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La chute de Quel'Thalas [Membre Supprimé.e]

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Sylvanas Coursevent

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La chute de Quel'Thalas [Membre Supprimé.e]

mardi 29 mars 2022, 01:25:16

Royaume de Quel'Thalas
Royaumes de l'Est


Forestière – Ils arrivent sur le flanc gauche Générale !

Hurle la jeune recrue avant qu'une flèche poisseuse n'atteigne son l'épaule.  La Haute Elfe vacille contre sa barricade improvisée et manque de basculer par dessus. Sa commandante l'empoigne par les bras pour l'aider à s'adosser au chariot renversé.

Sylvanas – Irelle ! Par la lumière mais comment ont ils franchi les défenses !? Un médecin ici !

Personne ne lui répond, personne ne l'entend, devant elle tout n'est que chaos. Elle entend les cors de chasse de l'ennemi pousser leur notes sinistres, elle sent la terre trembler sous ses pieds. Le Fléau mort vivant se déverse sur la forêt de Lune d'Argent comme l'ichor d'une plaie purulente. Vomissant goules affamées, squelettes décérébrés et monstruosité immenses faites de corps cousus entre eux. Le spectacle terrifiant de cette marée de croc, de chaire morte et d'os à saisit le cœur des elfes d'un effroi fatal... et le carnage à alors commencé...

Sylvanas – Comment ? Comment ont ils fait ?

La Générale des forestiers ne comprend pas. Elle a détruit le pont, activé les protections arcaniques et s'apprêtait à tenir un long siège jusqu'à ce que les renforts arrivent. Mais à leur place c'est toute l'armée du Chevalier de la Mort qui avait déferlé sur leur point faible, au nez et aux oreilles des sentinelles magiques et des cristaux boucliers, comme si Arthas, ce misérable humain, connaissait le terrain aussi bien qu'elle.

Mais elle n'a plus le temps de réfléchir, plus le temps de comprendre. La commandante de ce qu'il reste des forces elfiques doit encore tenir pour que les civils puissent se replier vers la capitale. Elle hurle à sa forestière blessée de rejoindre les blessés, décoche une nouvelle flèche et se lance à l'assaut de ces créatures répugnantes aux cotés de ses soldats. Dans un concert de sifflement, les flèches s'envolent vers le firmament et retombent sur la marrée compacte de créature, les faisant tomber par dizaines. Mais pour chaque monstre du Fléau tombé, dix prennent sa place...


Petit à petit, la résistance elfique faiblit. Acculée avec ses plus fidèles champions pour un dernier carré héroïque,  Sylvanas passe son arc dans son dos et saisit ses lames jumelles, bien décidée à mourir dans l'honneur pour le bien de ses semblables.

C'est alors que sur la colline voisine, surplombant la mêlée, Arthas, le Chevalier de la Mort, apparait pour revendiquer sa victoire et mener la charge finale. Et le tyran n'est pas venu seul. A ses cotés, ses fidèles conseillez vampires accueillent un nouveau membre... un nouveau champion...

En le voyant, Sylvanas écarquille les yeux de surprise et d'horreur.

Sylvanas – Non... c'est impossible... pas toi... pas toi !

Hurle t'elle au nouvel arrivant en comprenant soudainement l'ignoble traitrise dont elle et son peuple viennent d'être victime.
« Modifié: mardi 29 mars 2022, 01:39:22 par Sylvanas Coursevent »

Sylvanas Coursevent

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Re : La chute de Quel'Thalas [Izar Myrrhe]

Réponse 1 jeudi 31 mars 2022, 12:46:03

Izar - « Tes yeux ne te trompent pas, ma belle. Ta perspicacité encore moins ! Tu sais très bien ce pourquoi nous sommes ici et ce que nous pouvons t’infliger... »

Il n'y a aucun doute, c'est bien lui dans cet impressionnant costume portant la livrée du Fléau. Elle le reconnait à la manière dont il le porte pour mettre en  valeur son corps athlétique. A sa stature, gonflée d'orgueil malgré sa basse naissance et son sang-mêlé. A sa beauté, seule chose qui aurait pu la faire flancher à l'époque. Quand elle aurait pu lui accorder un sourire, une entrevue, quelques mots aimables sans l'influence pernicieuse d'une quelconque caste ou rang social. Les choses auraient elles été différentes si elle avait réagi autrement ce soir de Shal'sindo ? (fête du soleil de Lune d'Argent)

Maintenant qu'elle lui fait face, Sylvanas réalise qu'elle regarde le fruit de sa propre cruauté, de son propre orgueil et cette soirée fatidique lui revient en mémoire dans les moindres détails.

