Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Retrouvailles [Astrid]

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Jack Taylor

Humain(e)

Retrouvailles [Astrid]

jeudi 16 décembre 2021, 22:07:04

Hideo Suzuki claque la porte de la berline noire aux vitres teintées, adresse un signe de tête au chauffeur, dans le rétroviseur et s’éloigne d’un pas lent, chaloupé. De taille moyenne, l’héritier s’est sculpté un corps musculeux, mis en valeur par un élégant costume trois-pièces ajusté anthracite. Légèrement ébloui par le soleil de ce début après-midi, il plisse les yeux, avant de sortir une paire de Tom Ford qu’il place sur son nez. Aujourd’hui, Hideo a un rendez-vous important avec un promoteur immobilier, mais il a prévu de le faire poireauter un peu. Il regarde sa montre. Pourquoi pas un café ? Soit. La rue est animée, mais les terrasses sont dégarnies ; la plupart des gens sont encore coincés au bureau, à cette heure-ci. Pas moi. Il avise un café, qui fait l’angle. Un peu cheap. Il s’éloigne de quelques pas. Mh ?

Quelque chose le perturbe, si bien qu’il se retourne, observe de nouveau la terrasse. Une silhouette lui semble familière. Tu délires mon pote, tu délires complètement. Son cœur s’emballe, pourtant.

Ces cheveux bruns, cet air pensif, cette manière de croiser les jambes… Astrid, c’est Astrid.

Tétanisé, la bouche légèrement entrouverte, le puissant Hideo Suzuki, négociateur hors-pair, play-boy à ses heures perdues se décompose. Il a chaud, il se sent fébrile. Rien à foutre de cette sale pute. Faux. Il déglutit avec difficulté. Il a l’impression d’être de nouveau dans le corps rachitique de ce timide étudiant en art qu’il était, il y a presque dix ans, incapable de prendre une putain de décision. Astrid, ce putain de fantôme qui le poursuit depuis tant d’années. Il a un mauvais sourire, soupire avant de prendre une décision.

“Je peux m’asseoir ?”

Hideo n’attend pas la réponse de l’intéressée. Il tire la chaise à lui, s’installe confortablement en face de la jeune femme, les yeux rivés sur son visage circonspect. Putain, elle a quasiment pas changé elle. Toujours ce putain d’air angélique, presque tendre - alors que c’est une putain de chienne. Son visage se crispe, un peu de bile lui remonte dans le gosier.

“Tu me remets ?”

Il retire ses lunettes de soleil, les balance sur le verre de la table. Son regard est dur, acéré. Astrid fucking Grace, la sale garce qui lui a volé son cœur pour le réduire en miette, neuf ans plus tôt. Ils étaient jeunes, alors, insouciants - du moins en ce qui le concernait. Une rencontre à la bibliothèque, quelques rendez-vous, des baisers timides dans le cou. Il l’avait aimée comme jamais il ne l’avait cru possible. Pas de sexe ; Hideo voulait faire les choses bien, dans l’ordre. Lui, l'unique héritier d’une richissime famille de notables, elle, brillante étudiante en médecine, promise à un avenir tout tracé.

“Dis-moi Astrid, est-ce que t’es toujours une sale petite pute ?

Il prononce ces mots en anglais, avec un accent parfait, un sourire glacial. Ses mains tremblent légèrement et il les pose sur ses cuisses. Il bouillonne. De rage.

Comme ce mardi de mai, où, pour lui faire la surprise, il avait séché les cours, acheté un bouquet de fleurs, et s’était pointé chez elle. Il avait sonné une fois, puis deux. Sourcils froncés, il avait tourné la poignée de sa porte - non verrouillée - et s’était introduit à l’intérieur, sourire aux lèvres. Astrid aimait écouter de la musique lorsqu’elle travaillait, elle n’avait probablement pas entendu la sonnerie de la porte d’entrée.

Sauf qu’Astrid n’était pas en train de travailler. Astrid était prostrée sur le parquet de sa piaule, le cul en l’air, les seins écrasés sur le sol et les poignets soigneusement attachés ensemble derrière son dos. La chienne chouinait tout son soûl, pendant qu’un gaijin musculeux pilonnait brutalement son arrière train de son chibre épais. Interdit, Hideo avait tour à tour regardé le visage de sa petite amie, déformée par l’arrivée imminente d’un orgasme, l’air goguenard de l’intru qui l'enculait méthodiquement, le mélange poisseux de fluides mélangées qui souillait le sol. Le bruit mouillé, obscène des bourses de l’homme qui claquaientt contre la vulve gonflée de de son premier amour résonnait, et résonne encore aujourd’hui dans sa boîte crânienne.

Ce jour-là, il avait envie de lui faire mal, de la tuer, et de tuer le gaijin. Mais à l’inverse, il avait tourné les talons, incapable d’affronter le regard d’Astrid et s’était enfui en courant, comme une sombre merde.

Pas aujourd’hui.

Il voit la jolie petite gueule d’Astrid se déformer sous l’effet de la surprise, hoche silencieusement la tête. Après s’être vautré dans la prostitution et le sexe facile, combien de petites idiotes Hideo a-il dévoyé, souillé, humilié ? Une bonne quinzaine. Il ne se souvient même plus de leurs visages, il n'en a jamais vraiment eu grand chose à foutre. C’est Astrid, qu’il voulait punir. Et aujourd’hui, c’est Astrid, qui se tient devant lui, vulnérable. Et c’est cette fille presque banale, qu’il a eu peur d’affronter ?

“Un café allongé s’il vous plaît”, lance-il au serveur, sans même le regarder.

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Retrouvailles [Astrid]

Réponse 1 vendredi 17 décembre 2021, 00:33:41

Un paisible après midi. C’est ce qu’Astrid avait prévue de passer. Un après midi rien que pour elle à se pavaner tranquillement dans la ville. Astrid avait enfin une journée entière de repos et comptait bien en profiter. L’agenda n’était pas plein, elle avait juste envie de profiter de l’extérieur, tant que ça ne ressemblait pas à des murs blancs et que ça ne sentait pas la solution hydro-alcoolique. Astrid enfila une robe d’été, elle aurait probablement froid dans 10 minutes, mais elle avait besoin de se sentir plus féminine que tous les autres jours de la semaine.
Elle n’avait d'ailleurs pas joué avec quelqu’un depuis quelques jours et se sentait particulièrement excitée en ce début d’après midi. Plutôt que de se masturber comme toute personne classique l’aurait fait, Astrid s’amusa à introduire un petit oeuf vibrant en elle. Le but du jeu était juste de l’activer doucement dans l’après midi, juste assez pour rentrer trempée à l’appartement et pouvoir appeler un des idiots qu’elle fréquentait.

Fière d'elle, elle sortit de son appartement, télécommande en main au niveau le plus bas. La ville était magnifique à cette période de l’année, elle vivait ici depuis quelques temps maintenant et même si l’architecture anglaise lui manquait beaucoup, elle était forcée de reconnaître que Kyoto était sublime. Qu’est ce qui pourrait embellir sa journée? Facile, un café. Astrid se dirigea vers l’un de ses cafés préférés, un endroit qui ne payait pas de mine mais qui servait très bien. Elle s’installa en terrasse, sortit un livre de son sac et commanda au serveur qui la reconnait en souriant. Au bout de quelques minutes, son café arriva. «  Je peux m’asseoir? » Pardon? Comment? «  Tu me remets? » Une masse de muscles venait de s’asseoir en face d’elle. Les deux mains sur son café, elle ne comprenait pas. T’es qui toi? Qu’est ce que tu fais? Pourquoi tu souffles comme un buffle en me regardant avec tant de haine?

