Juste toi et moi [PV]

Clad était, une fois n'est pas coutume, en cours cet après-midi là. Il y avait pas mal de monde dans la salle de cours et même si c'était le début de l'année, tous les élèves avaient déjà, plus ou moins, appris à se connaître. C'est d'ailleurs qu'il discuta en ce moment même avec une jeune demoiselle. Elle était plutôt mignonne, était sympa et ils avaient prévu tous les deux de sortir ce soir, juste après les cours. Ca aurait pu être tout à fait mignon, sauf que les deux jeunes individus, étaient en ce moment même en train de se toucher sous leur bureau, au fond de la classe.

L'homme avait sa main dans la culotte de la jeune fille et elle faisait de même avec sexe de Clad. Tout ceci était trop excitant. Si elle ne lui avait pas fixée de limite, il l'aurait déjà sautée ici, en plein cours. Mais, elle lui avait promis d'assouvir tous ses désirs, une fois que la cloche aura résonné dans l'enceinte du campus. Ils continuèrent alors à se toucher, tout en murmurant des choses dans le creux de leurs oreilles. Le professeur de mathématiques, était assez vieux et voyait très mal de loin. C'est pourquoi, il n'y avait aucun danger d'être vu. Pour ce qui est des autres élèves ? On va dire, que la réputation de Clad au sein de l'école était assez grande, pour leur permettre de ne pas être déranger. On va dire, que tout le monde savait que Clad était ainsi.

Les deux heures de cours passèrent assez vite, trop vite ? Alors que la sonnerie résonna dans la salle, et que Clad se rhabilla, la jeune fille reçu un message. C'était sa mère, qui lui demandait de rentrer vite, parce qu'elle devait emmener son frère hors de la ville pour une grande compétition sportive. Elle salua Clad, d'un air triste et un peu gêné, et fila hors de la salle. Le jeune homme se retrouva donc frustré comme jamais. Il sorti alors de la salle de cours, passa par le couloir et sorti de l'immeuble. Sans s'en rendre compte, il suivait les pas d'une jeune fille. Elle n'était pas dans sa classe, mais était particulièrement jolie. Il se rendit compte de sa présence et du fait qu'il était sur ses pas, que bien après l'enceinte du campus. En fait, ils étaient bien en dehors de tout ça, dans un coin un peu isolé. Ce n'était pas la périphérie, encore moins un quartier pauvre, mais il y avait ici une ambiance étrange, c'était sale.

Dicté par sa frustration sexuelle, il continua de suivre la jeune fille en face de lui. Elle avait une très jolie paire de fesses, et lorsqu'elle tourna légèrement, prenant un l'angle de la rue, afin de traverser la route, il pu apercevoir une très jolie et grosse paire de seins. C'était sûr maintenant, il allait se la faire.

L'homme se rapprocha un peu plus d'elle, arriva à sa hauteur et lui mis la main au cul, sans retenu. Son cul était très moelleux et la fois très ferme. Une fois à sa hauteur, il pu aussi remarquer son très joli décolleté qui ne laissait aucune place au doute. Ses seins étaient énormes !

"Hey ! Tu sais que t'as un bon cul toi ?" dit-il en enfonçant ses ongles dans la chair, à travers le pantalon de la jeune demoiselle.

Les cours n’avaient jamais vraiment été quelque chose que Nadia appréciait, elle avait toujours été une élève moyenne, ni mauvaise ni bonne, tout juste ce qu’il fallait pour réussir. Cependant depuis qu’elle était à Seikusu, ses notes avaient chuter, seule dans cette grande ville, la jeune femme pensait à tout sauf à étudier.  De toute façon, elle ne faisait qu’acte de présence au lycée et elle passait moins de temps en salle de cours qu’en dehors à s’occuper d’autres élèves, surveillants ou prof attirés à cause de son pouvoir qu’elle ne maîtrisait pas.

Ce jour là avait été plutôt calme et elle avait réussi à ne pas avoir de pensées qui auraient pu déclencher son pouvoir et il était désormais temps de renter. Sur le chemin de retour elle s’autorisa a pensée à des choses cochonnes, il ne semblait n’y avoir personne au alentour alors son pouvoir ne les attireraient pas. Arrivée à mi-parcours entre le lycée et chez elle, elle sentit quelqu’un se rapprocher d’elle et glisser une main sur ses fesses.

