Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Fenêtre sur cour (PV)

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Bastien Hachimato

Humain(e)

Fenêtre sur cour (PV)

lundi 28 novembre 2022, 19:40:42

 

Cela faisait bientôt trois jours que Bastien avait été contraint de quitter son penthouse du centre-ville, son jacuzzi s'étant déversé dans le salon. Plusieurs semaines de travaux et de constats d'assurances seraient nécessaires avant qu'il ne puisse rentrer chez lui. C'est donc seulement avec une valise qu'il a emménagé dans un appartement qui appartenait autrefois à ses parents et qui était jusqu'alors inoccupé. Loin d'être dans les gratte-ciels modernes du centre d'affaire, il était niché au dernier étage dans un vieil immeuble du centre historique. Composé d'une chambre, d'un salon, d'une salle de bain et d'une cuisine, cet appartement à l'ancienne était tout en longueur et chaque pièce était dotée d'une grande fenêtre qui donnaient toutes sur une cour intérieure. Sa vue mer d'antan avait disparu au profit d'une mosaïque de fenêtre, chacune témoin d'une scène de vie.

 

Le soir venu, lorsque la pénombre s'installait et que les appartements s'éclairaient, les fenêtres s'animaient. Il y avait la voisine âgée du troisième étage qui chaque soir à 20h étendait son linge en compagnie de son chat. Il y avait le jeune couple du deuxième qui faisait chambre à part et s'ignorait totalement, probablement bientôt séparés. Il y avait l'ado qui vivait avec sa mère au quatrième étage et qui passait  ses nuits à jouer à la playstation pendant qu'elle travaillait.

 

Arrivé seulement depuis trois jours, il n'avait pas encore repéré tous les appartements et certains ne s'étaient pas encore allumés. Bastien lui-même essayait de ne pas trop allumer ses lumières pour garder un peu d'intimité, ses rideaux extrêmement fins ne cachaient d'ailleurs pas grand-chose. Il avait même pris l'habitude de prendre son bain dans le noir. Il n'allait pas faire installer des volets alors qu'il ne comptai pas rester dans cet appartement. La nuit tombée, il s'installait sur son petit balcon donnant sur la cour et observait les étoiles comme quand il était enfant.

 

Bastien rentrait tard ce vendredi soir, il était presque 21h. Il poussa la lourde porte en bois et rentra dans le hall un peu décrépi. Face à lui, sa hantise: un minuscule ascenseur en bois qui desservait à une vitesse proche de zéro l'intégralité des appartements de l'immeuble. Il était si petit et paraissait si fragile que rares étaient ceux qui s'y aventuraient à deux. A chaque montée, Bastien pensait son heure arrivée en entendant les craquements du mécanisme qui n'avait probablement pas été changé ou entretenu depuis la construction de l'immeuble. Bastien avait quand même de la chance: pour une fois l'ascenseur était là et il n'aurait pas à attendre une éternité qu'il finisse de desservir les étages avant de daigner revenir dans le hall d'entrée.

 

Dans un grand craquement, Bastien ouvrit la petite porte en bois et se glissa tant bien que mal à bord du petit ascenseur éclairé par une minuscule veilleuse, froissant son impeccable costume bleu marine.

Bastien Hachimato

Humain(e)

Re : Fenêtre sur cour (PV)

Réponse 1 lundi 05 décembre 2022, 13:10:30

Alors que la porte en bois de l’ascenseur était enfin en train de se refermer dans un craquement angoissant, une voix féminine vint m’interpeller depuis le hall pour me demander de l’attendre. Au dernier moment, je glissa la main dans l’interstice de la porte pour stopper sa fermeture, priant pour que l’ascenseur soit équipé d’un détecteur de mouvement évitant que je perde ma main. J’avais manifestement le dieu des ascenseurs en ma faveur puisque je parvins à retenir la porte qui s’ouvrit à nouveau. Je resta bouche bée en apercevant la jeune femme. Elle détonait complètement avec l’immeuble. Ses vêtements de grande marque, son élégance et sa manière de se mouvoir ne ressemblaient en rien au style du quartier. J’étais sur de ne l’avoir jamais vu dans la copropriété. La jeune femme accélérera le pas comme elle pu pour me rejoindre, perchée sur de célèbres talons français et le corps moulé dans une robe étroite qui faisait ressortir ses formes idéales.