«  Dis moi Astrid, est ce que t’es toujours une sale petite pute? »

Bouche bée, pas de mots. Elle comprit. Hideo… Hideo Suzuki. Elle ne trouva rien à dire. Le choc l’emportait. C’était vraiment Hideo Suzuki qui se tenait devant elle. Mais ou est passé le jeune étudiant maigre et farouche qu’elle avait connu il y a presque 10 ans? Il avait du s’en passer des choses. Son costume avait l’air luxueux, tout autant que ses lunettes sur la table. Sa carrure avait changé, sa prestance aussi. Ses épaules n’étaient, à l’époque, que la moitié de ce qu’elles sont aujourd’hui. Il s'était aussi laissé pousser la barbe. Les traits de son visage étaient dur, probablement à cause d'elle aujourd'hui. Elle l’aurait croisé dans la rue, elle ne l'aurait probablement pas reconnu. Mais là, en étudiant son visage, elle reconnaissait ses yeux de jais en amande, ses cheveux noirs ébouriffés. Il restait encore un peu du Hideo qu’elle avait connu, même si il était bien caché. « Tu as tellement changé. »

Astrid ne fit aucune remarque sur l’emploi du mot « pute », dans le fond, elle savait qu’elle le méritait.  Leur rencontre avait pourtant été tellement belle, tellement parfaite. Une vraie série romantique. Il l’avait aimé, et elle l'avait chérit. Puis elle lui avait brisé le coeur de la pire des façons. En se faisant chopper à jouir avec une queue dans son cul. Ca n'était pas prévue comme ça. Elle avait aimé être avec Hideo, elle avait aimé sa douceur mais elle avait besoin de plus. Toute sa vie avait tourné autour de la discipline, de l'ordre et des apparences. Maintenant qu'elle était loin, elle voulait expérimenter, tenter des choses, jouer avec le feu. Astrid avait besoin de changements et malheureusement, ce changement impliquait de se faire attacher et sodomiser à même le sol par un illustre inconnu. Elle se souvenait de son regard  remplis de honte de de dégouts. Elle se souvient avoir ressentie de la haine pour elle même d’avoir blessé un garçon si gentil. Alors oui, ça n’excusait en rien ce qui s’est passé. Est ce qu’elle avait vraiment besoin de se faire défoncer par un quelconque mec alors qu’elle sortait déjà avec quelqu’un? Non. Est ce qu'elle aurait pu éviter de laisser croire à un mec adorable que leur relation était idyllique? Oui. Est ce qu'elle savait qu'elle allait lui briser le coeur? Probablement. Elle était jeune et frivole. Sa seule excuse a été le bêtise de la jeunesse.

Elle décroisa les jambes pour s’approcher de lui, essayant de lui attraper la main. « Hideo, je... » C'est à ce moment là que le petit objet à l’intérieur de ses cuisses bougea et vibra contre ses parois intimes, lui provoquant un frisson incontrôlable et un gémissement très audible. Astrid plaqua sa main contre ses lèvres, yeux écarquillées, jambes resserrées.

Mauvais timing. Très mauvais timing.

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Retrouvailles [Astrid]

Réponse 2 vendredi 17 décembre 2021, 20:08:27

Difficile de détourner son regard du visage de la jeune femme qu’il a tant aimé et qu’à présent, il hait. La courbe de ce nez délicat, qu’il caressait parfois, ces lèvres entrouvertes, ce regard doux, ces lèvres de suceuse.

“Ouais, ouais, merci pour ça, sujet suivant”

Il ricane, amer. Inutile de lui cacher la raison de sa métamorphose, elle est parfaitement évidente. La sale petite pute évite son regard. Il fronce les sourcils, avance le menton, défiant. Est-ce qu’une traînée comme elle est capable de ressentir de la honte ? Putain, il a envie de lui cracher à la gueule. Il retire sa main avec humeur, affectant un air dégouté, se morigénant intérieurement d’avoir eu envie de la lui laisser.

“Tu me touches pas, je sais pas où ont traîné tes mains.”

De jolies petites mains, au demeurant. Fines, diaphanes, aux doigts fuselés, manucurés.

Soudainement, il la voit frémir, hoqueter. Quelque chose de sale passe dans ses jolis yeux marron. Comme ce soir-là. Il percute immédiatement, les muscles de sa mâchoire se serrent. “Putain, mais t’es vraiment la pire des traînées hein ?” Hideo renifle, allonge l’une de ses jambes pour la glisser entre les mollets d’Astrid, les lui écarter sèchement. Il bande; son gros chibre veineux pulse contre le tissu élastique de son boxer. Une queue énorme, au gland violacé, dont Astrid ne sait rien. Il sort son téléphone portable de la poche intérieur de son blazer, tapote rapidement un premier texto, pour annuler son RDV de la journée, un second pour indiquer à son chauffeur de revenir le chercher dans une dizaine de minutes. Entre les jambes d’Astrid, son pied remonte, s’arrête à mi-cuisses. L’air furieux, il la scrute, la jauge. Il pose sa main sur la table entre eux deux, paume vers le haut, faisant tinter ses bagues en argent contre le verre de la table.

“La télécommande, Astrid.”

Le ton est ferme, agressif. De ses beaux yeux de jais, il la défie encore. Il le sait, Astrid est lâche, face aux tentations de la chair. Une révélation le frappe, le laisse presque perplexe. Il a passé les dix dernières années de sa vie à devenir l’homme qu’il a surpris en train de détruire l’anus de sa petite amie à même le sol. L’expression qu’il a vu sur sa jolie petite gueule ce jour-là, il a toujours rêvé d’en être à l’origine. Il a un rire bref, glisse son autre main dans ses cheveux coupés en brosse. Quelles étaient les chances pour qu’il retombe sur cette connasse en plein Kyoto ?

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Retrouvailles [Astrid]

Réponse 3 samedi 18 décembre 2021, 12:37:50

10 ans de rancoeur, c’est dur à oublier. Astrid se doutait que la carrure d’Hideo n’était pas du au hasard. Elle espérait au plus profond d’elle qu’elle n’était pas la cause principale, mais une transformation comme celle ci ne prenait pas quelques années, elle prenait une décennie. Elle l’avait quitté en tant que gamin apeuré, faiblard et avachi, et elle le retrouvait en tant qu’homme, fort et fier.

Putain, il a comprit. Astrid le regarda, légèrement prostrée. Un élan de rage passe dans ses yeux, il a comprit. Il savait que ça n’était pas qu’un petit gémissement passager, c’était sexuel, c’était enivrant. Elle retira sa main près de lui, serrant son poing sur sa cuisse. Et les insultes revinrent. La pire des trainées. Il a toujours la fâcheuse habitude de la retrouver dans les pires situations, il n’était pas censé être là ce jour là, il n’était pas censé sécher les cours et venir la voir se faire enculer. Même chose pour aujourd’hui, quelle est la probabilité, après 10 ans à y échapper, qu’il tombe sur elle là maintenant, alors qu’elle a un putain d’oeuf vibrant entre les cuisses. Il sortit son téléphone, envoya quelques textos à la vitesse de la lumière, ne portant plus aucune attention à Astrid en face de lui. Il avait le contrôle de la situation, tout le contrôle. Ca ne lui plaisait pas. Si tous ses petits jeux étaient sympas et pervers, ils n’en étaient pas moins sécurisants et consentants. La, elle n’avait rien.

« Non. » Dans un élan de courage, elle lui répondit. Ses yeux dans les siens, les poings serrés, ses cuisses tremblantes écartés coincés par son pied. Mais son regard était tellement froid, tellement dur, tellement dominateur. Sa main était tendu vers elle, le bruit de ses bagues qui claquaient entre elles et rayonnaient au soleil, appuyant ses paroles. Qu’est ce qui se passe si elle ne lui donnait pas? Il partait dans une colère monstrueuse et faisait un scandale dans le café. Non, ça n’était pas son genre. Astrid prit peur, seule avec ses pensées. Elle ne pouvait pas prédire ce qui allait se passer. Elle aurait pu prédire les réactions d’Hideo il y’a 10 ans. En revanche, celui en face d’elle, elle ne savait pas de quoi il était capable. Astrid déglutit difficilement, sa gorge était sèche comme obstruée, puis elle fouilla dans son sac pour prendre la télécommande. D’une main tremblante, les yeux suppliants rivés sur lui, elle la déposa dans sa main ouverte. « Hideo, s’il te plait. Ne fais pas de bêtises. S’il te plait. » A ce moment - là, elle avait peur de lui. Elle regarda les tables autour, relativement vide mais assez pour se faire reconnaître.