Elle le regarda, il semblait l’avoir déjà aperçu mais elle ne le connaissait pas, il n’y avait pas grand doute sur ce qu’il voulait en l’attrapant comme ça et avec le temps, elle était habituée à ne plus essayer d’y échapper. Dans son uniforme de lycéenne, ses formes ressortait vivement et s’il avait commencé par les fesses, sûrement ne s’arrêtera-t-il pas là.

Elle eu un petit sursaut quand il enfonça ses ongles dans sa chair mais elle ne semblait pas réàgir négativement :

« Oui, je le sais mais ce n’est pas mon cul le meilleur. Qu’est-ce que tu veux ? »

Ce n’était en effet pas son fessier qui attirait l’œil en premier mais même s’il n’était pas aussi développer que sa poitrine, il fallait avouer qu’il était tout de même très agréable. Il lui avait demander ce qu’il voulait mais elle connaissait évidemment la réponse, le tout était de savoir comment il voulait s’occuper d’elle. Mais puisque l’issue était de toute manière inévitable, elle passa sa main sur l’entrejambe de l’inconnu pour le caresser au travers de son pantalon. Ils étaient a dix mètre à peine des toilettes publics.

Pour une raison inexpliquée Clad avait tenté cette approche assez directe et c'est le moins que l'on puisse dire. Il était littéralement en train de lui masser le cul avec sa main gauche. Il se demandait presque, comment il avait réussi à venir jusqu'ici. Il se souvenait avoir quitté l'école, la mine dégoutée de ne pas pouvoir se soulager avec une de ses camarades de classe. Mais alors pourquoi n'était-il pas aller à sa voiture, garée sur le parking de l'école, comme à son habitude ? Quoiqu'il en soit, la jeune fille a qui appartenait ce très joli fessier, n'était pas du tout choquée ou surprise. Ce qui aurait été complètement logique et compréhensible. Mais non, au contraire d'ailleurs, puisque Clad sentit sa main se loger sur son entrejambe. Elle commença alors à le caresser.

L'excitation monta d'un coup. Il n'y avait pas beaucoup de monde dehors. Mais il n'avait pas envie de le faire sur le bitume, ou encore moins dans l'herbe. Ce n'était pas assez sale !
En effet, Clad aimait le faire violemment, dans des endroits peu fréquentables et crades, mais là, c'est comme-ci tous ses sens et ses envies s'étaient développés. Il voulait littéralement se servir d'elle comme d'un vide-couille. Il la laissa le caresser encore un moment, puis elle lui fit clairement comprendre que sa poitrine était bien meilleure que son cul, qu'il était toujours en train de toucher. S'en était trop.

Clad regarda à droite d'eux et vit des toilettes publiques. Elles étaient de l'extérieur dans un piteux état. Elles étaient recouverte de carrelage blanc, qui avait noirci depuis longtemps. La porte d'entrée était cassée, et pendait vers l'extérieur. Des sacs poubelles remplis traînaient tout autour. Des mégots de cigarettes, des bouteilles de bières, des sacs du fast food du coin habillaient parfaitement les lieux. Des tags, des injures ornaient même le bâtiment, à l'extérieur. C'était parfait. Clad prit la main de la jeune fille qui était toujours en train de lui toucher l'entrejambe, pour l'amener à l'intérieur.

Ils passèrent la porte et se retrouvèrent à l'intérieur. Il se dirigèrent ensuite vers les toilettes des hommes, et le moins que l'on puisse dire c'est que l'odeur était épouvantable. Ca sentait l'urine à plein nez, le tabac, la drogue et d'autres odeurs indescriptibles. Clad s'approcha des urinoirs.

"Viens par ici !" dit-il en la tirant vers lui. "Accroupis-toi." dit-il en demandant à la jeune fille de placer sa tête juste à côté de l'urinoir.

L'homme pendant ce temps baissa son pantalon et enleva son boxer, révélant son sexe, fièrement dressé. L'homme avait ainsi une vue parfaite sur le décolleté de la jeune fille.

"Occupes toi en. Je ne peux pas pisser avec cette gaule !" dit-il en tapotant sa bite sur l'urinoir en face de lui.

