Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Un paiement de dette [Pv]

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Draven Dairn

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Un paiement de dette [Pv]

mardi 05 mars 2024, 19:22:39

Je regardais la personne qui me faisait face. Était-il sérieux ? Il parlait vraiment de rembourser à dette ? Bon, d’un autre côté, il avait une larme qui lui chatouillait la glotte. Donc normal. Mais bon, il semblait si habile de sa langue jusque-là, pourquoi est-ce qu’il faisait la carpette maintenant ? La perspective de ne pas la perdre, sa lague, justement. Je souris l’air mauvais. Je le dominais de ma hauteur, lui était placé au sol, couteau sous la gorge, littéralement.

« Tu es sur ? »

« Oui, oui, bien sûr ! Et j’ai un tout nouvel arrivage ! Servez-vous ! »

Il avait la trouille, il chougnait même…. Spectacle écœurant. Je pariais qu’il faisait le fier avant mon arrivé dans sa boutique… maintenant ce n’était plus le cas. Je m’écartais et je lui donnais un petit coup de pied.

« Allez, lève-toi et montre-moi ta marchandise. »

Péniblement, l’adipeux se leva, sa grosse bedaine le ralentissant dans sa tâche. Les marchands pansus étaient légion. Preuve que le commerce florissait pur eux. Et les marchands d’esclave, c’était une race à part qui prospérait en permanence tant qu’ils avaient du stock.
Devenu presque servile, sans doute que sa face démolie aidait à cela, il se dépêcha de se diriger vers un coin de sa boutique ou de petites cages étaient entreposées. Enfin, petites… on tenait debout dedans, mais c’était bien tout. Elles étaient réduites au maximum pour permettre d’en stocker davantage. Pour la plupart, c’étaient de pauvres hères, trop maigres, trop hagardes pour avoir le moindre intérêt. Même le joyau de sa collection, une elfe aux cheveux de feu, semblait bien pâlichonne. Et pas pâlichonne diaphane, pâlichonne malade.

« Non, rien ne me satisfait. Je vais devoir prendre ta vie. »

Ton détaché, comme si le tuer ne me dérangeait pas plus que ça. En fait, la seule chose pénible à cela, c’était que ça pouvait être salissant.

« A...Attendez, j’ai une dernière pièce à vous proposer. Elle st arrivée ce matin. Elle a été prise hier dans un raid d’un village. Ce n’est qu’une pécore, mais elle est très jolie, vous allez voir… je ne vous l’ai pas proposée parce qu’elle n’a pas encore été dressée ni rien. Et puis, elle n’a rien de noble ou d’altier, ce n’est qu’une vulgaire paysanne… »

Je soupirai.

« Montre toujours. »

Il se précipita et le voir presque courir étaiut comique, je le reconnaissais. Ça m’amusait beaucoup. Il se dirigea vers une autre pièce, bouclée, et prit une lanterne et un fouet.  Il ouvrit la porte en retirant la barre et mit la lanterne à l’intérieur.

« Toi là, sort, quelqu’un veut te voir. »

Il menaça du fouet et eut une réponse positive avant même qu’il n’ait besoin d’user de fouet. Une jolie jeune femme sortit. Elle avait une robe qui semblait avoir vécu et qui avait été largement déchirée. Sans doute n’avait-elle pas eu d’autres frusques depuis qu’elle avait été capturée.

« Voilà ma plus fraiche arrivée… »

« Voyons voir cela… »

Je m’approchais et je venais saisir son menton, écarter les lèvres et voir les dents. Saines et blanches.

« Quel est ton nom ? »

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 1 mardi 05 mars 2024, 20:41:55


Quel destin tragique que celui de la petite roture. Passer une vie à trimer sous le joug d'un seigneur pour à peine avoir de quoi survivre au bout du compte et rester à la merci des monstres, des maladies ou dans le cas précis, des bandits et kidnappeurs de bas étages.

La douce Marguerite avait ainsi été capturée. Ce n'est pas la seule du lot mais en tout cas c'est la seule qui avait été suffisament jolie pour être gardée. Elle avait été rudoyée bien sûr, ses membres portent les stigmates d'une lutte desespérée et l'état de sa robe montre que des mains mal avisées avaient déjà voulu voir les rondeurs que le tissu dissimulait.

Et elle s'est retrouvée ainsi prisonnière, dans cet endroit inconnu qui sent la tristesse et qui semble si loin de chez elle. Elle a vite compris que personne ne la prendrait en pitié et que elle avait intérêt à se montrer docile en tout si elle voulait échapper au pire. C'est une leçon qu'elle a eu l'occasion d'apprendre à ses dépends, ses fesses se souvenant encore des cruels coups de lanière qui lui ont été assénés en paiement de son indocilité.

C'est ainsi une jeune femme vaincue qui s'avance quand on le lui demande. Visage bas, c'est à peine si elle ose jetter un coup d'oeil craintif vers les deux hommes avant de s'immobiliser devant eux. Elle a bien en vain tenté d'arranger au mieux de dissimuler son corps exposé avec les lambeaux de tissu restant. Les jupons déchirés et possiblement coupés à la dague laissent voir jusqu'à ses cuisses striées de marques rouges là le fouet a eu l'occasion de la mordre. Son corset dont une des bretelle a été totalement déchirée ne parvient plus à cacher une poitrine généreuse que la jeunesse rend insolemment ferme. On peut deviner à son allure les tourments que ceux qui l'ont capturée lui ont déjà infligé.

