Le crime ne paye pas ! [Fang & Marguerite]

Faire mauvais genre ? Se cacher ? Décidément, les choses sont inutilement compliquées dans certains villages. Je suis presque attristée pour cette charmante créature au corps de rêve qui doit se cacher pour prendre son pied, même si je ne doute pas un seul instant qu’elle trouve des moyens pour parvenir à ses fins.

« C’est fort triste. Vous me donnez envie de vous kidnapper et de vous offrir une vie de débauche tiens… »

Et si je faisais ça, est-ce je la partagerais avec le gang ? En général je fais ça une fois que j’en ai fini avec mes jouets, mais vu qu’ils se plaignent et pleurnichent je n’ai pas trop envie de les garder. Alors qu’elle, elle semble aux anges à l’idée de se faire démonter par une inconnue avec une bite. Et ça tombe bien, car moi je suis aux anges à l’idée de la démonter. Le hasard fait bien les choses !

Je souris à sa remarque sur les autres circonstances. Un sourire qui se veut plus prédateur, mais aussi amusé. Je suis sûre que certaines créatures peuvent se faire pousser des pénis, mais le mien est toujours là.

« Non, si je vous avais aperçu au détour d’un chemin par exemple… ou en ville. En bref, pas couverte de bave et avec vos vêtements en piteux état. »

Mais tout ça est théorique, et la pratique s’annonce bien plus intéressante. Je la vois déjà bien contente de sentir mon pénis entre ses fesses, et elle les agite même pour m’offrir encore plus de plaisir. Un peu plus et je plongerais ma queue dans son anus qui doit être assez bien lubrifié maintenant… mais non, ma destination est tout autre et je plonge rapidement ma queue dans sa chatte si chaude et accueillante.

« Et vous aussi ma belle… »

Je glisse en elle avec une incroyable facilité. Sans doute suis-je trop habituée à celles qui tentent de m’échapper ? Toujours est-il qu’elle prend autant son pied que moi, et qu’elle se déhanche en rythme avec moi. En penchant légèrement la tête, je peux voir ses deux gros seins se balancer eux aussi… mais je suis tirée de ma contemplation par ses mots. Y aller plus fort ? C’est si gentiment demandé, comment pourrais-je refuser ? Je me cale sur son rythme, étant plus à l’aise qu’elle pour bouger, et vient donner des coups secs qui plongent entièrement mon pénis en elle à chaque aller-retour. Ses fesses rebondies claquent contre mes hanches à chaque coup de rein, et ils s’entendraient surement bien plus s’ils n’étaient pas couverts par nos cris de plaisir.

Marguerite avait gloussé  à la proposition de la femme. Un kidnapping, une vie de débauche ! La paysanne ne prend pas la proposition au sérieux mais se plait au moins à imaginer l'idée.

- Vous n'oseriez pas !

S'était elle exclamée avec un rire charmant, persuadée que l'inconnue plaisantait et que la chose qu'elle proposait tenait de l'impossible. Car c'est ainsi qu'est faite la vie à ses yeux, articulée autour du labeur et des traditions. Les galipettes, quoique plaisantes, ne sont que les petites récompenses qui égayent une vie faite d'efforts. Les dieux l'ont voulu et c'est ainsi. Mais ce constat n'empêche pas la jeune femme pleine de vie de savoir profiter des belles choses qui se présentent à elle.  Comme cette partie de jambe en l'air unique et merveilleuse avec une inconnue aux attributs tout à fait particuliers.

Chaude et aguicheuse, Marguerite avait agité un instant les fesses avant que le membre de la femme ne se plante en elle. Elle avait poussé un cri de joie avant d'accompagner les mouvements de va et viens et réclamé que sa partenaire y aille encore plus fort. Un souhait que son amante se hâte de satisfaire. L'intensité du changement de rythme fait crier de plaisir la jeune femme.

- Aaaah aaaah ! Oh Ouui ! Han encore !

