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Petites offrandes entre amis [Vittorio & Physalis]

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Physalis

Créature

Petites offrandes entre amis [Vittorio & Physalis]

vendredi 24 février 2023, 17:22:53


- Rha mais m*rde je comprend pas !


Au milieu d'une jolie clairière ensoleillée et printanière, aux pieds d'une statue et d'un autel, un homme cul-nu s'astique le poireau et ... semble de plus en plus frustré de ne pas réussir à éveiller la moindre réaction chez lui. Incompréhension, gêne, colère. Devant lui, deux compagnons maintiennent au sol une créature cornue au pelage roux et aux pattes de chèvre. Une Satyre. Renversée sur le dos, la toge blanche de celle-ci a été presque  complètement déchirée et il ne fait aucun doute sur les intentions de ses trois assaillants en ce qui la concerne.

Sauf que ben ... ca vient pas. Les deux comparses commencent à grommeler et s'impatienter pendant que la Satyre affiche tous les signes de l'ennui.

- Bon alors, c'est pour aujourd'hui ou pour demain ? Laisses nous la place si t'es pas capable ...

- Minute, b*rdel ! Ca va venir.

Mais non, rien à faire. Il s'ensuit une vague engueulade. La créature (qui ne se débat pas spécialement) étouffe un baillement et répond d'un ton las ...

- Mince alors, qui aurait pu croire que vouloir piller un temple et tenter de violer une créature dans un sanctuaire de sa divinité pourrait maudire quelqu'un ...

Le malandrin regarde la satyre avec incompréhension, main encore refermée sur son membre totalement et désespérément mou.

- Quoi ... ?

- Ben quoi, quoi ... ? Tu vois bien que ca marche plus. Couic. Kaput. Fallait pas fâcher papa divin.

- Retires moi cette malédiction tout de suite !

- Ah mais tu crois que j'y peux quelque chose, moi  ?? Arranges toi avec le Patron.

Elle fait un signe de menton en direction de la statue du grand bonhomme barbu qui préside le sanctuaire. La statue est d'ailleurs fort flatteuse pour la divinité. Musculature athlétique, pose conquérante au dessus de figures féminines et masculines dénudées à ses pieds (Eh ... oui ils sont comme ça chez nous. Il y'en a qui aiment le salé autant que le sucré. C'est pas un crime.). Il porte sous le bras une corne d'abondance débordante de fruits et boit à une amphore-fontaine qui ne semble jamais pouvoir s'épuiser.

La réponse ne satisfait évidemment pas le profanateur qui se met à se répandre en menaces et insanités alors que ses comparses inquiets la relachent brutalement et commencent à vérifier dans leurs pantalons pour faire des constatations.

Ca laisse de marbre la Satyre qui se redresse, assise dans l'herbe et entreprend de se recoiffer. Assez peu interessée par les émois des voleurs privés de leurs ardeurs, elle finit par demander, avec le même intérêt que si elle s'enquerait du sens du vent.

- Bon, vous me relâchez ou vous me passez l'épée en travers le corps ? Non parce que les deux me vont, vu que mon essence est techniquement immortelle, je  ...

- Ta gu*le !

- Woawaow  ... t'as le droit d'être poli aussi.

L'air en rage, son interlocuteur remonte son pantalon et vocifère tout en bouclant son ceinturon/

- Tes cornes valent quand même une blinde je suis sûr ! Ou ton petit c*l sur les marchés à esclaves. On va gagner assez pour se faire désenvoûter et bien plus encore.

- La barbe ...

Les futurs kidnappeur mettent la main sur des chaines et les brandissent avec un sourire mauvais. Finir un collier au cou ne fait visiblement pas partie des solutions "acceptables" aux yeux de la Satyre qui se dresse soudainement sur ses deux pattes sabotées et se met à  bondir de rochers en rochers à une vitesse ahurissante. Mis en confiance par sa docilité apparente, les agresseurs n'avaient pas anticipé une si soudaine vivacité et avaient relâché leur vigilance.

- Attrapez-la !

Les trois ballots se mette à crier et à tenter de rattraper la Satyre bondissante. Un rire cristallin s'échappe de ses lèvres alors qu'elle lance derrière elle.

- Ciao bande d'impuissants !