Docile, elle  laisse l'homme l'examiner, comme un animal sur le marché. Son regard brillant croise celui de l'homme à travers le rideau de ses cheveux châtains défaits. Son menton tremble d'une émotion contenue alors qu'elle répond d'une voix effrayée.

- Marguerite, m'ssire.

Elle écarquille alors les yeux alors et son regard se dirige aussitôt vers le fouet tenu par l'homme à côté d'eux. Effrayée, elle se hâte de se corriger.

- ... maître !

Peut-être que si elle avait été dans un état normal, elle aurait remarqué la tension à couper au couteau qui règne dans la pièce. Le marchand au ventre rebondit est aussi effrayé qu'elle si ce n'est davantage encore. Celui ci se passe nerveusement la langue sur les lèvres, visiblement nerveux. Il bégaye presque quand il affirme.

- Vous voyez ? Et elle commence déjà à obéir.

Ils étaient maintenant deux à rester suspendus aux lèvres de l'étranger aux cheveux de feu. Visiblement le sort de l'un comme de l'autre semblait suspendu à son unique bon vouloir ...

- Prenez la, elle est à vous ! Essayez la même sur place si ca vous chante !

Plaide t'il enfin, dans l'espoir d'amadouer ultimement son débiteur.

Draven Dairn

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Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 2 mardi 05 mars 2024, 21:14:15

La terreur de la jeune femme, pardon, non, ; de la marchandise, était d’une sainte » évidence. Bien évidemment qu’elle était terrorisée ; elle venait d’être capturée, et elle avait à faire à un porc pouvant parler mais qui avait un fouet à la main et dont il savait se servir. Peut-être même avait-il déjà eu recours au fouet avec elle, pour ce que j’en savais. Donc il était normal qu’elle soit terrifiée. D’ailleurs, sa simple diction le montrait et sa reprise le montrait également ; elle avait vite réagi, mais clairement avec la peur du fouet.
La lanterne projetait sur son corps des lumières qui dansaient un peu mettait en avant quelques marbrures sur ses bras et même la marque des fers qui l’avaient tenue attachée pendant son transport ; enfin, des fers, je pariais sur une simple corde en chanvre.
Je claquais de la langue, un peu, en entendant son nom. Preuve de mon évidente désapprobation.

« Marguerite donc. C’est trop long. Nous verrons peut être ensemble pour en changer plus tard. »

Autant être honnête sur le sujet. Je lui fis un sourire plutôt doux, néanmoins.

« Je ne te ferai pas de mal tant que tu seras docile… »

Elle avait une tenue qui montrait qu’elle avait au mieux été palpée, au pire été déjà visitée mais je ne faisais pas de commentaire. Néanmoins je plissais le nez. Les conditions de voyage avaient dû être peu enviables.
Je ne regardais même pas grand du bide en répondant.

« Tais-toi et laisse-nous. »

Il sembla hésiter. Je lui décochais un regard mauvais, il lâcha la lampe qui s’éteignit et s’écrasant au sol et fila.

« Retire-moi ces oripeaux. Que je puisse voir de quel bois tu es faite. Et ne joues pas à la bête pudique. Ça n’a aucun intérêt. »

Je lui lâchais le menton et je lui donnais une petite tape sur la hanche pour l’encourager avant de m’éloigner d’un pas ou deux pour qu’elle puisse prendre ses aises. Mais cela ne n’empêcha pas de lui parler, ou plutôt en la mettant sur le grill avec des questions sur elle.

« Donc tu as été capturée dans un raid. Tu sais faire quoi ? »

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 3 mardi 05 mars 2024, 21:50:17

A la mention de changer de nom, Marguerite parait choquée mais aucun son ne sort de sa bouche. Ses yeux se remplissent de larmes alors que les instructions se suivent et la jeune paysanne finit par déglutir.

- J'serai docile ...

Et avec un temps de retard, elle ajoute.

- ... maître

L'homme qui lui donne des instructions chasse l'autre sans aucun ménagement. Il fila sans demander son reste et une bonne partie de la luminosité avec lui. Marguerite comprend sans peine que l'homme avec qui elle reste est LE donneur d'ordre ici. Le seigneur des lieux en quelque sorte.

Elle reconnait sans peine le regard qu'il porte sur elle. Beaucoup l'ont lorgnée ainsi au cours de sa vie ... elle sait exactement ce qu'il signifie. La tête basse, la mine contrite, elle écoute. Elle semble indécise quand il prononce le terme "oripeaux". Un terme évidemment inconnu pour l'inculte paysanne qu'elle est. Elle lève vers lui un regard incertain, hésitant pendant de longues secondes avant que la signification ne lui apparaisse avec le contexte.