« Tu sais à quel point je suis désolée Hideo. N’est ce pas? » Dit-elle d’une petite voix, la lèvre du bas tremblante. Elle n’avait plus que ça. Les excuses, même si elles étaient très en retard. Elle avait essayé après l’incident de l’appeler, de lui envoyer des textos. Elle était même passée à son appartement, une après midi, espérant pouvoir lui dire en face. Jamais, il n’avait répondu ou accepté de la voir. Elle le comprenait dans un sens, mais ça ne l’empêchait pas d’avoir honte, honte d’avoir été prise sur le fait et honte d’avoir autant de perversion.
« Modifié: samedi 18 décembre 2021, 13:27:05 par Astrid Grace »

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Retrouvailles [Astrid]

Réponse 4 lundi 20 décembre 2021, 15:50:49

Le premier refus le fait ricaner et il se contente de poser son téléphone sur la table, avant de tapoter sa paume du doigt pour ne pas avoir à se répéter avant de remercier le serveur d’un signe de tête lorsque ce dernier lui apporte un expresso fumant dans lequel qu’il s’empresse de porter à ses lèvres entrouvertes. Il fait un peu frisquet et le liquide brûlant le réchauffe. Par dessus la tasse en porcelaine, Hideo scrute l’ancienne femme de sa vie, avec un mélange de curiosiité malsaine et d’impatience. Et… Bingo. Son sourire s’élargit, alors qu’il repose sa tasse sur sa soucoupe.

“Merci Astrid.”

Honnêtement, le jeune homme est surpris d’être parvenu aussi facilement à ses fins, mais il s’efforce de n’en rien laisser paraître. Sourcils froncés, il observe la télécommande. Un bouton on/off, une molette avec une intensité graduelle et un mode “aléatoire”. Simple, efficace. Sans hésiter, de la pulpe de son pouce, il fait rouler la molette vers la droite, augmentant ainsi l’intensité des vibrations, puis la diminue au bout de quelques secondes, attentif à la moindre de ses réactions.

“Des bêtises, quelle idée !” Sa voix s’étrangle dans sa gorge. “Bien sûr. C’est pas ta faute hein ? C’est moi qui me suis pointé au mauvais endroit, au mauvais moment mh ?” De nouveau, il augmente l’intensité, à 4 sur 7. Rien à foutre de ses excuses. Après l’incident, il avait décidé de l’effacer purement et simplement de sa vie. Blacklister son numéro, ignorer ses coups de sonnettes, couper tous liens avec leurs amis en commun, il n’avait pas fait les choses à moitié. Tout ça pour que le destin la remette sur son chemin presque dix ans plus tard.

“Je ne pourrais jamais te pardonner, Astrid.” Ces mots sont les plus sincères qu’il prononce depuis le début de leur conversation. Son regard paraît lointain, l’espace d’un court instant, avant de se braquer de nouveau, dur et froid, sur sa victime.  “T’as joui ? Ce jour-là. Après m’avoir vu partir en courant.” 5 sur 7. Les dents serrées, il ne la quitte pas des yeux. Il veut… Non, il a besoin de savoir. A quel point Astrid est une traînée, pour justifier ce qu’il prévoit de lui faire. "RÉPOND." Il a haussé le ton, agacé par son manque de réaction. Brusquement, il monte la vibration de 5 à 7, se penche au-dessus de la table.

“Et essaye de pas trop dégueulasser le siège, sale pute”, lui glisse-il sournoisement, avant de se renfoncer dans le dossier de sa chaise.

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Retrouvailles [Astrid]

Réponse 5 mardi 21 décembre 2021, 11:04:00

Hideo examina la petite télécommande et déjà, Astrid paniqua. Putain, dans quel merdier je me suis foutue. Il l’étudia avec un peu trop de passion pour que ça soit bons signes. Une vibration la prit à dépourvue. Le jeu pour Hideo commençait. « Je n’ai… Je n’ai jamais dis que c’était de ta faute. Ca a toujours été de la mienne. » Les mots étaient compliqués à articuler. Astrid essaya de se concentrer sur le visage d’Hideo, sans se tortiller sur sa chaise. Elle connaissait la petite machine, elle savait que ça n’est pas le maximum de sa capacité et que Hideo s’amusait tout doucement. « Ca a toujours été moi le problème ce jour là. » La bouche légèrement entrouverte, les poings serrées sur la table, la concentration commença à s’envoler.

Ses entrailles vibraient au rythme du petit oeuf et lui procuraient un plaisir aussi délicieux que douloureux dans ces circonstances. Sa chatte devint de plus en plus trempée, l’oeuf bougeait dans tous les sens. Elle lève les yeux vers lui, si propre sur lui, si posé. Hideo était devant elle, café en main, calé dans son fauteuil, calme et paisible, pendant qu’elle bougeait son cul sur l’assise de son siège. De l’extérieur, la scène devait être étrange, un gars impassible face à une fille gigotante «  OUI! C’est ça… Ca que tu veux entendre? Putain, oui j’ai joui. » Lui balance-t-elle, énervée. Jusqu’ici, elle avait été plutôt calme et compréhensive. Elle l’avait laissé l’engueuler, la traiter de pute et la rabaisser sous terre. Elle l’a brisé, elle le sait. Il avait envie de la punir, ça aussi elle le comprenait. Mais en public, après 10 ans, en jouant avec une télécommande, ça l’énervait. Hideo ressassait probablement ce jour depuis une éternité, il avait surement toujours les images en tête, mais Astrid elle, avait toujours essayé de l'oublier. C'était l'un des souvenirs les plus humiliants de sa vie. Elle avait joui en voyant son petit copain découvrir son infidélité. Comment pouvait-elle être autant une connasse perverse? Allaitante, elle ne savait plus ou se mettre. L’oeuf la faisait mouiller et elle n’allait pas tarder à jouir s’il continuait.

D’un geste rapide, elle poussa le pied d’Hideo de sa cuisse et resserra les jambes. Ca ne servait pas à grand chose, mais ça l’empêchera peut être de « degueulasser » le siège comme l’avait gentiment suggérer Hideo. « Qu’est ce que tu veux de moi? Tu veux continuer à me hurler dessus toute la journée et jouer avec ta télécommande? » Astrid tremblotait comme une feuille, maintenant des gémissements dans le fond de sa gorge. Une fine particule de sueur s’était formée sur son visage, ses cheveux collaient à son front, elle qui s’était apprêtée ce matin, avait perdue sa fraicheur matinale. Puis il poussa la vibration à 7 et attendit, la scrutant. Astrid attrapa le bord de la table et serra. Fort. Elle rejeta la tête en arrière, prête à jouir. Tous ses muscles de sa mâchoire se contractèrent pour l'empêcher de gémir. Un léger filet de cyprine se rependit sur la chaise. Presque désespérée, elle lui lâcha un « Putain mais venge toi si tu veux! Juste pas ici, pas en public. »

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Retrouvailles [Astrid]

Réponse 6 jeudi 23 décembre 2021, 16:35:17

Pour Hideo, l’objectif n’est pas de comprendre Astrid, mais bien de l’humilier.

Cette sale petite pute est irrécupérable et il n’a pas l’intention d’essayer. En revanche, il compte bien profiter de sa faiblesse. C’est mon tour. La tenir ainsi en son pouvoir a quelque chose de galvanisant et sa soumission progressive le ravit. Le souffle court, rapide, il guette la moindre de ses réactions, les doigts crispés sur la télécommande avec laquelle il la torture. Le visage crispé, déformé par le plaisir, la jeune femme ondule du bassin, remue ses petites fesses sur l’osier du siège, s’attirant quelques regards dubitatifs, voire soupçonneux. Amusé, Hideo hausse un sourcil lorsque, dans un sursaut d’orgueil, sa proie repousse brusquement son pied. D’une voix posée, basse, mais sans chuchoter, il lui répond d’un ton badin.

“Non. Je prévois de te défoncer. Et tu vas aimer ça.”