Elle se souvient des bouquets de rose grimpantes le longs des murs du bosquet de la ville, de la musique, de sa robe d'un blanc cru et parfait, cousu de fils d'or et de rubis. De toute la noblesse de Lune D'Argent qui la convoitait avec ardeur et concupiscence, la couvrant d'attention, de cadeaux et de compliments. Elle se souvient de ce fringuant jeune homme à la chevelure cendreuse, au regard plus étincelant encore que tout autre Enfant du Soleil, mais aux oreilles et aux sourcils plus courts, preuve d'une ascendance humaine. Elle en avait entendu parler, un parvenu fils d'une prostituée du quartier rouge de la ville, un roturier qui voulait compter parmi les Hauts et les biens-nés de la société.

Il avait sans doute du travailler d'arrache pied pour payer le superbe costume de soirée qu'il portait alors. Il semblait si sur de lui et évoluait si facilement autour de ces gens qui le méprisaient malgré son évidente réussite. Mais même les plus grands efforts et la plus vaste érudition ne permettait pas de combler l'abysse qui existait entre sa condition et celle de Sylvanas de la maison noble Coursevent. Son costume, malgré sa valeur, restait celui d'une roturier, sans blason ni armoiries. Sa démarche, bien que droite et fière, manquait de cette minuscule touche d'étiquette propre à la noblesse et qui leur permettait de distinguer le bien-né d'un "nouveau riche".

Il s'était présenté à elle, le regard empli d'une passion et d'une dévotion sincère, l'avait complimenté sur sa beauté et la façon dont sa robe le mettait en valeur. Et elle, n'avait même pas daignée le regarder une seule fois dans les yeux. Elle avait entendu le majordome annoncer un nom et dans l'instant, Izar n'existait plus, toute son attention se portait sur un seul homme, un simple homme, un  humain...

Majordome – Le forestier Nathanos Marris.

Elle avait alors tendu son verre vide à Izar, comme s'il n'avait été qu'un simple serviteur officiant à la fête et s'en était alé sans même dire un mot pour accueillir son guerrier. Elle qui méprisait un demi-elfe, se jetait maintenant dans les bras d'un simple humain, Sylvanas réalise maintenant à quel point son comportement avait du bruler le coeur du jeune homme.

Izar - « … Sauf si tu déposes les armes, ici-même, et que tu te constitues prisonnière, toi, tes hommes et tes officiers. À cette condition seulement, ce carnage cessera, tes citoyens pourront quitter en bon ordre cette place-forte. Il n’appartient qu’à toi de les sauver. »

Sylvanas revient à la réalité en entendant l'ultimatum prononcé de sa bouche. Elle ne peut plus refaire le passer ou éprouver compassion et pitié pour lui désormais, il a trahi, il est son ennemi.
Hélas, le constat qu'il fait est réaliste, la situation est mal engagée. Cela dit, ils savent tout deux qu'un affrontement ici fera perdre un temps considérable au Fléau et qu'à tout moment, l'Alliance peut dépécher des renforts. Elle a donc une petite marge de manoeuvre pour négocier, même si elle sait parfaitement qu'elle n'obtiendra pas grand chose. Sylvanas prend une grande inspiration et fait un pas en avant entre les barricades. Elle sait qu'Izar lui en veux, elle sait qu'Arthas éprouve une grande colère envers elle depuis qu'elle lui vole victoire après victoire. Elle sait donc que son propre sacrifice devrait suffir à sauver les civils mais aussi ses hommes pour qu'ils puissent défendre la capitale.

Sylvanas – Misérable traitre, si je n'avais qu'une seule et dernière flèche à décocher elle serait pour ton petit cœur noir... Mais tu as raison... du moins en partie. Aussi je te fait une contre-offre. Laisse partir les civils et mes soldats et je me rendrais sans résistance. Si tu ne prend pas, alors j'armerais jusqu'au dernier enfant pour vous résister et nous tiendrons, crois moi, tu as vu de quoi je suis capable. Et ton maitre aussi...
« Modifié: jeudi 31 mars 2022, 20:36:09 par Sylvanas Coursevent »

Sylvanas Coursevent

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Re : La chute de Quel'Thalas [Izar Myrrhe]

Réponse 2 vendredi 01 avril 2022, 20:13:19

Sylvanas ravale quelques remarques venimeuses sur la faible valeur que peut avoir la parole d'un traitre. Elle n'est plus en position de jouer avec les mots ou d'échanger des joutes verbales avec ce serpent. Les vies de son peuple et de ses soldats sont en jeu.

Elle se tourne vers les sœurs de sa garde personnelle et cherche l'approbation dans leur regard. Elle ne peux pax leur demander de baisser les armes et de se constituer prisonnières sans combattre, elles qui sont la fine fleur de l'armée Haute-Elfe, toutes de hautes naissance et d'incroyables guerrières. Si une seule d'entre elle refuse, alors, ce sera non, et ils se battrons tous, jusqu'à la mort.

