TERMINÉ | Le chapelier fou et le lapin blanc [PV]

La Reine de Cœur & Maléfique on avait marre d’avoir des Bad End, voir tous les héros récolter les lauriers toutes les deux elles décident de jeter une malédiction à tous les habitants des contes et Disney pour les envoyer dans un monde parallèle, le notre à Los Angeles. Voilà maintenant 2 ans que tout ce petit monde est éparpillé dans la ville, chacun a gardé ses souvenirs certains avaient pu trouver du travail. D’autres essaye de chercher un autre moyen de retourner d’où ils viennent.

En règle générale il n’y avait pas de changement littéral chez les habitants mais apparemment quelques un quelques surprises lorsqu’ils ont atterri dans ce Nouveau Monde, et c’était le cas du lapin blanc qui se retrouve à être une lapine et pas des moindres une sulfureuse hybride, elle avait eu 2 à s’accommoder à de nouveau corps et aux chaleurs qui vont avec. Bizarrement, elle n’avait pas eu l’occasion de croiser de nouveau un autre habitant et se demande ce que ses acolytes deviennent notamment la petite Alice qui doit sûrement se battre pour échapper au chapelier fou.

Lapin blanc avait pris le non de Bunny pour mieux coller à sa plastique, elle avait trouvé un boulot dans un night club en temps que strip teaseuse. Ce soir elle était en prime Time. Elle avait des sous vêtements blanc porte jartelle, string, haut de dentelle talons aiguilles.

ANIMATEUR : « Messieurs messieurs !!! Vous l’avez attendu toute la semaine voici notre lapin blanc BUNNYYYYYYY…»

The Mad Hatter & The White Rabbit

Je me tiens au sommet d'un gratte-ciel, observant la skyline étincelante de Los Angeles. Depuis mon arrivée dans ce monde, j'ai embrassé le chaos et la folie pour les transformer en succès et pouvoir. Autrefois le Chapelier Fou, je suis désormais un homme d'affaires surpuissant, maîtrisant les rouages de ce monde bien plus que je ne l'ai jamais fait dans le pays des merveilles. Pourtant, même au milieu de ce tourbillon de réussite, une obsession persiste : retrouver Alice. Pendant trop longtemps, elle a été la cible de mes lubies et de mes frustrations, mais maintenant que je suis libre des contraintes de la Reine de Cœur, je suis déterminé à la retrouver. Mes affaires me permettent de prendre quelques jours de vacances, et je décide de consacrer ce temps à ma quête. Ma recherche me mène à travers les rues animées de Los Angeles, un dédale de néons et de voitures. Je n'ai que peu de pistes à suivre, mais une intuition étrange me guide vers une boîte de nuit réputée. Là, parmi les lumières aveuglantes et la musique assourdissante, je tombe sur une scène qui dépasse toutes mes attentes : le Lapin Blanc, ou plutôt, Bunny, dans toute sa splendeur.

La surprise me fige sur place un instant, puis un sourire pervers se dessine sur mon visage. Si je ne peux pas trouver Alice, peut-être que Bunny pourra m'aider à la localiser. Je m'approche de la scène, observant avec fascination ses mouvements gracieux et son aura de séduction. Il semble que mes vacances prennent une tournure inattendue, mais c'est une opportunité que je ne peux pas laisser passer. Je vais jouer avec le Lapin Blanc, mais cette fois-ci, c'est moi qui tiens les cartes. Je m'avance lentement vers la scène, mes yeux fixés sur Bunny, captivé par sa présence envoûtante. Ses cheveux blancs semblent briller sous les lumières du club, encadrant son visage d'une manière presque angélique. Chaque mouvement de ses hanches est une invitation irrésistible, attirant mon regard vers ses courbes gracieuses et suggestives. Son corps ondule avec grâce, révélant des formes parfaites et des courbes provocantes qui ne laissent personne indifférent. Ses seins, parfaitement galbés, se balancent avec sensualité au rythme de la musique, captant la lumière d'une manière qui souligne leur beauté naturelle. Mes yeux parcourent chaque centimètre de sa silhouette, absorbant chaque détail avec une intensité presque hypnotique.

Je remarque la douce courbure de ses fesses, moulées dans le tissu moulant de son string, et je sens un frisson de désir parcourir mon échine. La façon dont elle se déhanche, dont elle se contorsionne avec grâce, amplifie encore davantage son attrait irrésistible. Elle incarne la tentation elle-même, et je suis captivé par son charme ensorcelant. Malgré mes années d'expérience dans ce monde cruel, je me trouve momentanément désarmé devant la splendeur de Bunny. Elle est une vision de pure séduction, un mélange enivrant de grâce et de sensualité qui défie toute logique ou raison. Et dans cet instant, je sais que ma quête pour retrouver Alice a pris un tournant inattendu, car maintenant, je suis totalement obsédé par le Lapin Blanc. Je glisse furtivement un billet dans la tenue de Bunny, un geste discret mais chargé de promesses. Son regard croise le mien un instant, et je lui fais un signe de tête subtil, indiquant qu'elle devrait me suivre pour une séance plus intime. Elle semble comprendre immédiatement, un sourire complice étirant ses lèvres, et elle se dérobe de la scène avec une grâce féline. Nous empruntons un chemin discret à travers le club, évitant les regards curieux des autres clients, jusqu'à ce que nous atteignions une salle privée. Une fois à l'intérieur, je ferme la porte derrière nous avec un léger clic, isolant notre petite bulle d'intimité du tumulte extérieur. Un silence pesant s'installe alors que nous nous faisons face, la tension palpable entre nous deux.

Je me retourne lentement vers Bunny, mon regard capturant le sien dans une étreinte invisible. Dans cette pièce tamisée, éclairée seulement par la lueur douce des lampes, elle semble encore plus ensorcelante, sa silhouette éclipsant tout le reste. Je m'approche d'elle avec une démarche mesurée, mon expression teintée d'une lueur d'intérêt mêlée à un soupçon de malice. « Tu me reconnais ? » murmurai-je d'une voix grave et veloutée : « Je cherchais Alice, à la base. Et voilà que je tombe sur la danseuse la plus sexy de Los Angeles... » Mes mots résonnent dans l'espace clos de la pièce, chargés de sous-entendus et de promesses inavouées. Je lui adresse un sourire énigmatique, attendant avec impatience sa réponse.

