Son joli visage est écrasé contre le bas ventre de l'étudiant s'il n'est pas déformé par les acoups violents de sa queue, qui venait se loger tout au fond de sa cavité buccale. Elle était obligée de contenir ses réflexes nauséeux, alors que sa trique flirte férocement avec sa glotte. Les larmes lui montent aux yeux, mais Lele encaisse, trop excitée à l'idée de faire du bien à sa victime.
Voilà notre charmant bourreau dans une bien humiliante position. Mais Lele n'avait que ce qu'elle méritait, au fond. Puis fallait pas se leurer, l'adolescente savait qu'elle servait bien souvent de vide-couilles aux mecs de l'école. L'idée ne lui déplaisait pas, non, elle s'était fait une raison. C'était son petit truc à elle, comment elle se démarquait du reste.
Elle avait du mal à suivre le rythme pour tout avouer, en essayant tant bien que mal de faire danser sa langue chaude et sournoise autour de la queue du beau blond. Mais sans succès, les assauts sont trop secs. Elle se faisait salement baiser le visage. Même ses mains ne suivaient pas à pétrir amoureusement les couilles du mâle. Elles se contentaient de claquer contre le menton trempé de bave de l'ado. Lele essait d'amortir tant bien que mal les acoups, et s'appuyant sur les cuisses de Shun. Puis c'est soudain. Un flot de foutre gicle violemment dans le fond de sa gorge. Elle tousse, essaie de récupérer un peu d'oxyène, déglutit comme elle peut. Puis avale tout comme une grande fille, lui offrant un regard de satisfaction. Un filet coulait encore le long de la commissure de ses lèvres. Lele soupire après cette séance qui n'était pas des moindres, puise se met debout face à Shun, qui avait l'air encore sous l'emprise de la jouissance.
" T'as déjà tout lâché ? "
Son ton est peu cordial, presque insultant. Mais il avait l'habitude avec elle, à force. Elle l'attrape par la chemise, colle sa bouche poisseuse contre celle du blond après s'être mise sur la pointe des pieds, pour lui offrir un baiser qui n'avait rien de romantique. C'était à elle de reprendre les rennes, avec le peu d'autorité et de fierté qui lui restaient. Petit chef qu'elle veut rester. La petite perverse en profite pour glisser une main dans sa culotte, pour se caresser machinalement. Sa langue danse contre celle de Shun, dans un bruit humide obscène. Sa bite encore à moitié tendue est écrasée entre le petit corps de Lele et celui de l'homme. Sa culotte glisse sous sa jupe d'uniforme, caresse la soie de sa peau avant d'atterrir sur ses chevilles. Puis Lele rompt le contact, se met dos à lui et soulève sa jupe. Elle se penche, lui présente son joli cul pour la narguer de ses deux jolis trous bien serrés. Sa chatte était luisante de mouille, rosée et alléchante. Elle réclamait la suite, lui lançant un regard lubrique. S'il choisissait le bon trou, Lele avait gagné son pari et elle sortirait victorieuse de cet endroit miteux.