Mais son coeur se serre dans sa poitrine quand elle voit que toutes la regardent avec la même détermination, la même foi. Comme Sylvanas, elles ont vouées leurs vie à Quel'Thalas et leur confiance en la Générale est indefectible. Katina, sa garde du corps, se tient devant elle, un sourire malicieux de défiance toujours peint sur les lèvres, même alors qu'elle doit choisir entre perdre la vie au combat ou être faite prisonnière de guerre pour sauver les autres.

Katina – Quelques jours de geoles ne me changera pas à d'habitude Générale.


S'amuse t'elle pour lui donner son accord. Derrière elle, les autres ne disent mots mais lui répondent chacune à leur manière. Angelle, l'archère impitoyable au regard de glace, reste imperturbable et se contente de la fixer de ses iris d'un bleu profond comme le kobalt. La Sorcelame Milie, jamais totalement sure d'elle-même, semble hésiter un instant, mais se range aux autres car ses doutes n'érodent  jamais son jugement sur Sylvanas. Et enfin Alicia, sa Capitaine de la garde rapprochée, sa porte-bouclier, toujours prête au sacrifices pour le bien commun, ne discute même pas l'avis de sa supérieur hiérarchique, elle se contente d'approcher avec les autres pour appuyer la décision de la Générale.

Sylvanas – Mes sœur Je... je suis si fière de vous. Je vous promet que nous ne resterons pas entre leurs mains plus que le temps nécessaire. Nous allons sauver nos innocents et nos soldats. Dès que Lune d'Argent aura écrasé leur armée, nous seront libérées...

Elle les rejoint et leur chuchote: "A moins que nous ne prenions la fuite avant par nos propres moyens... au pire, quelques jours de cachot ne devraient pas nous tuer."

Sur ces derniers mots elle leur fait un clin d'œil et s'adresse à l'armée rassemblé derrière les barricades. Elle leur explique qu'ils vont se replier vers la Capitale et que conformément aux promesses d'Izar, un négociateur sera envoyé pour discuter d'une solution pacifique. Tous rechignent et voudraient rester se battre au coté de leur idole, leur chef, mais la peur des morts vivants affamés amassé devant eux est finalement plus forte, le besoin de sauver les civils plus impérieux. Une fois les civils et les troupes réunis en un cortège bien ordonné et prêt à se défendre efficacement, Sylvanas reparait devant les barricades et s'adresse à nouveau au Traitre.

Sylvanas – Traitre à ta patrie, nous accédons à la requête de ton Maître ! Nos troupes et nos civils vont fuir par le défilé derrière nos barricades. Si tu décide de trahir ta parole, nous reformerons les rangs. Moi et ma Garde Personnelle allons rester ici-même, devant toi, pendant qu'ils quittent les lieux. Ainsi et uniquement quand ils seront parti, nous baisserons nos armes et nos sorts et nous constituerons prisonnières en attendant que la solution pacifique que tu propose soit trouvée.
« Modifié: vendredi 01 avril 2022, 20:19:09 par Sylvanas Coursevent »

Sylvanas Coursevent

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Re : La chute de Quel'Thalas [Izar Myrrhe]

Réponse 3 samedi 02 avril 2022, 16:13:12

En attendant que les troupes Hautes-Elfes se regroupent et quittent les lieux, les discussions vont bon train au sein du Conseil du Roi Nécroman. Arthas, comme à son habitude, ne dit mot et se contente d'écouter les points de vue de chacun de ses serviteurs, braquant son regard glacial sur ceux qui piquent son intérêt et sa curiosité, se réservant la décision finale si le Conseil ne parvient pas à prendre une décision qui lui convienne.

HOROG, LE SEIGNEUR DE GUERRE


Horog, le Conseiller militaire, laisse encore une fois parler la fureur de son sang demi-ogre et vocifère à l'encontre d'Izar, lui reprochant de faire "le jeu des Hauts-Elfes", de faire "des choix de faible" en refusant la violence des combats pour d'inutiles négociations. Il veux du sang et du carnage, des victoires éclatantes dans lesquelles il pourrait faire le spectacle de ses prouesses martiales. Visiblement, le fait que le Maitre ai donné raison au vampire sur la proposition de repli et de prisonnières de guerre l'on blessé dans son orgueil démesuré. Il ne comprend pas que le but véritable de cette bataille n'était pas de massacrer quelques elfes de plus mais de s'emparer du cœur stratégique de leur armée.