Sans un mot, elle défait la bretelle restante de sa robe. La pesanteur fait le reste. Lentement, le tissu glisse sur sa peau jusqu'à tomber à ses pieds, dévoilant son corps joliment dessiné. L'instinct de la jeune fille lui hurle de croiser les bras, de tenter de se cacher. Mais elle sait que ce serait vain ... et ne ferait qu'impatienter l'homme. Alors elle se force à rester immobile, poings serrés, bras alignés le long de son corps. Le regard rivé au sol, elle répond.

-J'suis paysanne, m'ssire. J'élève les bêtes ... j'trime aux champs ... Et j'travaille aussi dans la taverne d'Olaf ... pour servir les clients  ...

Que dire d'autre ... ? C'est une fille de la campagne ordinaire. Banale si on excepte son bien joli minois. Elle n'est pas savante et ne sait même pas déchiffrer l'écriture ...

Draven Dairn

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Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 4 mardi 05 mars 2024, 22:03:57

Et voilà les larmes. C’était une bonne chose. Mon sourire doux montait difficilement aux yeux, et l’imaginer en train de chouiner risquait fort de faire surgir un peu d’agacement. Là, tout de suite, je ne voulais pas qu’elle chouine. Je voulais qu’elle me montre ce qu’elle avait et qu’elle me dise un peu ce qu’elle valait. Enfin, vite fait quoi. Je ne m’attendais pas à grand-chose…
Elle sembla hésiter mais finit par se résigner et elle se retint même, je le vis à ses poings serrés, de se cacher. Je me contentais de faire un signe de tête positif. Qu’elle voit que j’avais compris que je luttais.

« Jouer les pudibondes ne servirait à rien. »

Enfin, nue, elle me répondit à nouveau. Elever des bêtes, servir à la taverne, trimer aux champs. Au moins, escomptais-je, savait-elle faire le ménage. Et donner de sa personne.
Je lui tournais un peu autour, pour l’examiner sous toutes les coutures.

« Tu es peut-être une bouseuse, mais il va falloir changer certaines choses. Notamment avec une hygiène impeccable. Tu as besoin d’un bain pour retirer l’odeur de cul terreux. Pour le reste… »

Je revenais devant elle et je venais soupeser sa poitrine, ferme et généreuse, comme n’importe quel mâle dignement constitué aimerait, mais sans l’excès qui le faisaient pendouiller. Bien. C’était une bonne chose. Je le faisais un peu sauter dans la main.

« Si tu as le moindre instant de recul tu seras frappée. »

Autant al prévenir avant que n’arrive. Je pressais le mamelon, puis je lâchais, faisais pareil avec l’autre. Puis je retournais derrière elle pour lui donner une petite claqur sur la croupe pour en tâter la fermeté. Ça allait.

« Ma foi, tu n’as pas l’air si mal pour le moment… tu es une paysanne donc je suppose que tu n’es pas vierge et que tu soulèves tes jupons pour une pièce de cuivre ? Au moins seras-tu bonne à ça et à lessiver les sols. Si tu es dégourdie tu devrais t’en sortir. »

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 5 mardi 05 mars 2024, 23:19:29

La pauvrette ne manifeste pas la moindre velléité de révolte lorsqu'elle se fait rabaisser par les paroles de l'homme. Sans doutes a t'elle passé sa vie entière à se faire traiter ainsi par "les grandes gens", qu'ils soient nobles ou bourgeois bien installés. Une seule chose la fait tiquer au point d'oser réagir d'une voix faible.

- J'me lave ... maître ...

Du moins en temps normal. Quand elle n'est pas violentée et trainée dans la poussière comme aujourd'hui. Bien sûr, elle ne sera jamais aussi propre et nette qu'une bourgeoise à la peau rose ... mais Marguerite va tout de même à la rivière quand le temps le permet et utilise un baquet d'eau chaude lors des saisons les moins clémentes !

La prisonnière frissonne et se force à ne pas ciller quand l'homme s'approche d'elle et la palpe comme si il tâtait une vulgaire marchandise. Les instructions qu'il lui donne sont limpides et Marguerite semble les prendre très au sérieux. Poings serrés, elle endure. A sa grande honte, elle ne peut empêcher ses tétons de durcir sous les doigts de l'homme ni réprimer la grimace douloureuse qui plisse ses lèvres à ce moment là.

Elle ne bouge pas plus quand il passe derrière elle et se met à l'examiner de dos. Elle sursaute quand il lui assène une claque sur la fesse et emet un bref glapissement avant de se mordre la lèvre et demeurrer de nouveau stoique.

Les questions que l'homme lui pose la font rosir mais elle ne peut nier les choses.

- Non maître

Dit elle pour confirmer qu'elle n'est pas vierge. Quant à l'affirmation qui consiste à dire qu'elle accepte de soulever ses jupons pour une pièce de cuivre, le rougissement qui lui monte au visage tient de réponse implicite.

- Je ne sais pas maître

Finit t'elle par souffler avant de laisser un silence s'installer. Coeur battant la chamade, son souffle cour fait soulever sa poitrine à rythme régulier. La jeune fille s'efforce à rester immobile, terrorisée à l'idée de déplaire à l'homme qui la domine. Mais il crève les yeux qu'elle se sent perdue et redoute au plus haut point ce qui va advenir d'elle à présent.


