Bonne fille qui a su instinctivement où était sa place. On pourrait même dire que tu sait y faire, du moins si tu étais vierge et que c'était ta première f...attend, ça se pourrait ? Non, tu n'as pas hésité plus que ça, ni fait ta mijorée, mais tu ne dois pas avoir beaucoup d'expérience.
C'est parfait dis donc, un diamant brut, prêt à être sculptée au nom de la débauche. Mais la première étape d'une sculpture c'est de taillé dans le gras le plus large possible. C'est douloureux, radical, mais il n'y a pas de retour possible. Dans le cas présent, ça se traduit par ma main qui attrape ta gorge et empale le plus possible ta jolie ptite gueule, sans te demander ton avis. La privation d'oxygène, la sensation de régurgitation imminente, et d'étouffement peut être terrifiant au début.
Tes gestes affolés pour te débattre et te libérer sont inutiles, jusqu'à ce que moi même je te libère pour te laisser prendre une putain de bouffée d'oxygène, la bave coulant encore au sol, et le manque d'oxygène te donne un air totalement sonnée et choquée.
Est ce que j'en ai quelque chose à foutre ? Non.
Après t'avoir suffisamment laissée respirer, je t'empale à nouveau, et je me sens durcir encore plus alors que je sens ta langue, instictivement faire son travail, malgré la vue de tes yeux révulsés, tes bruits de déglutitions, et tes gestes désespérés cherchant à me faire comprendre que tu as besoin de respirer.
- Et bien ma sorcière, ça fait quoi découvrir ce qu'est une véritable baise ?
Trop occupée à tousser pour répondre, je t'attrape par la nuque et te soulève du sol afin de glisser ma main plus facilement entre tes cuisses qui bavent autant que ta bouche.
Une vraie salope soumise qui s'ignore. J'ai l'intention de t'éduquer, et ton laboratoire recèle d'outils très intéressant. Sans doute pour mener tes expériences sur des créatures dangereuses, pour assurer ta sécurité. Mais d'ici que l'on ai terminé, tu te retrouveras à leur place, subissant mes expériences...personnelles.
Mais pour l'heure tu te retrouves de nouveau au sol. Le buste plaquée contre celui ci, le cul relevé, lorsque d'un coup de griffe je déchire ta jupe et ton sous vêtement, dévoilant ta fente dégoulinante, ouverte à m'en lécher les babines, tandis que j'approche mon museau de ta croupe. J'ai constaté depuis quelques mois que je suis transformé combien la langue des loups est plus longue, rugueuse qu'une langue humaine. Un atout de premier ordre pour venir flatter les fentes féminine d'une femme.
C'est pour cela que, tenant ma queue d'une main pour la branler intensément tout en évitant qu'elle ne frappe le sol, je sors ma langue pour la frôler contre ton intimité provoquant un sursaut...je recommence, toujours frôlant, jouant à tourner autour, sans pour autant te donner la satisfaction de me lancer vraiment dessus. Et je sens que l'impatience que je m'y mette réellement monte. Tant mieux, je vais jouer avec, tandis que je passe ma langue sur toute la longueur de ta chatte avant de t'en priver, encore...