Au fond de lui, Hideo ne peut s’empêcher de se le demander : S’il avait été aussi viril qu’aujourd’hui à l’époque, comment les choses se seraient-elles passées ? Est-ce que s’il l’avait déglinguée méthodiquement plusieurs fois par jour avec sa grosse queue, elle l’aurait trompé ? Probablement. Elle est comme ça. C’est dans sa nature, d’être une sale chienne. Lorsqu’il la voit partir, son sourire s’élargit, alors que de sa main libre il empoigne l’autre côté de la table rectangulaire pour éviter qu’Astrid ne renverse leurs consommations. “Jouis, connasse.”, lui murmure-il du bout des lèvres, sans diminuer la vibration du sex-toy. Le regard fixe, maladif, il ne la quitte pas des yeux. Lorsqu’il obtient le résultat attendu, il a un rire bref, mesquin. Reposant ses lunettes de soleil sur son nez, il coince plusieurs billets sous le cendrier en plastique et se redresse tranquillement. A quelques mètres, son Audi bleue aux vitres teintées s’arrête en face du café.

“Bouge-toi.” Constatant que la jeune femme tarde à lui obéir, il hausse un sourcil, avant de feindre la surprise. “Ahh, oui, j’oubliais. Du pouce, il diminue la vibration de l'œuf vibrant à 4, et tourne les talons sans même la regarder. Tranquillement, il s’approche de la voiture, ouvre la portière passager côté trottoir et s’y engouffre, en attendant qu’elle le rejoigne. La caisse est luxueuse, mais discrète, de même que son intérieur cuir marron des plus confortables. Lorsqu’il s’installe, son chauffeur lui adresse un discret signe de tête dans le rétroviseur intérieur. Toshio est un vieux bonhomme plutôt laid et ventripotent d’une cinquantaine d'années, mais plutôt sympathique et d’une discrétion à toute épreuve, et pour cause : Hideo le paye bien, et pas seulement en yens.

"Où allons-nous Monsieur ?”

“On attend que cette petite traînée daigne bouger son petit cul trempé. Ensuite, tu nous emmèneras au Penthouse.” Il fronce les sourcils, pensif. “Peut-être même que tu pourras rester un peu, d’ailleurs.”

Lorsqu’Astrid monte à bord, Hideo se contente de lui désigner du menton la grosse bosse qui déforme le tissu de son jean. Pour un japonais, sa queue est énorme, veineuse et épaisse, probablement autant que le délicat petit poignet de la jeune anglaise. Probablement davantage que le gros sexe qui lui martyrisait l’anus, ce jour-là.

“Suce, sale chienne.”

Le ton est sec, presque agacé, putain ce qu’elle peut l'agacer, avec son petit air courroucé !


Astrid Grace

Humain(e)

Re : Retrouvailles [Astrid]

Réponse 7 mercredi 29 décembre 2021, 00:17:29

Le souffle court, le corps encore tremblant, Astrid s’affala sur sa chaise comme vidée. Elle suivit vaguement du regard les mouvements d’Hideo, encore focalisée sur ses propres sensations. Il attrapa ses lunettes, se leva et lui indiqua de bouger avec lui. L’oeuf vibrait toujours en elle, son orgasme n’ayant pas atténué les vibrations. Son rire résonna en elle quand il diminua la vitesse de la vibration, jouant encore avec son corps. Il l’aurait laissé à la même vitesse que ça ne l’aurait pas choqué. Hideo avait l’air bien décidé à la torturer. Sa vengeance devait surement être organisée dans sa tête depuis des années.

Après plusieurs secondes de réflexion, elle hésita. La dominance qu’Hideo était bien installé et ses putains pulsions sexuelles lui disaient d’aller voir ce qui peut se passer par la suite. L’autre partie d’elle lui disait de fuir. Qu’est ce qu’elle irait foutre avec un mec qui lui voulait autant de mal? Le gars n’a pas hésité à la faire jouir dans un café juste pour le plaisir de la voir se dandiner sur une chaise. Qu’est ce qu’il pouvait inventer d’autre? L’esprit d’Astrid papillonna, s’embrouilla, se questionna. Il avait toujours le contrôle de la télécommande, même s’il était trop loin pour qu’elle fonctionne correctement. Un peu peureuse mais trop curieuse pour résister, Astrid hésita une dernière seconde puis se leva, essayant tant bien que mal de tenir sur ses jambes. Elle rejoignit la voiture de luxe aux fenêtres teintées et prit une dernière grande inspiration, la main sur la poignée de la voiture. Une fois à l’intérieur, elle sera à sa merci, tel une proie. En montant dans la voiture, elle lui donnait tout le temps possible et imaginable pour assouvir sa vengeance. Et elle entra à l'intérieur.

Même à l’abri des regards, Hideo était froid, sec, il lui indiqua son pantalon du menton, ses paroles n'étaient plus que des ordres. Putain. Il était énorme. Comment avait-elle pu ne pas remarqué ça? Elle leva les yeux vers lui, presque ébahie par sa taille. Elle avait toujours cru qu’il était un Japonais classique, pas de bite, pas d’endurance. Elle se mit à genoux à même le sol de la voiture et entreprit de défaire la braguette de son jean. Sa bite jaillit, elle n’attendait que d’être libérer. C’était elle qui avait provoqué cette trique? Espèce de pervers en colère. A cet instant, Astrid se posa la question de si elle avait la bonne décision. Elle cracha dans sa main et entreprit de branler légèrement Hideo, toujours impressionné par sa grosseur. Ses mains paraissaient toutes petites à coté de sa queue bandante. Elle était déjà trempée de son précédent orgasme, mais l’excitation montait en flèche. Elle s’imaginait déjà jouir sous les coups de butoirs. Son visage s’approcha de sa queue tendue et le prit entre ses lèvres, l’humidifiant sur toute la longueur. Sur le retour, elle mordit légèrement son sexe, sans faire mal, juste pour laisser ses dents glissés sur la peau sensible. Ca ne rentrait pas comme elle voulait, elle avait pourtant un peu d’expérience en terme de fellation, mais là, c’était trop gros. Sa bouche réussissait à rentrer le gland qui allait rapidement buter contre sa glotte, mais elle n’arrivait qu’à 1/3 de sa queue. Persistante, elle se dandinait pour essayer de gagner quelques centimètres. Astrid avait bien l'intention de le satisfaire, elle lui devait au moins ça.

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Retrouvailles [Astrid]

Réponse 8 mardi 04 janvier 2022, 20:30:58

Sitôt Astrid à l’intérieur du véhicule, celui-ci démarre. La berline roule à une allure soutenue, mais le chauffeur connaît bien son métier, et la tenue de route du véhicule est impeccable. Hideo ne recrute que les meilleurs et cet homme aux traits un peu ingrats mais aux larges épaules est un ancien champion de formule 1 des années 90.

“Ah ça, ça te plait hein. J’imagine que tu t’y attendais pas trop. J’espère que tu regrettes un peu plus. Allez, sors-la, t’en crève d’envie, ça se voit.”

Cette fois-ci, le ton d’Hideo est plus léger, clairement amusé. La bouille d’Astrid quand elle a découvert son chibre était hilarante. Impatient, il grogne lorsqu’elle libère enfin sa grosse queue, soupire d’aise lorsqu’il sent son souffle tiède lui caresser les couilles. Ses yeux glissent sur les jolies lèvres bombées de son ancienne petite amie, qu’il n’a fait qu’embrasser, pendant des mois, pendant qu’elle suçait d’autres chibres que le sien. Sacrée bouche à pipe. La garce crache dans sa main et il frissonne. Putain, elle est sale et elle sait ce qu’elle fait, ça l’excite. “Hmm.” Il augmente légèrement la vibration de l'œuf qui se trouve encore en elle. “Pu-tain.” La petite bouche tiède d’Astrid. Il en a rêvé des nuits entières, à l’époque, en se masturbant frénétiquement. L’homme écarte les jambes, pour laisser davantage de place à son amante sur le sol, à sa place de chienne. Ses quenottes s’enfoncent dans sa hampe, et Hideo gémit, retire sa veste avec précipitation ; il a chaud.

“Attends. Putain. C’que t’es bonne, merde.”