Draven Dairn

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Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 6 mercredi 06 mars 2024, 08:58:16

« Possible, mais là, tu pues et tu n’es pas propre. Il va falloir que tu sois correctement lavée, avec un vrai savon et de l’eau chaude quitte à changer l’eau plusieurs fois si nécessaire. »

Je lui fis un sourire et je continuais un peu à la palper. Et du coup, elle semblait comprendre que protester serait la dernière chose à faire. Nue, ici, face à moi, elle ne ripostait ni ne se dérobait. C’était bonne chose. Je regardais la jeune femme avant de finalement lui tapoter la joue doucement. Son visage, lui, avait eu un coup de flotte sans doute tout à l’heure… enfin bon, au moins, nous étions bien partis.

« Bien, tu es assez bien faite, tu seras un bien agréable à avoir. »

Je lui fis un sourire avant de finalement lui caresser les cheveux doucement. Juste au cas où il faudrait les laver, elle venait des champs et du foin, je ne voulais ni poux ni puces chez moi. Donc je préférai prendre des précautions.
Elle répondit à mes questions sans trop broncher non plus, elle obéissait bien.

« Je te remercie pour ces éclaircissements. Donc tu n’es plus vierge et tu tapinais. Je prends note donc de ne pas attendre sur le sujet autre chose qu’une solide connaissance. »

Cette manière de dire les choses était une punition, d’une certaine manière. Son « je ne sais pas » ne m’avait pas davantage plu que cela.

« Allez, viens. Nous partons. »

Je retirais ma main de sa chevelure et je fouillais dans ma besace pour en sortir un tronçon de corde d’environ deux mètres. Je faisais un nœud de pendu et je lui passais celui-ci autour de la gorge. Ce serait sa laisse pour le moment. Je donnais une légère tension à la corde, sans vraiment tirer.

« Je vais nous trouver une auberge où tu pourras être correctement lavée. D’ailleurs tu as peut-être faim ? »

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 7 mercredi 06 mars 2024, 09:49:14

Les humiliations se succèdent. L'homme prend un malin plaisir à insister sur la saleté de son corps ... puis sur le fait qu'elle ne soit plus vraiment innocente. Elle frémit d'indignation quand il affirme qu'elle tapinait. Ce n'est pas que ce soit entièrement faux ... ni entièrement vrai d'ailleurs ! Comme souvent dans la vie, les choses sont compliquées. Elle mène une vie aussi indépendante que possible pour une serf, sans mari ni parent pour veiller sur elle. A chaque coups dur elle a du se débrouiller seule. Ce qui a pu la mener a ... bref.


L'inspection qu'elle subit semble satisfaire son nouveau propriétaire. Ni parasite, ni trace de défaut évident n'a pu être remarquée. En dehors des contusions dues à sa capture, la jeune femme parait étonnamment fraiche et pleine de santé. Un état de fait surprenant quand on connait les rudes conditions de vie dans les campagnes reculées.

Continuant de se comporter avec elle comme si elle était un animal, il lui passe rien de moins qu'une longe autour du cou. Marguerite se laisse faire mais écarquille les yeux quand il lui annonce qu'ils vont sortie ainsi.

- J'ne vais point sortir nue !

S'exclame t'elle, oubliant un court instant quelle est sa place avant que le regard sévère de l'homme ne le lui rappelle. Sa défiance se dégonfle aussitôt et elle se ratatine sur elle même alors qu'elle se hâte de se rattraper.

- Pardon maître je ... s'il vous plait, j'vous d'mande l'autorisation d'remettre ma robe.

Aussi triste et déchiré soit son vêtement, c'est sa toute dernière possession, sa toute dernière source possible de pudeur et de dignité. Bien plus que son ventre vide et la proposition de repas qu'elle n'a pas eu l'occasion d'accepter à cause de cette affaire, son estomac se noue à l'idée de perdre sa robe. L'abandonner ainsi dans la poussière serait un déchirement dont elle n'arriverait pas à se remettre ...


Draven Dairn

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Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 8 mercredi 06 mars 2024, 20:00:58

Mise en laisse, ainsi humiliée mais ainsi à peu près à sa place, la jeune femme allait devoir me suivre et m’accompagner. Je ne voyais pas pourquoi nous nous serions attardés plus que cela. Je n’avais plus rien à faire ici. Tout simplement. Je lui fis un sourire avant de donner un léger coup sur la laisse pour la faire bouger, mais elle résista un peu, protestant sur sa nudité. Cela partait mal. Je regardais la jeune femme en fronçant les sourcils. Elle semblait avoir du mal à me montrer qu’elle serait docile.

« Non, c’est un lambeau, un chiffon, une loque. Tu auras mieux. »

Je revenais vers elle et je venais saisir son « collier » temporaire.

« Maintenant viens, ne me force pas à m’agacer. Ce serait très mauvais pour toi, Souillon. »

Oui, souillon, voilà comment je l’appelais faute de mieux, j’avais déjà oublié son prénom. Si seulement, elle en avait eu un court, elle aurait pu le garder… c’était quoi déjà ? J’avais un léger trou de mémoire que je ne faisais absolument rien pour combler. Aucune importance, mieux valait trouver un meilleur nom.

