandé, sa queue demeure tendue en veille, et Tenshi se charge de maintenir cet état d’alerte.
Elle est si audacieuse que tout peut survenir. Elle peut aussi bien soudain s’écarter et gober la queue entre ses lèvres terriblement sensuelles, que relever ses hanches et venir s’empaler de la chatte ou du cul.
Débridée, délurée, mais pas vulgaire ; Camille tient à cette différence, Tenshi ne semble avoir nul tabou mais cette liberté se fait avec goût, avec même une redoutable réflexion. N’a-t-elle pas cogité ce jeu avec la cocotte en papier ?
Maintenant qu’elle a le chiffre et la couleur, elle continue à jouer, à faire languir Camille. Elle est sure de son pouvoir de séduction, qu’elle a tant par la beauté de son corps que par la sensualité de ses actions.
Elle ne semble nullement dictée par l’emplacement des caméras, et ne prend des positions que guidée par ses envies. Elle ne fait rien au hasard, mais avec la seule idée du plaisir qu’il vont partager. “enfile-moi pour un plaisir double”, ce peut être tout et autre chose, et elle joue, malicieuse, de cette ambiguïté.
Elle joue avec Camille, elle se joue de lui, comme à lui présenter, par un malicieux concours de circonstances bien sûr, ses deux trous, celui que la queue de Camille a bien distendu et où demeure du sperme, celui que le god a ouvert, et qui demeure très ouvert.
D’ailleurs, Camille imagine que son propre anus doit être aussi dilaté. Lui qui, parfois, s’inquiétait d’un amant qu’il craignait trop membré, s’est fait ainsi ouvrir sans rechigner, et pour son plus grand plaisir bien entendu.
Tenshi le sait, évidemment, et, sans savoir si c’est vraiment le 2 rouge, présente à Camille un god d’une forme étrange, qu’il n’a jamais vue.
Un strapon, c’est sûr !
Comme par hasard, il est parfaitement réglé à la taille de Tenshi. Préméditation, c’est évident !
Elle a bien mémorisé son côté switch, et comptait en profiter. Pas de doute !
Camille la laisse diriger, fasciné. L’engin semble plus gros que le double dong, mais peut-être est-ce sa forme et sa rigidité qui donnent cette impression.
D’avoir relevé son bassin, Tenshi peut ainsi l’enculer avec l’engin qui entre autant parce qu’oint de gel que parce que l’anus de Camille est encore tout béant.
“Ohhhhhh!”, déjà bien élargi par leur baise précédente, Camille ne s’attendait pas à une telle poussée.
Tenshi donne quelques coups de reins pour bien ajuster le sexe de plastique dans l’anus dilaté, et, par l’intelligence de celui qui a conçu ce sextoy, parvient à s’empaler à nouveau sur la queue de Camille.
La double pénétration recommence, autrement !
La queue raide de Camille retrouve le fourreau brûlant, que son sperme a déjà empli.
Cette femme est diabolique !
Car ce jeu est pervers… Camille donne des coups de boutoir à Tenshi, qui lui répond de même, le sodomisant plus fort, l’excitant davantage, ce qui se traduit par d’autres coups de queue dans cette chatte accueillante. Sans oublier que, la chaînette reliant un téton de chacun, les pinces leur rappellent de bien rester proches l’un de l’autre. C’est un truc sans fin !
Camille le sait ; leur baise précédente a alterné toutes sortes de positions et d’accessoires, il en sera de même, tant Tenshi a une imagination débordante. “Après ça, je te laisserai le choix…” oui, mais après quoi ?
Vu les cris qu’elle pousse déjà, vu comme ses seins s’agitent au dessus de Camille, vu comme sa chatte coulisse, vu comme elle met toute sa vigueur dans le god, elle est encore en feu, et devra trouver de quoi monter plus haut encore.