Je me serra au maximum contre la paroi de bois pour la laisser rentrer dans l’espace étroit.

-Bonsoir. C’est bien normal, vous avez bien fait. Avec cet ascenseur on ne sait jamais quand il va daigner revenir !

La jeune femme se faufila face à moi comme elle pu, me faisant face. L’espace était tellement réduit que son corps était collé au mien, sa poitrine frôlant mon torse, et nos tailles collées. Son parfum était absolument enivrant et son sourire ravageur: j'étais totalement sous son charme.

On partageait manifestement les mêmes craintes d’une panne mais je n’osa pas lui faire remarquer que ce n’était justement peut-être pas une bonne idée de rentrer à deux.

-Croisons les doigts! Quel est votre étage?

La jeune femme m’indiqua le premier. Je réalisa alors que les boutons étaient cachés derrière ses fesses qui appuyaient sur la paroi. Elle ne pouvait pas les actionner elle-même compte tenu de sa position et je n’avais d’autres choix que de tenter de les actionner. Des efforts surhumains me permirent d’actionner à l’aveugle son étage puis le mien sans toucher sa courbe. Mais le démarrage soudain et immédiat de l’ascenseur fit valser nos deux corps. Ma main se retrouva plaquée entre les boutons et ses fesses dont je découvris la fermeté. Sa poitrine vint s’écraser contre mon torse, et je fus parcouru d’un agréable frisson en sentant ses tétons pointer à travers le tissu venir caresser ma peau à travers ma chemise. Malheureusement, je senti que ma main coincée derrière ses fesses venait de presser par inadvertance plusieurs boutons simultanément. Il n’en fallut pas plus pour que l’ascenseur s’arrête aussi soudainement qu’il avait démarré, alors qu’il n’avait pas atteint le premier étage.

Il ne me semblait pas que j’avais vu un quelconque bouton d’alarme et ca m’étonnerait que des voisins s’inquiètent de ne pas voir arriver cet ascenseur d’un autre temps. On n’allait pouvoir compter que sur nous-mêmes.

-J’espère que vous n’êtes pas claustrophobe.

Je leva les yeux au plafond et aperçu une étroite trappe. J’espère qu’on allait pas devoir en arriver là.

Bastien Hachimato

Humain(e)

Re : Fenêtre sur cour (PV)

Réponse 2 vendredi 17 février 2023, 16:37:31

 Je ne pu m'empêcher de sourire en l'apercevant se retourner pour tenter d'ouvrir à mains nues les portes de l'ascenseur rongées par la rouille. Ses ongles manucurés n'allaient pas apprécier.


"Je crois que c'est peine perdue, cette vieille machine est centenaire et le dernier entretien doit dater d'avant votre naissance."


L'avantage c'est que la jeune femme était alors dos à moi et que ses fesses rebondies était venues s'appuyer délicieusement sur mon entrejambe. Il y avait pire position pour être coincé dans un ascenseur. Heureusement que ce n'était pas la vieille du 3ème!  La belle inconnue semblait toutefois de plus en plus agitée, se tortillant dans le minuscule espace de la cage d'ascenseur. J'espère que cela ne présageait pas d'une crise de panique. A chacun de ses mouvements, ses courbes venaient se frotter à mes muscles, éveillant en moi une douce chaleur.


Pourquoi n'y ai-je pas pensé plus tôt! J'ai effectivement mon portable.

 

Je plongea tant bien que mal ma main dans ma poche, appuyant généreusement sur sa fesses pour y accéder et ressorti le smartphone noir.

Ca serait trop beau..... pas de réseau entre les étages. 