« Si tu veux garder ce truc, tu peux, mais ramasses le vite. »

Je commençais déjà tirer sur la corde pour l’entrainer à ma suite, sans vraiment lui laisser le temps de quoique ce soit. En même temps, je n’en voyais pas l’intérêt ; elle avait une forme de pudeur dont elle allait vite devoir apprendre à se passer. Sa dignité, elle allait aussi devoir la laisser derrière elle. Elle était esclave, catin, chienne, ou quoique je désire d’autre. C’était le nouveau sens de sa vie, à mes yeux.

« J’en conclue que tu n’as pas besoin de manger et que tu te passeras de repas ? »

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 9 mercredi 06 mars 2024, 23:23:22

Sans chercher à discuter davantage, la jeune femme ramasse le vêtement jeté au sol et se retrouve déjà tirée en avant par la laisse de chanvre. Honteuse, tête basse, elle avance en suivant son maître, les lambeaux de sa robe serrée piteusement contre elle.

Sèchement, le maître s'adresse a elle. Elle répond d'une voix faible.

- Si, maître. J'ai faim. Pardonnez moi maître.

La faim ... un sentiment hélas bien connu. Certains hivers de sa vie ont été difficiles pour elle. Elle sait qu'elle pourrait se passer de nourriture si il le fallait ... mais à quoi bon endurer ce supplice si il peut lui être épargné ... ? Quelqu'un de différent se serait peut-être également dit que ca aurait été un moyen d'accumuler des forces en prévision d'une évasion prochaine ... Mais l'idée n'effleure même pas la cervelle bien trop disciplinée de Marguerite. Elle est née Serf et sait qu'elle mourra probablement ainsi. La transition qu'elle est en train de vivre est effrayante mais dans le fond, elle ne fait que passer d'une servitude à une autre.

Ainsi le maître l'entraine donc jusqu'à l'extérieur du bâtiment. Toute bouleversée qu'elle est, elle ne prête même pas attention aux intéractions qu'il peut encore avoir avec le marchand gras avant qu'ils sortent. L'air de la rue lui fait reprendre conscience de sa triste condition et alors qu'elle marche docilement derrière lui, elle lève un regard vers les passants, avec l'espoir que quelqu'un ici s'émouvrait de son cas.

Mais c'est peine perdue. Au mieux est elle aussi invisible aux yeux des habitants de la ville que le serait un chien promené par son maître. Au pire attire t'elle le regard concupiscent de certains qui la lorgnent sans même se cacher.

- Jolie pouliche va même jusqu'à lancer d'un ton approbateur l'un des anonymes badaud quand Draven passe devant. Il avait lancé le compliment au maître sur le même ton que si il avait dit à quelqu'un "Joli chapeau que vous portez". 

Marguerite rougit malgré elle. Elle a l'habitude que les passants la regardent. Et que parfois même ils la sifflent ou l'interpellent. Mais elle est habillée quand cela arrive. Et en situation de pouvoir, d'une manière ou d'une autre, se défendre ou se mettre sous la protection de quelqu'un qui le ferait pour elle. Dans un geste futile, elle resserre son étreinte autour de sa robe, croisant un peu davantage les bras autour d'elle dans une bien vaine tentative de protéger sa pudeur.

« Modifié: jeudi 07 mars 2024, 09:03:10 par Marguerite Clairbois »

Draven Dairn

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Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 10 jeudi 07 mars 2024, 18:53:34

Au moins elle ne se rhabilla pas avec ses frusques lamentables. C’était une bonne chose. Elle semblait par contre un peu jouer à se dissimuler derrière dans la rue, et, partant avec ma belle acquisition, je me disais que je pourrais peut-être en faire quelque chose.

« Bien, allons, te laver ; te vêtir, te nourrir et t’essayer. »

Tout un programme, à n’en pas douter. Restait à voir comment elle se comporterait pour tout ça.
J’échangeais quelques mots avec gras-du-bide et quand il me vit partir avec la jeune femme, il dut s’estimer un peu soulagé. Même pas qu’un peu n fait… je lui fis un sourire – à ma nouvelle chose, hein – et je continuais à avancer dans la rue. Malgré ses lambeaux de tissu, elle était nue et devait sentir un peu le regard des autres, non ? C’était ce que j’espérais... je continuais à avancer d’un pas vif, la forçant à trotter derrière moi à un bon rythme sur les pavés froids.
J’adorai entendre les commentaires d’éventuels passants et je les en remerciais même quand ils osaient dire un mot sur le physique avantageux de l’esclave.

« Tu vois, ils te trouvent à leur gout, alors pas besoin de te cacher. »

Je ricanais un peu avant de finalement me stopper devant la porte d’un établissement que je connaissais bien. Il s’agissait de la rose d’hiver, une auberge haut de gamme où j’avais mes habitudes et où j’avais justement une chambre – pour ne pas dire une suite – ces derniers jours… je tirais un peu plus sur la corde et j’entrais dans les lieux faisant retentir une petite cloche d’argent à l’entrée. Une femme d’Age mur s’approcha.

