Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Rien à foutre ici. - PV Ryo - Terminé

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Astrid Grace

Humain(e)

Rien à foutre ici. - PV Ryo - Terminé

dimanche 30 janvier 2022, 23:43:41

Trois semaines. C’est le temps que mon corps a mit à récupérer des indécences de Ryo. Trois semaines de col roulés et manches longues. Jamais mon corps n’avait été aussi maltraité après une baise. Les brûlures sur mes poignets venaient tout juste de disparaitre mais la peau restait toujours sensible. Ca faisait aussi 3 semaines que je n’avais couché avec personne. Les coups de butoirs de cet idiot m’avaient un peu refroidi à voir d’autres personnes. S’ils voyaient les marques et en voulaient tout autant? Ou pire, s’ils voyaient les marques, essayaient d’en faire autant mais n’y arrivaient pas? Jamais je ne l’aurais avoué à haute voix, mais il avait réussi à sacrement jouer avec mon cerveau. Cette aura de soumission et de violence m’avait plu, beaucoup trop plu. Je n’arrivais pas à me sortir de la tête que j’avais eu l’un des meilleurs orgasmes de ma vie ce soir là. Evidemment, il restait un connard égocentrique, mais l’idée même de le recroiser m’excitait un petit peu. Il m’avait dit de venir le trouver a son travail mais mon courage et mon désir ne m’avaient pas encore poussé à aller le voir là bas. Peut être bientôt.

Mon boulot aidait à trouver une distraction satisfaisante. L’hôpital était un sacré bordel. Depuis trois semaines d’ailleurs. Tout le monde semblait débordé de travail, moi la première. Ce matin est la première journée depuis longtemps où tout le monde a l’air de se tenir à carreaux. Les patients n’ont pas décidé de mourir, les soignants sont à l’heure au travail, même la cafetière a décidé de fonctionner. Tout se déroule correctement. Surement trop correctement. Ca sent la connerie à plein nez. Il va surement se passer un truc. Un car de touristes chinois qui fonce dans un mur ou un train qui déraille, je ne serais même pas surprise.

Mon collègue Genji est passé me chercher ce matin. La façon dont il regarde mes jambes nues ou reluque mon décolleté n’est pas très discrète, j’ai vite compris que le jeune homme était intéressé, sans jamais osé m’aborder. Genji est mignon, grand et fort, il pourrait être mon genre… S’il n’était pas si passif. Il est plus âgé que moi donc a plus d’expérience mais il ne prends jamais de décisions. Et quand il essaye d’en prendre une, il bafouille et regarde ses pieds. La soumission lui irait très bien. Parfois, je l’imagine attaché à un lit, suppliant pour qu’on le baise. Depuis quelques temps, il traine souvent dans mon service, m’apportant un café, me proposant de me ramener chez moi. C’est adorable. Certains soirs, je m’en veux presque d’en profiter autant alors que je sais très bien qu’il ne se passera rien entre nous, mais je ne peux pas m’empêcher de le laisser faire. En passant par les vestiaires, je fais un geste de la main à Genji, qui part se changer dans son service, et va pour me changer dans une tenue plus confortable, les pyjamas de l’hôpital. Ces horribles tenues bleues sont aussi connus pour être dans un tissu des plus agréable. J’enfile le tee shirt et le pantalon avec plaisir, laissant ma petite robe noire et mes bottines dans mon casier. Pour éviter qu’ils me gênent, je remonte aussi mes cheveux dans une haute queue de cheval, quelques mèches trop courtes s’échappant sur les cotés. Ma blouse blanche de médecin sur le dos, je finis de ramasser mes affaires et me dirige vers le service.

Mes collègues m’attendent en plein milieu du couloir et discutent avec les soignants présents. Tous ont l’air surpris du calme ambiant. Personne n’a vu ça depuis des jours, tout le monde s’attends à un orage. Mon café, pris au passage, me brûle légèrement les lèvres, leur conversation ne m’interesse absolument pas. Un gentil couple de personne âgé vient nous trouver pour nous demander où se trouve les urgences. Souriante, je leur montre la porte d’entrée, leur indiquant à droite de celle ci. « Vous prenez à droite là bas, puis encore à gauche. Il y a un très long couloir et c’est tout au bout du couloir sur votre droite. » Ils ont l’air tout aussi pommés l’un que l’autre et me regardent avec des grands yeux suppliants. Prise d’une bouffée d’empathie, je propose de les accompagner jusque là bas. « C’est un vrai labyrinthe par ici, je ne voudrais pas que vous vous perdiez. » Arrivée devant la porte des urgences, le couple me sourit et me remercie chaleureusement. Contente de ma bonne action, je reviens sur mes pas pour retourner d’ou je viens, mais une grande carrure au loin attire mon attention. Une veste en cuir, des cheveux ébouriffés, de larges épaules. J’ai l’impression de reconnaitre Ryo, mais ça doit être mon imagination. Il n’a rien à foutre ici. Est ce que mon cerveau serait en train de me jouer des tours, m’incitant à retourner voir ce gars? Est ce que j’ai vraiment envie de me refaire baiser par un mec qui m’a utilisé comme un objet pendant toute la nuit? La réponse est plutôt évidente, mais je n’arrive pas à me l’avouer. Perdue dans mes pensées, je ne vois pas les patients se dissiper et me retrouve vite seule au milieu du couloir, en plein dans son champs de vision. Merde. Mes mains se fourrent dans les poches de ma blouse et je quitte la pièce en baissant la tête, espérant presque qu’il ne m’ai pas vu. D’un pas précipité, je reprends le chemin de mon service, presque stressée par ma découverte. Putain, et si c’était vraiment lui? Qu’est ce qu’il foutait là…
« Modifié: dimanche 01 mai 2022, 18:44:49 par Astrid Grace »

Ryo

Humain(e)

Re : Rien à foutre ici. - PV Ryo -

Réponse 1 lundi 31 janvier 2022, 17:34:01

Après avoir lâché Astrid, Ryo était tout simplement aller chez lui pieuter. Le matin, il ne s'était pas levé pour aller bosser et il n'avait pas répondu aux appels incessants qui n'avaient cessé toute la journée. Il avait dormi des heures, ne se réveillant que pour boire de l'eau, de l'eau et encore de l'eau. Astrid l'avait desséché. Cette folle du cul avait eu raison de son endurance et l'avait forcé à taper dans ses réserves. Cette soirée, suivie de cette nuit mémorable resterait dans les annales de sa vie pervertie.

Il s'était réveillé en début d'après midi et avait instinctivement tendu le bras à la recherche de sa partenaire de sauterie mais bien évidemment, il était seul dans son lit ... et avec un sacré mal de casque: trop d'alcool, la dope en plus et les orgasmes successifs l'avaient taillé en pièces. Il avait rarement vécu une partie de baise pareille. Bordel, il se revoyait exploser la petite comme un malade, et elle, d'encaisser comme jamais. Elle avait prouvé qu'elle était au top niveau de la débauche et ce n'aurait été lui, elle aurait pu coucher n'importe quel mec.

Les jours suivants, il reprit son activité et fut occupé par une sordide affaire de meurtre en lien avec des yakuzas de sa connaissance. Il avait dû travailler habilement pour faire en sorte que son enquête n'aille pas trop dans le sens de la justice. Il n'avait eu aucun instant pour lui et quand il en eu, il avait voulu aller tirer un coup. La pute qu'il s'était choisie était belle, ok mais après dix minutes à la baiser, il l'avait chassé en hurlant. Trop fade, trop ... nulle. Le visage d'Astrid était partout, son cul divin, sa poitrine généreuse et ses lèvres de pompe à foutre aussi. Il avait essayé d'appeler une autre professionnelle mais le résultat était le même. La fille couinait immédiatement, suppliait qu'il arrête alors qu'il n'avait pas commencé à s'éclater. A croire que toutes les salopes de Seikusu s'étaient donné le mot pour le faire chier en se montrant médiocre.

Il en fut frustré et était sur les nerfs. Il avait besoin de se défouler sexuellement et rien ne rassasiait son appétit dérangé. Toutes ses tentatives pour calmer le feu qui lui dévorait le bas-ventre furent un échec et un soir, de rage, il démolit irrémédiablement le portrait d'un proxénète qui les lui brisait au sujet d'une fille qu'il avait violenté. Le mec s'en remettrait peut être mais son visage tuméfié porterait longtemps la marque des poings de Ryo.

Au bout de trois semaines, le flic était comme un pitbull enragé. Il ne supportait plus personne et personne ne venait le voir, même au boulot. Seul son boss, accompagné de deux solides policiers, étaient venu lui offrir une semaine de congés ... pour décompresser un peu de tout le bon boulot abattu ... Tu parles ...

Ryo était rentré chez lui et posé sur son sofa, il faisait rouler entre ses doigts le badge de l'appart d'Astrid. Il avait bien pensé aller la voir chez elle, sans prévenir, mais c'était risqué. Il n'avait aucune nouvelle d'elle et ne savait pas dans quelle état psychologique elle était après le trauma qui l'avait retournée. Il s'était finalement décidé là, à se rendre à l'hôpital où elle travaillait. Elle ne craquerait surement pas un scandale en public ...

Le lendemain, il s'y pointait, un bouquet de fleur à la main. Un truc pour une nénette qui ressemble à une pute avait-il dit au fleuriste outré. Il y avait agrafé une enveloppe  dans laquelle était glissé une carte avec une seule ligne manuscrite : "Pour la petite salope que j'ai tringlé toute une nuit." L'enveloppe n'était pas fermée ...