Leur baise se transforme vite en partie de rodéo. Le corps de la frêle paysanne qu'on pourrait croire malmené par l'œuvre de l'aventurière réagit à chaque coups de boutoir qui lui est assené par un nouveau cri. Non pas des expressions de douleur, mais bel et bien de plaisir. Assaillie tant par les coups de reins que par les sensations qu'elle ressent, Marguerite finit par ne plus réussir à tenir sur ses avants bras. Elle s'affaisse en avant, ses seins venant s'écraser contre la pierre moussue alors que sa croupe, fermement maintenue par sa partenaire, continue d'être prise par des assauts vigoureux. Pilonnée sans pitié ni retenue, la jolie bergère vocalise sans honte ni retenue le plaisir qu'elle ressent.

- Je .. oh oui ! ...

Le claquement rythmé de son pubis sur ses fesses rend la jeune femme comme folle. Joue posée contre la pierre froide, baisée avec une brutalité hors norme, stimulée par une situation hors norme et possiblement aidée par la bave aux vertus étranges, elle sent monter en elle une jouissance ravageuse.

- Oui ! Ca va ... Oh !

Bientôt, son corps est agité de soubresauts et se convulse alors qu'une humidité soudaine s'échappe de ses cuisses, inondant de fluides féminins leurs corps mêlés. Perdant la maîtrise de ses gestes pendant la poignée de secondes que durent sa jouissance, il est heureux que Fang se soit tenue derrière elle pour pouvoir la maintenir et l'empêcher de s'effondrer alors qu'elle parait pendant quelques instants partie faire un petit tour dans les étoiles.

Je n’oserais pas ? Et pourquoi pas après tout ? Peut-être qu’elle trouve ça digne d’une histoire que l’on se raconte au coin d’un feu ou que l’on s’imagine dans son lit en se touchant, mais ça ne serait pas la première que je kidnappe pour mon plaisir. La différence avec la majorité des autres, c’est que ça serait aussi pour le sien. Et maintenant que je suis en train de la culbutée dans cette forêt peu visitée, je me dis qu’elle n’opposerait sans doute pas vraiment de résistance.

Je crois entendre un petit quelque chose alors que j’intensifie mes mouvements de va-et-vient. Plus que ses cris qui attireraient quiconque se trouve dans le coin, je remarque vite que les quelques oiseaux qui étaient jusqu’alors tranquillement installés dans leurs arbres prennent leurs envols pour s’éloigner de nous. Oups.

Les mains maintenant toujours fermement ses splendides fesses et mon pénis faisant sien l’intérieur de son être, je me rends compte qu’elle commence à perdre le contrôle. D’abord en s’effondrant sur la roche, puis en criant encore plus son plaisir. De mon côté j’ai bien une idée de commencer la pousser à bout, et puisque pour une fois le plaisir de ma partenaire m’importe un minimum je me penche légèrement en avant – juste assez pour pouvoir glisser l’une de mes mains entre ses cuisses et venir titiller son clitoris du bout des doigts. L’intensité du moment est-elle que je sens la pression grimper en moi comme elle grimpe en elle, et lorsqu’elle commence à jouir mon corps n’est que trop heureux de la rejoindre dans son orgasme et d’inonder son utérus de semence.

« OOooh… hhhmmmmf… ! »

J’expire bien trop fort pour vraiment prononcer des mots, mais lorsque je sens que je suis totalement drainée je viens l’entourer de mes bras pour lui éviter de tomber au sol. J’en profite aussi pour venir glisser une main sur sa généreuse poitrine, que je caresse et tâte avec plaisir.

« Aaah… quel pied… »

J’en viens à me demander si je ne devrais pas sauver des demoiselles en détresse plus souvent tiens. Ou m’assurer qu’il y a des mimics un peu partout, au choix. En tout cas, je me note que leur bave peut rendre les choses incroyablement intenses. Et maintenant ? Je profite encore un peu de ce corps si désirable, le temps qu’elle retrouve assez ses esprits pour se rendre compte que j’ai éjaculé en elle. Je ne suis sûrement pas la première ni la dernière à le faire, tout comme ce n’est pas la première fois que je le fais non plus, mais je suis très curieuse de voir sa réaction maintenant que notre libido a été satisfaite.