Bunny était en train de faire son show. Bien évidemment. De nombreux regards se posent sur elle. Elle avait appris à apprivoiser son nouveau corps, et pouvait clairement trouver une excitation et un bien-être comme si, en fin de compte, ça vraie nature, ne pouvait pas être autre que celle d’une femme, et que sa venue dans ce Nouveau Monde lui avait permis d’être elle-même. Le lapin blanc, désormais devenu une lapine était en train de se déhancher et de se trémousser, sans pour autant défaire la tenue qu’elle avait pour laisser languir ses admirateurs.

Mais quelque chose vient attirer son regard, un homme ténébreux, un visage qu’elle n’oublierait pas qui avait le don de lui glacer le sang, tout en ayant une attirance irrésistible pour la folie qu’il incarne : Le Chapelier… elle avait l’impression qu’elle aurait pu être tétanisé sur place. Mais elle avait une responsabilité scénique à tenir jusqu’au moment où il vient glisser un billet bien plus gros que la plupart. D’ailleurs il avait retiré les autres pour laisser le sien qui compense largement la somme, comme si il devait marquer son territoire, une première fois, et lorsqu’un client venait à étaler une somme pas possible, elle n’avait pas d’autres choix que de lui accorder une privatisation c’était la règle de la maison

Elle doit alors couper court à ce qu’elle faisait pendant qu’elle voyait d’autres concurrents. Essayer de chercher un plus gros billet pour pouvoir profiter de sa plastique mais personne n’arrive à égaler le montant. Elle va donc suivre le ténébreux dans un salon privé pour le voir verrouiller la porte, comme pour la prendre au piège, alors qu’elle se retrouve devant une table basse dans cette tenue frivole. Elle se demande si elle avait bien observé car le chapelier n’avait pas de tatouage lorsqu’elle l’avait quitté. Mais après tout deux ans se sont écoulés et les gens peuvent changer. Elle en est la preuve alors qu’il s’avance et qui mentionne le nom de Alice, elle n’avait plus de doute et recule, avant de trébucher et de tomber assise sur la table basse Pour ce cambrer légèrement et lui offre une vision érotique.

BUNNY : « qu’est ce que…che…Chapelier… qu’est-ce que tu fais ici pourquoi maintenant… je suis le lapin blanc tu ne peux pas me regarder avec cet air là,…»

Elle avait bien regardé la manière dont il était en train de la dévorer littéralement. Elle n’avait jamais émis l’idée d’avoir un tel rapprochement avec le chapelier. Sa tête pourrait tomber à cause de la reine. Rien que d’avoir à imaginer ses fantasmes avec lui. Elle vient poser une de ses mains sur sa gorge, comme si elle avait peur d’être privée de son coup, instantanément comme un réflexe maladif que le pays des merveilles avait ancré dans son génome.

The Mad Hatter & The White Rabbit

Je savoure chaque seconde de ce moment, observant avec délectation la réaction de Bunny à ma présence. Son trouble est palpable, tout comme l'excitation qui brille dans ses yeux, même si elle tente en vain de le dissimuler. Sa chute sur la table basse, offrant sa silhouette tentatrice à mes yeux avides, ne fait qu'attiser davantage les flammes de ma luxure. Un sourire pervers se dessine sur mes lèvres alors que je m'approche d'elle, savourant le parfum enivrant de sa peur mêlée à son désir. « Ah, ma chère Lapine Blanche, tu ne sais donc pas que tu es la proie parfaite pour un prédateur tel que moi ? » Susurrai-je d'une voix suave, délibérément laissant planer un sous-entendu sexuel dans mes paroles. Je me penche légèrement vers elle, capturant son regard avec le mien, y plongeant comme dans un abîme de perversion et de luxure. Mes doigts effleurent sa peau délicate, traçant des lignes invisibles le long de son cou, tandis que mon regard dévorant ne se détourne pas de sa silhouette alléchante.

Je m'approche lentement de Bunny, qui reste cambrée sur la table basse, offrant sa silhouette provocante à mes avances. Mes yeux brillent d'une lueur perverse alors que je m'incline vers elle, savourant l'anticipation qui électrise l'air entre nous. Sans un mot, je lui écarte doucement les jambes, m'insinuant entre elles avec une détermination inébranlable. Le contact de nos corps enflamme mes sens, une vague de désir brûlant parcourant chaque centimètre de ma peau au contact de la sienne. Je me presse contre elle, sentant la chaleur de son corps s'accorder à la mienne dans une danse enivrante de luxure et de perversion. « T'es pas heureuse de me revoir... ? Pourtant moi je suis ravis de te voir sous cette forme... » Nos souffles se mêlent dans un ballet passionné, chaque respiration devenant un murmure de désir étouffé par l'urgence de nos pulsions inassouvies. Mes mains parcourent ses courbes avec une avidité insatiable, explorant chaque recoin de sa peau brûlante de désir. Je suis consumé par la folie du moment, ne pouvant résister à l'attraction magnétique qui nous unit. Nous sommes deux âmes perdues dans l'océan tumultueux de nos désirs interdits, et je sais que rien ne pourra nous arrêter dans notre quête de plaisir dépravé.

Mes doigts glissent avec une lenteur calculée entre les cuisses de Bunny, explorant chaque centimètre de sa peau soyeuse avec une délicatesse perverse. Je savoure la sensation de sa chair frémissante sous mes caresses, m'enivrant du désir brûlant qui émane de son être. Elle gémit doucement sous mes attentions, son souffle chaud caressant mon visage dans une symphonie de plaisir étouffé. Mes doigts expertement entraînés tracent des arabesques sensuelles le long de ses cuisses, s'approchant chaque fois un peu plus près de son centre de désir palpitant. Je continue mes caresses, mes doigts glissant avec une aisance dépravée le long de la chatte trempée de Bunny. Chaque mouvement est calculé pour susciter un plaisir exquis, pour la pousser au bord de l'extase et au-delà. Ses gémissements emplissent la pièce, un écho de désir qui m'excite encore plus. « Si je te fais du bien... Tu me dirais où je peux trouver Alice ma belle... ? » Je la sens se contracter sous mes caresses, ses hanches ondulant dans un rythme hypnotique qui me pousse à intensifier mes efforts. Mes doigts s'enfoncent plus profondément en elle, explorant les profondeurs de sa féminité avec une voracité insatiable. Nous sommes deux âmes perdues dans un océan de luxure et de décadence, nos corps s'entremêlant dans une danse passionnée qui ne connaît pas de limites. Et dans cet instant, je sais que je suis le maître de son plaisir, le Chapelier Fou qui guide Bunny vers des sommets de jouissance inexplorés.

