Black, un prénom facile à retenir. Moi né orphelin, j'avais trimé pour être un temps soi peu reconnus par la société, avant de tomber amoureux d'une très jolie minette, qui avait donné naissance à mon petit chat d'amour, Sugar. Hélas sa mère n'était plus, tombé gravement malade, elle mourut durant la douzième année de notre petite fille chérie.
Depuis je vivais seul avec Sugar et je la voyais grandir de plus en plus... et ressembler à sa mère. Vivant seul, veuf, je fréquentais parfois d'autres femelle et cela m'aidait à répondre à mes besoins primaires, mais parfois mon regard tombais sur ma fille et des envies ardentes se faisait ressentir, je repoussais autant que possible ce désir malsain. Mais chaque jour il grandissait un peu plus et récemment, l'avoir vue nue dans la salle de bain m'excitait encore plus.
Je commençais ainsi (malgré moi) à me montrer un peu plus tactile avec ma fille, et elle, qui avait besoin d'affection me le rendait bien. Des câlins, des petits bisous et j'en voulais toujours plus...
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Cette nuit était épouvantable, difficile de dormir, mais j'étais plutôt fatigué de ma journée et je somnolais malgré tout. Mes oreilles se redressèrent en entendant la clochette de mon petit chat. Un peu léthargique, je rêvais ou c'était en train de se passer ?
La porte grinça quelques peu avant qu'une délicate voix inquiète ne se fasse entendre. Je ne trouvais pas l'énergie pour bouger ou répondre, où je dormais encore ?
Toutefois, je finis par sentir la douce chaleur d'un corps contre moi, sa voix m'éveillait et je remuais des oreilles avant de lentement me tourner vers elle et l'étreindre à mon tour. Collant son petit corps contre le mien, en simple caleçon, on partageai notre chaleur corporelle dans cette nuit froide.
- Tout va bien mon petit chat, je suis là.
Somnolant encore un peu, j'embrasse son front et caressa tendrement son dos. Son doux parfum, mêlé à celui de sa peur réveilla ma part paternelle et protectrice. J'ouvris enfin les yeux et lui souris tendrement, avant de caresser sa joue.
- Personne ne peut te faire du mal, ton papa te protègera. Je lui fit un petit bisou fugace aux lèvres.
Coller contre elle, je sentais sa chaleur contre moi et déglutis, me mordant la langue dans la bouche, trop près pour voir ses jolies courbes, je pouvais les imaginer et sentait que si je ne me tenais pas, je risquais de déraper. Si en journée je me permettais des câlins, allant de plus ou moins habillé... Allonger dans le lit éveillait en moi d'autre désir qu'il me fallait stopper... Mais en avais-je envie ?