--- Quelques heures avant le retour d'Izar, à l'arrivée des prisonnière à Mortholm.---
Les grandes herses de la citadelle du fléau s'ouvrent devant la procession victorieuse du jeune Roi et de ses prisonnières de guerre. A l'intérieur, tout n'est qu'effroi et répugnance. Une forteresse terrifiante tutoie des nuages de gargouilles virevoltantes dans le ciel nocturne, leur peau de pierre d'un gris maladif luisant à la lueur blafarde de la lune.
Sur son flanc Est, une sorte de monstrueux abattoir à ciel ouvert sert de charnier aux innombrables victimes de la marée morte vivante. Avec horreur, Sylvanas et ses amies voient les abominations de corps cousu ensemble sortir les dépouilles de leurs soldats des grands chariots à viande. Ils les suspendent à des crocs de bouchers, comme s'ils n'étaient que des morceaux de viande, prêt à être dévorés ou "recyclés" par la machine impitoyable du Fléau.
Sur le flanc Ouest de la forteresse, un autre bâtiment non moins répugnant est lugubre s'élance vers le firmament telle une tour de magicien dément. Ses balcons sont encombrés d'énormes globes en verre contenant des goudrons d'un noir iridescent comme une nappe d'huile, des fluides visqueux d'un blanc cassé et gluant qui semblent être les semences mélangées d'innombrables êtres. Enfin, son toit est percé de deux énormes poutres en acier coiffées de boules qui crépitent d'électricité et projettent des arcs menaçants autour d'eux, une technologie totalement étrangère et terrifiantes pour les Hautes elfes.
Arrivée aux portes de la bâtisse, Arthas descend de son cheval et donne ses ordres sans jamais se retourner vers ses prises de guerre, leur imposant un dédain à la hauteur de la colère que lui suscita les victoires isolantes de Sylvanas.
Arthas – Enchainez la garce devant mon trône, je veux jouir de sa déchéance avec mes invités. Conseillez, partagez vous les esclaves comme convenue.
Sylvanas – Quoi !? Ce... Ce n'est pas ce qui était convenu !
Katina – Les fils de chiennes ! Ce sale humain et l'autre traitre de sang-mêlé nous ont dupés !S'exclament les deux jeunes femmes. Katina dans sa colère essai de se débattre, l'acier de ses menottes crisse mais ne rompt pas. Malgré sa force de guerrière et son expérience au combat, elle s'est laissée enchainer et ne peut plus se défendre comme aurait due. Cette délicieuse ironie n'échappe pas à Slan qui la première vient se servir. Elle coupe la partie de la corde qui reliait le cou de Katina à celui de Sylvanas et s'en sert comme d'une laisse pour la tirer vers elle d'un coup sec.
Restreinte par la courte chaine qui relie ses chevilles, la plantureuse gardienne ne peut s'empêcher de pousser un petit cris de surprise et de malaise en faisant de petit pas vers la succube pour ne pas tomber dans la boue. Slan la saisit alors et la retourne vers ses amies enchainées, positionné dans son dos elle referme sa main gauche sur son sein pour la tenir contre elle et saisit son mentons de l'autre.
Slan – Hoooo... n'est ce pas délicieusement ironique petite pute ? Vous les belles et grandes guerrières, si puissantes, si fortes, réduite à ne même pas pouvoir vous servir de tout ce que vous savez faire pour vous défendre... condamnées... impuissantes... à nous laisser jouer avec vous.Sylvanas – Kat... les filles... je... je suis désolée... c'est ma faute... je.. j'aurais du...
Katina – ça ira Générale... Je.. je suis pas une pute, salope de succube, tu perd ton temps...La démone glousse et lèche l'arrête de son oreilles avant de lui susurrer.
Slan – A vraiment ? Nous allons voir ça...Et sur ces quelques mots elle entraine la gardienne vers la forteresse.
Sylvanas – Katina ! Je vais venir te libérer je te le jure ! Les acolytes du Fléau saisissent la corde autour du cou de la générale et l'entraine à son tour vers la salle du trône pendant qu'elle continue de hurler à Milie, Alicia et Angelle qu'elle est désolée. Pétrifiées par la peur, celles-ci ne savent que répondre et la regardent disparaitre sous le porche ténébreux du repaire d' Arthas. Elles n'ont pas le temps de reprendre leurs esprits que déjà l'ombre terrifiante du Maitre Apothicaire éclipse les leurs alors qu'il les encadre de ses bras immenses et squelettiques. Ils sont si grands qu'en posant ses doigts sur les épaules de celles qui sont sur les cotés, il les tiens toutes les trois dans le cadre de sa cape.