HAZMODIUS, MAITRE APOTHICAIRE


Hazmodius quand à lui reste aussi calme et circonspect que d'habitude, mesurant chacune de ses paroles avec soin dans le but de toujours tirer profit de la situation. Pour le maitre des Alchimistes et Conseiller apothicaire, avoir des "sujets" vivants pour ses expériences est encore plus intéressant scientifiquement que de jouer avec des cadavres. Et bien qu'il ait toujours tenté de saper les efforts d'ascension d'Izar au sein du Fléau par le passé, il s'avère cette fois-ci un allié de choix dans les discussions houleuses avec la grande brute avide de combat. Aussi, quand il apprend qu'il va pouvoir jouer librement avec deux des trois prisonnières et sachant qu'Arthas lui confiera la belle Sylvanas pour ses expérimentations, il ne s'oppose pas à ce que le bel arriviste s'attribue une pare du gâteau. Plutôt que de l'affronter, il lui propose en toute courtoisie de lui apporter son aide et ses connaissances alchimiques si d'aventure il désir utiliser ses baumes, décoctions et drogues.

SLAN, CONCUBINE DU FLEAU

Comme le vampire s'y attendait sans doute, c'est Slan, la belle, l'exubérante, la pernicieuse succube qui à la position la plus ambivalente vis à vis de lui et de ses décisions. Traitrise et perversité incarnée, la démone le soutiens maintenant comme  par le passé mais; et il y a toujours un "mais" avec elle; la décision d'Izar de se garder une prisonnière ne lui convient pas du tout. Izar remarque même qu'elle en semble vexée, voir... jalouse ? En tout cas, le regard langoureux et pervers qu'il à posé sur la Gardienne Kitana ne lui a pas échappée et visiblement elle aurait aimé que ce soit elle qui en soit à l'origine. Et elle le lui fait savoir.

Slan - Ainsi le jeune loup ne se contente plus de dévorer la main tendu, il englouti aussi le bras... Et si moi je décide de jouer avec ta petite préféré qu'es que tu va f...

Arthas – Il suffit. Je suis satisfait par la tournure des évènements et par la capture de cette chienne de Sylvanas et de ses salopes de gardiennes. Izar en est l'instigateur donc Izar aura la faveur qu'il demande.

Slan ne dit mot et se contente de braquer ses pupilles incandescentes sur celles du Roi. Ils se regardent quelques instants, puis Arthas sourit et reprend la parole.

Arthas – Slan, Hazmoduis, nous allons ramener nos invitées à  Mortholm. Izar, tu restera pour préparer la refonte de la place forte aux couleurs du Fléau. Quand les travaux débuterons, tu nous rejoindra. Horog, je te charge de tenir les territoires pris aujourd'huis.

Ne s'attendant pas a être discuté une seule seconde, Arthas quitte la tente de commandement. Slan lance à Izar un regard brulant de convoitise et de jalousie, puis elle glousse comme une adolescente qui vient d'avoir une idée indécente et lui souffle un baiser avant de suivre le Roi. Hazmodius semble déjà perdu dans ses pensées, échafaudant probablement son plan de travail pour ses spécimens

Dehors, entre les barricades, il ne reste plus que 5 elfes en armes et armures: Sylvanas et ses courageuses gardiennes. Elles ont respecté leur pare du marché, elles sont resté là. Arthas ne leur offre même pas un regard ou un mot. Il se contente de monter sur son cheval et de leur tourner dédaigneusement le dos pendant que des serviteurs du culte noir s'approchent d'elles avec des menottes de poignet et de chevilles.

Sylvanas et ses gardes du corps gardent un visage fermé et résolu, même lors ce qu'elle laissent les larbins du fléau prendre leurs armes. Elles serrent les poings, s'échangent des regard courroucés mais plein de compassion les unes pour les autres. Même quand on leur arrache leur plaques d'armures et que la beauté de leur corps en est révélé, elles restent digne et serrent les dents en fusillant les membres du Conseil du regard, surtout Izar. Les seins de la belle Katina sont aussi obusiers que son armure légère le laissait penser et elle à le plus grand mal à retenir ses coups. Pour elle, une si puissante guerrière, encore invaincue, devoir accepter des fer à ses poignets et ses chevilles sans se battre lui semble odieux et injuste, mais elle fait confiance à sa Générale. Sylvanas quand a elle est absolument sculpturale, une perfection équilibrée entre athlétisme et féminité.

Sylvanas – Courage mes sœurs. Ce n'est que le temps des pour-parler. Nous serons bientôt libre et à nouveau prête à nous battre ensembles...

Une fois toutes attachées, les serviteurs leur passent une longue corde autour du cou et les attachent ensemble, l'une derrière l'autre comme pour un convoit d'esclaves allant au marché. Un acolyte attache le bout de la corde à la selle d' Arthas. Il s'incline en signe de respect et le cortège s'ébranle, obligeant les belles à passer entre les rangs de mort vivants.

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Après seulement quelques pas, Sylvanas réalise qu'elle ne marchent pas dans la bonne direction.

Sylvanas – Attendez ! Où allons nous ?! Ce n'est pas la direction de Lune d'Argent !

Arthas, sans jamais se retourner, se contente de rire de sa question et de lui répondre d'un ton méprisant:

Arthas – Nous nous replions sur Mortholm elfe...

