De l’animal et du végétal. [PV Kana]

Au fin fond de la forêt, parmi les buissons et les fourrées, navigue un être végétal en quête de discrétion. Sa forme n’a pourtant rien de discret, un amas étrange de vrilles végétales, de racines, de fleurs et de feuilles qui se meut sans bruit. Glissant lentement sur le tapis végétal, malgré sa masse et sa forme grotesque, elle ne fait pas plus de bruit que le bruissement des feuilles soulever par le vent. Sa progression est lente, mais certaine. Mais néanmoins difficile à suivre, l’amas se scindant à chaque arbre ou rocher massif, puis se regroupant une fois l’obstacle passé. Soudain l’amas végétal s’arrête et se rassemble, un bruissement de l’air lui a fait sentir l’approche d’un autre être vivant doué de conscience. L’amas reprendre peu à peu sa forme d’origine et Akita prend sa forme hermaphrodite, une poitrine largement supérieure à la moyenne humain et un membre viril lui aussi supérieur en volume au standard humain.

La femme-plante observe au loin, se qu’elle a sentit grâce aux cils minuscules et très sensibles de son "épiderme" végétal. Un être humanoïde, mais à l’apparence très féline semble chercher quelque chose dans la nature qui l’entoure. Akita n’a jamais vu un être avec une couleur bleu aussi intense et se déplaçant avec une nudité aussi peu gênante pour elle. Curieuse, elle ne cache guère sa présence à l’être qu’elle observe.

Aujourd’hui, petit jour de congé, je n’avais pas prévu de mission de renseignement ni de coucher avec des client a la maison close. Juste un après-midi normal dans la forêt, et si je pouvais récupérer quelques herbes pour faire un peu d’alchimie c’est tout bénef. Je pars donc sous mon apparence de chatte, avec un simple petit sac à dos contenant une gourde d’eau et de l’espace pour les herbes. J’avais mon habituelle capote attacher au collier de mon coup, mais rien de sur naturelle.

Une fois dans la forêt, je me promène à divers endroits, un peu en dehors des sentiers battue, et finit même par tomber sur deux harpies en train, celons tout vraisemblance, d’en crée une nouvelle. Je les observe un moment à distance, pour ne pas les déranger et quand elles ont fini et s’envole, je reprends ma route vers un cois à jacinthe des bois. Une magnifique fleur bleue, sent très bon et serre en alchi pour divers usages.

Je venais d’en récupérer un petit paquet, quand j’entent quelqu’un passer un arbre en fasse et voie une femme verte, affilier à la nature a n’en pas douter, a la lourde poitrine et au pénis qui tombais lourdement entre ces jambes. Je restai bouche bée devant de spectacle pour le moins époustouflant...

- wawe, je n’y crois pas...

Je secouai un moment ma tête pour me remettre les idées en place et me rapproche d’elle en mettant mes fleurs en place...

- Salut, je m’appelle Kana, et toi? Tu es un femme pénis... Heu plante pardon?

Je rougie à mon lapsus et lui tend la main...

La femme-plante ne relève pas le lapsus de la femme-chat. Tout simplement, parce qu’elle ne comprend et ne le juge pas utile. Plutôt que de serrer la main qui lui est tendue, tend les siennes. Elle touche la chevelure de l’étrange créature, fascinée par cette étrange couleur bleue qu’elle arbore. Elle lui masse ses oreilles, descend sur le cou. Les mains esquivent l’étrange collier. Elles viennent masser les épaules et le dos. Les bras sont examinés, les aisselles observées. Les seins sont lentement pétris entre les mains végétales et les leur sommets entre les doigts. L’exploration se poursuit en passant sur le ventre et en chatouillant le nombril. Le voyage des mains continue, elles examinent diligemment les jambes et les écarte. Une examine l’entrejambe, elle caresse la vulve, le clitoris. L’autre main caresse les fesses, l’entre-fesse, titille l’œillet brun. Le contact avec la fourrure, un contact qu’Akita ne connaît pas, plus qu’elle ne connaît le mot "fourrure", avait attiré la femme-plante au-delà de tout respect pour l’intégrité physique de la féline créature ou de tout respect des, sans que cela n’émeuve la végétale créature. Sa curiosité satisfaite, elle relâche son étreinte sur le pauvre être qui la saluait.

"-Akita n’a jamais vu cette couleur, ni d’être comme Kana.

Malgré son attitude, la tactile créature ne semble pas montrer de gêne ou de peur. Ses yeux ne reflètent que la curiosité et l’interrogation. Une de ses mains continue de caresser distraitement l’épaule de Kara, appréciant le contact avec son étrange fourrure.

"-Akita est une plante. Mâle, femelle, mâle et femelle, plusieurs fois mâle, plusieurs femelle, plusieurs fois mâle et femelle, tout ce qu’elle veut."

Je suis contente que la femme plante ne relève pas mon lapsus, mais quand elle tendit la main je fus surprise de constater qu’elle ne la tendait pas pour prendre la mienne, mais pour la glisser dans mes cheveux. Son autre main suivis bien vite le mouvement et je restai pantois devant elle la main tendue vers elle qui caressais ma chevelure et mes oreilles avant de descendre sur mes épaules. Je descendis ma main pour la remettre le long de mon cops, comprenant bien qu’elle n’avait pas l’intention de la serre, mais fus cependant très surprise quand elle s’empara de mes seins pour les pétrir et titiller les tétons...

- Hein mais ques que vous...

Elle les lâchant après une dizaine de seconde pour continuer son “avalise”, comme s’il s’agissais de la première fois qu’elle voyais/touchais un être de chair. Je ne pouvais pas être la première fille de chair à venir dans cet foret et croiser cette fille plante, ce n’est pas possible. Voilà qu’elle passait au nombril et semblais continuer...

