Des vrilles surgissent des frondaisons et saisirent l’humaine irrespectueuse. Elles la bastillonnèrent et l’enveloppèrent dans une étreinte ferme. L’un d’elle resta en arrière juste le temps d’éteindre le feu avec de la terre. L’attaque fut plus rapide qu’un humain pouvait réagir et l’imprudente humaine avait disparu le temps d’un éclair. Elle fut entraîné dans un lieu caché, en profondeur, au fond d’une grotte invisible aux humains. Akita avait enfermé sa prisonnière dans un immense fait de multiples vrilles. Poignets et chevilles solidement attachés par des vrilles larges et puissantes, la prisonnière n’avait aucune chance de fuite. Les vrilles lui écartent bras et jambes. Akita apparaît au milieu des vrilles et s’avancent vers l’agresseuse. Un regard noir porté par des yeux écarlates se fixe sur l’infortunée. Le visage de la femme -plante est légèrement déformée par la colère.
"-Sale être chair meurtrier. Personne n’attaque la nature ainsi. Akita va te punir."
Une verte main se glisse dans le col de l’humaine et lui arrache un morceau de vêtement. La créature végétale s’acharne de ses mains sur ce qui couvre le corps de l’humaine. Vêtements et sous-vêtements finissent en lambeaux et son corps est complètement exposé.
"-Les humains font ça en se cachant, mais toi tu vas le faire devant Akita."
Deux fruits apparaissent dans la chevelure de la verte créature et cette dernière forcent sa prisonnière à les manger. L’un des fruits va hydrater la jeune femme, lui donnant beaucoup d’eau, l’autre fruit va la forcer à soulager sa vessie sans pouvoir se retenir. Le temps que ses fruits agissent, Akita inspecte le corps de la jeune femme emprisonnée. Deux doigts s’enfoncent dans son sexe, jusqu’à l’entrée de son utérus et remuent, avant de se retirer. Ils se glissent dans la bouche humaine pour qu’elle avale son propre fluide. Les mains vertes pressent les seins comme si elles trayaient une vache. Les fesses sont violemment claquées, laissant une marque bien visible sur chacune d’elle. Estimant que ses fruits ont eu suffisamment de temps pour agir sur le corps de sa captive, elle se place derrière le corps de celle-ci et se saisit de ses seins en lui pinçant violemment les tétons. Un membre très long et très large pénètre brutalement et soudainement le postérieur de l’humaine. Le phallus végétal est si large qui dilate l’orifice brun à son maximum et s’enfonce profondément dans le derrière de l’humaine, jusqu’à appuyer sur sa vessie. Les coups de butoir commencent, Akita donne de violent coups de reins sans douceur. Les tétons sont violemment pincés. Plusieurs vrilles se dressent et tels des fouets viennent mordre la peau de l’humaine en la fouettant régulièrement sur le corps, sur un rythme irrégulier, sur une zone au hasard, quelque que soit la sensibilité de la zone qu’elles frappent.
"-Tu vas payer pour ce que tu as fait à la nature. Tu seras le jouet d’AKita. Tu n’est plus qu’un objet. Akita va te remplir encore et encore."