A la vitesse où elle file, il y a bien peu de chances pour qu'elle se fasse rattraper en plein milieu naturel. C'était sans compter sur un nouveau protagoniste devant qui elle tombe soudain nez à nez. Un jeune homme armé, mieux bâti que les trois autres qui visiblement, avait du assister au moins en partie à la scène.

- M*rde, un autre ...  !

Et elle vient de se jeter quasiment dans ses bras. Autant dire que si il est de mèche avec les autres, ca s'annonce très mal pour elle !

Physalis

Créature

Re : Petites offrandes entre amis [Vittorio & Physalis]

Réponse 1 mercredi 08 mars 2023, 15:35:06


- Ah !

L'inconnu se révèle être un sauveur ! La Satyre ne se fait pas prier pour bondir se cacher derrière lui pendant qu'il fait face aux poursuivants. Alors que ceux-ci s'arrêtent, hésitent et s'interrogent sur la suite à donner à cette poursuite, l'insolente créature ne se prive par pour leur adresser des regards et des gestes moqueurs. Ils finissent par renoncer, ce qui provoque les vivats de la cornue.

- Yay, vous les avez fait fuir !

Elle fait un pied de nez en direction des fuyards humiliés et se met à danser autour du jeune héros pendant qu'ils retournent vers l'autel. L'expérience ne semble pas avoir traumatisé la créature au point de lui faire perdre sa bonne humeur.

- Ils auraient pu vous faire très mal. Quel courage insensé vous avez eu. Tout le monde n'est pas immortel !

La déférence de celui qu'elle croit être un mortel semble l'amuser autant que lui faire plaisir. D'origine divine ou pas, toutes les filles rêvent d'être traitées comme des princesses. Et croyez-le ou non, c'est fort difficile d'être considérée avec égards quand ses loisirs principaux sont de rire avec les hommes, boire et finir retournée sur le dos à la moindre occasion. Chaque petit pas qu'il fait pour s'éloigner d'elle est aussitôt suivi par un petit bond en avant qui lui permet de rester accrochée à son bras.

- Comme ca aurait été triste qu'ils vous abiment. Vous êtes bien trop beau pour ça. 

Compliment fait sans détour, le regard brillant levé vers le visage du blond. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'elle ne perd pas le nord la sabotée ! Un beau jeune homme dévoué dans son sanctuaire, brave et méritant. Ce serait un crime que de ne pas le récompenser à la justesse de ses mérites, n'est-ce pas ? Pourtant, avant qu'elle ait eu le temps de lui proposer la gratification méritée le voilà qui se présente et ... offre de réparer l'affront commis par les rufians ! La Satyre pourrait l'arrêter, lui dire que c'est elle qui se sent débitrice. Maaaaaais ... ah ... comment dire non à ce si beau fruit qui lui est offert avec tant de spontanéité ? Un demi-sourire apparait sur ses lèves alors qu'elle répond d'un ton où pointe une once de malice.

- J'accepte ton offrande, Vittorio. Je m'appelle Physalis.

Chair ferme et appetissante, peau de velours et teint de miel. Le cadeau qui lui est fait est somptueux. Elle n'a qu'une envie, c'est de le croquer. L'abricot aussi n'a pas l'air si mal d'ailleurs. C'est dans la chair de ce dernier qu'elle choisi d'abord de planter les dents.

Avec un mélange d'amusement et de provocation, la créature rive son regard dans celui de son sauveur. Elle se rapproche tout contre lui et vient lui saisir la main tenant le fruit. Par des gestes doux elle l'incite à amener l'abricot à hauteur de son visage avant de mordre dans le fruit charnu, encore lové dans la paume de l'homme. Le fruit est mûr, sucré. Son jus dégouline depuis le menton jusqu'au cou de la belle autant que les doigts de celui qui tient le fruit.

Hasard ou geste délibéré ? "L'accident" lui permet de prendre un air faussemnt surpris et de minauder.

- Oh ... Regardes-moi ça. On en a mis partout.

Espiègle, regard toujours rivé dans le sien, elle penche la tête et se fait un devoir de recueillir du bout de la langue jus sucré sur les doigts du jeune-homme.  Savourant autant le suc de l'abricot que la réaction qu'elle suscite chez son partenaire, elle pousse le bouchon jusqu'à presser entre ses mains menues ce qu'il reste du fruit de manière à ce que davantage de jus dégouline.
Sur elle cette fois.