« Monsieur Dairn, merci de votre confiance entre établissement. »

Elle je un œil passablement dégouté à la jeune femme en laisse.

« Je vous fait préparer un bain bien chaud et tout le nécessaire ? »

« Oui, je vous prie. Et un repas copieux s’il vous plait. Pour une personne et une esclave, s’il vous plait. »

Je sortis de ma bourse une pièce d’or que je déposais sur le comptoir.

« Bien sur… immédiatement même. »

« Je vous remercie. Allez viens. »

Je donnais une petite traction à la laisse et je montais par un joli escalier de bois ouvragé jusqu’à arriver devant une porte que je poussais. Voilà, mon chez moi pour encore deux ou trois jours. Très bien.
Il fallut moins de dix minutes pour qu’une jeune femme entre à son tour après avoir frappé pour se diriger vers la salle d’eau où elle se mit à remplir la baignoire de cuivre et, posant ses mains contre le métal, elle le fit chauffer. Les ESPer domestiques étaient quand même bien pratiques.

« Allez, au bain, Souillon ! »

Je lui retirai la corde.

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 11 jeudi 07 mars 2024, 20:27:09


Malgrès la détresse dans laquelle la situation plonge Marguerite, elle ne peut s'empêcher de se dire en son for intérieur "Bien sûr qu'y m'trouvent à leur goût. J'suis belle. Beaucoup d'hommes passent leur temps à m'reluquer et on sait bien c'qu'ils veulent tous". Ce n'est pas une nouveauté et c'est ainsi depuis bien longtemps, même à son village. La pensée que ces pervers auront à se contenter de regarder sans jamais avoir l'occasion de l'importuner en raison de la présence de son maître est une bien maigre source de satisfaction pour elle vu qu'elle finira par passer à la casserole sans qu'elle ait son mot à dire quoi qu'il arrive. Le maître a été très explicite là dessus et elle s'y prépare déjà psychologiquement ...

Le trajet dans la rue est court. Elle se fait plusieurs fois encore siffler et traiter de choses .... que quelqu'un de très optimiste pourrait qualifier de flatteuses. Ce sont bien les seules choses qu'elle récolte de la part des passants. Aucune marque de sympathie ni même de regards qui montreraient qu'on la considère comme autre chose qu'un animal domestique.

L'entrée dans l'auberge est l'occasion d'enfin entendre le nom de son maître. "Monsieur Dairn". L'employée lui témoigne une déférence servile alors qu'elle n'a pour elle qu'un regard de mépris ... Le genre de regard qu'elle a reçu tout au long de sa vie de la part des bourgeois bien installés. Marguerite reste à sa place au cours de cet échange. Silencieuse, en retrait, le regard bas. Elle ne veut pas donner à son maître davantage de raisons de se mécontenter. Peu envieuse de sentir de nouveau le chanvre se serrer autour de son cou, elle se hâte d'avancer par petits pas empressés quand l'homme intime l'ordre de marche. Au terme de l'ascencion très rapide d'un escalier bien plus beau que tous ce qu'elle a pu voir au cours de sa vie, elle pénètre dans les lieux à la suite de son maître. L'homme lâche la laisse. Il l'abandonne là, dans l'entrée, sans davantage d'explications. Elle ose lever un instant le regard vers lui mais visiblement il ne se préoccupe pas un seul instant d'elle. Il l'a laissée là, comme on abandonnerait un accessoire dont on a plus besoin, avec l'intention possible de s'en resservir plus tard ... ou pas. Selon son bon vouloir.

Sentant confusément qu'il s'agissait encore là dune mise à l'épreuve de sa docilité, la jeune femme attend donc, sa robe en lambeaux toujours serrée contre. Et commence une longue attente pour aller, alors que son côté son maître semble simplement se détendre et mener des occupations dont elle ne peut deviner la nature de là où elle est. Le seul mouvement qu'elle s'autorise est un pas de côté quand entre une femme de chambre. Une employée dont elle croise le regard un bref instant et dont l'expression semble indéchiffrable et distante. Elle passe devant Marguerite sans lui adresser un mot et se montre en revanche d'une amabilité servile envers son client. Sans qu'elle ne comprenne comment pareil prodige est possible, il ne faut pas une minute pour qu'elle annonce que le bain a été préparé et pour que le maître lui intime l'ordre de se laver.

- Oui maître !

Répond t'eller avec empressement. Pour une fois qu'un ordre lui est agréable, elle ne va pas se priver pour y obéir ! Marguerite rêve de se laver depuis le tout premier moment où les hommes qui l'ont capturé ont osé poser leurs vilaines pattes sur elle. C'est avec un soulagement palpable qu'elle se dirige vers la salle d'eau, trop heureuse de pouvoir disparaître provisoirement de la vue de l'homme. Elle découvre une fois entre un baquet remplie d'eau fumante, preuve que contrairement à ce qu'elle craignait, la température allait être agréable.  La vue de ce luxe providentiel est un baume substantiel appliqué sur son petit cœur perdu mais il faut qu'elle gère un autre problème avant : la robe !