A l'hôpital, il avait tourné un moment. Il se sentait con avec son bouquet, ce n'était pas vraiment son genre. Dans quel service bossait-elle déjà? Il va demander à une infirmière servile quand par dessus l'épaule de la fille il aperçoit une silhouette qui lui réchauffe instantanément les entrailles. Elle se tient dans un couloir et il y fait sombre par endroit mais il est sûr que c'est elle. Il reconnait, devine ce corps qui hante ses pensées. Elle n'a pas dû le voir car elle disparait très vite dans les profondeurs de l'hôpital. Quelques renseignements, un nom et une description (... pas: une salope britannique avec un cul de folie...). On l'oriente sur un service. Des personnels hospitaliers ont l'air de glander, un gobelet de café à la main. Y'a pas de boulot ou quoi? Tout semble tranquille. il se dirige vers un jeune type et affiche ce qui pourrait s'apparenter à un sourire correct.

" ...'lut! J'ai un bouquet pour le docteur Grace, vous pourriez lui transmettre? J'attends là."

L'homme dont le badge est à moitié glissé dans sa poche de blouse, Genji ... quelque chose, le scrute bizarrement.

"Quoi? J'ai dit un truc qu'y fallait pas?"

"Euh non ... mais ... c'est pourquoi?"

Il a l'air gêné. Il la connait sinon il aurait dit autre chose. Il en pince pour elle le puceau? Son regard qu'il veut sûr est pourtant fuyant. Il ne doit pas aimé le contact. Ryo se plait à le déstabiliser un peu.

"Elle m'a montré qu'elle peut tout faire avec ... ses mains. Je viens juste me rappeler à elle. Ca pose problème mon vieux?"

"Euuuh non ... je ... je vais lui donner ça. Vous attendez ici?"

"Ouais, traine pas."

Si le gamin prend le risque de lire le petit mot, il pourrait clamser d'apoplexie. Ryo s'assoit sur une banquette, dans un salle d'attente, toute proche de la salle café. Une blondinette passe la tête dans le couloir pour le mater et quand elle disparait, il entend le gloussement des filles qui doivent commenter sa présence  ... très masculine.



Astrid Grace

Humain(e)

Re : Rien à foutre ici. - PV Ryo -

Réponse 2 mercredi 02 février 2022, 20:35:50

La visite est ennuyante à mourir. Les patients ne sont pas très intéressants et tous ont le même problème. « Docteur, j’ai pas envie d’être ici. Je veux rentrer chez moi. » Oui, et bien moi aussi. Je n’ai pas vraiment envie d’être là aujourd’hui, alors que je pourrais être affalée sur mon canapé à manger des conneries en pyjama. Je finis quand même par leur expliquer, au péril de ma vie, qu’il faut rester pour être soigner. Une chambre après l’autre, un malade après l’autre. J’adore mon métier, mais il y a certains jours ou la concentration est ailleurs. Comme aujourd’hui. Je n’ai que cette image en tête. Son grand corps robuste dans le couloir de l’hôpital. Putain qu’est ce qu’il foutait là. Ou est ce qu’il était vraiment là d’ailleurs ou c’est mon imagination qui me jouait des tours? J’avais tant envie de le voir que ma tête essayait de le voir partout? Non, ça n’est pas possible, je n’ai jamais été autant prise de court par un mec. Il a été odieux, il a été violent, il m’a traité de pute, de salope, de sac à foutre toute la nuit. Comment est ce que je peux avoir envie de revoir un mec pareil? Inconsciemment, juste l’idée de repenser à cette nuit là me fait légèrement mouiller. J’ai pris un pied monstre, j’ai adoré être baiser brutalement par cet idiot. Putain, j’ai envie qu’il me baise encore.

« Astrid? » Perdue dans mes pensées, je n’ai même pas vu Genji arrivé dans mon dos. Je sursaute, portant ma main à mon coeur, avant de me retourner vers lui. Genji a l’air tout penaud, très gêné, il a les joues toutes rouges et le regard encore plus fuyants que d’habitude. Quand je vois dans ses mains le bouquet de fleurs, mes yeux s’élargissent. Attends, il me fait quoi là? En plein milieu du couloir, il me tends les fleurs rapidement, comme si le bouquet lui brulait les mains. « Un mec a déposé ça pour toi. » Cracha-t-il, presque en colère. Pendant une seconde, j’ai cru que le bouquet venait de lui, je me sens un peu soulagée. Il n’aurait probablement pas eu les couilles de le faire, mais il a l’air furieux que quelqu’un se pointe à l’hôpital pour lui voler la vedette. « Oh… Merci. Il ressemblait à quoi? » « Grand, plutôt baraque, un air arrogant. Ca a l’air d’être un gros con. » Le mot « con » siffle entre ses dents, il le hait déjà alors qu’il ne l’a vu que quelques secondes. Ryo. J’avais raison. Mon cerveau ne m’a pas joué des tours. Il est là. Putain, il s’est pointé à mon travail. Le bouquet est classique, quelques roses, des pâquerettes, du vert. Ryo avec des fleurs? Ryo allant choisir des fleurs? L’image me fait doucement sourire. Genji le remarque. « Tu le connais bien? » « Euuuh… Non, c’est… » Qu’est ce qu’il est en fait? « Un mec avec qui je suis sorti une fois. » Un mec qui m’a prise le cul comme jamais pendant toute une nuit et qui m’a fait jouir dans tous les sens, mais ça, je ne lui dis pas à voix haute. Je remarque l’enveloppe agrafée au bouquet et saisis la petite carte descriptive. Mes joues s’empourprent à la seconde ou je lis les premiers mots. Bordel. Je plaque la carte contre moi, empêchant les autres de pouvoir la lire. Mon visage me brule et je scrute les alentours pour vérifier que personne n’a lu le bout de carton derrière mon épaule. Personne. Ouf. Mais quel connard. « Ca va? » Genji se rapproche de moi, inquiet d’avoir vu mon visage se décomposer. « Oui oui, son mot est… Intéressant. » Genji fronce un sourcil. Il n’aime pas du tout comment les choses se déroulent aujourd’hui, il n’aime pas que Ryo vienne lui voler son convoitise. Un instant, j’ai presque l’impression qu’il va saisir sa chance et qu’il va me dire qu’il est intéressé lui aussi. Son corps impatient bouge dans tous les sens, hésitant à faire le premier pas. « Il est encore là? » Déçu de ma réaction, les épaules de Genji s’affaissent, et abattu, il me réponds « Ouais… Il est dans la salle d’attente. » J’aurais aimé pouvoir lui dire qu’il avait sa chance lui aussi, qu’il pourrait me demander de sortir avec lui un jour et qu’on irait dans un resto puis au cinema et qu’on se roulerait des pelles devant mon appartement avant de se souhaiter bonne nuit, mais la petite trace de cyprine dans ma culotte montre un coté de ma personnalité qui ne sera jamais satisfait par ce genre de rendez vous. Il me faut beaucoup plus que ça. Ayant un peu pitié de lui, je pose une main attendrie sur sa joue et le regarde dans les yeux, lui montrant mon plus beau sourire innocent. « Merci Genji. » C’est cette fille là qu’il adore. La fille gentille et mignonne sous tous les abords. La fille qu’il pense être pure, chaste et innocente. A aucun moment, il s’imaginerait que j’aime me prendre des bites dans le cul. Je l’abandonne là, en plein milieu du couloir, le coeur brisé, pour me diriger vers ce connard de Ryo qui vient presque de ruiner ma façade.

De loin, j’entends des ricanements étouffés. La salle de pause est pleine d’infirmières en chaleur, plus excitées les unes que les autres. Je passe à coté d’elles, le bouquet à la main en fronçant les sourcils. Il est là, assis sur une chaise dans la salle d’attente, il sent l’homme viril et affamé. Il n’a pas du tout l’air à l’aise. « Des fleurs sérieusement? » Le regard furieux, je l’attaque dès les premiers mots. Ca fait trois semaines que je le vois me baiser dans ma tête et mes premiers mots pour lui sont ceux là. Ma chatte se crispe légèrement, je sens une chaleur sournoise me réchauffer le bas ventre. Il m’excite juste par sa présence mais je ne veux pas lui montrer pour le moment. Ma voix se calme et plus bas, je lui glisse. « Et la carte? Putain tout le monde aurait pu la voir. » J’entends que la salle de pause se tait à coté de moi. Ils écoutent ce qui se passe, voulant savoir pourquoi la gentille docteur se fâche contre la masse de muscles. Je me rapproche de lui pour lui parler, essayant de garder ma voix calme pour être discrète. Bordel, Il est si grand. J’ai l’impression d’être de nouveau sa toute petite chose fragile. Ressaisie toi Astrid, tu es là pour l’engueuler. « En plus, tu te pointes a mon boulot, devant tous mes collègues et tu traumatises Genji. Il a dit que tu avais l’air d’être un connard. » Ma voix se veut forte, intransigeante et ferme, je veux qu’il voit qu’il a fait une connerie en venant ici, mais en même temps, mon corps est attiré par lui comme un aimant. J’essaye de garder une distance professionnelle, quelques centimètres nous séparent mais j’avoue que je crève d’envie qu’il me baise là maintenant. Puis je me souviens que je suis au travail, en tant que médecin, et que j’ai d’autre choses à faire que de me faire prendre dans une salle d’attente. « Tu m’expliques ce que tu fous la? »

Ryo

Humain(e)

Re : Rien à foutre ici. - PV Ryo -

Réponse 3 dimanche 06 février 2022, 18:56:14

"Ouais, des fleurs. Elles te plaisent pas?"