  Bunny était tétanisé sur place. Lorsqu’elle va encore s’approcher. Il avait une telle prestance dans ce monde alors que dans l’autre, il était un peu plus farfelu, mais ici il n’avait strictement rien à voir. C’était un prédateur clairement, il venait d’attraper une lapine entre ses griffes. Elle continue de se cambrer avant de le voir bien trop près. Sa voix était plutôt envoûtante qu’elle pouvait voir une folie perverse dans son regard, et le lapin blanc comprend très vite qu’il n’était plus bridé, et qu’il laisse ses pulsions les plus secrètes, éclater au grand jour.

Elle se met à gémir doucement, lorsqu’il commence à la caresser de partout, venant stimuler sa peau car elle n’était pas loin de ses chaleurs, et que si le chapelier arrive à combler ses attentes, il serait difficile pour elle de prendre un autre homme durant cette période où elle ne pense Qu’à s’accoupler encore, et encore dans une spirale de décadence totale. Elle voit écarter ses cuisses pour venir passer ses doigts sur sa chatte ou du moins sur le string qui était vraiment très court et serré pour laisser la possibilité de bien caresser ses lèvres intimes avant qu’elle ouvre grand les yeux à sa demande, il était bel et bien à la recherche d’Alice, le lapin blanc au début l’aimais bien, mais depuis qu’elle était devenue une femme, une sorte de rivalité, s’etait installée, surtout si le chapelier était mis en cause

BUNNY : « haaaaaaaa pourquoi est-ce que je te dirai où est-ce qu’elle est je ne suis plus aussi proche d’elle. De toute façon j’en étais sûre. Tu n’as qu’elle entête…»

Bunny couine malgré elle et se mordiller la lèvre pour essayer d’étouffer d’autres gémissements avant de poser sa main sur le poignet du chapelier, comme pour essayer de l’arrêter, alors que son corps était en train de frémir de toute part à l’idée d’avoir l’intention de ce fou, qui était devenu terriblement charismatique. Elle remue doucement ses oreilles et son pompon avant d’attraper la pointe de l’une d’entre elle pour la triturer nerveusement, en essayant de se contrôler et de se canaliser. Elle vient poser son autre main sur son torse pour essayer de mettre de la distance entre lui et elle. Car s’il continue elle ne pourrait rien faire pour l’arrêter et il se servirait d’elle pour parvenir à ses fins et retrouver cette petite écervelée, qui n’était même pas capable de se débrouiller seule au pays des merveilles.

BUNNY : « haan…Chapelier… si tu crois que tu peux te servir de moi, tu te trompes. Je ne suis pas aussi faible…haaan…»

The Mad Hatter & The White Rabbit

Un sourire carnassier s'étire sur mes lèvres alors que je contemple la lutte intérieure de Bunny. Son refus apparent de se plier à mes demandes ne fait qu'attiser mon désir pour elle, une sensation délicieusement perverse qui embrase mon être tout entier. Je sens son corps frémir sous mes caresses, sa résistance vacillante face à mes avances persistantes. « Tu peux essayer de te convaincre que tu es forte, mais je sais que tu brûles de désir autant que moi. Ton corps ne ment pas, ma belle lapine. » Alors que Bunny résiste avec une détermination apparente, je sens son esprit vaciller sous la pression de mes caresses persistantes. Je perçois le tumulte de ses pensées, le conflit intérieur qui la déchire entre son désir de rester forte et indépendante, et l'irrésistible attrait de la dépravation et du plaisir interdit. Je sens ses doutes, ses peurs, mais aussi ses désirs les plus secrets qui s'agitent sous la surface. Elle lutte pour garder le contrôle, pour ne pas succomber à la tentation que je représente, mais je sais que ses défenses commencent à faiblir, que sa volonté vacille devant la puissance de mes avances perverses.

Chaque caresse, chaque murmure sensuel que je lui adresse est une attaque calculée contre ses dernières résistances, une tentative de la pousser au bord de l'abîme et de la plonger dans un océan de plaisir insondable. Je sens son esprit s'embraser sous l'assaut de mes mots envoûtants, de mes gestes experts, et je sais que bientôt, elle ne pourra plus résister à l'appel du plaisir décadent. « J'y crois pas, t'es jalouse... ? » Malgré sa tentative de garder ses pensées secrètes, je lis comme dans un livre ouvert ses désirs les plus intimes, ses fantasmes les plus sombres qui s'agitent dans les recoins de son esprit tourmenté. Elle est une proie entre mes griffes, une lapine prise au piège dans les filets de ma folie et de ma luxure. Et je compte bien savourer chaque instant de son abandon, chaque gémissement de plaisir qui s'échappera de ses lèvres entrouvertes. Mes doigts, animés par une détermination perverse, s'enfoncent en elle avec une précision calculée, sondant les profondeurs de sa féminité avec une voracité insatiable. Je savoure le contact de sa peau chaude et humide sous mes doigts, le frisson qui la parcourt alors que je la pénètre de plus en plus profondément.

Le son obscène de ma main glissant entre ses cuisses résonne dans la pièce, un écho dépravé de notre passion débridée. Ses gémissements se mêlent au bruit humide de mes doigts en elle, un symphonie sensuelle qui enflamme mes sens et les siens. Je la sens se contracter autour de moi, son corps vibrant de désir et de plaisir sous mes attentions expertes. Sa mouille coule en abondance, lubrifiant mes doigts et les rendant encore plus insatiables dans leur quête de satisfaction. « Non non tu n'es pas faible... Tu es amoureuse alors... ? » Chaque mouvement de mes doigts provoque une cascade de sensations exquises, chaque caresse un nouvel émoi dans le tourbillon de plaisir qui nous engloutit. Je me délecte du contrôle que j'exerce sur elle, de la façon dont son corps répond à mes avances avec une ferveur délirante. Mes lèvres se pressent avidement contre les siennes, réclamant avec voracité le goût de sa luxure sucrée. Je l'embrasse avec une intensité dévorante, ma langue explorant chaque recoin de sa bouche avec une fougue dépravée. Je sens sa langue répondre à la mienne dans un ballet passionné, nos souffles se mêlant dans une symphonie de désir inassouvi.