Elle est persuadée que son maître voudra la jeter, quoi qu'il puisse en coûter aux yeux de la jeune femme. Et c'est quelque chose qu'elle n'est pas prête à admettre. Elle fait rapidement le tour de la salle d'eau du regard et avise un meuble qui ressemble fort à une armoire qui contient les draps de bains. Preuve qu'elle peut parfois être vive d'esprit, la jeune femme jette son habit par dessus le coffrage du meuble, au delà de la vue de quiconque. C'est un geste sans doutes futile mais cette toute petite bravade secrète compte beaucoup pour elle. L'interlude n'a pris que quelques secondes et elle se hâte alors de rentrer dans le baquet qui l'attend.

Le contact avec l'eau chaude est un ravissement, même si elle ravive la douleur sur les blessures superficielles qui couvrent ses membres. Marguerite frotte sans retenue et même avec une certaine frénésie sa peau marquée. Elle utilise pour se faire la brosse qui avait été laissée à sa disposition. Que l'homme finisse par entrer pour la reluquer ne lui importe pas. Elle connait de toutes façons ses intentions et doute qu'il soit bien différent d'un homme ordinaire de ce point de vue ... Il lui imposera sa volonté, au moins provisoirement. Mais il ne pourra pas lui retirer le moment d'apaisement qu'elle est en train de vivre. De grisâtre, poussiéreuse et même encroûtées de sang par endroit, sa peau devient rapidement rose et fraiche comme celle d'un bébé, sous l'action combinée de la chaleur et du décrassage vigoureux auquel elle s'adonne. Jambes, bras et entrejambe sont les toutes premières zones à être ainsi lavées. Ce sont les endroits où elle a le plus souffert, d'une manière ou d'une autre ... Elle ne ralentit la cadence qu'une fois ces choses faites ...

Il y a encore beaucoup à faire pour se redonner complètement allure humaine mais c'est ce qu'on peut appeler un bon début.

Draven Dairn

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Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 12 mardi 12 mars 2024, 13:42:43

Enfin, elle mériterait, possiblement, de ne plus être appelée Souillon... je lui souris et je la regardais se diriger vers la salle de bain pour prendre le temps de se laver comme il fallait. Je n’étais pas du genre à apprécier trop les paysannes qui n’étaient pas propres. C’était pour cela que je ne m’étais même pas ennuyé à la tester sur place. Là, quand je la testerai, ce serait bien plus agréable comme ça. Je me désintéressais ‘elle et je réceptionnais même le repas pendant qu’elle était en train de se laver. Je mangeais pendant que c’était chaud et je déposais mes restes dans une écuelle, au sol. En espérant qu’elle ne serait pas pudibonde au point de refuser de diner de la sorte. Je ne la forcerai pas à cela .
Mais il restait normal qu’elle ne soit pas nourrie au même niveau que le maitre. N’est-ce pas ?
Par contre, il y avait des chances que ce soit froid, si jamais elle prenait trop de temps à se laver.
Mais je préférai qu’elle prenne le temps nécessaire. Y compris pour se laver aussi l’intérieur. Parce que vu son usage, cela allait s’avérer nécessaire… et je ne parlais même pas des cheveux… qui savait si elle n’avait pas de poux ou deu puces ? On pouvait s’interroger sur le sujet…

Je déposais un verre de vin coupé à l’eau à côté de l’écuelle, et, pour me simplifier la tâche, j’y versais un peu de cette poudre qu’utilisaient les marchands d’esclaves pour encourager les envies perverses des esclaves, les rendant plus facilement vendables. Voilà de quoi la rendre plus coopérative. Je ne comptais pas user de cela en permanence, mais si cela pouvait un peu aider. C’était une bonne chose.
Enfin, je finissais par réclamer pour elle une tunique ; le genre de tenue parfaitement indécente qui, par transparence, ne cacherait rien de son physique, mais qui la couvrirait un peu du vent et du froid à l’extérieur.
Restait plus qu’à la voir revenir de la salle de bain.

Quand enfin elle revint de la salle de bain, je lançais alors.

« Eh bien ! Ce n’est pas trop tôt ! Tu es propre comme un sou neuf au moins ? de partout ? A l’intérieur aussi ? » [/i]

J’attendais une réponse avant de lui indiquer le verre et l’écuelle posés à côté de mon fauteuil, par terre. Je m’installais confortabelement et je lui disais.

« Mange, c’est froid mais c’est de ta faute, il fallait être plus rapide dans ton bain. » [/i]

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 13 mardi 12 mars 2024, 15:03:20


Ce n'est que de longues minutes plus tard que Marguerite ressort de la salle de bain. La pause qu'elle s'est accordée pour se donner meilleure figure lui ont fait beaucoup de bien, elle doit se retenir de sourire pour ne pas paraître impertinente face à l'homme qui la possède désormais. Sa peau est rouge par endroit d'avoir frotté, cheveux propres, peignés et encore humides, la petite en est presque méconnaissable. Elle a hésité longuement à s'emmaillotter dans une des serviettes pour sortir, mais elle avait redouté que l'idée ne déplaise au maître ... elle s'en est donc abstenue et se présente ainsi devant lui dans le plus simple appareil, pieds nus sur le plancher et le regard bas.