Sylvanas – Vous... vous aviez dit vouloir aller négocier avec Lune d'Argent...

Arthas – Rien ne presse Générale... nous avons tout notre temps désormais.


Sylvanas et ses consœurs échangent des regard effrayés mais n'ont pas le temps de répondre. Le cheval les entrainent et les cordes à leurs chevilles les obligent à faire de petits pas, elles doivent se concentrer sur leur marche pour ne pas tomber dans la boue et être trainées.

Quelques laborieuses minutes plus tard, il ne reste plus que les troupes de Horog et la force d'élite d'Izar dans l'avant-poste abandonné...
« Modifié: dimanche 03 avril 2022, 00:49:06 par Sylvanas Coursevent »

Sylvanas Coursevent

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Re : La chute de Quel'Thalas [Izar Myrrhe]

Réponse 4 dimanche 03 avril 2022, 16:05:00

--- Quelques heures avant le retour d'Izar, à l'arrivée des prisonnière à Mortholm.---

Les grandes herses de la citadelle du fléau s'ouvrent devant la procession victorieuse du jeune Roi et de ses prisonnières de guerre. A l'intérieur, tout n'est qu'effroi et répugnance. Une forteresse terrifiante tutoie des nuages de gargouilles virevoltantes dans le ciel nocturne, leur peau de pierre d'un gris maladif luisant à la lueur blafarde de la lune.

Sur son flanc Est, une sorte de monstrueux abattoir à ciel ouvert sert de charnier aux innombrables victimes de la marée morte vivante. Avec horreur, Sylvanas et ses amies voient les abominations de corps cousu ensemble sortir les dépouilles de leurs soldats des grands chariots à viande. Ils les suspendent à des crocs de bouchers, comme s'ils n'étaient que des morceaux de viande, prêt à être dévorés ou "recyclés" par la machine impitoyable du Fléau.

Sur le flanc Ouest de la forteresse, un autre bâtiment non moins répugnant est lugubre s'élance vers le firmament telle une tour de magicien dément. Ses balcons sont encombrés d'énormes globes en verre contenant des goudrons d'un noir iridescent comme une nappe d'huile, des fluides visqueux d'un blanc cassé et gluant qui semblent être les semences mélangées d'innombrables êtres. Enfin, son toit est percé de deux énormes poutres en acier coiffées de boules qui crépitent d'électricité et projettent des arcs menaçants autour d'eux, une technologie totalement étrangère et terrifiantes pour les Hautes elfes.

Arrivée aux portes de la bâtisse, Arthas descend de son cheval et donne ses ordres sans jamais se retourner vers ses prises de guerre, leur imposant un dédain à la hauteur de la colère que lui suscita les victoires isolantes de Sylvanas.

Arthas – Enchainez la garce devant mon trône, je veux jouir de sa déchéance avec mes invités. Conseillez, partagez vous les esclaves comme convenue.

Sylvanas – Quoi !? Ce... Ce n'est pas ce qui était convenu !

Katina – Les fils de chiennes ! Ce sale humain et l'autre traitre de sang-mêlé nous ont dupés !


S'exclament les deux jeunes femmes. Katina dans sa colère essai de se débattre, l'acier de ses menottes crisse mais ne rompt pas. Malgré sa force de guerrière et son expérience au combat, elle s'est laissée enchainer et ne peut plus se défendre comme aurait due. Cette délicieuse ironie n'échappe pas à Slan qui la première vient se servir. Elle coupe la partie de la corde qui reliait le cou de Katina à celui de Sylvanas et s'en sert comme d'une laisse pour la tirer vers elle d'un coup sec.

Restreinte par la courte chaine qui relie ses chevilles, la plantureuse gardienne ne peut s'empêcher de pousser un petit cris de surprise et de malaise en faisant de petit pas vers la succube pour ne pas tomber dans la boue. Slan la saisit alors et la retourne vers ses amies enchainées, positionné dans son dos elle referme sa main gauche sur son sein pour la tenir contre elle et saisit son mentons de l'autre.

Slan – Hoooo... n'est ce pas délicieusement ironique petite pute ? Vous les belles et grandes guerrières, si puissantes, si fortes, réduite à ne même pas pouvoir vous servir de tout ce que vous savez faire pour vous défendre... condamnées... impuissantes... à nous laisser jouer avec vous.

Sylvanas – Kat... les filles... je... je suis désolée... c'est ma faute... je.. j'aurais du...

Katina – ça ira Générale... Je.. je suis pas une pute, salope de succube, tu perd ton temps...


La démone glousse et lèche l'arrête de son oreilles avant de lui susurrer.

Slan – A vraiment ? Nous allons voir ça...

Et sur ces quelques mots elle entraine la gardienne vers la forteresse.

Sylvanas – Katina ! Je vais venir te libérer je te le jure !