 

Je regarda une nouvelle fois dans la direction de la trappe au dessus de nous, utilisant le flash de mon téléphone à portée de main.


Je crois que j'ai une idée... mais ca risque de ne pas vous plaire. A priori notre seul moyen de sortir c'est la trappe qui se situe sur notre plafond. En y accédant on devrait déboucher sur le haut de l'ascenseur qui n'est qu'à quelques mètres du palier.  Je doute que vous puissiez soulever mon gabarit donc je vais vous faire la courte échelle. 

 
Je jeta quand même un œil en direction de ses pieds. Sa tenue n'allait pas simplifier l'opération.


Enlevez vos talons, je tiens quand même à mes mains. Je vais vous soulever jusqu'à la trappe. 

 
Mes mains étaient jointes, prêtes à venir saisir son pied pour la hisser au dessus de moi, alors que j'étais désormais face à elle. Je ne savais pas encore si j'allais réussir à la soulever suffisamment longtemps pour qu'elle ouvre la trappe. Si la trappe était aussi rouillée que le reste, cela risquait d'être un peu plus long. Dans le pire des cas, je poserai ses cuisses sur mes épaules. L'essentiel étant simplement de ne pas trop faire trembler l'ascenseur dont la solidité semble assez relative.
« Modifié: vendredi 17 février 2023, 16:48:34 par Bastien Hachimato »

Bastien Hachimato

Humain(e)

Re : Fenêtre sur cour (PV)

Réponse 3 samedi 18 février 2023, 23:39:16

"UN"

 
Le compte à rebours avait commencé.

Je tenais fermement entre mes mains son pied, prêt à la hisser le plus haut possible. Plus agréable que ses talons qu'elle avait retiré, le contact de ses collants était toutefois assez glissant.

Ne vous inquiétez pas, tout va bien se passer.

 
Je n'y croyais pas du tout mais il fallait bien tenter de la rassurer un peu. Si par miracle la trappe s'ouvrait, il faudrait encore qu'elle se hisse et que j'arrive à la rejoindre pour qu'ensuite nous cherchions ensemble un moyen d'ouvrir la porte coulissante du premier étage. Ses mains vinrent se poser sur mes épaules, le décollage était imminent. 

"DEUX"

 
Je regarde avec concentration son pied que je ne devais pas laisser s'échapper, et je pouvais déjà remarquer sa robe ultra moulante remonter un peu sous l'effet de la flexion de sa jambe. De toute façon il n'y avait pas vraiment de place pour la pudeur dans notre plan.

"TROIS"

 
Alors que je la soulève d'un coup, son second pied vint se glisser entre mes deux mains. Il n'y a plus de retour en arrière quand ses mains quittèrent mes épaules pour tenter d'atteindre la trappe. Difficile de maintenir l'équilibre dans cette cage sombre et étroite mais étonnamment haute de plafond. Surtout, impossible pour moi de lui faire garder l'équilibre juste en bougeant ses pieds. Très vite, la gravité était en train de gagner le combat, basculant son corps vers l'avant. Son bassin vint s'appuyer droit sur mon visage, le tissu de sa robe se plaquant sur ma bouche et mon nez appuyant sur son pubis.

 N'ayez pas peur, tendez vos jambes!

 
Rien à faire, elle restait recroquevillée sur moi, les jambes fléchies. Soudain, son corps bascule en arrière, ses mains ayant probablement quitté le plafond. Là ou je suis j'y vois strictement rien, alors que mes mains glissent sur ses pieds à cause du collant. J'arrive heureusement à rétablir l'équilibre en me penchant à mon tour en arrière pour contrebalancer. Son entrejambe me revient alors en plein visage avec force, ses seins fermes étaient désormais posés sur mon crâne. Elle écarta alors lentement ses cuisses pour tenter de reposer ses genoux contre mes épaules et se stabiliser. Face à mon visage, la robe moulante remonta alors petit à petit jusqu'à faire apparaitre la frontière entre sa peau et les collants qui se révélèrent finalement être des bas.