Il ne voulait pas la complimenter, mais c’est sorti tout seul. A genoux devant lui, ses cheveux châtains soigneusement attachés, Astrid est superbe et il a une vue imprenable sur sa poitrine. Presque à regret, il la repousse doucement, juste le temps de se débarrasser de ses pompes, de son futal et de son boxer.

“Là, là, vient sucer la grosse queue, Astrid.” La pauvre petite bataille s'étouffe. La grosse main d’Hideo se referme impitoyablement sur sa nuque, et il appuie, la forçant à le prendre davantage au fond de sa gorge, sourd à ses éventuelles protestations, indifférent à la bave qui dégouline le long de son sexe, qui dégueulasse le cuir impeccable de sa caisse. “Regarde comme tu salopes tout”, murmure-il amusé, en appuyant encore davantage, jusqu’à ce que son petit nez frôle ses abdominaux… Avant de la relâcher brusquement pour la laisser reprendre ses esprits. Puis, de nouveau, sa main sur sa nuque. Il écrase la jolie petite gueule diaphane d’Astrid sur ses grosses couilles dégoulinantes de bave, puis plus bas, entre ses fesses.

“Bouffe moi le cul, c’est tout ce que tu mérites, sale pute”, grogne-il, en nage, en remuant le bassin. ”Fouille-mieux que ça ! “ De nouveau, lorsqu’elle s’est exécutée, il la relâche, se redresse sur le siège, pour lui cracher au visage, la gifler sèchement. Le geste est parfaitement contrôlé, il ne vise pas à être particulièrement douloureux, mais simplement à l’humilier. “Ma queue maintenant. Branle. Active, si tu veux que je te démonte” Son tibias s’est glissé entre les cuisses serrées de la jeune femme et d’un geste lent, il caresse négligemment son sexe à travers le tissu de son pantalon. Il pourrait cracher là toute de suite, sur sa gueule de pute, mais il a encore envie de faire durer un peu le plaisir. “Mets-moi un doigt. Doucement, ou je te claque,  encore, connasse.” Il frotte vulgairement son gros sexe veineux sur la jolie petite gueule de la jeune femme, étalant le foutre qui suinte de son méat sur ses jolies lèvres entrouvertes. Avant de les forcer de nouveau, faisant glisser son chibre sur sa petite langue, écartelant les muscles de sa gorge de son gourdin. Aussi confortable qu’une petite chatte trempée. “Ah, putain de merde…” Ca dégouline encore de bave visqueuses. sur ses couilles, dans le sillon de ses fesses, jusque sur son anus.

Il sent que ça monte. Pas d’inquiétude de sa part, il est suffisamment excité pour savoir qu’il pourra remettre le couvert deux ou trois fois si nécessaire. Imperturbable, le chauffeur n'a pas quitté la route des yeux.

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Retrouvailles [Astrid]

Réponse 9 samedi 08 janvier 2022, 16:42:30

Des regrets, oui Astrid en avait. Putain si elle avait su qu’il était aussi impressionnant, elle en aurait profiter. L’image du jeune Hideo, fin, timide et discret lui revint en tête. Si elle avait su que derrière ce physique fluet se cachait une épaisse queue comme celle là, elle serait restée un peu plus longtemps. Peut être pas toute une vie, mais au moins assez pour le pervertir elle même plutôt que d'attendre 10 ans et le retrouver fâché dans un café. Mais la situation actuelle ne lui déplaisait pas non plus.

Presque déçue de se voir séparer de son jouet, Astrid s’éloigna à regret de l’objet de ses désirs, mais Hideo la rattrapa au vol. Il était tellement gros qu’Astrid ne pouvait même plus avaler sa salive, celle ci dégoulinait lentement le long de la queue d’Hideo jusqu’au siège, ce qui amusa Hideo sans le freiner pour autant. Il appuya toujours plus sur sa tête, forçant sa queue dans le fond de sa gorge. Astrid eut un hoquet. Putain il était loin. Elle se débattait presque, étouffant sur son énorme trique. Les yeux plein de larmes, elle le regarda, sans pouvoir respirer. Quand Hideo relâcha son emprise, Astrid prit une grande inspiration, puis des plus petites rapides et éphémères pour essayer de récupérer. Il ne lui laissa que quelques secondes pour reprendre son souffle et passer une main sur sa bouche pour essayer d’enlever toute la salive qui a coulé. Hidéo avait d’autres plans.

« Bouffe moi le cul, c’est tout ce que tu mérites, sale pute »  Elle n’avait pas forcement l’habitude de s’occuper du cul d’un homme, mais elle savait exactement comment elle aimait ça et essaya de reproduire les mêmes gestes. Obéissante, La médecin sortit sa langue et alla rejoindre l’anus du jeune homme. Elle le couvrit de salive. La sensibilité était surtout sur le bord et légèrement à l’intérieur. Ses lèvres gobèrent son orifice en entier, aspirant légèrement puis sa langue rentra à l’intérieur, pas entièrement, mais juste assez pour qu’il sente son anus s’ouvrir. Ce traitement ne dura que quelques secondes. Hideo, impatient, la relâcha pour lui cracher au visage et la gifler. Sa joue rougit instantanément mais n’était pas douloureuse. Ca n’était pas une gifle violente, juste une gifle pour lui rappeler sa place, celle de chienne perverse qui n’attendait qu’a être baiser. Tous les insultes du jeune homme ne l’aidaient pas non plus à retrouver ses esprits. Ca l'excitait presque autant de son pied qui remonta entre ses cuisses. Elle gémit, frottant son bassin plus fort contre son tibia pendant que sa main faisait des aller-retour rapide sur son sexe en érection. 

Comme pour le provoquer, Astrid porta son index à ses lèvres pour l’humidifier, son regard brulant rivé sur Hidéo. Lubrifié, son index partit explorer l’anus étroit de son partenaire. Il en frotta doucement le pourtour avant de s’introduire. Astrid resta inerte, fascinée par le visage d’Hidéo. Au final, son ex petit ami avait les mêmes plaisirs pervers qu’elle. Son index se crocheta à la recherche de sa prostate et appuya à plusieurs endroits pour trouver celui qui le fera le plus gémir. Pendant ce temps, Hideo lui présenta encore une fois son chibre, jouant avec son sperme sur ses lèvres et son menton. Sa langue râpa contre son épaisse verge, la goutant avec appétit. Elle essaya de tout prendre en bouche, d’aller plus loin encore. Des bruits obscènes sortaient du fond de sa gorge, elle menaça de s’étouffer dans son foutre à tout moment. Les yeux pétillant de luxure, Astrid n’a qu’une envie: Le faire jouir dans sa bouche. Elle sentait l’excitation d’Hideo augmenter, elle le voyait au bord du gouffre, prêt à la remplir en un instant. La bouche pleine, elle introduit un deuxième doigt dans son anus dilaté, juste pour l'aider à jouir.
« Modifié: samedi 08 janvier 2022, 19:13:54 par Astrid Grace »

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Retrouvailles [Astrid]

Réponse 10 lundi 24 janvier 2022, 14:47:05

Je jubile. C’est vraiment une sale chienne, putain. Je la sens se trémousser sur ma jambe, le renflement de sa vulve épouse l’os de mon tibias. J’ai plus rien à faire, Astrid se branle toute seule comme une grande en s’étouffant sur ma grosse queue. Je pensais que la perspective de me bouffer le cul la dégouterait, mais sidéré, je constate que sans l’ombre d’une hésitation, la brunette badigeonne ma corolle de bave du bout de sa petite langue rose. Astrid sait y faire et elle est vorace. Quand je la sens forcer, puis introduire sa langue dans mon cul avec sa gueule d’ange couverte de bave et de foutre, je manque de cracher la purée. Sa salive coule dans la raie de mes fesses, et je frissonne d’aise. De sa petite main, elle n’a jamais cessé de me branler consciencieusement.

“Serre bien fort, juste en dessous du gland, sale pute. Voi-là. Et tu… Hmm, bordel.”