Hazmodius – Vue que notre Seigneur et Maitre ainsi que notre concubine adoré ont saisit leurs jouets, je m'en vais en faire de même avec celles-là.Milie et Alicia en tressaillent d'horreur. Angelle quand à elle dégage son épaule des doigts répugnant du mort vivant et le défie du regard.
Hazmodius – Ho, voyons mesdames, ne me confondez pas avec ces bouchers et ces brutes. Je suis un scientifique et j'ai pour vous un respect tout particulier. Je veux en apprendre plus sur votre race, vos vies, vos coutumes...Aidé de ses acolytes, il traine les trois jeunes femmes vers l'étrange tour de mage. Comme Sylvanas et Katina, leur force ne leur est d'aucune utilité ainsi attachées. Elles maudissent ces chaines qui les empêchent de briser le crâne du frêle apothicaire et de ses esclaves, si seulement elles pouvaient se défendre. Mais impossible d'empêcher le cortège de s'arrêter avant que Milie et Alicia ne soient enchainées au mur d'une cellule poisseuse et tiède. Saisissant Angelle par les épaules, Hazmodius fait une subtile révérence à ses prisonnière et s'éloigne avec l'archère.
Alicia – Angelle ! Lâche la espèce de pourriture de monstre !Mais l'alchimiste feint de l'ignorer et remonte les escalier avec son invitée, gardant sa salive pour lui parler.
Hazmodius – Il me semble que vous êtes la moins gradée du groupe.Angelle ne répond pas. Elle se contente de le tuer du regard.
Hazmoduis – c'est ce qu'il me semblait. Vous n'avez pas fait de longues études comme votre magicienne, Milie c'est cela ? Et n'avez pas les talents de stratège de votre Capitaine. En revanche vous semblez faire preuve d'un sang froid et d'une volonté très intéressante. J'aimerais beaucoup explorer tout cela avec vous.Sur ces mots, ils atteignent une épaisse porte en fer rouillé qui s'ouvre sur leur passage. En voyant ce qui s'y trouve, le sang d'Angelle se fige dans ses veines et pour la première fois, elle ne parvient pas à cacher toute l'horreur qui l'étreint.
Contenu explicite:
Car devant elle se dresse une table de travail équipée de sangles de contention et de maintien, assortie d'accessoires odieux tels que des jouets sexuels et divers instruments de torture...
Hazmodius – Comme je le disais, vous êtes la moins érudite de vos amies, vos facultés ont donc moins de valeur que les leurs... je vais donc pouvoir étudier en profondeur les mécanismes de votre volonté...La porte se referme derrière eux pendant qu'elle commence à se débattre en hurlant pour se libérer.
--- Dans les appartements privés de Slan ---
Izar - Gorgone infâme, où l’as-tu cachée ? Dis-moi tout.Mais la succube n'est pas dans sa chambre, ni devant son miroir de plein pied devant lequelle elle adore jouer avec ses amants tout en se regardant. Ni sur son lit, théâtre de plus de vices et de perversité que tous les bordels des royaumes humains. Mais Izar n'a aucune difficulté à deviner aux gémissements et aux cris désespérés qu'il entend la position de la succube et de sa prise de guerre: la salle de "dressage" de la démone...
En y entrant, il peut assister au spectacle sulfureux de la jalousie et de la vengeance de son amante qui l'accueil avec un:
"Enfin te voila ! Je t'attendais avec impatience..." soufflé entre ses lèvres pulpeuses, ourlées d'un sourire pervers et lubrique alors qu'elle doigte délicatement l'anus de Kitana pour y faire pénétrer un long gode incrusté de grosses perles luisantes de mouille. Suspendue dans le vide par des cordages, les yeux bandés, les bras et les jambes ceinturés pour que sa force ne lui soit d'aucun secoure pendant que la démone viole son fondement, la noble haute elfe, jusqu'ici si bravache et courageuse est partagée entre pleurs de hontes, cris d'horreur et gémissement d'un plaisir inavouable.
Contenu explicite (Slan se trouve à la place du personnage derrière Katina):
Slan – Comme je t'aime, j'ai décidé de te laisser sa chatte et la rendre bien chaude pour toi quand tu rentrerais. Au début je voulais la baiser moi-même, mais je me suis dit que tu me pardonnerais d'avoir commencé sans toi en apprenant que je n'ai pas pris sa virginité... Ne suis je pas d'une grande clémence ?