- Oui maître, je suis lavée.

Répond t'elle docilement. Quant à précision qu'il demande sur "l'intérieur", elle pince les lèvres mais ne répond pas. Elle voit très bien où il veut en venir. Il va faire d'elle ce qu'il veut et elle ne pourra rien à y faire hormis accepter l'idée. Ce ne sera pas la première fois qu'elle se donne à un homme dont elle n'a pas vraiment envie de toutes manières ... et puis une manière positive de voir les choses est que ce sera probablement plus agréable que le marchand gras ...

Un repas l'attend et au moins pour ça elle peut se montrer reconnaissante. L'ombre d'un sourire effleure d'ailleurs ses lèvres.

- Merci maître.

Le remerciement parait sincère. Même si ce n'est pas l'idéal, c'est jusqu'à présent plus d'égards que ce qu'elle n'en a eu jusque maintenant. Que le repas ait été posé au sol est une humiliation qui lui rappelle sans l'ombre d'un doute quelle est sa place. Il ne vient même pas à l'idée de l'ex paysanne de protester. Elle s'approche et s'agenouille au sol aux côtés du fauteuil de l'homme sans rechigner, à portée de sa main comme si elle était un animal obéissant. Il tiendra qu'à sa volonté de fournir caresse ou bien punition à sa nouvelle acquisition.
 
Marguerite se retrouve nourrie, lavée et abritée dans un endroit chaud. Si on omet les intentions lubriques de l'homme à son égard on peut considérer qu'elle n'est pas si mal lotie au bout du compte. Le changement de propriétaire se traduit jusqu'à maintenant par des améliorations notables dans ses conditions de vie.

Elle mange en silence. Avec les doigts s'il ne lui a pas laissé de couverts à sa disposition. Elle puis elle finit par remarquer qu'un verre de vin est posé à côté de sa part. Elle jette un regard oblique à son maître, incertaine de savoir s'il s'agit d'une nouvelle mise à l'épreuve de son obéissance.  Elle le regarde, regarde le verre. Elle hésite longuement et puis renonce finalement à prendre la parole sans avoir été invitée à le faire, de peur d'enfreindre une règle inconnue. Elle n'ose donc pas pour l'heure à l'alcool ... Ce qu'elle trouve bien dommage car un peu de vin lui ferait sans doutes le plus grand bien pour affronter ce qui risque d'arriver par la suite ...


Draven Dairn

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Re : Un paiement de dette [Pv]

Réponse 14 mardi 12 mars 2024, 21:07:19

Elle avait compris le principal et elle essayait de se montrer à la hauteur. Je lui fis un sourire avant de finalement lui faire un sourire alors qu’elle approchait. Elle avait renoncé à faire preuve de pudeur, ne dissimulant ni son sexe bien rasé, ni ses seins généreux. Brave fille. Elle avait un minimum d’intelligence. C’était une très bonne chose. Je lui fis un sourire et je l’invitais à venir manger son repas froid. Elle avait de la chance, elle mangeait comme moi. La veinarde. Elle n’aurait pas toujours un avantage pareil. Elle aurait.

« Tu vois, tu es bien plus jolie, bien plus désirable, quand tu es toute propre… » [/i]

Je lui caressais les cheveux encore légèrement humides.

« C’est dans tes devoirs de le rester. Je n’aime pas les saletés et les imperfections. Surtout sur ce qui m’appartient. Alors fais en sorte que je n’ai pas à te demander de le faire. » [/i]

Je lui souris et je la laissais alors manger tranquillement, sans l’interrompre ni rien lui demander. Je la laissais savourer son repas, alors, en mangeant avec les doigts… elle aurait pu mettre la frimousse dedans quand même. C’eut été la moindre des choses mais je ne relevais pas, j’avais plus important à m’occuper en fait. Je la laissais déguster et je venais poser un genou à terre à côté d’elle, soupesant le sein ferme… bien plus doux comme ça. Je pressais doucement la pointe pour revoir sa tendance à pointer facilement, avant de donner une petite tape douce. Puis je venais caresses ses hanches, pleines, voluptueuse. Brave fifille, elle avait quand même une bonne conformation physique. Il fallait le reconnaitre.

Je continuais une exploration plus minutieuse de son corps, venant saisir ses fesses, les pétrir, les écarter, pour admirer la vue de son étoile brune et de sa fente, dont je venais saisir ses petites lèvres pour les écarter un peu, quitte à tirer un peu dessus pour cela et voir la vue qu’il y avait à l’intérieur.

« Ma fois, ça n’a pas l’air mal tout ça. Je crois que j’ai fait une bonne affaire ; » [/i]

Je donnais une petite claquer sur son fessier.

« Arrête de manger. » [/i]

Je la redressais par les cheveux si elle n’arrêtait pas de manger.

« Tu vas me sucer avant de finir ton plat, histoire d’ajouter un peu de crémeux à ton repas. Il n’est pas trop sec d’ailleurs ? Tu sais que tu peux boire si tu veux. » [/i]


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