Mes mains se resserrent sur elle avec une fermeté possessive, l'attirant encore plus près de moi alors que je me perds dans le tourbillon envoûtant de notre étreinte passionnée. Je me délecte du goût enivrant de sa bouche, de la sensation de sa peau sous mes doigts, de la chaleur brûlante de son corps pressé contre le mien. Nos baisers deviennent de plus en plus lascifs, nos langues s'entremêlant dans une danse sensuelle où le plaisir et la luxure se confondent. Je sens son souffle s'accélérer, ses gémissements étouffés se perdant dans le tourbillon de notre passion débridée. Je l'embrasse comme si ma vie en dépendait, comme si je voulais la marquer de mon empreinte indélébile, lui montrer qu'elle m'appartient corps et âme. Et dans cet instant, je sais que rien d'autre ne compte que le feu ardent qui consume nos âmes, nous consumant dans un déluge de désir et de débauche.

   la belle lapine était complètement décontenancée Elle ne savait plus où donner de la tête, car le chapelier avait des arguments très convaincant pour lui forcer la main et pour la faire glisser dans ses envies les plus secrète, mais encore une fois, il n’avait que le nom de Alice dans sa bouche, il y a certaines choses qui ne changent pas et qui lui déplaisent fortement.. alors qu’elle essaye toujours de le repousser plus ou moins fébrilement, alors que les doigts de l’homme continue à bouger frénétiquement dans sa chatte, elle ne peut s’empêcher de lâcher des gémissements de plaisir, alors que sa poitrine réagit aussi car ses tétons étaient bien durs.

BUNNY : « haaan…chapelier… tout le monde n’a que son nom dans la bouche et vous ne savez même pas de quoi elle est capable. Elle n’a rien de la petite blonde frêle et je refuse d’être un instrument…»

Alors qu’elle essaye par tous les moyens de faire comprendre aux chapelier que ce n’était pas une traînée avec qui il pourrait s’amuser et jeter à la poubelle dès qu’il aura trouvé cette blondasse, mais il coupe très vite ses pensées en venant l’embrasser de manière vorace et possessive il était vraiment très près de son corps, alors qu’elle avait toujours les cuisses écartées, elle pose ses mains sur le costume du chapelier pour le tenir fermement durant le baiser ou leur langue était en train de s’agiter l’une contre l’autre, car elle ne pouvait que subir l’appétit du chapelier

Lorsqu’elle réussit à rompre le baiser, un filet de bave, relis lors de langue, alors qu’elle respire fortement et jette sa tête en arrière quand les doigts viennent plus profondément dans sa chatte, qui était en train de dégouliner sur la table basse.

BUNNY : « haaan… non je ne suis pas amoureuse, tu te fais des films, c’est n’importe quoi…haaaaa… pourquoi je serai amoureuse d’un fou obnubilé par une autre…haaaaan…»

Mais la lapine a été loin d’imaginer qu’en réalité le Chapelier Fou avait peut-être changé son ordre de priorité dès lors qu’il a découvert que le lapin blanc était devenu quelque chose de bien plus attrayant qui tente désespérément de le résister comme pour attiser son instinct de prédateur elle ne devait pas s’en rendre compte, mais à force d’agir. Comme cela, elle ne faisait que l’encourager à vouloir la posséder de tout son être.

Bunny essaye de trouver une porte de sortie mais d’un côté il avait glissé le billet et si il demande réclamation, elle passerait un sale quart d’heure avec le propriétaire, elle continue de s’agripper à ses vêtements avant de sentir que son soutien-gorge se fait la malle. Il vient même glisser sur la table basse pour libérer son énorme poitrine qu’elle dévoile impunément, comme un paquet cadeau qu’un enfant était en train de déballer le matin de Noël

BUNNY : « haaan… pourquoi tu veux me torturer comme ça je n’ai rien demandé…haaaaa…»

Au fond d’elle, elle était tellement heureuse de pouvoir susciter son intérêt, même si les raisons à la base n’étaient pas voulues elle halete et cet élan d’excitation était en train d’accélérer l’arrivée de ces chaleurs. Elle essaye de freiner le chapelier fou car si elle se déclenche elle ne pourrait plus répondre de rien et se soumettre totalement à lui. Elle tente de se retourner pour essayer de fuir les joues complètement rouges

The Mad Hatter & The White Rabbit

Mon regard brûlant fixait Bunny avec une intensité dévorante, capturant chaque infime réaction, chaque lueur de désir ou de résistance dans ses yeux. Chaque mot de défi qu'elle prononçait ne faisait que nourrir le feu brûlant qui consumait mon être, alimentant mes pulsions les plus sombres et les plus perverses. Mes doigts, agiles et délibérés, continuaient leur exploration impitoyable de sa peau frémissante, cherchant à briser ses défenses et à la plonger dans un océan de plaisir insondable. Alors qu'elle se débattait sous mes caresses, je sentais l'excitation monter en moi, un désir sauvage et incontrôlable de la posséder complètement. Ses gémissements de plaisir ne faisaient qu'attiser mes propres instincts prédateurs, me poussant à la dominer encore plus férocement, à la marquer de mon empreinte indélébile. « Tu crois que j'ai peur de ce qu'elle est devenue... ? » Je l'attirai contre moi avec une fermeté possessive, goûtant avec délectation à la sensation de sa peau sous mes doigts, de ses lèvres contre les miennes dans un baiser vorace et avide. Mes mains parcoururent son corps avec une expertise délibérée, explorant chaque courbe, chaque creux, avec une férocité déchaînée.

Alors qu'elle tentait de se dérober à mon emprise, je savais que bientôt elle ne pourrait plus résister à l'appel de la luxure et du plaisir interdit. Je sentais sa volonté vaciller sous la pression de mes avances implacables, ses pensées se mêlant au tourbillon de désir et de désespoir qui la submergeait. Et dans cet instant, je savais que j'étais sur le point de la faire succomber complètement à mes charmes, de la plonger dans un abîme de débauche et de décadence dont elle ne pourrait jamais s'échapper. Lorsque Bunny libère ses gros seins, je sens mon désir monter en flèche, une pulsion primitive qui me pousse à les posséder de toutes les manières possibles. Mon visage s'approche d'eux avec une avidité incontrôlable, mes lèvres affamées se refermant autour de ses mamelons dressés. Je les lèche avec une voracité dépravée, sentant la douceur de sa peau sous ma langue et la chaleur de son corps contre le mien. Des gémissements de plaisir s'échappent de ses lèvres alors que je savoure chaque instant de cette délicieuse torture, laissant ma salive ruisseler le long de ses seins avec une luxure débridée. Mes mains parcourent son corps avec une férocité déchaînée, explorant chaque courbe, chaque creux, avec une avidité insatiable.