Son regard de petite chienne lubrique, quand elle glisse son doigt fuselé entre ses lèvres souillées me rend dingue. Bientôt, la pulpe de son doigt caresse la corolle boursouflée de mon anus entrouvert, avant de s’y introduire sournoisement.“Hmm-mhh.” M’efforçant de garder contenance, ma respiration s’accélère néanmoins, alors que mes sphincters se contractent autour de son doigt. “Doucement, je t’ai dit, sale pute. Je suis pas hom… Haa…” Non, ça ne va pas. Ça ne se passe pas comme prévu. Ma main ouverte s’écrase à plat, sur le cuir mat du siège. L’index s’enfonce plus loin, me fouille, puis trouve le renflement de ma prostate gonflée. Je hoquète de surprise, et me raidis : un bref jet de foutre tiède asperge la gorge d’Astrid. Les dents serrées, j’agrippe mon sexe à la base pour retarder légèrement l’orgasme.

Cette sale pute m’observe, le regard trouble, la mine réjouie. Je la tiens au bout de ma grosse verge, mais en réalité à cet instant, c’est elle qui a le contrôle. “Fouille-moi bien, salope”, je murmure, du bout des lèvres, en m’efforçant de ne pas prononcer l’ordre sur le ton d’une supplique. Pour lui rappeler sa place, j'agrippe sa nuque, pour enfoncer ma queue plus profondément en elle. Je sens mon gland taper contre sa glotte, glisser dans l'œsophage. Astrid se crispe, manque de s'étouffer, sa salive inonde mes couilles mais je m’en moque. J’enroule ses cheveux autour de mes gros doigts et je commence à baiser sa petite bouche de catin. Lentement d’abord, pour la laisser s’habituer un peu, puis plus fermement. “Là, là… Regarde-moi.” Je veux la voir paniquer, puis s’abandonner, se soumettre. J’ai lâché la télécommande, mais l'œuf vibrant fonctionne toujours, coincé dans sa petite chatte détrempée.

Mais son initiative me surprend. “Non. Tu…” La pulpe de son majeur s’écrase contre ma corolle, et la petite connasse force le passage, en le glissant contre son index, écartelant mon anus. J’ai honte d’aimer autant ça, mais c’est bon. Je grogne, me laisse aller contre le dossier du siège, le cœur battant, les yeux écarquillés. J’ai lâché sa nuque, mais mon bassin remue toujours vigoureusement de bas en haut. Ses doigts me remplissent, me fouillent et c’est à mon tour de perdre les pédales. “Putaaaain !” L’orgasme survient brutalement. Un long frisson remonte le long de ma colonne vertébrale et mon corps musculeux s’arque vers l’avant, bloquant ma grosse bite tout au fond de la gorge explosée d’Astrid. “Ah meeerde…T’es si bonne !” Je gicle de puissants jets de foutre pendant d’interminables secondes. La pute s’étouffe, le sperme dégorge de ses lèvres, mais elle continue de me traire, alors que mon anus se crispe nerveusement contre ses doigts fuselés. Je retire enfin mon chibre de ses lèvres, pour asperger sa jolie frimousse des derniers jets de ma semence.

"Ça te plaît, chienne ?”
Je sais que c’est le cas.

Le souffle court, le regard trouble, je referme les doigts de ma main droite sur sa gorge offerte. Le cou est gracile, sa peau est douce. Ma queue s’est amollie, et c’est de sa faute. Je la gifle sèchement, comme tout à l’heure avant de me pencher pour… L’embrasser. Ma bouche s’écrase sur ses lèvres souillées de foutre, ma langue glisse contre la sienne. C’est dégueulasse, visqueux et salé, mais j’aime ça. Je tire ses cheveux vers l’arrière, pour lui cracher une nouvelle fois au visage, avant de la relâcher brusquement. Je passe ma langue sur mes lèvres sales.

“A quatre pattes sur la banquette.” Je lui tend mon avant-bras pour l’aider à se redresser. “Non. Dos à moi.” Quand elle s’exécute, je relève sa robe sur ses hanches, pour dévoiler son petit cul laiteux. Ma voix n’est plus qu’un souffle et j’ai besoin de récupérer, mais ça ne m’empêche pas de claquer ses fesses à plusieurs reprises pour en rougir la peau. Amusé, je constate dans le rétroviseur intérieur que le chauffeur observe avec intérêt le petit cul de l’européenne. “Tiens tu sais quoi ? Tourne-toi un peu. Montre tes petits trous à Toshio !” D’une main ferme, je descend la culotte d’Astrid sur ses genoux, écartant ses fesses pour dévoiler la corolle brune de son anus et la vulve ruisselante de mon invitée au regard appréciateur de mon chauffeur.
“Branle-toi.”

Le ton est ferme, sans réplique. La baiser comme la dernière des putes ne me suffit pas. Je veux qu’elle participe activement à sa propre déchéance.

Astrid Grace

Humain(e)

Re : Retrouvailles [Astrid]

Réponse 11 vendredi 28 janvier 2022, 07:49:15

Malgré son agressivité débutante, Hideo semble absorbé les caresses d’Astrid. Elle comprends vite qu’elle le tient littéralement au bout de ses doigts, plantés dans son anus. Son expérience en masturbation anale est limité mais apparement, elle n’aura pas besoin de cours. Hideo semble au bord du gouffre, partagé entre l’idée de lui repeindre le visage ou de lui remplir la bouche. C’est tout aussi jouissif qu’une baise, regarder son visage se déformer alors qu’elle le fouille, sentir ses muscles se contracter autour de ses petits doigts fins, l’entendre gémir, presque supplier comme une petite salope pour qu’elle continue, Astrid n’a jamais eu cette sensation de contrôle et elle se surprends à l’apprécier.

L’oeuf vibrant, resté planté dans les entrailles d’Astrid ne l’aide pas à maitriser l’excitation. Sa chatte trempée continue d’accentuer le mouvement sur son tibia, imbibant son sous vêtement et laissant presque une trace de mouille sur le pantalon de Hideo. C’est sale et excitant. Sa palpation continue, appuyant avec insistance sur sa prostate gonflée. Elle n’aura pu profiter que de quelques secondes de ce contrôle désespéré quand Hideo se mets à lui baiser la bouche profondément. Ses mains dominatrices dictent le rythme de plus en plus sèchement en lui ordonnant de le regarder. Elle se retrouve étouffer sur sa grosse queue lubrifié, bloquant sa respiration quelques secondes. Ses yeux remplis de larmes se posent sur son amant, maintenant son regard pendant qu’elle le suce. Les rôles sont échangés de nouveau, Astrid petite chose suppliante et Hideo, dominateur impatient. Un filet de bave coule à la commissure de ses lèvres, dégueulassant le cuir de sa voiture.

Elle sent sa jouissance venir, ses chairs tressaillent autour de ses deux doigts, ses abdos se tendent, sa respiration se coupe juste avant qu’il inonde sa bouche de sa jouissance pendant de longues secondes. La tête bloquée sur son pubis, Astrid ne peut que laisser couler le foutre dans sa gorge et recracher le surplus. Son visage prends les restants de sperme quand Hideo sort sa bite de son étau chaud. Le liquide épais et visqueux dégouline sur son front et son nez. Haletante et souillée, Astrid le regarde récupérer tout autant qu’elle, le cul posé sur le sol de sa grosse berline. Elle n’en revient presque pas de son comportement. Il y a 20 minutes, elle était confortablement installée à boire un café et là, elle se retrouve couverte du sperme de son ex-petit ami après lui avoir branler le cul. Comment la situation a-t-elle pu dégénérée autant?

Astrid n’a que vaguement le temps de reprendre ses esprits que la main dominatrice d’Hideo récupère son cou pour l’attirer vers lui. La nouvelle gifle s’abat sur sa joue. La sensation de brûlure la fait presque soupirer, la trace de ses doigts marquant légèrement son visage. Soumise à toutes ses volontés, Astrid acquiesce à sa question. De sa voix troublée par tout le foutre qu’elle a avalé, elle réponds. « Oui… Oui ça me plait. » Son baiser la surprends. Il vient de remplir sa bouche, la faisant déborder de sperme chaud et il n’hésite même pas un instant a venir mélanger sa propre jouissance à leur salive respective. Les déviances d’Hidéo la font sourire, il aime gouter à son propre foutre. C’est pervers et terriblement excitant. Comme pour lui rappeler sa place de chienne, il finit par lui cracher au visage et salit encore un peu plus son visage innocent.