Les acolytes du Fléau saisissent la corde autour du cou de la générale et l'entraine à son tour vers la salle du trône pendant qu'elle continue de hurler à Milie, Alicia et Angelle qu'elle est désolée. Pétrifiées par la peur, celles-ci ne savent que répondre et la regardent disparaitre sous le porche ténébreux du repaire d' Arthas. Elles n'ont pas le temps de reprendre leurs esprits que déjà l'ombre terrifiante du Maitre Apothicaire éclipse les leurs alors qu'il les encadre de ses bras immenses et squelettiques. Ils sont si grands qu'en posant ses doigts sur les épaules de celles qui sont sur les cotés, il les tiens toutes les trois dans le cadre de sa cape.

Hazmodius – Vue que notre Seigneur et Maitre ainsi que notre concubine adoré ont saisit leurs jouets, je m'en vais en faire de même avec celles-là.

Milie et Alicia en tressaillent d'horreur. Angelle quand à elle dégage son épaule des doigts répugnant du mort vivant et le défie du regard.

Hazmodius – Ho, voyons mesdames, ne me confondez pas avec ces bouchers et ces brutes. Je suis un scientifique et j'ai pour vous un respect tout particulier. Je veux en apprendre plus sur votre race, vos vies, vos coutumes...

Aidé de ses acolytes, il traine les trois jeunes femmes vers l'étrange tour de mage. Comme Sylvanas et Katina, leur force ne leur est d'aucune utilité ainsi attachées. Elles maudissent ces chaines qui les empêchent de briser le crâne du frêle apothicaire et de ses esclaves, si seulement elles pouvaient se défendre. Mais impossible d'empêcher le cortège de s'arrêter avant que Milie et Alicia ne soient enchainées au mur d'une cellule poisseuse et tiède. Saisissant Angelle par les épaules, Hazmodius fait une subtile révérence à ses prisonnière et s'éloigne avec l'archère.

Alicia – Angelle ! Lâche la espèce de pourriture de monstre !

Mais l'alchimiste feint de l'ignorer et remonte les escalier avec son invitée, gardant sa salive pour lui parler.

Hazmodius – Il me semble que vous êtes la moins gradée du groupe.

Angelle ne répond pas. Elle se contente de le tuer du regard.

Hazmoduis – c'est ce qu'il me semblait. Vous n'avez pas fait de longues études comme votre magicienne, Milie c'est cela ? Et n'avez pas les talents de stratège de votre Capitaine. En revanche vous semblez faire preuve d'un sang froid et d'une volonté très intéressante. J'aimerais beaucoup explorer tout cela avec vous.

Sur ces mots, ils atteignent une épaisse porte en fer rouillé qui s'ouvre sur leur passage. En voyant ce qui s'y trouve, le sang d'Angelle se fige dans ses veines et pour la première fois, elle ne parvient pas à cacher toute l'horreur qui l'étreint.

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Car devant elle se dresse une table de travail équipée de sangles de contention et de maintien, assortie d'accessoires odieux tels que des jouets sexuels et divers instruments de torture...

Hazmodius – Comme je le disais, vous êtes la moins érudite de vos amies, vos facultés ont donc moins de valeur que les leurs... je vais donc pouvoir étudier en profondeur les mécanismes de votre volonté...

La porte se referme derrière eux pendant qu'elle commence à se débattre en hurlant pour se libérer.

--- Dans les appartements privés de Slan ---

Izar - Gorgone infâme, où l’as-tu cachée ? Dis-moi tout.

Mais la succube n'est pas dans sa chambre, ni devant son miroir de plein pied devant lequelle elle adore jouer avec ses amants tout en se regardant. Ni sur son lit, théâtre de plus de vices et de perversité que tous les bordels des royaumes humains. Mais Izar n'a aucune difficulté à deviner aux gémissements et aux cris désespérés qu'il entend la position de la succube et de sa prise de guerre: la salle de "dressage" de la démone...

En y entrant, il peut assister au spectacle sulfureux de la jalousie et de la vengeance de son amante qui l'accueil avec un: "Enfin te voila ! Je t'attendais avec impatience..." soufflé entre ses lèvres pulpeuses, ourlées d'un sourire pervers et lubrique alors qu'elle doigte délicatement l'anus de Kitana pour y faire pénétrer un long gode incrusté de grosses perles luisantes de mouille. Suspendue dans le vide par des cordages, les yeux bandés, les bras et les jambes ceinturés pour que sa force ne lui soit d'aucun secoure pendant que la démone viole son fondement, la noble haute elfe, jusqu'ici si bravache et courageuse est partagée entre pleurs de hontes, cris d'horreur et gémissement d'un plaisir inavouable.