Essoufflée après cette folle chevauchée, Marguerite se laisse aller avec délectation contre la pierre fraiche et moussue sous elle.  Elle qui avait souhaité montrer sa reconnaissance à sa sauveteuse s'en tire au bout du compte avec la partie de jambe en l'air la plus réussie depuis longtemps. Qui avait cru qu'il lui faudrait une femme certes un peu spéciale pour lui apporter ce plaisir là ... ? Cheveux défaits et visage en sueur, elle se tourne à moitié pour regarder par dessus son épaule et river son regard à celui de son amante. Impudique dans sa nudité offerte, elle ne se soucie pas davantage des trainées blanches qui tracent des sillons luisants sur l'intérieur de ses cuisses.

- Wow c'était ... quelqu'chose !

Finit elle par dire après revoir repris un semblant de souffle. Son regard descend naturellement vers le membre si étrange à voir sur un corps féminin. Les sensations avaient été les mêmes qu'avec celui d'un homme. Elles avaient même été décuplées par l'excitation causée par cette situation honteusement hors norme ainsi que, elle l'ignore cependant, possiblement l'effet des fluides de la créature.

En tout cas, si l'inconnue avait craint que Marguerite regrette son geste une fois le plaisir consommé, elle peut se rassurer. La paysanne ne semble pas plus farouche maintenant qu'à sa sortie du Mimique et couve le corps de sa sauveuse de la même admiration béate que lors de la découverte de ce braquemart innattendu.

- Est-ce que ... lui aussi doit s'reposer, comme celui d'un homme ... ?

Demande t'elle alors qu'elle se redresse et retrouve une position assise sur la roche moussue. Sans fausse timidité, elle vient doucement caresser le membre qui a si bien fait son oeuvre. Encore maculée et luisante de ses fluides, la verge devrait en toute logique finir par ramollir et rendre les armes.
Ca n'empêche pas Marguerite de se pencher en avant et de délicatement venir receuillir du bout de la langue les vestiges de leur union. A la fois par envie, car le goût laissé par leurs ébats lui plait. Mais également par gratitude, une fois encore pour remercier l'inconnue qui une fois encore s'est bien occupée d'elle.

Et puis qui sait, peut être que quelques minutes de ce traitement pourraient réussir à raviver son ardeur ... ?

Les premiers mots qu’elle prononce après cette partie de jambe en l’air improvisée me surprennent, puis me font rire. C’est pas tous les jours que ma partenaire est ravie de ce que nous avons fait, et l’exprime aussi clairement. Mais elle a raison, c’était quelque chose ! S’il y a bien une chose qui échappe totalement à la position sociale, c’est cette capacité à procurer du plaisir. Elle bat à plate couture toutes ces greluches nobles que j’ai eu l’occasion de choper, et son manque apparent de tabou est franchement rafraichissant.

« Je ne te cache pas que j’ai beaucoup apprécié moi aussi. »

Autant le lui dire. De toute façon avec ce que j’ai balancé en elle, elle doit s’en être rendue compte. Le mimic doit surement y être pour quelque chose, mais est-il le seul responsable ? Je suppose que la seule façon d’en être sûre sera d’aller lui rendre à nouveau visite à l’occasion… mais pour l’instant…

« Normalement oui, mais… »

Mais en général, mon érection dure un petit moment. C’est peut-être mon côté démoniaque ça, je ne sais pas trop. Sans connaître mes parents, je ne sais pas non plus ce que je suis concrètement alors… et avec le possible aphrodisiaque et cette beauté, je ne suis pas aidée non plus. Donc normalement oui, mais là non pas du tout. Je crois même avoir envie de la prendre à nouveau là tout de suite, mais je la laisse prendre l’initiative et recommencer à me sucer. Quel joli spectacle ! Il y a cependant une question qui me trotte dans la tête, que je murmure d’un ton bien trop sensuel… sans doute que l’idée ne me déplait pas en soi…

« Mais tu n’as pas peur que je te mette enceinte… ? »

Je glisse ma main dans ses cheveux pour l’encourager à continuer son traitement, tout en attendant sa réponse. En réalité peu importe, j’ai bien envi de continuer… et maintenant que mon membre est plus que bien lubrifié, il y a quelque chose qui me plairait bien…

« Si tu veux, tu peux utiliser tes seins… le temps de récupérer plus bas… »