Occupée par les événements, Astrid n’avait même pas remarqué le conducteur du véhicule. Elle lui lance un regard dans le rétroviseur. Un homme trapu, copulent et… Laid. Rien à voir avec Hideo. Elle le sent quand elle croise ses yeux, pervers, voyeur, une étincelle lubrique qui lui fait presque peur. Hideo ne lui laisse pas vraiment le choix et l’installe à quatre pattes à coté de lui. « Attends Hidéo, je… » Plusieurs claques viennent s’écraser sur son cul, lui arrachant des gémissements vulgaires et désespérés. Les seins collés sur le dossier froid des sièges, son visage se tourne vers l’avant, observant son reflet dans le miroir du rétroviseur. Hideo lui écarte les fesses et son anus gonflé et sa chatte excitée se retrouvent exposé au regard affamé du chauffeur. Astrid sent ses joues rougir, entre timidité et luxure mais elle ne peut pas s’empêcher d’obéir à Hideo. Le cul avancé ainsi, elle se demande si les autres conducteurs ne peuvent pas la voir eux aussi. Si la voiture de devant regarde dans son rétroviseur, qu’est ce qu’il verra? Cette simple pensée la fait frissonner, de plaisir ou de peur. Un de ses doigt fin vient se glisser sur sa chatte, récupérant un peu de cyprine pour ensuite venir exciter son clitoris. « Toute la ville va me voir… Ils vont tous voir mon cul. » Mais pourtant, elle continue ses mouvements, elle s’excite seule sous le regard des deux hommes. Bientôt, deux doigts viennent écarter ses petites lèvres pendant que son pouce branle plus vigoureusement son bouton rose. « Mets moi tes doigts, s’il te plait. » Sa voix n’est plus qu’un souffle, un murmure suppliant.

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Retrouvailles [Astrid]

Réponse 12 samedi 12 février 2022, 12:32:11

Je maîtrise avec difficulté le sentiment de honte qui menace de m’envahir. Je revois sa petite gueule d’ange surprise, ravie de découvrir l’effet de ses petits doigts fuselés dans mon anus. Peut-être que je me suis un peu trop dévoilé, et ça m’agace. Le moment est venu de lui rappeler qu’ici, la chienne, c’est elle. Je claque une nouvelle fois l’adorable petit cul diaphane, me penche pour cracher sur la corolle boursouflée de son anus. Astrid proteste pour la forme, mais je connais les femmes dans son genre. Un mauvais sourire s’étire sur mes lèvres pincées quand je la vois s’observer à la dérobée dans le rétroviseur intérieur de la berline. d’une voix doucereuse, je l’accable. “Ils vont tous voir la pute que tu es” Mes dents s'enfoncent dans la peau de ses fesses. La morsure est appuyée, mais contrôlée. De la pulpe de mon index, j’explore les aspérité de son anus. “Ce qu’on peut te mettre dans le cul.” La pauvre petite pute se branle, Je la sent frémir, fébrile.. “Tu veux mes gros doigts dans ton petit trou mh ?” J’appuie l’extrémité de mes doigts sur la petite corolle. De ma main libre, je l’attrape par les cheveux pour la forcer à se cambrer encore davantage. “Fait oooh…”, je lui ordonne, en approchant mes lèvres de son oreille. Et doucement mais inexorablement, je glisse mes doigts en elle.

“Merde, ça rentre tout seul…”

Pour la première fois depuis le début du trajet, Toshio semble réellement troublé. Je ne lui en tiens pas rigueur ; à sa place, j’aurais été incapable de me concentrer sur la route pendant aussi longtemps. Un rapide coup d'œil à l’extérieur m'apprend que nous avions quitté l’effervescence de la ville pour emprunter une route forestière moins fréquentée. De mes gros doigts bien lubrifiés par ma propre salive, je la fouille, leur imprimant de petits mouvements circulaires pour bien l’ouvrir. Astrid est brûlante, serrée, je la sens se contracter par réflexe, avant de se détendre progressivement. Elle a l’habitude, et ça se sent. Quelle putain de chienne. Je recourbe mes doigts vers l’intérieur, les écarte légèrement au fond de son rectum.

“Elle a déjà un jouet dans la chatte, ce serait dommage de le lui retirer, hein, Astrid ?” Je tire sèchement ses cheveux vers l’arrière. “Montre ta langue connasse.” Lorsqu’elle s’exécute, je crache dessus. “Je crois qu’on a pas vraiment le choix, il va falloir l’enculer.” Toshio rentre dans mon jeu. Avec une moue résolue, il hoche la tête. “Pas le choix, patron. Vous voulez que je l’ouvre un peu pour vous ?” Nous n’en somme pas à notre coup d’essai, et Astrid est probablement assez maligne pour le deviner. “Ouais ouais.” Je désigne ma grosse bite encore molle du menton. “Je vais avoir besoin de quelques minutes de toute façon.” J’aperçois un petit chemin forestier à une centaine de mètres sur la droite. “Tiens, arrête-toi là.”

Avec nonchalance, je branle désormais le cul de ma petite chienne, le ronronnement constant de la voiture ne couvrant pas l’obscène bruit de succion que produit son trou de balle dilaté en avalant mes gros doigts, non plus que celui du claquement de mes phalanges contre son orifice. “Ne jouis pas tout de suite”, je grogne à son intention.” Si tu jouis, je ne t’enculerais pas.”   

Lorsque Toshio s’arrête sur le bas-côté, je retire brusquement mes gros doigts de son anus béant, et m’affaire à tranquillement remonter mon boxer et mon pantalon. Le chauffeur coupe le contact, et gentiment, fait le tour du véhicule pour ouvrir la portière de notre petite passagère. “Si mademoiselle veut bien se donner la peine. Non non, vous devrez retirer votre pantalon et votre culotte, vous n’allez pas en avoir besoin.”  Il tend une main secourable, s’efforçant de dissimuler un sourire amusé. Au dessous de sa bedaine, son pantalon est déformé par une bosse conséquente, qu’Astrid ne peut manquer de remarquer. A mon tour et sans me presser, je m’extrais de la berline. De son côté, Toshio a pris Astrid par la main et guide la jeune femme vers l’avant du véhicule. “Voilà. Je vais vous demander de bien vouloir poser vos deux mains sur le capot, à présent…”

Les mains dans les poches, je les rejoins. Il fait frais, presque froid. D’un signe de tête, j’invite Toshio à sortir sa queue, un chibre épais, moins impressionnant que le mien, mais nettement au-dessus de la moyenne nationale, qu’il masturbe d’un geste lent et mesuré, en se rapprochant de sa victime. Debout, à moins d’un mètre d’Astrid, je la toise de toute ma hauteur. Ce n’est pas la première fois que je vois Astrid se faire démolir le cul devant moi, mais cette fois-ci, je contrôle la situation. “Toshio va t’ouvrir le cul pour moi. Demande le lui gentiment. Réclame sa bite.” Dézippant la fermeture éclair de mon pantalon, j’en extirpe de nouveau mon sexe, qui gonfle à vue d’oeil.

Derrière elle, Toshio a desserré le nœud de sa cravate et après avoir à son tour claqué ses petites fesses, il les écarte sèchement. De là où je suis, je ne le vois pas, mais j’imagine qu’il a collé son gros gland contre l’anus entrouvert de la jeune femme, en attente de mes ordres. Si Astrid s’exécute, je prononce les mots magiques de leur délivrance respective. “Encule-la.” Bien évidemment, Toshio ne porte pas de préservatif.