Ryo a observé le merdeux se diriger vers un bureau et y disparaitre. Le type avait serré les poings et s'était tu, déjà soumis, le genre de nullité dont Ryo n'avait franchement rien à foutre. Il le voyait bien tourner désespérément autour d'Astrid dans l'espoir qu'elle fasse le premier pas pour lui éviter cette étape insurmontable ... Il pourrait écrasé ce mec rien qu'en lâchant une caisse. Si rencarder Astrid ouvrait un conflit avec ce con, ce serait marrant. Il était ressortit quelques instants après du bureau et avait attendu qu'Astrid en sorte pour lui emboiter le pas.

A la vue de la jeune femme, le bas-ventre de Ryo s'était embrasé. Elle était vraiment bonne, même dans cette tenue sensée rendre n'importe quelle beauté ... quelconque. Malgré ces semaines passées, Ryo n'oubliait rien de l'odeur des cheveux d'Astrid, du goût de sa peau, de la volupté de con corps mais aussi de son étroitesse. Plusieurs fois, il s'était réveillé, la nuit, trempé de sueur, sortant de rêves où il la baisait encore et encore. La revoir, là, bien réelle, ravivait ces nuits torrides. Elle s'approcha de lui, passant devant le bureau des infirmières qui se turent, surement à l'écoute de ce qui allait se dire. Le Genji s'arrêta aussi à quelques mètres, feignant de se plonger dans la lecture d'un truc qu'il avait récupéré au passage sur un comptoir.
Astrid s'était planté devant lui, son bouquet à la main. Elle ne fulminait pas ... pas trop en tout cas ... et la légère rougeur qui marquait encore ses joues laissait deviner qu'elle avait lu le petit mot. Elle dépotait, elle avait du chien et le cœur de Ryo manqua un battement quand il posa ses yeux sur la gorge découverte. Bordel! Elle lui rentra dedans, il s'y attendait un peu, c'est aussi pour ça qu'il la kiffait.

"J'aime bien tes nibards, ils ont l'air énormes coincés dans cette blouse."

Il n'avait pas pris la peine de baisser le ton, et en plus c'était vrai. N'importe quel type normal aurait adoré les baiser. Genji devait se branler pendant des heures en y pensant. Sans se lever, Ryo tendit la main pour glisser un doigt entre deux boutons et toucher la peau tiède de la cochonne. Ca l'électrisa et il serra les mâchoires à se briser les dents. Il la tira un peu vers lui et lui prit un sein qu'il serra. Astrid tournait le dos à la salle des infirmières et à Genji et Ryo utilisa sadiquement cet avantage pour la peloter.

"Ca va ton cul?"

Il s'excitait presque lui-même à lui parler comme ça.

"Je t'ai manqué j'espère? Moi, ce matin je pensais à toi et j'ai choppé une trique d'enfer."

Il accentua la pression sur la poitrine d'Astrid et la lueur du prédateur s'alluma dans son regard.

"J'ai une furieuse envie de te prendre comme un sauvage."


C'était soufflé sourdement. Il la dévorait des yeux, suivant chaque courbe de son joli petit corps. Il se leva enfin, étendant l'ombre de sa silhouette massive sur la petite chose qu'il avait tout récemment démonté. Il s'amusait aussi de la situation. Une tête passa dans l'encadrement de la porte et la fille s'effaça en gloussant de s'être faite capter. Genji, lui, était cramoisi. Peut être avait-il entendu ce que disait Ryo, peut être pas. en tout cas, quand leurs regards se croisèrent, c'est lui qui détourna le sien. Vouloir jouer avec un requin était dangereux ...

"Si ton gus me mate trop comme il le fait, je vais pas aimer ... Tu devrais le branler un peu pour qu'il se calme."

Ryo saisit soudainement le poignet d'Astrid et guida sa petite main contre sa queue éveillée.

"J'ai mal à la queue docteur. J'ai besoin de vous voir en consultation."


il se frotta à elle et sans lui laisser le choix, il l'orienta vers le couloir qui menait au bureau. Il lui mit une main aux fesses pour la pousser. Pas sûr qu'elle crie au scandale ... Il s'arrêta devant Genji.

"Ca va?"

L'autre faillit s'évanouir.

"Euh ... oui."


"Merci pour le bouquet. Astrid est ravie."

L'autre frisait l'apoplexie. Ryo relâcha sa pression sur la jeune femme et fit mine de l'accompagner. Il n'était pas là pour la cramer non plus et il s'amusait à la titiller. Il était peut être un connard mais ne la plomberait pas plus devant ses collègues. Genji par contre, il allait s'en occuper et Astrid participerait ...

Quand ils entrèrent dans le bureau, il énonça l'évidence.

"Ca sent la salope ici!"



Astrid Grace

Humain(e)

Re : Rien à foutre ici. - PV Ryo -

Réponse 4 mardi 08 février 2022, 11:46:29

Mon ton autoritaire et mes joues rouges de colères n’ont absolument rien changé à son comportement. Toujours un connard abusif. Ryo ne se gêne même pas et commente la taille de ma poitrine dans mon blouse. Mes yeux descendent de se poser sur mon décolleté. Putain, je n’avais même pas remarqué, c’est vrai qu’on ne voit que ça. Ca fait des années que je portais ce genre de tenues et jamais je n’avais vu que mes seins paraissaient énormes dedans. Ryo ne se gêne pas pour en profiter et y glisse un doigt pour toucher ma peau. J’aurais aimé dire que ça ne m’a rien fait, que son contact n’a rien provoqué en moi mais c’est faux. Ce petit attouchement a été suffisant pour m’emporter dans la luxure. Moi qui n’a jamais dragué à l’hôpital, qui n’a jamais montré mon comportement malsain, là en plein milieu de la salle d’attente, j’aurais pu le plaquer contre le mur et lui demander de me baiser fort. Mais je me retiens. Même si tout le personnel soignant nous tourne le dos et que Ryo s’amuse à profiter de mon corps à mon insu, je me mords les lèvres, gardant pour moi un gémissement. Il me demande comment va mon cul et s’il m’a manqué, tout en commençant à me peloter à travers la blouse. Je sens ma colère s’atténuer et mon excitation monter. « Je… Non, tu ne m’as pas manqué. » J’entends les bruits du bureau des infirmières derrière, je devine que tout le monde écoute nos mouvements. La voix de Ryo reste plutôt basse, je ne pense pas que les soignants l’aient entendu mais je ne dois pas le laisser se pavaner comme ça devant tout le monde, il risquerait de dire une connerie. Il continue de me dire des mots crus et salaces, comme à son habitude. Dangereusement, je commence à mouiller. Mon abstinence ne m'aide pas à me contenir certes, mais je ne veux pas m'avouer que c'est sa présence qui est plus aphrodisiaque que tout.

Un gloussement retentit derrière moi, rapidement je tourne la tête pour voir ce qui se passe mais la personne a déjà disparu. Par contre, mes yeux croisent ceux de Genji, debout dans le couloir à nous épier. Je comprends mieux la réaction de Ryo. Genji nous regarde, rouge comme une tomate, l’air un peu en colère et très déconcerté. Il ne sait clairement pas quoi penser du couple qui se trouve en face de lui. Si on peut appeler ça un couple, peut être plutôt un animal devant sa proie. Quand Ryo se lève, on peut voir qu’il me domine de toute sa présence. Tout son corps pourra me recouvrir s’il le voulait. Discrètement, il place ma main sur son entrejambe. « Attends, arrête, tout le monde peut nous voir. » Déboussolée, je le regarde presque perdue. Entre la peur d’être découverte et l’excitation de sa présence, je sens mes sous vêtements se tremper. Lui sait quoi dire, quoi faire, il sait ce qu’il veux. Sa grosseur tressaille sous mes doigts, prenant de plus en plus de place dans son pantalon. Ca me rappelle des souvenirs de cette nuit là, son sperme dans le fond de ma gorge, sa lourdeur entre mes fesses, la douleur de mes poignets attachés. La rougeur sur mon visage n’est plus de la colère, elle s’est transformé en pure excitation.

Ryo me pousse vers le bureau, s’arrêtant au passage devant Genji comme pour le narguer. « Il a besoin d’une consultation. » Genji acquiesce sans approuver, il va surement se poster pas loin de la pièce pour écouter ce qui se passe. On ne peut pas fermer les portes à clé dans ces bureaux, au cas ou il se passerait quelque chose, mais il existe des petits écriteaux « ne pas déranger » pour éviter tout nuisance. Rapidement, en entrant, je le pose à la porte, puis me retourne vers Ryo. « Donc tu es venu à l'hôpital avec des fleurs pour me sauter c’est ça? » Je n’arrive pas à me décider si je dois lui mettre une claque ou si je dois lui sauter dessus. Les deux options me tentent vraiment. Me retrouver seule avec lui attise le feu dans mon bas ventre, si j’écoutais mon instinct, je serais déjà à poil en train de le sucer. « Tes putes n’arrivent plus à te satisfaire? » Je n’ai aucune idée s’il baise des putes dans son temps libre, ça ne me surprendrait pas vu son endurance et sa violence, mais je n’en sais rien. Je le pousse légèrement pour qu’il pose ses fesses sur le bureau, me faisant face. Hésitante mais excitée, je pose l’une de mes mains fines sur son visage pour qu’il me regarde dans les yeux pendant que l’autre défait la ceinture de son jean. Quelques boutons défait et elle se faufile dans son caleçon, attrapant sa grosse queue virile entre mes doigts et la sortant de son étau serré. J’avais presque oublié à quel point il était gros, je me demande encore comment j’ai pu prendre ça dans mon cul avec si peu de préparation. Je la lâche une seconde pour venir cracher dans ma main avant de revenir la faire coulisser le long de sa bite, allant et venant rapidement. « Tu peux pas venir comme ça, te pointer dans la salle d’attente et me chauffer à la vue de tous. » J’essaye de mettre les choses au clair mais ma main sur sa queue me trahit. Je suis tout autant excitée que lui, j’ai envie de le baiser, j’ai besoin qu’il me baise. Mon poignet glisse plus vite sur sa queue, la faisant grossir au point ou les doigts n’arrivent presque plus à en faire le tour. « Putain… » Je ferme les yeux, appréciant une vague de chaleur sexuelle qui m’envahit rien qu’en le branlant. « Putain tu es vraiment un enculé... » Je veux paraitre forte mais ma débauche me rattrape. 3 semaines d’abstinence, ça n’est clairement pas bon pour moi.