Physalis

Créature

Re : Petites offrandes entre amis [Vittorio & Physalis]

Réponse 2 jeudi 27 avril 2023, 16:14:37


La Satyre lève vers le héros un regard faussement coupable quand celui-ci lui reproche la "maladresse" avec laquelle elle aura mangé. Elle se dandine, d'un sabot sur l'autre dans un jeu faussement candide.

- Pardon. Je peux être si maladroite quand je m'y met.

Elle porte sur les doigts de l'homme un dernier coup de langue faussement contrit avant que celui-ci réagisse de la manière espérée. Le jus sucré qui avait ruisselé sur la peau de la Satyre était une invitation, le héros l'avait bien compris. L'empressement qu'il met à répondre à l'appel fait légèrement rire puis bientôt soupirer d'envie la créature divine.

Elle se cambre en arrière et ferme les yeux, s'abandonne à la sensation de la langue de son amant qui léché avec appétit chaque goutte de jus qui perle sur son corps.  Flattée, d'être ainsi révérée par le "fidèle", la belle soupire, gémit parfois quand la langue vient chercher son dû sur une zone plus sensible. Il n'est pas difficile de déceler à quel point les gestes de Vittorio excitent la divine créature. Ses yeux se font brillants, son souffle se raccourcit, rythmé par les battements de son cœur qui s'accélèrent à leur tour. Ses lèvres se gonflent légèrement, témoignant de la tension qui monte en elle, tandis que le rose lui monte aux joues. Ses seins se durcissent, pointant fièrement vers le ciel, tandis que son ventre se contracte, comme si elle était sur le point de s'envoler.

La suite que Vittorio propose de donner fait frissonner la Créature qui se redresse sur ses sabots et vient chercher un baiser sucré aux lèvres de l'homme. Elle peut sentir l'odeur musquée de son parfum, mêlée à celle de la forêt environnante. Son cœur bat la chamade alors qu'elle l'embrasse, posant ses lèvres sur les siennes avec un appétit dévorant.

Elle laisse sa langue glisser entre ses lèvres pour explorer sa bouche, s'enivrant du goût sucré de son souffle. Leurs langues se mêlent en une danse sensuelle, alors qu'elle se blottit contre lui, savourant chaque instant de cet échange de baisers. Ses mains s'entrelacent dans les cheveux de l'amant, tandis qu'il la serre contre lui et que les mains se font peut être baladeuses.

Quand leurs lèvres se séparent, elle reste proche de lui, souffle court, les yeux levés vers les siens. On peut deviner l'étincelle de désir qui brille dans ses yeux, comme le reflet de celle qui anime peut-être le regard de l'homme.

- Je t'en prie, ne t'arrête pas.

Elle se recule a pas prudents, elle entraine l'homme avec elle. Elle cherche à le caresser, toucher sa peau, maintenir le contact avec le corps désiré. Jusqu'à ce que son dos touche l'autel de pierre qui trône au centre du sanctuaire. Elle s'y hisse à reculons, s'asseyant sans pudeur sur la pierre nue et écartant quelques uns des paniers et bols d'offrande. Beaucoup de divinités auraient été outragées de voir un de leur lieu consacré sur le point de servir de support pour les ébats enflammés de deux impudents presque-mortels. Mais l'entité tutélaire des lieux n'est pas le genre à s'en offusquer, bien au contraire. Voir la belle cornue se renverser sur la table de pierre, écarter les cuisses pour laisser avec impudeur son amant disposer d'elle selon son gré est probablement au goût de cette dernière.

Aucune foudre divine ne les frappe. Aucun grondement, aucune colère, aucune malédiction. Seule une brise printanière chargée d'odeurs de fleurs et de fruits est portée à leurs nez. Physalis lui répond, un sourire joueur et provocateur aux lèvres.

- Viens. Montres moi comment tu honores les dieux.

Et elle souffle plus bas ...

- Et puis après ce sera mon tour ... si tu le mérite.

La phrase aurait pu être prononcée avec supériorité et arrogance. Mais non, l'intonation de la belle et celle du jeu. Il semble manifeste que l'hypothèse d'être déçue et devoir infliger des rétorsions au mortel ne semble pas l'effleurer. Après tout, ne vient t'il pas déjà de la sauver d'un destin peu enviable et faire d'elle sa débitrice ?




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