Je me délecte du goût sucré de sa peau, de l'odeur enivrante de son désir qui emplit mes sens et m'enivre davantage. Mes dents mordillent ses mamelons avec une fermeté délibérée, provoquant des frissons de plaisir le long de son échine alors qu'elle se cambre sous mes caresses impétueuses. Dans cet instant de folie sensuelle, je suis le maître absolu de son plaisir, le Chapelier Fou qui la conduit vers des sommets de jouissance inexplorés. Et je ne peux que me délecter du spectacle de ses seins offerts à mes baisers affamés, une offrande à ma luxure dévorante.  « Tes seins sont magnifiques... Hum... » Avec une détermination sans faille, mes mains se glissent vers ma ceinture, défaisant chaque bouton avec une précision calculée. Mon pantalon descend lentement le long de mes jambes, révélant l'imposante érection qui palpite entre mes cuisses. Bunny ne peut détourner son regard de ma virilité dévoilée, ses pupilles dilatées trahissant une fascination mêlée de désir et d'appréhension. Je savoure l'effet que je lui fais, l'excitation palpable qui électrise l'air autour de nous. Mon membre dressé témoigne de mon désir brûlant pour elle, pulsant d'une urgence dévorante qui ne demande qu'à être assouvie. Et dans cet instant, je suis prêt à la posséder complètement, à la marquer de ma marque indélébile dans ce jeu de séduction perverse où je suis le maître absolu de son plaisir.

 « Oses-me dire que ça ne te tente pas... ? Tu peux me sucer, peut-être que cette queue pourrait être à toi... non... ? »

   Ce qu’ était en train de lui faire Le chapelier était insoutenable. La petite lapine ne savait plus quoi faire ni quoi penser. Elle était dans une dualité interne qui dépasse tout un entendement. Elle avait presque les larmes aux yeux, mais elle ne sait même plus. Pour quelle raison. Est-ce qu’elle devait pleurer si c’était le cas, il était littéralement en train d’essayer de la dévorer et lorsqu’il vient poser ses lèvres sur ses tétons, elle se met à gémir plus fort et s’accroche davantage à lui comme si sa vie en dépendait, et que si elle le lâche, elle ne se réveille toute seule.

BUNNY : « haaan…chapelier… pitié…haaaan…»

Elle avait les oreilles baissées, ce qui désigne une sorte de soumission implacable, alors que son corps commence à trembler. De toute part entre le plaisir, et l’image tétanisante de ce chapelier tatoué. Il faisait davantage froid dans le dos que lorsqu’ils étaient au pays des merveilles. Mais son corps était totalement brûlant à chaque fois qu’il touche une infime, partie de sa peau, son pompon était en train de remuer doucement et elle essaye tant bien que mal de le cacher car si il parvient à le toucher elle serait encore plus sensible. Elle avait compris depuis qu’elle était arrivée dans ce Nouveau Monde. C’est différents points faibles et cette partie anatomique en était une.

Elle n’arrive pas à le fuir, car il la tient fermement pas nécessairement à cause de sa poignée, mais plutôt entre ses lèvres et son corps imposant avant qu’elle ne puisse admirer l’énorme queue, bien dressée vers elle qu’il lui dévoile. Elle voulait détourner le regard, mais c’était impossible. Aucune femme ne pouvait laisser de côté un tel objet de plaisir. Elle écarquille les yeux à sa dernière phrase.

BUNNY : « haaan…chapelier… Tu es un menteur…haaaaa… et je ne suis pas aussi douée que tu le penses…»

Bunny devait se résigner petit à petit, à le laisser la dévorer comme Bon lui semble mais elle voulait tout de même goûter cette chose qu’elle sait très bien pour la faire grimper au 7ème ciel. Elle lui repousse les doigts en respirant fortement pour essayer de se calmer pour ne pas déclencher ses chaleurs avant de tomber à genoux devant lui. Elle le regarde. En enlevant les yeux, il était tellement beau tellement effrayant et c’est avec une certaine hésitation qu’elle commence à venir, lui lécher la longueur de sa queue. Les joues rouges, et dans cette position, elle vient alors lui dévoiler son pompon, qui avait l’air bien plus soyeux que lorsqu’elle avait son apparence masculine.

Elle passe sa langue autour de son gland pour le bouger frénétiquement avant de commencer à le sucer. Peut-être que c’était sa chance de prouver qu’elle serait peut-être mieux que Alice cette sale blondasse qui pouvait avoir qui elle voulait en claquant des doigts ou en pleurant qu’elle était perdue. Sans le prévenir alors qu’il était en train de la torturer pour qu’elle tombe entre ses griffes, elle en enfonce d’un coup sec sa grosse queue dans sa gorge, ce qu’il lui prive de l’oxygène quelques instants pour pouvoir tout emmagasiner ça salive cool bien autour de la grosse queue jusqu’à ses couilles, alors que sa poitrine se colle contre lui, et son corps se cambre vers l’arrière.

The Mad Hatter & The White Rabbit

Bunny était à genoux devant moi, soumise à mes désirs les plus sombres, sa langue caressant chaque centimètre de ma queue dressée avec une fébrilité dévorante. Je sentais chaque mouvement de sa bouche, chaque gémissement étouffé contre ma chair, et cela ne faisait qu'attiser les flammes de ma luxure. Un sourire pervers s'étira sur mes lèvres alors que je sentais sa gorge s'étirer pour accueillir ma taille imposante, un délice interdit qui me poussait au bord de la folie. Sa soumission totale, son abandon à mes caprices, ne faisaient que renforcer mon emprise sur elle, me rappelant ma puissance en tant que maître de son plaisir. « Je n'aurais AUCUNE pitié pour toi ma chérie... » Je la regardais avec un mélange de convoitise et de satisfaction, chaque mouvement de sa tête, chaque gémissement étouffé, ravivant mes propres désirs les plus sombres. Elle était à ma merci, une poupée entre mes mains, prête à assouvir mes moindres désirs avec une dévotion sans faille. Mes mains se crispaient sur ses cheveux, guidant ses mouvements avec une autorité impitoyable, dictant le rythme et l'intensité de notre étreinte. Chaque gémissement, chaque frémissement de son corps, était une symphonie de plaisir à mes oreilles, une preuve de ma domination absolue sur elle.

Dans cet instant de débauche et de luxure, je savais que j'avais atteint un nouveau sommet de satisfaction perverse, que je possédais entièrement cette lapine soumise à mes désirs les plus vils. Et je n'avais aucunement l'intention de relâcher mon emprise sur elle, de la laisser échapper à l'ivresse de notre passion interdite. Dans un élan de luxure débridée, je guide les mouvements de Bunny, utilisant chaque centimètre de ma queue pour baiser littéralement sa bouche et sa gorge. Mes hanches ondulent avec une intensité dévorante, chaque va-et-vient m'arrachant des gémissements de plaisir. Je sens sa gorge se contracter autour de ma queue, sa langue caressant chaque veine, chaque renflement avec une habileté indéniable. La sensation de sa salive ruisselante sur ma peau me fait frissonner de plaisir, chaque goutte de liquide précieux me rappelant ma domination absolue sur elle. « T'as l'air d'aimer ça pour quelqu'un qui résistait ! HUM ! »  Ma queue luit sous la bave de la lapine, un mélange de désir et de décadence qui m'enivre davantage. Je suis pris dans un tourbillon de sensation, chaque mouvement, chaque bruit obscène remplissant mes sens de satisfaction perverse.