Ryo

Humain(e)

Re : Rien à foutre ici. - PV Ryo -

Réponse 5 vendredi 11 février 2022, 14:03:55

Résistance de pacotille. Astrid meuble la conversation pour s'assurer un semblant de contrôle. Ryo n'est pas un psy mais il sert dans la police depuis longtemps et sait deviner l'état émotionnel des personnes auxquelles il est confronté. Il ne faut pas grand chose pour qu'une apparence s'effondre sous le poids d'émotions fortes. Un front luisant, des joues empourprées, un regard fuyant, une hésitation verbale ... tous les signes qu'Astrid émet prouvent que la présence du flic est loin de lui être indifférente.

"Les fleurs, c'était juste pour me faciliter le passage, j'm'en branle en fait. Mais ouais, j'suis là pour t'baiser. Et c'est sûr qu'mes putes ont pas ton niveau de dépravation. T'es bien au dessus d'elles."

C'est elle qui fait le premier pas et qui lui attrape la bite. Il n'a même pas eu besoin d'initier l'allumage qu'elle l'astique déjà. Ses petits doigts font déjà des merveilles et il sent gonfler sous la caresse. Il exhale, la tête en arrière. Astrid pue le sexe. Elle est née pour ça. Si elle se foutait sur le trottoir, elle se mettrait des ronds pleins les poches avec sa gueule d'ange et ses manières de pute. Qu'elle se crache dans la main pour le branler rend le geste encore plus pervers. Ils sont collés l'un à l'autre, elle écrase ses gros seins contre son flanc. Il peut humer l'odeur de ses cheveux et instantanément, il la revoie couverte de foutre, son foutre à lui, dégoulinant sur ce joli visage.

"Pu...tain!"

Elle sait y faire la chienne.

"Si, je peux! T'es bonne à te faire tringler n'importe où! J'suis sûr que t'es déjà trempée et que t'attendais qu'j'débarque ici."

Elle accélère la cadence de sa masturbation, comme si le fait de la traiter de cette manière l'excitait. Elle était tordue, tout comme Ryo à sa façon. C'est surement pour ça qu'ils s'attiraient mutuellement. Elle semble kiffer autant que lui, comme si elle s'imprégnait de l'énergie sexuelle qui se dégageait de leur retrouvaille. Elle l'insultait.

"Ouais, t'es une sale pute aussi ... que tu viens même me faire chier dans mes rêves. Continue !"

C'était une simple branlette mais Astrid en maitrisait la moindre pression, comme si elle avait fait ça toute sa vie. Elle devait aussi avoir un doctorat en prostitution ou un truc comme ça ...

"Plus fort salope!"

C'était dit fermement. Ryo ordonnait et sa grosse voix porta dans le bureau. C'était une pièce comme n'importe quelle pièce d'un hôpital. Murs blancs, un bureau quelconque avec deux chaises, un peu d'équipement médical et un banc d'auscultation caché derrière un rideau en plastique accroché à une tringle en aluminium. Les néons au plafond diffusaient une lumière crue, irritante pour les yeux si on les regardait directement. La porte était fermée mais quand Ryo y laissa glisser son regard, il vit les ombres fixes et séparées qui glissaient dessous. Quelqu'un les écoutait. Ce connard de Genji! Cette petite merde, au lieu de se battre pour le cul de la doc, jouait les pervers à fantasmer derrière sa porte! Une idée débile traversa l'esprit de Ryo. Si ce parasite voulait vraiment se taper Astrid, ça pourrait être son jour de chance, et aussi le moyen de l'écarter définitivement du plateau de jeu.
Le grand flic saisit le poignet de la jeune femme pour la faire cesser.

"Pas comme ça! Si j'dois gicler, c'est sur ta gueule de chienne. Fous toi à genoux et fais c'que tu sait faire de mieux. T'es la reine de la pipe alors fais toi plaisir jusqu'au bout. Tu crèves d'envie d'm'sucer hein."

De sa grosse patte, il appuya sur l'épaule d'Astrid pour l'accompagner.

"Dis moi qui t'es vraiment ..."

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Rien à foutre ici. - PV Ryo -

Réponse 6 dimanche 13 février 2022, 19:56:01

Il se plante devant moi, grand et viril, me dominant par sa taille. J’ai très envie de me fâcher contre lui et de le foutre à la porte, mais mon excitation me contredit. Le souvenir de sa perversion ce soir là me hante. Ca fait trois semaines que je ne pense qu’à sa bite qui m’a remplit, je ne veux pas qu’il parte maintenant sans m’avoir fait jouir au moins une fois mais je ne veux pas non plus lui avouer. Il n’a pas besoin de savoir que seuls mes doigts m’ont touché pendant son absence, que la seule pensée de me faire prendre par une autre bite que la sienne m’ennuie d’avance. Ryo a déjà un ego démesuré, pas la peine d'en rajouter.

Entendre que je suis meilleure que ses putes me fait quelque chose. C’est sale et pervers, mais j’apprécie presque ses mots, comme si c’était un compliment. Ryo est donc déconcerté lui aussi. Il a l’air tout autant en manque que moi. Ses paroles sont crues et violentes, il a besoin de baiser là maintenant. Evidemment que les fleurs n’étaient qu’un prétexte, j’aurais pu jurer qu’un mec comme lui ne s’excuse pas après avoir défoncer une fille. C’est même le genre de mec qui s’en vante. « Parce que tu rêves de moi? » Ma main coulisse le long de sa queue, de plus en plus vite. « Dis moi de quoi tu rêves. » Quand Ryo m’ordonne de serrer plus fort, je m’exécute, pressant son bout de chair entre mes doigts. Un bruit de masturbation rapide et obscène résonne dans la pièce quand ma main tape contre son pubis. Ryo rejette la tête en arrière de plaisir, saisit mon poignet et râle comme à son habitude. « Moins fort. Tout l’hôpital va t’entendre. »

Pourtant, je le laisse faire. Il appuie sur mon épaule pour me mettre à genoux et je lui obéis, comme une bonne petite soumise. Devant mes yeux se présente sa queue, droite et épaisse. Comme pour jouer avec lui, je commence uniquement par lécher son frein de la base vers le gland, tirant la langue exagérément pour qu’il voit le geste. Mon visage fragile et innocent vient de prendre un tournant pervers. Quand j’arrive au bout, je prends son gland en bouche pour en dessiner les contours, ma langue passe sur le méat, récupérant du pré-foutre qui suinte légèrement. Je fais en sorte que toute sa bite soit lubrifiée. J’ai déjà de l’expérience avec lui, je sais très bien qu’il va finir par prendre les rennes et baiser ma gorge d’ici peu. Ma salive se repends partout sur sa queue puis je le prends en bouche jusqu’à ce que son gland coince contre ma glotte. Je tiens quelques secondes, enfoncée ainsi. Sur le retour, mes dents glissent légèrement sur sa peau, sans le mordre et mes joues se creusent pour mieux pouvoir le pomper. J’extraie son dard de ma bouche dans un « pop » bruyant. Ma main continue de le branler vigoureusement pendant que je colle son gland sur ma joue. « Je te préviens, interdiction d’en mettre partout. Je travaille, je dois rester présentable! » Mes yeux lui lancent un regard noir. Oui, je suis ok pour qu’on s’amuse dans mon bureau, mais par contre, il a pas intérêt à tout dégueulasser. Mes doigts qui le maintiennent en main serrent un peu plus fort autour de sa bite, comme pour le menacer. « Sinon tu seras obligé de te contenter de tes putes. » Et je retourne m’occuper de son appendice, allant et venant dans ma bouche. Quand mon nez finit par toucher son pubis, je reste quelques temps à m’étouffer sur sa queue avant de m’éloigner pour le sucer plus doucement. Je tousse légèrement puis retourne aspirer sa longue queue brulante avec envie.

Ryo

Humain(e)

Re : Rien à foutre ici. - PV Ryo -

Réponse 7 mercredi 16 février 2022, 10:09:39

"J'rêve de toi ouais."

Il ne servait à rien de le nier. Quand on vivait une partie de cul comme celle de l'autre jour avec Astrid, on avait qu'une envie, recommencer. Ce n'était pas un aveu de faiblesse mais juste le fait comme il l'était.

"J'rêve de t'défoncer le cul et t' faire gueuler comme une chienne. Les salopes de ton niveau, j'en connais pas d'autre alors tu m'excuseras de vouloir revenir t'piner."