 Malgré l'effort physique et la panique ambiante, c'est assez excitant et largement suffisant pour dessiner la forme de ma verge à travers mon pantalon. Pas le temps d'apprécier la vue que déjà elle gigote à nouveau. La trappe semble résister, je peux la sentir forcer, ses seins retombant sur ma tête après chaque tentative. Elle commence alors à tambouriner dessus pour faire céder les joints. A chacun de ses coups, son corps se tend et sa robe remonte. Bloqué sous le poids de son corps, j'aperçois inexorablement le tissu disparaitre face à moi. En une poignée de secondes, sa robe s'est transformée en un bandeau reposant sur ses hanches. Mon visage fait désormais face à la dentelle d'un magnifique string noir, si proche que mes lèvres effleurent les siennes à travers le tissu. Entre la dentelle, je peux deviner ses plus intimes détails, tandis que le bout de mon nez est lui appuyé sur son clitoris. Mon cœur s'accélère et je ne peux que difficilement réfréner mon souffle chaud sur sa peau, tandis que ma circulation sanguine converge vers mon sexe désormais bien gonflé. Concentre-toi Bastien, c'est ta voisine et on est coincés en pleine nuit dans un ascenseur. Il faut sortir d'ici.

 Enroulez vos cuisses autour de mon cou et croisez vos chevilles derrière ma tête. J'aurai les mains libres et je pourrai vous aider à garder l'équilibre.

 
Elle gagnerait un peu de hauteur et de stabilité. Pour faciliter la transition, je laisse l'un de ses pieds pour glisser ma main derrière sa première fesse dénudée, puis une fois fermement tenue, je lâche la seconde qui vint saisir à pleine paume sa seconde fesse au galbe parfait. Elle était désormais parfaitement plaquée contre mon visage, même si ses cuisses qui ne tarderaient pas à se refermer autour de mon cou allaient forcer encore plus cet intime contact. C'était inévitable, sinon elle risquait de retomber en arrière. Intérieurement, j'espérais bien que la trappe allait résister un peu, son parfum était enivrant

Bastien Hachimato

Humain(e)

Re : Fenêtre sur cour (PV)

Réponse 4 mardi 21 février 2023, 15:06:08

Sans perdre de temps et aussi déterminée que moi à sortir de cette prison nocturne, ma jolie voisine glisse ses cuisses musclées autour de mon cou, la frontière de ses bas caressant mes joues. Je sens sa prise se resserrer, devinant ses jambes se croiser derrière moi tandis que sa main agrippe mes cheveux. Je suis obligé de garder ma bouche grande ouverte pour capter de l'air dans les interstices de sa dentelle, ma langue collée au tissu et la chaleur de sa fente irradiant mes papilles.

Alors que mes doigts s'enfonçaient dans le muscle de ses fesses afin d'avoir une bonne prise, je réalisais qu'elles étaient non seulement musclées mais aussi très volumineuses. Le passage de la trappe, à la condition évidemment qu'elle s'ouvre, allait être sportif!

La belle inconnue tambourine encore et toujours contre la trappe, son corps se soulevant avant de retomber brutalement à chaque coup. A chaque fois, sa fente frotte de bas en haut sur mon visage, avalant mon nez à travers le tissu avant d'épouser ma bouche. 

Au fur et à mesure, ses gémissements s'accéléraient, jusqu'à ce qu'elle annonce carrément qu'elle allait venir. Parlait-elle toujours de la trappe ou bien de son plaisir intime? Totalement confus et dans le doute, j'exagère alors l'appuie de ma bouche sur son string pour stimuler son clitoris entre mes lèvres. J'aspire légèrement sa protubérance tout en massant sa vulve de mon menton, toujours encouragé par ses râles.

Soudain, un bruit sourd retentit, annonciateur d'une bonne nouvelle: la trappe avait cédé et venait de violemment se retourner sur le toit de l'ascenseur. Je relâche alors un peu la pression sur ses fesses pour me permettre un peu de respirer et libérer ma bouche pour m'exprimer.