Je me perds dans l'ivresse de notre passion interdite, ne pensant qu'à satisfaire mes désirs les plus sombres, à posséder entièrement cette créature soumise à mes caprices. Et dans cet instant de débauche totale, je savoure chaque instant, chaque instant de cette délicieuse torture qui me propulse vers des sommets de plaisir inexplorés. Après avoir savouré chaque instant de sa gorge étroitement enveloppant ma queue, je la prive soudainement de ma bite, laissant la bave rejoindre mon gland luisant et les lèvres de la lapine. La sensation de son souffle chaud contre ma peau me fait frémir de désir, alimentant le feu qui brûle déjà en moi. Puis, lentement, je recule, m'éloignant d'elle alors que je m'allonge sur le lit de la pièce. Mes vêtements tombent au sol un à un, révélant ma nudité à la lumière tamisée de la pièce. Chaque mouvement est empreint de prédateur, chaque geste calculé pour susciter davantage son désir. Enfin étendu sur le lit, je la regarde avec un mélange de convoitise et d'attente, attendant de voir si elle viendra à moi, attirée par la promesse de plaisir et de débauche qui m'entoure. Dans cet instant de tension électrique, je me sens vivant, pulsant d'une énergie sauvage et indomptée, prêt à laisser libre cours à nos désirs les plus sombres.

« Alors, qu'est-ce que tu vas me faire ? Me sucer à nouveau ? Me branler avec tes seins ? Tu vas me chevaucher peut-être, non... ? Impressionnes moi Bunny... »

   
Bunny était en train de se délecter de la grosse bite du chapelier intérieurement. Elle était au bord de l’extase, de pouvoir être au cœur de son attention. Mais elle savait très bien que si elle lui avoue à haute voix, il ne ferait que profiter de la situation et se conforter à l’idée qu’il pourrait tout avoir avec une facilité déconcertante évidemment, était récalcitrant au début, mais comment pouvoir résister plus longtemps lorsqu’elle avait une telle bite dans sa bouche, qui était en train de palpiter avec le plaisir qu’elle était en train de lui donner.

Sa bave continue de couler encore, et encore pour bien lubrifier le membre qui avait bien d’autres projets d’explorer les différents orifices de la lapine. Mais est-ce que celle-ci allait pouvoir accéder aux fantasmes du chapelier fou car elle n’était pas au cœur de son attention. lorsqu’ils étaient au pays des merveilles dans la mesure où à la base, c’était un lapin. Alors qu’elle essaye de rassembler ses réflexions, il vient sortir la grosse queue de sa bouche. Pour la confisquer de manière sadique et sournoise. Elle avait la langue qui pend et un filet de bave qui relit le gland. Elle respire fortement la poitrine qui se gonfle à chacune de ses respirations profondes. Elle était bien cambrée vers l’arrière, les mains posées au sol et le cul bien remonté, pour bien dévoiler son pompon tout blanc.

BUNNY : « ma chérie… ? Ne te joue pas de moi,…»

Ce petit surnom, qui était généralement réservé aux personnes qui avaient une infection bien profonde. L’une envers l’autre réchauffe plus ou moins le cœur de la lapine mais d’un côté elle connaissait très bien le chapelier fou. Alors est-ce que c’était vraiment quelque chose à prendre au pied de la lettre, ou simplement un subterfuge pour pouvoir charmer davantage Les dernières barrières, qu’elle essaye de maintenir entre lui et elle. Elle le voit se déshabiller sous ses yeux pour se mettre sur le lit. Elle rougit violemment car il était vraiment magnifique. Il n’y avait rien à dire. Il avait tout de l’acquéreur du dominant en puissance. À cela on rajoute les tatouages qui n’existaient pas avant, lorsqu’ils étaient au pays des merveilles. Elle détourne le regard pour essayer de ne pas succomber aussi facilement alors qu’elle était par terre comme un bon animal de compagnie qui attend les directives de son maître. Et en effet il lui laisse donc cette possibilité d’avoir une certaine carte blanche pour le surprendre et marquer des points.

BUNNY : « tu es bien confiant, chapelier…haaaan……»

Elle s’avance vers lui à quatre pattes, avant de grimper sur le lit, et se mettre à califourchon sur le corps puissant du chapelier. Elle vient frotter sa chatte sur la longueur de sa grosse queue, en posant ses mains sur le torse qui a fait violemment rougir, encore une fois avant de quitter le contact de sa partie intime avec celle de l’homme, comme pour mettre une frustration entre les deux, pour savoir à quel point est-ce qu’elle était tributaire du plaisir qu’il était prêt à lui offrir.

BUNNY : « pourquoi est-ce que je devrais t’impressionner si c’est pour quelque chose dans le vent…haaaan……»

Elle essaye de se contrôler le plus possible en le regardant, puis elle tourne la tête pour ne pas faire face a son regard car elle sait très bien qu’elle pourrait se noyer dedans et laisser ses pulsions et les chaleurs se déclencher car il ne répondrait plus de rien, et il aurait pleinement ce qu’il voulait

The Mad Hatter & The White Rabbit

Face à Bunny, je sens mon pouvoir sur elle s'intensifier. Son regard affamé trahit sa soumission, son besoin de se perdre dans mes désirs les plus sombres. Je m'en délecte, savourant chaque instant où elle se laisse emporter par le feu de sa propre luxure. Chaque gémissement, chaque soupir qui s'échappe de ses lèvres me confirme que je suis le maître de cette scène, le seul à pouvoir assouvir ses désirs les plus profonds. Lorsque mes yeux croisent les siens, je sens son abandon, sa dévotion totale à mes caprices les plus vils. C'est une sensation enivrante, un pouvoir que je n'hésite pas à exploiter à chaque instant. Elle est à ma merci, prête à tout pour apaiser le feu qui brûle entre nous. Chaque geste, chaque soupir, chaque frémissement de son corps est une affirmation de ma domination absolue sur elle. Je suis le maître de cette danse perverse, déterminé à la mener là où je le désire. « Qui te dis que c'est dans le vent... ? » Lorsque Bunny frotte son vagin contre ma queue, je sens une explosion de plaisir traverser tout mon être. Chaque contact, chaque pression de ses lèvres contre ma verge me fait gémir de plaisir, m'entraînant dans un tourbillon de sensations érotiques. La chaleur humide de son sexe contre le mien me transporte dans un état d'excitation incontrôlable, m'obligeant à me cramponner au bord du lit pour ne pas succomber à la tentation. Chaque mouvement de ses hanches réveille un désir ardent en moi, me poussant à vouloir la posséder encore plus profondément. Je suis hypnotisé par la sensation de sa peau contre la mienne, chaque friction faisant monter la tension sexuelle à des niveaux insoupçonnés.