La fin de sa phrase meurt dans un frémissement brutal alors que la petite langue insidieuse d'Astrid vient commencer à le titiller. C'est pour ça qu'il est là, revivre la folie furieuse qui s'était emparée de lui chez la jeune femme et se vider comme un sauvage dans ce corps qui le rend fou. La perversion de la chienne illumine son petit visage de pute excitée alors qu'elle décide de le prendre en bouche. Ryo agrippe le bureau et serre le plateau à le briser. Les jointures de ses phalanges blanchissent sous la pression et il fait un effort monumental pour ne pas pousser Astrid au sol pour se foutre sur elle et lui baiser la gueule jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus. Au lieu de cela, il arrive à rester humain et la laisse l'avaler entièrement. Elle se joue de lui, elle le provoque, il le voit bien. Elle a un appétit sexuel aussi démesuré que le sien et s'arrange pour mettre le flic dans les meilleures dispositions possibles. L'effort à fournir n'est pas énorme, le flic est raide comme un chêne et ne risque pas de se calmer. Il grogne à nouveau quand elle utilise ses dents et manque gicler tant la sensation est  folle. Il se contracte violemment et s'arque boute en avant au moment où Astrid termine de l'avaler. il lui verrouille la tête entre ses cuisses, ses gros doigts dans les cheveux de la doc.

"Tu vas en prendre plein la gueule, t'as tout ce qu'il faut ici pour te laver. T'imagines pas qu'on va s'arrêter à des papouilles. T'as une bouille de suceuse de queue et j'vais te recouvrir de foutre. c'est c'que t'aimes."


Ryo avait en l'espace d'un temps restreint atteint un degré d'excitation ingérable. Il fit trois pas en avant, s'arrachant au bureau et traina Astrid sur la surface froide et carrelée du sol. Empalée jusqu'au fond de la gorge, elle ne put que suivre en poussant sur ses mains et es fesses. La poussée en elle était énorme, comme toujours, Ryo ne s'embarrassait pas des problèmes des autres. Il s'arrêta au milieu de la pièces, solide sur ses jambes. Entre ses cuisses, Astrid paraissait comme une victime devant son bourreau. Il lui saisit fermement la tête et la fit le sucer comme une acharnée. C'est lui qui imposait le rythme dément et les cheveux de la jeune femme volaient tandis qu'il lui pulvérisait la gorge. les mouvements étaient rapides, trop rapides, et trop violents. Astrid subissait un traitement dégueulasse et immédiatement des flots de salive dévalèrent son menton.

Ryo ajouta un degré de brutalité en plus en fléchissant sur ses jambes à chaque pénétration. Il allait le plus  loin possible et ne lui laissait pas le choix. Trempée, sa bite glissait loin derrière la glotte torturée en écartant les chairs.

"Suce Salope!"


Si elle essayait de le repousser, il pesait plus fort, ne l'autorisant à se ressaisir que quand il la sentait craquer. Après d'interminables minutes de se traitement barbare, il lui verrouilla les bras dans le dos pour qu'elle cesse de gigoter. Le facefuck devint hardcore  et elle faisait autant de bruit que lui entre ses gargouillis, ses éructations et ses cris étouffés. Il plongeait en elle comme un connard et se délectait de cette gorge brulante.

Le plaisir montait et sans prévenir, il se retira pour lui gicler à la gueule. Il déversa des flots de foutre sur son visage ruiné. C'était crade. Le sperme coulait, mélangé au mascara ruisselant et Ryo maintenait Astrid redressée en ayant enroulé une épaisse mèche de ses cheveux autour de son poignet. Elle était à genoux et ne s'effondrait pas que grâce à lui. Le grand flic soufflait bruyamment et regardait sa pute, sans regrets.

Sous la porte , les ombres étaient toujours présentes. L'autre jeune trouduc avait tout entendu, c'était certain. Ryo sourit vicieusement.

"GENJI! ENTRE!"

C'était un ordre sec, lancé avec un ton qui ne laissait place à aucun refus. La porte s'ouvrit timidement et l'hospitalier entra.

"Oui?"

Il se figea devant la scène de carnage qui s'offrait à lui.

"FERME LA PORTE PUCEAU!"


Ryo ressemblait à un taureau prêt à charger aussi le gosse ne mit qu'une seconde à obéir. Il avait les yeux rivés sur l'objet de ses rêves. Astrid avait frémi mais Ryo la tenait. Genji serra les poings et son visage vira au rouge.

"Calme toi gamin, c'est pas c'que tu crois. Elle s'éclate là, c'est son trip. Elle adore se faire troncher comme une salope. Ca t'en bouche un coin hein?"

Ryo força Astrid à se relever, sans douceur.

"Dis-lui que t'es une vraie salope, que t'aime te faire pilonner l'cul et que t'es une bouffeuse de foutre. Excite le qu'il comprenne à qui il a affaire en vérité."

Le risque d'un scandale était nul. Entre une nympho et un lâche, Ryo savait qu'il n'avait rien à craindre. Et il pourrait même faire profiter au gosse d'un peu d'amusement avant de le faire dégager définitivement.



Astrid Grace

Humain(e)

Re : Rien à foutre ici. - PV Ryo -

Réponse 8 vendredi 18 février 2022, 15:59:16

Comme à son habitude, Ryo n’écoute rien à ce que je lui raconte. Mon contrôle de la situation ne dure qu’un temps. Je sais à quel point il peut être violent et insensible, et pourtant je le provoque quand même, laissant ma luxure m’emporter encore une fois. Ma langue tourne autour de sa queue quand soudainement Il coince ma tête entre ses cuisses et m’oblige à m’étouffer sur sa queue. Ryo gronde, gémit, remplit mes lèvres de sa grosseur. Son gland touche le fond de ma gorge, me faisant tousser sans que je puisse me retirer. La confortable position sur le bureau ne lui convient pas, il en veux plus. Plus de violence, plus d’étouffements, plus de pouvoir. Il me traine sur quelques mètres pour s’assurer d’être dans de bonnes conditions pour me pulvériser la gorge et m’enfonce un peu plus dans mon oesophage. Je sens mes chairs s’ouvrir sous la force de ses coups de rein, ses mains me maintenant coller à ses abdos, mon nez dans son pubis. Ma propre salive n’arrive plus dans le fond de ma bouche et se retrouve à couler sur ses couilles et sur le sol. Je tente de le repousser, tapant mes poings sur ses cuisses mais rien n’y fait, il est plus fort que moi. Je lève les yeux vers lui, haletante sur sa queue, manquant d’air depuis trop de secondes. Ma bouche n’est plus qu’un amas de fluides visqueux et sales qui giclent à chaque mouvement profond de Ryo. Bandé comme un taureau, il n’hésite même pas à continuer de me baiser les lèvres, qu’il semble considéré comme un trou quelconque. Mon cou se déforme presque sous ses assauts. La pièce se remplit de bruits de gorge défoncé, de succions inappropriés et de gémissements rauques. Ryo semble prendre son pied, me tenant maintenu au bout de sa bite, explosant ma gorge meurtrie. Je n’essaye pas de reprendre le dessus, son excitation l’emporte trop loin, je ne peux que subir ses attaques comme une pauvre petite soumise. Quand sa queue frémit entre mes lèvres, je sens que son orgasme est imminent, sa main passe dans mes cheveux pour les agripper violemment et me retirer de sa queue avant de jouir sur mon visage. Je tente de récupérer un peu de cette fellation forcée quand j’entends les mots de Ryo qui me glacent le sang.

« Ryo, non. Attends. » Devant mes yeux, Genji entre dans la pièce et reste ébahi devant la scène. Ryo me dominant parfaitement par sa taille, sa bite posé sur ma joue souillée, sa main me tenant toujours par les cheveux. Genji écarquille les yeux, choqué par nos positions. Ryo m’expose à lui comme un trophée, lui montrant mon visage plein de sperme dégoulinant. La rouge de mes joues devient de la honte. Ryo lui explique que c’est ça que j’aime, que c’est comme ça que j’aime être traitée, comme une pute, comme une salope en chaleur. Il prends mon visage dans sa grosse main pour m’aider à me relever. Ma respiration tente de se calmer, mais mon coeur bat à la chamade. Je regarde Genji, ses épaules avachis, son regard fuyant, son visage rouge, puis Ryo, malsain et pervers, appréciant un peu trop la situation. Du foutre coule de mon menton et macule ma blouse blanche. Je n’ai plus aucune allure, plus aucune dignité. Genji ne dit rien, m’observant en silence. « Genji… » Il n’a rien demandé, il n’a rien fait, il voulait juste sortir avec une fille comme un gars normal, pas retrouver son crush avec du foutre sur le visage en plein milieu de son lieu de travail.

Ses yeux rencontrent enfin les miens et je découvre l’étincelle de perversité qui l’anime. Putain. Ca ne le rebute pas. Il n’est pas dégouté de la situation. Pire, il est même excitée, je vois la bosse qui commence à se former dans son jean, il aime ce qu’il vient d’entendre et apprécie ce qu’il vient de voir. Son voyeurisme le trahit. Des mots obscènes sortent de ma bouche sans vraiment que j’en ai le contrôle, répondant aux demandes de Ryo. « Je… Je suis une putain de salope. Il est là juste pour me baiser, juste pour me prendre violemment. » Ma façade innocente et chaste vient d’exploser, je ne peux plus cacher qui je suis réellement. Mon excitation, quelque peu descendue par l’intervention de Ryo, remonte en flèche, une douce moiteur s'installant entre mes cuisses. Dans le pire des cas, il se barre, la bite entre les jambes parce qu’il a prit peur. Dans le meilleur des cas… Il reste et nous observe. Cette seule pensée me fait frissonner. Mes doigts se crispent. Je déglutis difficilement. Je me retourne vers Ryo, fier comme un buffle, prêt à exprimer sa frustration des dernières semaines et passe une main fraiche sous son tee shirt, caressant ses abdos. « Ca te plairait Genji? De le regarder me défoncer? De le voir me baiser comme j’aime? De l’entendre m’insulter de chienne ?» Je ne contrôle plus vraiment mon comportement face à lui, ma perversion a prit le dessus sur mon savoir vivre. L’excitation me fait dire des mots qui ne me ressemblent pas. Ou qui me ressemblent trop peut être. Provocante, ma poitrine se colle à Ryo pendant que je me mets sur la pointe des pieds pour aller mordiller la lèvres inférieure de Ryo, espérant que ça lui laisse une marque.