-Bravo!! Je n'y croyais plus.

Le visage dégagé, mon menton posé sur son pubis, je pu regarder en haut en sa direction. Je ne voyais pas son visage mais sa poitrine juste au dessus de moi qui ne tenait plus que par un angle de robe d'une fragilité extrême.

-On va faire une pause! Redescendez et on va me faire passer en premier comme ca je vous hisserai de la haut.

Délicatement, je m'agenouilla sur le sol de l'ascenseur pour lui permettre de retirer ses cuisses de mes épaules et de poser pieds à terre. Un dernier coup d'œil au triangle de dentelle noire face à moi et j'aperçus une tâche humide en son centre. Probablement ma salive...

Dans mon pantalon étroit, mon sexe était lourd et gonflé depuis que ma bouche s'était aventurée entre ses cuisses. J'allais faire de mon mieux pour qu'elle remarque rien mais cela s'annonçait difficile. Je me redressa face à elle, tentant difficilement de me mettre de côté pour ne pas qu'elle sente mon érection appuyée sur son corps.

-On a fait le plus dur. A mon tour de faire des acrobaties.

Tel un basketteur, je me projette alors verticalement dans la cage d'ascenseur et mes mains parviennent à saisir les rebords du trou. Toutes ces heures passées à la salle de sport servaient enfin! Je me hisse à la force de mes biceps, abdos tendus, et parviens à passer mon torse dans l'espace plongé dans l'obscurité situé au dessus de la cage d'escalier.

-Je ne vois pas grand-chose mais on devrait pouvoir y tenir à deux! Par contre c''est très bas de plafond.

Je tente alors de me hisser complètement mais mon bassin refuse de passer: mon sexe tendu à travers le tissu bloque. 

-Je vais...je vais y arriver..  Je crois que ma ceinture bloque.

Bastien Hachimato

Humain(e)

Re : Fenêtre sur cour (PV)

Réponse 5 mercredi 01 mars 2023, 23:11:49

Mon corps était toujours suspendu dans les airs à travers le trappe, à la force de mes bras. Je gesticulais tant bien que mal, balançant mon bassin dans tous les sens, mais rien à faire. Tel un bâton, ma verge tendue ne voulait pas passer la trappe. Mon excuse de la ceinture qui bloquait n'allait pas marcher très longtemps, d'autant plus qu'elle devait avoir une vue directe sur mon entrejambe.

 Pire encore, mes testicules étaient si pleines que cela en était douloureux. La faute à la chaleur de sa chatte sur ma bouche. 

 Lorsqu'elle m'annonça qu'elle allait m'aider, je tenta de plus belle de m'extraire de cette satanée trappe par mes propres moyens, mais rien à faire. Je n'avais d'autres choix que de la laisser m'aider.

 Si elle était VRAIMENT naïve, peut-être penserait-elle que ma ceinture était coincée sous mon pantalon...

 Ses doigts se refermèrent sur la couture de mon pantalon. J'ai cru quelques secondes que mon subterfuge avait marqué mais la paume de sa main vint bien appuyer en même temps sur mon érection de taureau.

 C'est dans cette position relativement humiliante qu'elle commença un décompte à l'issue duquel j'étais supposé pousser de toutes mes forces pour enfin dépasser la trappe.

 Alors qu'elle progressait dans le décompte, sa paume s'appuyait de plus en plus sur mon sexe. Mon imagination me jouait des tours car j'avais l'impression que sa paume parcourait un peu ma verge, comme pour en jauger la taille.

 Arrivé à la fin du décompte, je force franchement mais mon gland gorgé de sang est coincé contre le rebord de la trappe. Je sens alors une seconde main venir en renfort qui vient involontairement caresser mon membre gonflé, augmentant encore sa taille. Je force alors à nouveau, tandis que ses doigts s'agrippent désormais à mon érection pour la plaquer contre mon corps.