Contenu explicite (Slan se trouve à la place du personnage derrière Katina):
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Slan – Comme je t'aime, j'ai décidé de te laisser sa chatte et la rendre bien chaude pour toi quand tu rentrerais. Au début je voulais la baiser moi-même, mais je me suis dit que tu me pardonnerais d'avoir commencé sans toi en apprenant que je n'ai pas pris sa virginité... Ne suis je pas d'une grande clémence ?
« Modifié: dimanche 03 avril 2022, 16:16:10 par Sylvanas Coursevent »

Sylvanas Coursevent

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Re : La chute de Quel'Thalas [Izar Myrrhe]

Réponse 5 vendredi 10 juin 2022, 21:35:46

Izar - Et je remarque que tu n’as même pas cherché à te cacher, ni même à agir pour me distraire pendant que tu commets tes petites saloperies. Bref, il va falloir payer.

Alors qu'il la bat comme un maquero corrigerait sa pute, Slan le lacère de ses griffes aiguisées en poussant de petits feulement de panthère furieuse. Chaque coup qu'elle reçoit lui arrache pourtant des gémissements de plaisir. Vaincue par ses pulsions masochistes, elle ne parvient plus à retenir les tremblements de son corps et l'excitation insupportable que lui procure la douleur, elle glisse à genou  pour recevoir la correction de son amant. Ses mains ne cherchent plus à le blesser mais à la serrer, à le toucher, à le caresser. Ses doigts se crisper sur le renflement que fait son membre viril sous l'étoffe de son pantalon.

Izar - Encore heureux que tu n’aies pas pris sa virginité !

La souffrance que lui inflige Izar la rend malléable et sulfureuse tant et si bien que quand il cesse enfin de la brutaliser elle se tient à ses pieds. Blessée et soumise, ses petites ailes membraneuses pendent mollement derrière son dos, sa queue de démone glisse instinctivement entre ses cuisses pour soulager son désir à la place de ses doigts qu'elle garde crispée sur son amant.

Izar - Je la veux, cette petite délurée, pour servir mes caprices, pour voiler, pour jouir d’une infinité de petites débauches que le manteau de l'hymen enveloppe à merveille

Vaincue et à sa mercie, elle lui lance un regard langoureux de ses yeux émeraudes, sa chevelure serpentine et tentaculaire reprend la forme inofensive et flamboyante de sa forme humaine. Promesse d'un puit sans fond de plaisir et de jouissance, son visage exprime toute la détresse qu'elle ressent à l'idée d'être abandonnée ou pire, délaissée pour une autre femme. Le vampire supérieur comprend alors que ce que Slan craint en vérité, c'est qu'il l'abandonne pour une autre.

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Incapable de le retenir ou de lutter d'avantage, elle pousse un simple gémissement de désir et de refus quand il se libère de ses mains fébriles pour pouvoir se déshabiller. Pendant qu'il retire ses pièces d'armure et ses vêtements uns à uns, il profite pleinement du spectacle de la succube meurtrie à ses pieds qui continue de le bruler de son regard suppliant. Et quelques pas derrière elle, du cul bombé et offert de Katina qui se balance dans le vide, l'anus palpitant autour d'un god perlé, la vulve dégoulinante de désir et ses seins obusiers aux tétons gonflés qui pendant dans le vide. La petite guerrière elfe aux yeux bandés ne peut pas voir ce qui se passe, elle semble épuisée et vibrante d'excitation tant Slan a jouée avec son corps pour réveiller en elle un désir insupportable. Elle continue de gémir, de pleurer et d'implorer ses geôliers:

Katina – Pitié... arrêtez... je... j'ai suivi les ordres... je me suis rendu sans faire d'histoire... pitié...

Mais le rappel de sa coopération et de son statut de prisonnière de guerre reste lettre morte aux oreilles du Seigneur du Fléau qui s'approche d'elle. Le fait qu'elle se soit rendue sans se battre ne rend la chose que plus humiliante et injuste et donc... plus excitante. Voir une guerrière aussi puissante qu'elle se tortiller entre ses liens dans le vint espoir de pouvoir se défendre, prise au piège de sa propre loyauté et de la traitrise est profondément savoureux. Malgré toutes ses aptitudes martiales, ses pouvoirs magiques et son intelligence stratégique, elle n'est qu'un ravissant corps de femme, enchainé pour servir à la satisfaction de la perversité et la jouissance du traitre...

Quand elle sent les doigts d'Izar se poser sur le god perlé pour l'enfoncer plus encore en elle, la belle enchainée se remet à gigotter dans le vide en se tortillant de droite à gauche dans l'espoir d'échapper à son geôlier. Sa tête s'agite de droite à gauche dans un mouvement de négation désespéré.

Katina – N ! Nan ! Pas ça ! Pas encore ! NAN !