Choquée et surprise, elle ne l’était plus, ça le lui était tellement arriver qu’elle avait pris l’habitude qu’on vienne l’aborder ainsi. C’était clairement malsain d’être habituée à se faire agresser mais c’était comme ça, elle pouvait déjà dire le dérouler de ce qui allait se passer, c’était toujours pareil. Il allait l’amener quelque part, va la baiser sauvagement en pensant être le premier à la violer, suivant ses préférences va lui faire quelques autres trucs et va l’abandonner recouverte de foutre. Ça se passait toujours comme ça, elle se demandait parfois si on pouvait toujours qualifier ça de viol dans sa situation car au final elle se laissait faire sans vraiment à y redire, ça lui était arrivé tant de fois que ce n’était qu’une façon de baiser comme un autre pour elle.

Alors qu’elle continuait de lui masser la queue à travers son pantalon, il lui prit la main pour l’emmener dans les toilettes juste à côté, elles étaient dégoutantes mais ça ne semblait pas la gêner, elle le suivit et l’écouta une fois arriver près des urinoirs et elle s’accroupi pour faire face à sa queue bien gonflée. Elle le caressa et le prit en main pour faire quelque va et vient en le branlant :

« Tu pourras même me pisser sur le visage si tu veux. »

Elle gloussa en le regardant, il l’avait peut-être déjà prévu mais elle lui disait que ça ne la dérangerait pas. Elle se pencha ensuite pour approcher la bouche de son gland et posa ses lèvres dessus et y donna de petit coup de langue avant de l’engloutir goulument, ça glissait tout seul malgré la taille. Elle avait de l’expérience dans la pipe et elle le pompait efficacement comme une affamée.

Clad bien droit, son sexe libre, diriger vers l'urinoir, avec cette fille dont il ne connaissait même pas le nom, à genoux sur le sol des toilettes, à côté de lui, le visage face à son engin. Rien de plus excitant. Mais comment pisser avec cette bite si fière ? C'est pourquoi il avait demandé à la jeune écolière de s'en occuper. Il pensait devoir l'obliger, la forcer, même être violent, mais c'était tout l'inverse qu'il se passait. Elle agrippa son engin et commença à le branler. Ensuite, sa bouche accompagna le mouvement. Elle était douée, oh … Oui … Trèèèès douée ! Elle était si jeune, mais pourtant c'était une experte. Elle avait dû sucer des kilomètres de bite.

Alors qu'il apprécia le moment, Clad pencha sa tête vers elle, et ne pu s'empêcher de voir son joli décolleté. Il n'arrêtait pas d'y penser. A quoi pouvaient-ils ressembler ? Etaient-ils fermes ? Souples ? Ou bien pendaient-il ? Avait-elle de gros tétons ? Des petits tétons ? Plein de questions, qui n'arrangeait pas ses affaires. Plus ça allait et plus il devenait dur. La langue, la salive et les mouvements de la jeune fille sur sa queue n'aidaient pas.

Clad se pencha sur le côté et déboutonna le haut de son chemisier, bien assez pour se rendre compte de la grosseur de sa poitrine. Heureusement qu'elle portait un soutien-gorge, sinon elle ne pourrait pas le contenir dans son chemisier. Il continua son affaire, en touchant à présent le sein droit de l'écolière. Il le pressa assez pour le soulever et le sortir du soutien-gorge.  Incroyable, il était ferme, et énORME !! Elle avait des tétons bien durs et qui ressortaient vraiment bien. Elle avait l'air tout aussi excitée que lui.

Mais la vue de ce sein l'excita trop, beaucoup trop. Elle le suçait trop bien … Il prit à pleine main sa bite, pour la sortir de la bouche de la jeune fille, pour jouir sur son doux visage. Plusieurs giclées de sperme atterrir sur son front, ses yeux, son nez, sa bouche, partout.

"Aaaaah … Putain … T'es une pro … Mer … Merci. Je peux enfin pisser tranquille." dit-il en dirigeant sa queue vers le visage et plus précisément la bouche grande ouverte de l'écolière.

Un petit jet de pisse sorti de sa bite et entra directement dans sa bouche. De la vapeur sortie de sa gueule, tellement sa pisse était chaude. Il continua de lui pisser dessus pendant quelques instants, avant de terminer.

"Merci … Par contre, j'aimerai que ça reste propre ici. Donc tu ferais mieux de tout avaler !"  dit-il la bite toujours à l'air.