Yor et Aoi regardent ce qu’il reste des nyoras s’amuser avec Laëlia, bien que celle-ci se retrouve moins sollicitée. Ils ont bien conscience que la belle commence à fatiguer, et ils ne la blâmeront pas pour ça : avec le déchaînement qui a eu lieu, n’importe qui serait épuisé.
Néanmoins, Ada l’attire tout de même à elle pour partager les derniers instants de cette baise torride : d’abord en léchant et suçant ses doigts imbibés de fluides, puis en l’embrassant et la serrant contre elle – un moyen évident de profiter de sa chaleur corporelle et de sentir sa poitrine s’écraser contre la sienne. Pendant ce temps, Nea envahit avec insistance son corps au point où il est difficile de ne pas remarquer la déformation que subit la nyora, qui jubile sous ce traitement et apprécie le doigté de la vendeuse.
« AAaah… je… ! »
Sans voix, la nyora commence à se tendre en sentant qu’à son tour elle va finir par jouir. Elle tente de se retenir autant que possible attendant l’instant où Nea va gicler en elle pour se relâcher… heureusement, ce moment arrive plus tôt que tard et, alors que Nea laisse échapper des grognements et commence à remplir plus que de raison sa partenaire, Ada jouit.
Les deux mettent du temps à redescendre, particulièrement Ada dont le ventre a pris un peu de volume, et reprennent lentement leur souffle en écoutant les paroles de Laëlia. C’est la plus fraîche du groupe, Aoi, qui lui répond en premier.
« T’as été exceptionnelle ma belle, il faut absolument qu’on se revoit ! »
Elle échange un baiser avec la vendeuse, avant que les autres nyoras fassent de même, et cherche ses vêtements du regard. C’est le moment de se rhabiller !
« Tiens, prend ça. »
Ada tend une sorte de carte de visite, sur laquelle elle a noté ‘vip – ada’. Elle explique d’un ton presque professionnel :
« On a notre club, tu viens quand tu veux. On n’a pas vraiment de système VIP, mais on s’arrangera d’ici ta venue… »
Comment ? Elle ne le sait pas encore, mais elle trouvera bien quelque chose avec Aya. Dans l’idéal, elle n’a pas envie de faire payer quoique ce soit à leur amante du jour et est persuadée qu’elle s’amusera tout autant qu’eux là-bas !