« Si tu ne viens pas en moi, c'est moi qui guiderai ma queue en toi... »

D'une main ferme, je me saisis de ma queue, la guidant avec une précision perverse vers l'entrée de son vagin avide. Un frisson de plaisir m'envahit alors que mon gland pénètre juste légèrement sa chatte mouillée, savourant le moment où je la taquine, laissant planer l'anticipation du plaisir à venir. Puis, avec un mouvement fluide et déterminé, je m'enfonce complètement en elle, sentant chaque centimètre de ma verge glisser profondément dans sa chaleur accueillante. Le plaisir est indescriptible alors que je la remplis entièrement, mes grosses couilles venant se blottir contre ses fesses, scellant notre union dans un étreinte passionnée et lascive. « Rhan... putain... ! » Mes coups de reins deviennent brutaux, chaque mouvement accompagné du claquement de nos peaux qui résonne dans la pièce, rythmant notre danse passionnée. Je penche Bunny vers moi, capturant ses seins avec avidité, ma bouche avide s'emparant de ses mamelons dressés, bavant sur leur surface tendre. Chaque succion, chaque mordillement envoie des décharges électriques à travers nos corps entrelacés, intensifiant notre plaisir partagé dans une fusion sensuelle et exaltante.

Je délecte de ses tétons avec une délectation sauvage, ma langue s'enroulant autour d'eux avec une voracité insatiable, provoquant des vagues de plaisir qui la traversent de la tête aux pieds. Pendant ce temps, de ma main libre, je m'aventure vers son anus, explorant chaque contour avec une excitation croissante, anticipant le plaisir à venir. Avec une tendresse calculée, je glisse un doigt à l'intérieur, sentant sa chaleur accueillante m'entourer, ses muscles se contractant autour de moi dans une invitation indéniable. Ses gémissements de plaisir s'amplifient, se mêlant au son de nos ébats passionnés, créant une symphonie de luxure qui remplit la pièce. Chaque mouvement, chaque caresse, nous rapproche davantage de l'extase ultime, nous plongeant dans un tourbillon de sensations enivrantes et de désirs inassouvis. « Allez, soumets toi Je sais que tu en meurs d'envie ! Tu ne vis que pour moi au fond de toi... ! » J'intensifie alors mon doigté dans son cul, sentant ses muscles se contracter autour de moi alors que je cherche à lui offrir un plaisir sans précédent. Mes coups de reins deviennent plus puissants, plus sauvages, cherchant à la faire perdre la tête dans un tourbillon de sensations dévorantes. Elle gémit, se cambre sous mes assauts, ses sens submergés par l'extase grandissante. Chaque mouvement est une symphonie de plaisir, les caresses sont des promesses de jouissance absolue. Je suis déterminé à la faire succomber à mes désirs les plus sombres, à la plonger dans un océan de plaisir dont elle ne pourra jamais se remettre.

   

C’était terrible à quel point elle devait se rendre à l’évidence que le chapelier la connaît par cœur, et qu’elle n’avait pas de secret pour lui, surtout que son corps ne faisait que trahir ce qu’elle désire vraiment, c’est-à-dire lui appartenir, et ne pas laisser des petites conne, comme Alice, prendre le dessus Elle devait lui offrir son âme pour cela, mais ce qu’elle était vraiment prête à le faire, quitte à souffrir, s’il décide de la martyriser pour son plus grand plaisir. Bunny remue frénétiquement son pompon, ainsi que ses oreilles blanches. Elle pose ses mains sur le corps musclé du chapelier. Elle ne voulait pas prendre la décision de descendre sur sa grosse queue, car cela lui donnerait bien évidemment raison.

BUNNY : « Haaaaaa …chapelier…haaaaa… Comment tu peux être aussi sûre de toi…haaaaaa… qui te dit que je ne suis pas amoureuse de quelqu’un d’autre…haaaaaa…»

Elle se frotte avec beaucoup d’intensité contre sa queue, avant qu’il ne vienne se planter dans sa chatte sans aucune douceur. Il ne la mélange pas du tout bien. Au contraire, il voulait lui faire perdre la tête pour que elle puisse baisser les armes et se soumettre totalement à lui. la lapine, jette sa tête en arrière. Quand elle reçoit l’énorme bite au fond de son intimité, c’était une sensation indescriptible que de pouvoir être l’objet des pulsions de ce fou. Elle se cambre contre lui car il l’oblige elle continue de gémir de plus belle quand il vient prendre dans sa bouche l’un de ses tétons, elle passe ses bras autour du cou, du chapelier pour glisser ses doigts dans les cheveux noirs.

BUNNY : « Haaaaaa … mon dieu, chapelier,… ta bite, est tellement grosse…haaaaaa…elle déforme complètement ma chaaaaaa…tte…haaaaaaan…je vais devenir…folle…»

Elle ne pouvait pas s’empêcher de monter et descendre au même rythme que lui alors que les coûts de pénétration résonnent bien fort dans le bureau du chapelier. Elle avait la langue pendant alors qu’elle se fait téter. Les gros seins. Sacha était en train de dégouliner autour de sa grosse bite, ce qui lui prouve clairement qu’elle était en pleine extase, et malheureusement, la pénétration était fatale, car elle déclenche ses chaleurs et ne répond plus de rien, voulant absolument se faire défoncer par le chapelier, quelque soit les sentiments qu’il pouvait avoir à son égard

BUNNY : « Haaaaaa …chapelier…haaaaa… chapelier…aaattends…haaaaa… je dois me contrôler…mes chaleurs…haaaaa… Je vais vouloir baiser pendant plus d’une semaine…haaaaaa… je vais pas pouvoir m’arrêter…»