 



Astrid Grace

Humain(e)

Re : Retrouvailles [Astrid]

Réponse 13 mardi 15 février 2022, 11:09:57

Cette position est parfaitement obscène. Mon cul penché en arrière, mes seins plaqués contre le siège, Hideo qui me murmure des mots crus au creux de l’oreille, tout mon corps frissonne sous l’excitation. Mon anus lubrifié par sa salive ne montre aucune résistance quand il pousse ses doigts à l’intérieur. « Put… Putain. » Je sens ses doigts commencé à me fouiller profondément. Le sphincter devient souple et s’adapte à ses doigts sans difficulté. Un long soupir m’échappe et témoigne de ma faiblesse face aux plaisirs charnels. Hidéo accélère, écartant ses doigts pour me dilater un peu plus, butant contre le petit jouet en plastique qui continue de vibrer dans mon vagin, je sens mon trou s’ouvrir, mes muscles se détendre pour le laisser passer. La conversation entre Hideo et Toshio est irréel. Ils se parlent comme si je n’étais pas la, comme s’ils allaient profiter de mon corps tous les deux sans que j’ai mon mot à dire pendant que le jeune homme continue de me branler avec vigueur. Une vague de plaisir m’envahit encore, ma bouche s’entrouvre pour laisser échapper un nouveau gémissement. Mon trou se contracte autour de ses doigts plantés dans le fond de mon rectum élargi. La jouissance monte. Je ferme les yeux, laissant le plaisir m’étourdir. Hideo le remarque et s’arrête d’un coup, plongeant ses doigts loin mais ne bougeant plus d’un millimètre et m’interdit de jouir. Salopard. J’étais si proche. Ses doigts m’abandonnent pour se rhabiller et il me laisse comme ça, haletante sur le siège arrière, l’anus béant.

Mon orgasme refusé, je ne sais plus vraiment où je suis. Je remarque enfin que la voiture s’est arrêtée et que nous ne sommes plus en ville. Le paysage est plus rural, plus désert. Le chauffeur vient m’ouvrir la portière pendant qu’Hideo se glisse à l’extérieur. Ils vont vraiment me baiser dehors? Là sur une petite route de campagne? Toshio est si poli, si gentil que je me demande s’il va vraiment exécuter les ordres de son employeur. Il me propose sa main pour descendre du véhicule, m’incitant à laisser mes vêtements à l’intérieur. Je le regarde, presque ébahie par son comportement. Toshio a un visage plutôt disgracieux, aucune fille ne s’arrêterait pour le regarder, il est plus vieux, sa chemise moule parfaitement son ventre proéminent, la lueur de son front m’indique qu’il a trop chaud, que son voyeurisme l’a excité comme un puceau. Il a tout de même cette aura dégueulasse dans les yeux, celle qui me fait comprendre que je ne suis pas la première à me faire sauter d’abord par le chauffeur puis par le propriétaire de la voiture. Ma main se pose dans la sienne, elle est moite, presque luisante, d’un geste fluide et rapide, j’enlève mes vêtements maculés de mouille, les laissant gésir sur le sol de la berline et m’extirpe de la voiture à mon tour.

Je cherche Hideo du regard pendant que Toshio me place devant la voiture. Je l’écoute sans broncher, posant mes mains sur le capot froid. Le contact me fait frissonner, ma peau est en chaleur, presque brulante, je me penche sur la voiture, balançant mon cul en arrière. Un vent frais passe sur les pourtours de mon anus dilaté, m'extirpant un soupir. J’entends une fermeture éclair descendre et un bruit mouillé de masturbation. Toshio se prépare, bite en main. Son autre main vient heurter la peau délicate de mes fesses, les yeux rivés sur la rougeur qui apparait en souvenir. Je gémis encore, profitant de la sensation de brulures. Hidéo me regarde de haut, fort et dominateur. La petite chienne qui avait le contrôle de la situation est partie en fumée, je ne maitrise plus rien, tout est entre les mains de mon prédateur. Je ne peux m’empêcher de réclamer, de supplier pour avoir cette bite. « Toshio… Enculez moi, s’il vous plait. Prenez moi comme la dernière des chiennes. J’ai besoin de jouir. » Sur ses mots, mon cul vient rencontrer la bite de Toshio, forçant le passage de mon anus dilaté pour le prendre. Je veux jouir, au plus vite. La situation, l’excitation, la colère de Hideo, tous les éléments sont réunis pour que je ne sois plus qu’une boule de nerf demandant à se faire tringler. L’une de mes mains reste en appui sur le capot pendant que l’autre part aider à écarter mes fesses pour lui laisser le passage. Puis d’un coup de rein, Toshio force l’entrée de mon sphincter et s’approprie mon cul. « Oh bordel oui. » Sa grosse queue coulisse dans mon anneau serré, l’ouvrant progressivement. Mes hanches accompagnent son mouvement d’avant en arrière. J’ai mal, il est énorme en moi, mais je ne peux renier la sensation de plaisir qui me remplit. Je crispe mes doigts sur le capot, la tête en arrière, cherchant de l’air.
« Modifié: mercredi 16 février 2022, 01:54:38 par Astrid Grace »

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Retrouvailles [Astrid]

Réponse 14 lundi 21 février 2022, 19:11:04

Amusé, je regarde Astrid obéir avec un empressement notable. A son petit air contrit on pourrait croire qu’on l’a forcée, mais je sais qu’il n’en est rien. Je ressens encore l'étreinte de son petit anus autour de mes gros doigts, à l’orée de l’orgasme que je lui ai interdit. Même si Toshio la dégoûte -ce qui peut se comprendre - je sais qu’elle meure d’envie de sentir sa grosse bite le ravager, ce qu’elle ne tarde pas à confirmer verbalement, comme je le lui ai demandé. La petite chienne remue, se cabre presque pour frotter la corolle sale de son anus contre le sexe érigé de mon chauffeur.

“C’est vraiment une sale petite pute”, hoquète-il en plaçant l’une de ses grosses mains sur les hanches de la jeune femme pour la maintenir solidement contre le capot de la voiture. “Bouge pas, là, lààà…Hmmmm…” Lentement, mais fermement, il s’enfonce en elle, les yeux exorbités, la bouche entrouverte. Son autre main se referme sur la gorge d’Astrid, qu’il comprime. “Défonce-la. J’ai besoin que tu me l’élargisses bien. Tu peux gicler en elle, si tu veux.” J’adopte un ton calme, posé, nettement plus neutre que l’excitation qui m’habite. Avec une lenteur calculée, je dézippe la fermeture éclair de mon pantalon, pour en extraire mon chibre, plus impressionnant encore que celui de Toshio, l’astique avec lenteur.

“Mh.”

Il me faut quelques secondes pour faire légèrement redescendre l’excitation, afin d’uriner longuement sur le bas-côté, d’un jet dru et translucide, alors que, le ventre écrasé contre les petites fesses de son amante, Toshio la besogne désormais plus rageusement. Je sens son regard sur mon sexe, m'en amuse. La pauvre petite ne sait pas encore ce que je lui réserve... De là où je me trouve, je ne vois pas la queue de mon chauffeur malmener le petit trou détrempé de la jeune femme, mais aux mouvement saccadés et brutaux de mon chauffeur, aux sursauts de la pute, aux bruits de claquement obscènes et mouillés qui s'élèvent malgré la circulation, j’en déduis qu’il y va bien fort. Dans l’excitation, il en perd un bouton de chemise, alors qu’il se penche par-dessus son épaule pour écraser ses lèvres contre les siennes, glisser sa grosse langue dans sa petite bouche haletante. Voir Astrid soumise aux assauts de ce porc, se trémoussant comme la dernière des chiennes comme ce soir-là a quelque chose d’indubitablement galvanisant. “Monsieur je… Raaaaah sale pute, sale pute…. Hmmmgh…” Déjà ? hoquetant de plaisir, mais également de surprise, comme s’il ne s’attendait pas à jouir aussi vite, Toshio se vide longuement en elle, l’étranglant presque de ses gros doigts bagués. Lorsqu’il la relâche enfin, la pauvre petite pute glisse, son menton heurte le capot.

“Ici, chienne”, je lui ordonne, en désignant l’herbe et le gravier, à mes pieds. “Viens nettoyer, maintenant.” négligemment, je secoue ma grosse bite, pour qu’elle reprenne l’essentiel de sa vigueur. Ce que je lui impose n’est pas vraiment nécessaire, mais le pouvoir qu’elle a exercé sur moi quelques minutes plus tôt m’est resté en travers de la gorge, et j’ai bien l’intention de me venger de la pire des manières. Putain, ce que je peux avoir hâte de l'enfiler...

“Allez, magne, j’ai pas toute la journée.” 


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