Enfin! Vous m'avez bien aidé...Désolé pour ma ceinture.

 
Mon bassin réussit finalement à passer et je m'étala de tout mon long sur le toit de l'ascenseur. Je me redressa bien vite en sentant une toile d'araignée sur mon visage.

C'est assez bas de plafond, il faudra bien rester à quatre pattes sinon vous allez vous cogner la tête.


Sans perdre une seconde, je récupéra ses chaussures et son sac qu'elle me tendait par la trappe. Déjà, elle s'apprêtait à s'élancer vers la main que je tendais dans sa direction. Nos paumes se collèrent et nos doigts s'entrelacèrent tandis que je la tira vers le haut.

Le haut de son buste passa sans difficulté mais sa poitrine exubérante avait plus de mal. Ses deux mains occupées, je tenta tant bien que mal de l'aider à faire passer ses deux seins. Je posa mes paumes avec la plus grande délicatesse sur le côte de ses seins pour les presser l'un contre l'autre, espérant réduire leur volume. Leur contact doux et chaud raviva immédiatement mon érection dont la bosse était à quelques centimètres seulement de son visage. Petit à petit, sa poitrine épousa la forme de la trappe pour finalement en jaillir. Sa robe par contre n'avait pas passé l'épreuve de la trappe était s'était enroulée sous sa poitrine. Face à moi, reposant sur le bord de la trappe, sa poitrine nue aux formes irréelles m'était offerte. Ses magnifiques tétons étaient tendus, et mon imagination ne fit qu'un tour: je m'imaginais y refermer mes lèvres pour les sucer délicatement.

 Je me ravisa bien rapidement afin de garder mon sérieux pour la sortir de cette situation humiliante. Je tenta de faire comme si de rien n'était, même si mon érection me trahissait.

Ca va aller, je vais vous tirer les deux bras pour que le reste du corps suive.

 
J'attrapa alors chacune de ses mains et tenta de la tirer. J'étais alors assis face à son buste sortant de la trappe, une jambe de chaque côté de ses épaules et mon érection en direction de son visage. 

 Cette fois, pas le temps pour un compte à rebours. Je tire sans crier gare. Son ventre musclé apparut rapidement mais ses fesses, bien plus volumineuses que ses seins, posèrent un nouveau problème.

Accrochez vos mains à mes cuisses, je vais utiliser les miennes pour faire passer vos... votre bassin.

 
Mes mains ainsi libérées, je renferme mes paumes pour la seconde fois de la soirée sur ses fesses galbées. Je tente tant bien que mal de les malaxer pour gagner petit à petit quelques centimètres. Pour renforcer ma prise, mes doigts glissent le long de ses courbes pour se rapprocher dangereusement du carré de soie de son string entre ses cuisses. Je retrouve alors soudain l'humidité que j'avais remarqué sur le tissu quelques minutes plus tôt. Au contact de mes doigts, je réalisa que ce n'était pas ma salive mais quelque chose d'un peu plus dense qui coulait le long de ses cuisses... Mes doigts commencèrent alors à glisser sur son épiderme. Ma mains s'enfonça alors entre ses fesses, seul moyen d'avoir une prise solide. Je parvins alors à la hisser pour finalement faire surgir ses fesses de la trappe. Sa robe n'avait toutefois pas suivi et s'était enroulée autour de ses cuisses afin finalement de tomber en abs de l'ascenseur sous l'effet de la gravité. Il ne lui restait donc que ses bas et son string.

 Epuisée, la jeune femme se laissa tomber sur moi de tout son corps. Nous étions collés l'un à l'autre dans l'espace étroit, elle sur moi. Mon érection était à peu près cachée par la pénombre de ce nouveau lieu. Son poids appuyait toutefois dangereusement sur mes testicules mais je n'osais pas bouger d'un centimètre.

Il ne nous reste plus qu'à forcer la porte du palier pour nous y glisser et nous serons libérés.


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