The Mad Hatter & The White Rabbit

Dans l'intimité de la pièce, mon regard s'attarde sur elle avec une intensité lascive. Chaque instant de sa résistance m'excite davantage, chaque frisson de son corps alimente le feu brûlant de mon désir de domination absolue. Son hésitation est une symphonie à mes oreilles, annonçant ma victoire imminente sur son esprit et son corps. Je me délecte du pouvoir que j'exerce sur elle, de la façon dont elle se plie à mes désirs les plus sombres. Alors qu'elle s'approche de moi, je sens mon cœur s'emballer d'anticipation. Mes doigts effleurent sa peau, savourant la douceur de sa chair sous mes mains avides. Je sens son souffle haletant contre ma peau, le désir palpitant dans l'air chargé de tension. Chaque battement de son cœur résonne comme un écho de ma propre excitation. Un sourire narquois danse sur mes lèvres alors qu'elle s'abandonne à mes caresses. Je sais qu'elle est à ma merci, prête à se plier à mes moindres désirs. Mes mains parcourent son corps avec une expertise calculée, explorant chaque courbe et chaque creux avec une avidité insatiable. Je goûte à son désir, le savourant comme le nectar le plus exquis. Ses protestations muettes ne font que nourrir mon désir de la posséder. Je la prends avec force, la consumant de ma passion dévorante. Chaque mouvement est une déclaration de mon pouvoir sur elle, chaque soupir est une symphonie à mes oreilles. Je la fais mienne, la soumettant à mes volontés les plus sombres avec un plaisir sadique.

« Je déformerai ta chatte, ton cul et ta putain de gorge s'il le faut... Et autant de fois qu'il le faudra... ! »

Je sens son corps se tordre sous le poids de mon désir, ses gémissements remplissant la pièce comme une douce mélodie de luxure. Je suis le maître de ce jeu, le souverain de ce royaume de plaisirs interdits. Elle est à moi, corps et âme, et je ne la laisserai jamais partir. Alors que je goûte à ses seins avec avidité, ma main explore le rebondi de ses fesses, les malaxant avec fermeté. Je sens la chaleur de son corps sous mes doigts, son souffle haletant résonnant dans l'air chargé de désir. Mon index glisse le long de la raie de ses fesses, effleurant doucement son anus avec une caresse suggestive. Je savoure chaque réaction, chaque frémissement de son corps sous mes attentions expertes. Je suis le maître de ses plaisirs, et elle est entièrement à ma merci. « T'es folle amoureuse de moi, tu aimes bien trop ce que je te fais Bunny chérie... ! Alors, que tes chaleurs durent ! » Un sourire carnassier étire mes lèvres alors que je la renverse avec douceur, la plaçant sous moi. Ses chevilles dans mes mains, je soulève ses jambes en l'air, exposant ainsi sa vulnérabilité à mes désirs les plus sombres. Avec une force calculée, je la pénètre à nouveau, chaque coup de reins empli de vigueur et de passion dévorante. Je sens son corps se cambre sous le poids de notre passion partagée, ses gémissements remplissant la pièce d'une symphonie de plaisir. Je suis le maître de cette danse charnelle, guidant nos corps dans une étreinte enivrante où seul le plaisir compte.

Mon désir brûlant ne connaît aucune limite alors que je laisse échapper un crachat sur sa chatte trempée, intensifiant encore davantage nos ébats passionnés. Le liquide chaud se mêle au feu de nos corps en fusion, accentuant la sensation de friction entre nous. Sa peau frémit sous mes assauts, chaque contact électrisant nos sens et nous poussant plus loin dans l'extase. Je ne peux détacher mon regard de ses gros seins rebondissant au rythme de nos étreintes, une vision hypnotisante qui alimente encore davantage ma passion dévorante. Chaque coup de rein est une déclaration de mon désir inextinguible, chaque gémissement qui s'échappe de ses lèvres est une symphonie à mes oreilles. Mes couilles claquent contre son cul, ajoutant une note rythmique à notre danse charnelle. Chaque mouvement est calculé pour maximiser notre plaisir, chaque sensation amplifiée par notre connexion charnelle. Je suis le maître de cette scène torride, mon désir dominant chaque instant de notre échange passionné. Dans cet échange de pouvoir sensuel, je trouve une satisfaction inégalée, une extase qui transcende les limites de la réalité. Nous sommes deux âmes en fusion, se consumant dans le feu de notre désir partagé. Et dans cet instant, je suis pleinement conscient de ma domination sur elle, de ma capacité à la mener là où je le désire.

   

Bunny était complètement enivrer. Par le plaisir que le chapelier fou était en train de lui offrir. T’es la mesure où elle se plie à la volonté de celui-ci. Elle savait très bien qu’elle ne pourrait pas se défaire des sentiments qu’elle était en train d’prouver pour lui. Car il est vrai que au pays des merveilles, lorsqu’elle était un homme, ça lui était jamais venu à l’idée de pouvoir prendre son pied avec lui même si elle était en admiration devant lui, qui avait pourtant le regard tourné uniquement vers la blondinette qui s’était incrustée. Mets-la avec ce nouveau corps et les chaleurs. Ce n’était plus la même chose. Elle le désire fortement du plus profond de son être, alors qu’elle continue de monter des ordres, comme si sa vie en dépend, puis elle rougit violemment à la phrase du chapelier qui est clairement les règles, pour posséder entièrement la petite lapine, qui fait un corps relativement semblable à une actrice porno

haaaaaaaa… Je ne dois pas être amoureuse de toi.…haaaaaaa… car je sais que je vais le regretter si du jour au lendemain, tu décide de me laisser tomber… je serai perdu sans toi si je cède là maintenant

En disant cela, elle était clairement en train de lui avouer partiellement ce qu’elle pouvait ressentir, alors que le bassin claque bien contre ses couilles, et sa poitrine vient s’écraser contre le t du chapelier, toujours en se disant avec une vulgarité sans précédent. Puis, après de nombreux va-et-vient, elle se retire de sa grosse bite, en laissant échapper un bruit ventouse fille, la trappe, la chemise du chapelier qui était entrouverte pour le tirer vers elle, et l’embrasser à pleine bouche, les oreilles bien baissé pour montrer sa soumission. Son bonbon était en train de remuer deux droite à gauche. Elle voulait tellement se faire défoncer par lui, mais elle ne voulait pas le dire clairement avant qu’elle ne prenne possession en se retournant pour se mettre à quatre pattes devant lui.

Elle vient écraser sa grosse poitrine contre le canapé, pour bien relever son cul et sa chatte, sous les yeux du chapelier. Elle continue ses gémissements pendant qu’elle remue son cul. Dans cette position. Elle vient faire frauder sa chatte contre sa grosse bite et puis ses couilles elle vient poser une main sur son cul pour venir les garder lui montrer le deuxième orifice qui était il fallait le dire bien serré.


haaaaaa… je ne fais qu’un avoue que cette fois-ci que je veux que ta grosse bite me prenne fort la chatte, mais ce sera la seule fois