Ryo

Humain(e)

Re : Rien à foutre ici. - PV Ryo -

Réponse 9 lundi 28 février 2022, 21:44:20

Le comportement d'Astrid est une merveille à lui tout seul. Quelle putain d'actrice. C'est quand même curieux qu'une salope pareille se cache dans ce petit corps tout mignon et réservé. Ce qu'elle exprime devant Genji n'est que pure vérité ... enfin un peu en deçà de la vérité. Son niveau de luxure est exceptionnel. Ryo se délecte de l'expression du garçon décomposé. La surprise l'a tétanisé mais la voix de sa dulcinée le fait sortir de son apathie. Le petit salopard pervers qui sommeille en lui s'éveille d'un coup et une étincelle de vice illumine son regard qu'il coule de biais sur le couple. Cette petite merde kiffe devant cette scène. Au lieu de remonter ses couilles et venir dérouiller Ryo, il ne pense qu'à mater la chienne couverte de foutre qu'il idolâtre. Il hoche la tête et répond de sa petite voix misérable.

"Ou ... oui ...ça me plairait ..."

Sa queue pathétique tend déjà le tissu de son pantalon et inconsciemment, il se la frotte en attendant la suite.

"Oui ça me plairait de te voir te faire sauter comme ... une chienne."

"ET BIEN C'EST PARFAIT TOUT CA!!"

L'exclamation de Ryo les fait sursauter. Lui en a assez de toute cette tchatche et a envie de baiser.

"Approche toi et démerde toi pour mater mais me fais pas chier!"

Le grand flic pousse Astrid vers le banc d'auscultation et a juste à l'y pencher pour que la jeune femme y écrase sa poitrine. Il lui crache sur le dos et sa blouse médicale s'imbibe de sa salive. En le mordillant, elle lui a foutu du sperme dans la bouche et il a son goût salé sur les lèvres.

"C'te pute ..."

En un tour de main, il lui descend le falzar et baisse la culotte le long de ses cuisses pâles et fuselées. La vue de ce cul rebondi le comble d'aise, il en a tellement rêvé qu'il est prêt à le détruire.

"Donne moi ce truc!"
lance t'il à Genji en lui désignant un tube d'un truc qui doit être assez doux pour prévoir la suite.

Genji s'empresse d'obéir et lui tend la chose qui par miracle s'avère être un flacon de vaseline. Comme si Astrid attendait ça hein ....? Ryo l'ouvre et s'en tartine le bite avant d'introduire son gros doigt dans le trou d'balle de la chienne pour l'en imprégner de produit. Il est comme happé par l'orifice qui ne résiste absolument pas sous la lubrification. il la doigte sévèrement et si elle veut bouger, il lui claque le cul.

"Hey! Fous toi en face et maintiens la par les épaules!"

Le pauvre type en tremble sur ses jambes. Il va enfin pouvoir toucher l'objet de toutes ses convoitises et ... dans quelles circonstances ! Il se plante maladroitement en face de son visage et se baisse pour faire pression sur ses jolies épaules. Son chibre vient se frotter contre elle et il sursaute et creuse le bassin pour l'éviter. Son futal s'orne de longs filins de foutre qu'il a récupéré sur les joues de la belle.

"Oh ... Excuse moi! J'ai pas fait exprès."

Ryo manque l'aplatir d'une droite de boxeur. Mais c'est quoi cette merde! Il le chope par le colbac et le tire à lui, l'écrasant par là bien clairement contre la gueule d'Astrid.

"Hey connard! Jamais tu t'excuses devant une pute ok? C'te salope est la dernière des catins donc la seule chose que tu peux lui dire, c'est la traiter de tous les noms et lui cracher à la gueule t'as compris?"

L'autre est verdâtre et manque se faire dessus. Il reprend sa position et pour faire bonne impression donne un coup de bite à Astrid. C'est un premier pas ....

De l'autre côté, Ryo est prêt. Sa queue est tendue et il force de tout son poids entre les fesses d'Astrid pour faire sauter la résistance de sa rondelle. Quand elle craque, il l'emmanche d'un coup et va brutalement au fond des choses en trois coups de reins. Il s'effondre sur elle, son front posé entre les omoplates de la doctoresse. Il exhale. Putain qu'il avait besoin de ce cul! La sensation est un pure moment de kiffe. Il sent la femme palpiter autour de lui, tenter de réagir sous l'intrusion. ça ne fait que décupler son plaisir et quand il se redresse et la saisit par les hanches, c'est pour se déchainer en elle comme il l'a déjà fait.

"Tu l'empêches de gueuler!!"

Le banc couine et grince et la violence de Ryo s'extériorise immédiatement. Il martèle aussi durement qu'il amène Astrid à lui. La rencontre de leurs corps est brutale, sèche, incisive. En quelques secondes, il l'a réduite à un objet sexuel sans nom uniquement dédié à la défonce. Il est en forme, elle va morfler!


« Modifié: jeudi 17 mars 2022, 17:01:35 par Ryo »

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Rien à foutre ici. - PV Ryo -

Réponse 10 dimanche 13 mars 2022, 11:55:50

Ryo s’amuse à utiliser Genji comme il le souhaite. L’homme est maniable et docile, la force de caractère de Ryo suffit à le remettre à sa place. Tout mon petit discours n’a fait que rendre Ryo impatient. Les yeux rivés sur Genji, je sursaute que Ryo parle, fort, comme pour couvrir nos voix et reprendre le contrôle. Il semble intéressé par le fait d’être mater en train de baiser par un mec lambda. Rapidement, mon torse se retrouve plaqué contre la table d’auscultation, le cul en arrière. Ryo découvre mes fesses excitées et semble apprécié la vue. Est ce qu’il serait capable d’avouer que mon cul lui avait manqué? A cet instant, peut être. Je ne pourrais pas dire mieux, même si mon corps a gardé des séquelles de sa maltraitance pendant quelques semaines, je ne peux que soupirer d’excitation quand je sens son gros doigt couvert de vaseline investir mon anus. Mes hanches bougent légèrement pour venir à la rencontre de sa main mais ça ne plait pas à Ryo qui veux garder le contrôle de la situation. Sa deuxième main vient fesser la peau délicate de mon cul, laissant une belle trace rouge. Je savoure presque le moment et gémis pour lui montrer mon appréciation.

Brutalement, Ryo commence à jouer avec mon anus, l’ouvrant avec dureté pendant que Genji approche ses mains timides de mes épaules pour me maintenir sur la table. Sans le vouloir, sa bite vient se coller à mon visage dans l’action. Il a du mal à réaliser ce qui se passe. Durant des mois, il a observé de loin l’objet de ses désirs, imaginant leur relation saine et romantique et maintenant, il se retourne avec son entrejambe collé à son visage souillé des fluides d’un autre homme. Ca, il n’aurait jamais pu l’imaginer, même dans ses rêves les plus pervers. Genji s’excuse gêné par son comportement, voulant encore une fois essayer de me respecter, mais Ryo en a décidé autrement, il veux lui montrer à quel point je lui suis soumise. Rapidement et presque par contrainte, Genji se retrouve à me bifler gentiment. Ca manque de conviction, Genji semble plus soumis à Ryo que moi, mais c’est un début. Son pantalon de travail se retrouve maculer du foutre présent sur mon visage, laissant des traces blanches au niveau de l’entrejambe. A cet instant, Genji ne sait pas vraiment quoi faire de lui même, me regardant avec désir et confusion.

Toute la frustration des dernières semaines semble ressortir pour Ryo pendant qu’il force contre mon cul. Je lâche un gémissement de douleur quand mon anus se détends et qu’il s’enfonce avec rage. La bouche entrouverte, le bassin en arrière, je ne peux m’empêcher de geindre bruyamment. Je sens les pourtours de mon anus s’écarteler et essayer de s’habituer à sa présence étrangère, mes muscles se contractent légèrement avant de se détendre pour le laisser passer. Sa grosse queue bandée prends toute la place, il me remplit. La vaseline aide le mouvement à se fluidifier et l’homme réussit à se planter dans les profondeurs de mes fesses en quelques aller retours. Ryo grogne dans mon dos, appuyant avec force. Pendant que le flic s’acharne dans mon cul, besognant mon trou avec sadisme, Genji tente désespérément de me faire taire. D’abord, sa main essaye maladroitement de se poser sur ma bouche et étouffer le son de mes gémissements, mais les aller retours brutaux de Ryo l’en empêchent. Timidement, je le vois approcher deux doigts de mes lèvres et les mettre dans ma bouche, m’obligeant à les sucer. Ma langue s’enroule rapidement autour, les imprégnant de salive et les coups de rein de Ryo créent un mouvement de va et vient. « Putain… Tu... Tu es vraiment une salope. » Comme hypnotiser par la scène, Genji me regarde sucer avidement ses longs doigts fins, ne portant plus aucune attention à Ryo qui me baise. La bosse continue de grandir et prends toute la place dans son pantalon. Son autre main la vient frotter, la déplaçant légèrement sur le coté pour qu’elle puisse continuer à gonfler. Sa queue n’a pas l’air aussi impressionnante que celle de Ryo mais elle n’aura aucun mal à me remplir la bouche. Le regard vitreux et fou de désir, Genji pousse ses doigts plus loin dans ma gorge et caresse ma glotte, me faisant ouvrir la bouche en grand et tirer la langue. Haletante, je ne peux que me soumettre à ses actions, ne pouvant absolument pas réfléchir à ce moment, essayant seulement de me concentrer sur le plaisir que Ryo me procure en baisant mon cul. J’avais clairement besoin de cette baise, Ryo bute contre mon bassin, m’amenant avec lui dans ses mouvements pour aller plus profond. Je sens une vague de plaisir monter en moi à chaque mouvement et me rapproche dangereusement de l’orgasme. Presque craintif, Genji lève les yeux vers Ryo, gardant ses doigts bloqués sur la base de ma langue. « Est ce que… Est ce que tu peux lui claquer les fesses? Les rendre rouge? » Lui demande-t-il, gêné, pendant que son autre main commence à baisser son pantalon de coton pour sortir sa bite.