- Attend tu ne vas quand même pas, AH SI...

Elle venait de passer une main sur mon intimité et l’autre sur mon entre fesse, et me dis alors que c’était la première fois qu’elle voyais une femme de ma couleur et comme moi, avec de la fourrure compris-je rapidement. Je fus surpris mais la laissa faire un moment temps qu’elle ne rentrais pas de doigt en moi, se fus donc le visage très surpris, et les bras légèrement sur élevée, que je la regarde terminer son “inspection”.

Elle me révéla alors, une main remontant sur mon épaule, qu’elle s’appelle Akita et qu’elle est a la fois fille et mâle.

-Ho sérieusement?

Dis-je une nouvelle fois surpris, et comme elle c’était permise une fouille sans me demander l’autorisation, j’en fis de même. Sa partie mâle ne faisais aucun doute, pensais-je en regardant son grand chibre vert prendre entre ces jambes, mais elle avait aussi une partie féminin? Je tendis la main droite et la glissa sous les testicules de la plate pour chercher. Je ne cherchai pas longtemps avant de trouver un trou vers l’intérieur de son corps...

- Ah oui, cool pour vous ça... Vous avez une préférence?

Lâche son trous féminin, et la regarde dans les yeux...

- Et bien ravie de faire votre connaissance, vous cherchez quelque chose? Je peux vous aidez? 

Si Akita n’est jamais embarrassée lorsqu’il s’agit de toucher quelqu’un. Elle trouve surprenant qu’autrui fasse de même sur elle. Les êtres de chair ne sont pas comme les êtres végétaux et donc, elle ne comprend pas qu’ils puissent agir de la même façon qu’elle. Rarement l’être végétal est caressé et elle trouve la sensation plaisante, où que se porte le contact sur son épiderme vert. Elle trouve aussi la question surprenant.

-Une préférence ? Akita est Akita. Elle est ce qu’elle veut. Et elle est ce qu’elle est. Elle ne change pas. Les êtres de chairs changent, Akita ne change pas.

Mésinterprétant, les paroles et les gestes de Kana. La femme-plante se rapproche de la féline créature, leurs poitrines s’effleurent légèrement. Ses mains végétales se saisissent de ses poignets délicatement. Elle pose une des mains félines sur son membre végétale et l’autre sur son intimité. Cette dernière change de forme, se dotant de trois vrilles. L’un d’elle vient effleurer l’intimité de Kana de haut en bas, une autre effleure l’orifice étoilé entre ses fesses et la dernière joue avec la base de la queue féline. Son membre prend diverses formes sous la main désormais posée dessus.

-Kana est douce. Kana est intéressé par le pénis d’Akita ? Akita veut bien lui donner du plaisir, si elle est intéressée.

Mais la femme-plante hésite un instant. Elle réfléchit sur la nature de son être. Elle ne voulait pas faire de mal à Kana et préfère la prévenir sur ce qu'elle peut faire. Du moins, elle essaie d'expliquer à sa façon.

-Mais Akita produit du liquide qui donne du plaisir, beaucoup de plaisir. Elle a des fruits qui font tout plein de choses sur les gens, des fleurs qui font tout plein de chose sur les gens. Aussi du sang, très poison pour les êtres de chair. Alors Kana ne doit pas mordre Akita, attention.

Quand je lâche sa partie féminine, convaincue qu’elle disait vrais, je reporte mon regard sur son visage et est surprise de constater comme de la confusion, pourquoi? Elle s’est permise de me toucher sans me demander, pourquoi moi je n’aurais pas le droits? Après quoi je lui demande si elle a une préférence entre donner son sperme, ou sa sève, ou en recevoir. Elle me donne la réponse la plus vague que j’ai eu de ma vie, se doit être due aux faites qu’elle n’a pas l’habitude de parler au “être de chair” comme elle dit.

Je comprends juste que pour elle prendre ou donner, pas de différence. Mais n’aie pas le temps de pousser mon résonnement beaucoup plus loin car elle venait de prendre mes mains pour les posés sur son chibre, et sur son intimité. Je rougie sur le moment, me demandant ce qu’elle me voulait, mais la réponse ne se fit pas attendre car elle vint presque se coller à moi, nos tétons se pressant l’un a l’autre, et je pouvais sentir comme des tentacules qui partais de son intimité pour caresser la mienne ainsi que mon derrière et la base de ma queue dorsale...

- Que quoi toi faire...?

Mais la réponse n’eut pas d’impotence très longtemps, elle m’avoua d’elle même que son sperme est un puissant aphrodisiaque, qu’elle produit des fruits qui donne des hallucinations au gent, qu’elle fait des fleurs au propriété spécial et enfin que son sang est un puissant poison? Je ne compris pas trop pourquoi elle me disait tout ça, mais si une chose est sûr c’est qu’elle représente à elle seul bien plus que ce que j’étais venue chercher.

C’est donc par envie de récolter ces ingrédients que je commence à la masturber gentiment d’une main. Je glisse aussi deus doigt en elle, cherchant à voir si une plante “mouille” et pour finir je rapproche nos lèvres et dit juste avant le contacte...

- Merci pour l’avertissement, tu me donnerais de ces liquide et produit de toi? Pour jouer avec chez moi...

Je colle nos lèvres et augmente la vitesse de masturbation guettant l’augmentation de plaisir. Je gémis à la suite de ces attouchements sur mon intimité et ronronne même à ceux sur ma queue. C’était la première fois que j’entendais parler d’une créature comme elle, Je me demande comment elle se reproduis pour que personne n’en entende parler...