Izar ne l'écoute pas et le lui enfonce avant de le retirer d'un coup sec. Katina se contracte toute entière et relève la tête en serrant les dents pour laisser échapper un grognement profond et hystérique, les yeux révulsés sous le bandeau et la bave aux lèvres, son visage est déformé par la folie que provoque l'excitation.

Katina – Gnnnnniiiiiii !!!

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Izar - Sylvanas te considérait comme le fleuron de sa garde personnelle. Et Sylvanas a assumé une décision : celle de nous rejoindre. Pour cela, elle vous a délibérément rendu solidaires de sa manœuvre afin de rejoindre son amant et intégrer nos forces : notre confrontation aux abords de Quel’Thalas n’était que pure mascarade, un guet-apens dont le scénario était écrit d’avance. 

Katina – Gnaaan ! Gnooon !

Le cerveau surchauffé de désir de la garde du corps peine désormais à formuler des mots et des phrases mais elle est encore capable de hurler son refus et son horreur au visage de ses geôliers quand elle entend des mensonges aussi improbables. Le peu d'elle-même qui résiste encore refuse d'y croire et à raison. Mais la cruauté de ces mensonges ne font que la briser plus encore et la plonge toujours plus loin dans un abysse de désespoir, où l'unique lumière et chaleur viennent du plaisir physique qu'on lui impose.

Izar - Les informations qu’elle nous a données nous ont déjà permis de conquérir plusieurs localités, figure-toi. 

Quand il lui enlève le bandeau, Izar remarque les cernes rouges sous les yeux de sa proie, ses petites pupilles toutes contractés par l'excitation et leurs mouvements erratiques. Pas de doute, Slan ne l'a pas simplement chauffée avant son  arrivée, elle l'a carrément porté à incandescence. Même si son esprit trouve encore la force de combattre ses mensonges, son corps  lui est déjà en fusion et réclame ce que la succube lui promet depuis des heures.

Quand il la prend sous les bras, Izar peut sentir à quel point la peau de sa victime est chaude et moite, sa sueur dégage une odeur merveilleuse et son sang bat fort sous sa peau. En la soulevant pour la détacher et l'installer sur son lit, il peut sentir son poul battre contre ses doigts, chaque battement de son cœur, puissant et pure, irrigue tout son corps attachés et fait saillir ses veines là où les liens lui compriment les membres.

Katina – GNAA ! Gnan ! Lache ! Gnan... pris... prisonnière... de guerre... pitié...

Totalement perdue, Katina gesticule entre les doigts d'Izar comme un petit oiseau pris au collet que l'on tient dans les mains. Elle s'accroche encore aux espoirs et aux illusions du respect qu'on devrait lui porter, mais auquel elle n'aura pas droit, la puissante guerrière de Quel Thalas est désormais une esclave sexuelle... tous ses combats et toute sa force ne lui serviront plus à rien...

Katina – Na... touche pas... hooo... je... hummmm...

Gémit la belle enchainée alors qu'Izar commence son petit jeu pervers de séduction, cherchant à obtenir l'accord de son corps contre l'avis de sa tête. Chaque centimètre carré de peau et de cheveux qu'il touche semble prendre feu. Le sang monte à la tête de Katina et lui donne le tournis tant les attouchements de Slan puis d'Izar l'on rendu folle de désir. Progressivement, alors que ses caresses et ses massages d'Izar progressent et investissent son corps, corrompent chaque centimètre carré de sa chaire, ses soubresauts de défense se transforment en mouvement lents et lessifs de désir, comme si elle était ivre de sensations.

Le vampire en profite alors pour descendre lentement vers ses deux énormes seins dressés pour les gagner à sa cause...

Katina – Pas... hummm... pas... trainée... moi... pas... pas... n.. non pas la ! Hooooo c'est... trop sensible... je brule... pitié je brule...

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Katina - Ecarte les cuisses, Katina. Je te sens prête pour que tu me sentes en toi et que tu deviennes une véritable femme accomplie. Ne crains rien, tout se passera bien. Slan sera là pour… me surveiller.

Katina est paralysée par le contact d'Izar sur ses seins, ses doigts se mettent à serpenter sur ses auréoles et à masser ses tétons avec une dextérité folle si bien qu'ils se gorgent de sang et deviennent gros et dressé. Ils sont si beaux et développés qu'Izar peut littéralement les masturber pour créer une excitation dévastatrice.

Katina -Gna... na... ja...mais je... je.. par les dieux nan pourquoi... pourquoi ?

Katina gémit et regarde les yeux exorbité de surprise et d'horreur ses cuisses s'ouvre lentement pour accorder à Izar ce qu'il exige. Chaque vague de plaisir provoqué par les doigts du vampire poussent le corps de l'elfe à trahir un peu plus son esprit. Centimètre après centimètre, ses jambes s'écartent pour offrir sa petite vulve humide et dégoulinante au vainqueur, au traitre qu'elle hais tant...

Katina – Gnaaaa pitié pas ça...


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