Ryo

Humain(e)

Re : Rien à foutre ici. - PV Ryo -

Réponse 11 dimanche 20 mars 2022, 10:47:41

Ryo lève les yeux aux plafonds. Enfin, ce petit crétin de Genji a consenti à montrer sa vraie nature. Traiter Astrid de salope est un commencement, il faut rester honnête, ce n'est pas donné à tout le monde de traiter une femme comme une pute. L'homme est hypnotisé par la jeune femme qui lui suce les doigts. Bordel! Si il gicle comme ça, Ryo se promet de lui péter la gueule! Mais l'autre se reprend et se caresse à travers son pantalon. Va falloir passer à autre chose pépère!

Le flic est déchainé. Il avait pensé y aller sans trop provoquer de dégâts mais ses sens exacerbés par la présence de la cochonne ne le laisse pas gérer ses pulsions. Il rue en elle comme un sauvage. Il la dévaste et lui crève le cul sans discontinué. Ses premiers coups de boutoirs se sont transformés en une défonce furieuse où il n'a aucune pitié pour le fessier qu'il explose. Astrid saigne déjà. Son sphincter écartelé n'encaisse pas aussi bien que la première fois, il ne s'est pas totalement rétablit on dirait. Les allers retours dans le rectum pulvérisé ne cessent à aucun moment. Sa grosse queue perce les chairs moites, tape de traviole, la blesse autant qu'elle la comble. Le rythme est diabolique et la pauvre ne peut ni parler ni se plaindre, réduite à subir cet outrage brutal sans pouvoir gérer quoique ce soit.

"Est ce que ...Est ce que tu peux lui claquer les fesses? Les rendre rouges?"

La réponse est immédiate. La grosse main de Ryo s'abat sur la peau pâle du fessier, fort, très fort. La claque résonne dans la petite pièce, suivit d'une deuxième. Pour qu'Astrid ne gueule pas, Ryo lui serre le cou de sa main libre, c'est suffisant pour qu'elle cherche de l'air presque aussitôt. Ce bâtard de Genji a sorti sa bite et prenant son courage à deux mains, profite de l'occasion pour la fourrer dans la bouche d sa muse. C'est pas avec ça qu'Astrid risque de s'étouffer mais ça fera l'affaire.

"C'est la dernière fois que tu me demandes quelque chose ...  petite merde. Sois un mec et arrête de faire chier avec tes questions à la con."

Genji est au septième ciel. Même pas sûr qu'il ai compris ce que vient de dire Ryo. Il n'a pas besoin de bouger qu'Astrid le pompe au rythme de la sodomie qu'elle subit. Le flic vient de lui ramener les jambes sur le banc, à la crapaudine. Son cul est offert, complètement disponible et l'ardeur que met Ryo a la sodomiser n'a pas d'égale. A chaque sortie de sa queue, il ramène avec lui les humeurs de la jeune femme. Son anus est broyé à l'extrême et s'extraie de son logement en suivant le mouvement du gros chibre qui la plie. Mais aussitôt sorti, aussitôt entré et la tête d'Astrid vient s'écraser contre le ventre flasque de Genji. Elle est martyrisée et c'est la plus belle vision que Ryo puisse avoir d'elle. Il lui tord les bras dans le dos et Genji en profite pour enfin lui saisir la tronche et s'acharner dans sa gueule de pute. Ses mouvements sont saccadés, irréguliers, imprécis. Il risque lui aussi de lui faire mal. Il se loupe, s'échappe de la bouche baveuse pour pousser juste sous l’œil avant de réussir à replonger en elle.

"Une pute! T'es une vraie pute en fait!!"

Il prend confiance... Jusqu'à ce qu'il devienne subitement tout rouge et crispe ses doigts dans les cheveux d'Astrid. Les spasmes qui parcourent son corps indiquent qu'il se vide dans le gosier de sa muse  et de grosses gouttes de sueur tombent de son front sur les épaules de la jeune femme. Il reste plié en deux, verrouillant sa tête entre ses cuisses et ne la lâche pas comme s'il craignait de perdre un trésor précieux. Ryo en profite pour la marteler comme un dément. Ses gros doigts écartent les fesses pour exposer plus encore la rondelle à détruire.

"Mais démonte la, bordel! Pourquoi tu t'arrêtes??"


Astrid Grace

Humain(e)

Re : Rien à foutre ici. - PV Ryo -

Réponse 12 mercredi 23 mars 2022, 12:28:35

La réponse de Ryo ne tarde pas. Sa main glisse sur mon cou pour serrer sadiquement. L’air dans mes poumons est coupé presque instantanément, m’empêchant de respirer ou de parler pendant que sa deuxième main vient rougir la délicate peau de mes fesses comme Genji lui a demandé. Les claques font vibrer tout mon corps et je ne peux que subir et gémir sourdement. Genji profite de ma bouche entrouverte pour s’infiltrer à l’intérieur. Il est déjà très excité, sa bite bandée racle sur mon palais. Cela n’arrête pas Ryo, qui après avoir insulter Genji avec rage, recommence à me percuter comme si sa vie en dépendait. Il semble prit d’une furie diabolique, cognant dans mon trou ouvert comme un forcené. Mon anus, déjà malmené par le flic il y a quelques semaines, se souvient encore de ses coups de butoirs, il essaye de se détendre et de s’habituer mais reste encore traumatisé et douloureux.

Une fois que Ryo laisse mon cou, mes cordes vocales font trembler le gland de Genji, lâchant des gémissements de douleurs. Je ne peux pas nier qu’il me fait mal, son bassin bute contre le mien avec violence, ses lourdes couilles balancent sur ma vulve trempée. La bite de Genji ne suffit pas à me faire taire, je ne peux m’empêcher de geindre contre lui. Le flic continue de martyriser mon cul, remontant mes jambes et maintenant mes bras en arrière à sa guise pour plus de domination. J’ai mal, je prends cher, je suis exactement dans le même état qu’il y a trois semaines, mais dans le fond, je prends un plaisir monstre.. Genji qui me culbute le visage sans trajectoires précises, attise encore la chaleur dans mon bas ventre, tenant fort mes cheveux comme si je pouvais lui échapper à tout moment. Mon sphincter écartelé râpe quand Ryo passe, créant des frissons qui remontent dans mon dos. Je suis coincée entre deux mecs qui s’acharnent sur mon corps. Quand Ryo tape une nouvelle fois dans le fond de mon rectum, tirant cruellement sur mes bras pour me cambrer un peu plus, je craque. « Putain… » Mes fesses se resserrent sur lui, les muscles de mon anus se contractent autour de sa queue, je jouis. Dans cette position de soumission extrême, avec deux bites en moi sur mon lieu de travail. Ma chatte luisante dégouline sur le sol, laissant une trace de mouille mélangé à tous les autres fluides qui s’extirpent de mon cul. Quelques secondes plus tard, Genji coince mon visage entre ses cuisses et cale sa bite au fond de ma gorge pour y lâcher son sperme. Il tourne presque de l’oeil, son esprit se vide totalement. N’entendant absolument pas les paroles de Ryo, il titube quelques pas en arrière pour poser son dos contre le mur. « Je… J’en. Je n’en peux plus. » Son regard se pose sur ma bouche, son sperme coulant de mes lèvres.

Le souvenir d’une Astrid forte et convaincante est totalement partie. On va dire que j’ai essayé mais que l’appel du sexe était trop fort. Et que je suis faible aux tentations charnels. Surtout quand ça concerne un flic plutôt bien monté. Mon premier orgasme ne l’arrête pas. Même après avoir hurler sur Genji, il continue de bouger ses hanches profondément en moi. Mon sphincter est plus sensible, plus serré, je sens chacun de ses mouvements frotter contre mon rectum maltraité. Ses mains s’amusent à écarter un peu plus mes fesses pour pouvoir admirer le résultat de sa besogne, souriant en voyant mon anus dilaté au maximum. Sans Genji pour me combler la bouche, je ne peux m’empêcher de gémir, des gémissements qui mélangent douleur et plaisir. Dans un souffle, entre deux coups de queues secs, les yeux fermés par l’extase, je lui dis, suppliante. « Ryo, mets de la vaseline. Je... Je vais m’évanouir sinon. » Je ne sais pas s’il m’écoutera. « Et s’il te plait, hmm laisse me toucher. »

Ryo

Humain(e)

Re : Rien à foutre ici. - PV Ryo -

Réponse 13 vendredi 01 avril 2022, 10:08:30

L'esprit dégénéré du flic pervers se soulage enfin de l'abstinence forcée de ces derniers temps. L'absence d'Astrid dans son lit après leur première nuit ensemble avait été un calvaire pour Ryo dont les besoins sexuels étaient énormes. Ces fréquentations féminines lui avaient semblé tellement fades depuis la jeune baiseuse qu'il avait accumulé une rage qu'il libérait à présent sans retenue. il ne lui manquait plus qu'à gueuler pour clôturer le tout. La violence qui le dominait était dangereuse, il pouvait faire mal à Astrid, lui briser les reins ou l'étrangler dans un geste de folie. Il en était à un stade ou le moindre faux-pas aurait pu être fatal. Heureusement, c'est la petite voix suppliante d'Astrid qui le tira des tréfonds de sa perversion au moment où c'était vraiment nécessaire.

Le flou de son regard se dissipa et il mesura toute la brutalité de la scène. Genji bavait, affalé en face d'eux contre le mur. Sa queue pendait mollement après qu'il se soit vidé dans la bouche de son égérie et il semblait complètement knock-out. Astrid gémissait, le corps précipité vers l'avant à chaque coup de butoir. Sa peau marquée et rougit portait les stigmates de la démence de Ryo. Il bougeait automatiquement, enculant la trainée sans discontinuer. C'est là, dans cet orifice serré qu'il se sentait le mieux quand il baisait une femme. La sensation d'étroitesse était la meilleure plutôt que d'aller  se perdre dans le fourneau d'un vagin dégoulinant. Le flic préférait la sodomie depuis toujours, se souciant peu voire pas du tout du plaisir de sa partenaire. Et Astrid ne dérogeait pas à la règle. Ryo ne pensait et n'avait pensé qu'à son petit cul accueillant et maintenant qu'il le pilonnait, il s'ancrait dans une démarche curieuse, comme une dépendance à ce corps défiant les lois du supportable.

Astrid était d'une endurance remarquable, pas éternelle mais tout de même hors du commun. Et quand elle pria Ryo de plus d'accommodations, le flic sut qu'elle allait méchamment craquer. Et tout aussi curieusement, il céda à sa demande et cessa aussitôt de la marteler comme il le faisait. Sans un mot, il se retira d'elle et la retourna sur le dos. Elle avait le visage marqué de foutre et il pouvait même sentir son haleine chargée de relents de sperme. Elle était dévastée et foutrement belle comme ça. D'une tape , il lui fit écarter les cuisses et à l'aide du tube de vaseline, il lui créma la rondelle généreusement. La pénétration suivante fut une formalité. Ainsi lubrifiées, les fesses de la jeune femme l'engloutirent sans résistance. Il tapa au fond, investissant l'intestin fragile  de son gros gland avant d'y glisser en entier. il avait l'impression de profaner une crypte sacrée tellement c'était profond.
Elle voulait se caresser, il la laissa faire. Qu'elle se doigte, se fiste tout ce qu'elle voulait, il n'allait pas l'en empêcher. Elle était super sexy avec ces trainées de foutre qui coulaient le long de son visage. Genji s'était bien lâché. L'ex puceau reprenait d'ailleurs un peu ses esprits et retrouvait sa vigueur devant ce spectacle décadent. prenant son courage à deux mains, il revint vers le couple. La tête renversée en arrière, Astrid lui offrait toute latitude pour se faire encore détruire la gorge mais il choisit de venir lui baiser les nibards, il butait contre les épaules de sa muse et poussa sur la pointe des pieds pour s'insérer entre les masses de chairs souillées qu'il serra de ses mains tremblantes. Ses boules frottaient contre le visage d'Astrid qui si elle le voulait pourrait lui lécher le cul.

De son côté, Ryo passait en mode encore plus déchainé et quand il se purgea en elle, il serra tellement les hanches de la jeune salope qu'elles bleuirent instantanément. le grand flic fut prit de spasme et trembla durant tout son orgasme. Il remplissait le cul d'Astrid comme il le ferait d'une outre de flotte. Ce fut long, massif et intense et hébété, il s'extirpa d'elle pour buter sur une chaise et s'y affaler quand il recula. Il était électrisé de plaisir et comprenait difficilement qu'il venait d'avoir l'orgasme le plus dévastateur de toute sa vie.


Astrid Grace

Humain(e)

Re : Rien à foutre ici. - PV Ryo -

Réponse 14 samedi 09 avril 2022, 13:27:48

Ses mains coincés dans mes hanches me font mal. La fréquence de ses coups de butoirs aussi. Son acharnement sur mon corps m’amène à penser qu’il s’est abandonné dans un océan de plaisir, ne pensant qu’à sa queue qui écartèle mon cul. Des bleus apparaissent sur mes hanches. Dégoulinante de sueurs, dévastée par mon orgasme précédent, ravagée par Ryo, j’encaisse avec difficulté. Quand il s’arrête quelques secondes pour me retourner après ma plaidoirie, je ne peux m’empêcher de lâcher un soupir de soulagement. Sa queue sort de son étroit écrin mais reste bandée, prête à repartir à la charge. Ryo m’écoute pour une fois et attrape le tube de vaseline. Mon anus est exposé, ouvert comme jamais. On pourrait surement y glisser toutes sortes de jouets. Je sens les pourtours de mon sphincter me brûler, presque à vif. Il va avoir du mal à se refermer une fois la folie d’aujourd’hui terminée, je vais encore mettre des semaines à m’en remettre. Après l’avoir badigeonner, en un coup de rein, le flic ré-investit mon rectum, se plantant au fond. Je gémis sous lui, mes cuisses se refermant autour de ses hanches. Je vois qu’il regarde mon corps et qu’il apprécie le spectacle. Mes cheveux bruns collés aux trainées de foutre sur mon visage, mes seins qui ballottent à chaque passage, ma bouche obscène entrouverte. La moindre image de moi souillée semble l’aguicher.

A son tour, Genji se redresse, surement de nouveau excité à la vue des mouvements de Ryo. Ses cuisses viennent s’appuyer contre mes épaules pendant que ses mains flattent ma poitrine. Il les pétrit quelques secondes, appréciant leur fermeté puis vient créer un étui pour y mettre sa queue. Mon visage se retrouve juste en dessous de ses couilles, celles ci tapant sur mon menton quand Genji coulisse entre mes seins. Mon nez est face à son anus fermé, me laissant penser qu’il n’a jamais même jouer avec, et malgré la fatigue, je m’entête à commencer à le lécher vigoureusement. Genji lâche un cri de puceau quand ma langue vient l’humidifier. Sa main tape à plat sur la table d’auscultation. « Sale petite pute, putain. » Il lâche mes seins pour se redresser, appuyant un peu plus son anus contre ma bouche. De la salive vient s’étaler sur sa rondelle, la rendant plus souple, juste assez du moins pour que j’y glisse doucement ma langue à l’intérieur. Genji perds la tête en dessus de moi, il rejette la tête en arrière avant de saisir sa queue, redevenu dure grâce à toutes ses stimulations, pour recommencer à se branler. Ses grognements remplissent la pièce pendant que Ryo arrive à son point de non retour lui aussi.

Quelques allers retours profonds et une pression sadique sur mes hanches et l’inspecteur finit par se vider dans mon cul, lâchant de longues trainées de sperme. Sa jouissance entraine un nouveau gémissement de ma part, la langue coincée dans le cul de Genji, je sens presque mes intestins se remplir de foutre épais. Le flic titube en se retirant, je ne le vois pas mais je l’entends, la gueule en sueur, les mains tremblantes, il s’affale un peu plus loin, encore choqué par la vague de plaisir qu’il vient de prendre. Ca n’arrête pas Genji pour autant qui se branle frénétiquement en se faisant lécher le cul. Il a abandonné mes seins pour venir appuyer un peu plus sur l’arrière de ma tête, me forçant à enfoncer ma langue plus loin. Le petit Genji est en train de devenir un sacré pervers. Mes mains viennent se poser de chaque coté de ses hanches pour le maintenir en place, j’en oublie presque Ryo à coté, haletant face à son orgasme, observant surement la scène d’un air absent. Le visage de Genji se crispe de nouveau, sa main sur sa queue accélère, il fronce les sourcils et gémis quand un flot de sperme vient se rependre sur ma poitrine. Le liquide chaud et visqueux coule sur ma peau, souillant un peu plus mon corps. Ce deuxième orgasme exténue le jeune homme qui s’adosse contre le mur une nouvelle fois avant que ses jambes ne se dérobent sous lui.

Je reste quelques minutes de plus sur la table d’auscultation pour récupérer de cette folie. Tout mon corps me fait mal, chaque centimètre de ma peau a l’air d’être couvert de sueurs ou de foutre, mon cul tente de se refermer avec difficulté. Ryo a encore une fois abusé de tous ses pouvoirs sur moi et je l’ai laissé faire, profitant du plaisir qu’il me donne sans le vouloir. Je découvre avec stupeur que c’est ça qui me plait. Être contrainte, être soumise, être souillée, elle est là ma vraie volonté. Je me relève, grimaçant à chaque mouvement douloureux pour me tourner vers Ryo. Il semble aller mieux, son corps a cessé de trembler. Je n’ai besoin de faire que 2 pas pour rejoindre Ryo sur sa chaise, m’installant à califourchon sur ses genoux. « C'est bon, tu es rassasié? Maintenant que tu m'as baisé le cul, ravagé le visage et corrompu mes collègues? » Mes hanches ne peuvent pas s’empêcher de bouger sur lui, malgré la fatigue, malgré l’orgasme, malgré la douleur. Je ne peux pas renier mon attirance pour ce mec qui me maltraite à chaque fois qu’il me voit. Nos personnalités sont totalement différentes, nos caractères absolument pas complémentaires, mais nos corps, putain nos corps, qu’est ce qu’ils fonctionnent bien ensemble. Abasourdie par mes pensées obscènes, je me tiens devant lui, essayant d’être fière. Je ne suis pas vraiment fâchée contre lui, plutôt contre moi même. Je n’arrive pas à lui résister, à le repousser, à l’engueuler en lui disant qu’il a été trop fort. Non, j’ai encore envie de le revoir.


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