Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Une mère dans les griffes d'une bête. (PV Raven)

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Mozaria

Une mère dans les griffes d'une bête. (PV Raven)

jeudi 08 octobre 2009, 06:35:25

Mozaria s'ennuyait et comme à chaque fois qu'elle tournait en rond, elle faisait un tour pour trouver une victime qui avait beaucoup de chose à arracher. Quel meilleur endroit que celui des lieux de cultes, bien sur elle prit son rôle de noble, c'était marrant de voir les autres se faire prendre à chaque fois dans le piège, quoi qu'il en soit, elle avait décidé que la proie serait une femme, d'âge mur si possible et ayant une chose des plus précieuse au monde, un enfant ou un amant, ces deux choses là n'étaient pas aisées à prendre et détruire devant une femme, mais cela procurait le plus grand plaisir que la vie puisse donner.

Elle alla en direction de l'église la plus proche et vit une demoiselle en ceinte apparemment de plusieurs mois, sans doute proche le l'accouchement, rien que l'image de cette demoiselle ayant le ventre rond fit frémir la sorcière qui se murmura à elle même

- Ma petite tu as de la chance, une belle et fragile proie rien que pour toi.


Voyant que le monde la regardait, la sorcière reprit son rôle de noble et personne ne voulut en savoir plus que nécessaire, Mozaria alla vers la porte et le fit pivoter, comme le ferait une croyante entrant dans un lieux saint, l'odeur de la femme lui donna beaucoup d'information, c'était un prêtresse, son instinct de chasseuse aimait cette odeur, elle voulait un peu jouer avec sa proie avant de la mutiler aussi bien physiquement que moralement, la sorcière s'approcha de sa victime et se mit à prier pour un faux dieux, elle même, pour la chance d'avoir eu une proie aussi jolie et intéressante à torturer. Puis d'une voix mélodieuse elle demanda.

- Bonsoir je m'appelle Mozaria,  que fait une brebis tels que vous en se lieux, sans vous ménager ?

Les paroles auraient fait pleurer de joie les parents de la sorcière, si elle n'avait pas dit clairement qu'elle ne serait pas croyante. La conversion pour elle viendra quand elle sera morte deux fois.

Raven Miller

Invité

  • Messages:

Re : Une mère dans les griffes d'une bête. (PV Raven)

Réponse 1 jeudi 08 octobre 2009, 21:40:45

Encore une fois, j'étais envoyée loin de l'Olympe dans un des nombreux temples de mon maître pour le gérer en attendant que la matriarche du lieu de culte se remette de sa maladie. Ma situation actuelle ne me laissait pas vraiment le choix, de toute façon, puisque je suis un poids au temple. Le bébé allait bientôt naître... mais cela ne semblait pas vraiment avoir aidé ma relation avec mon maître, qui a reprit ses habitudes. J'étais de retour à ce stade où je n'étais qu'une simple prêtresse à laquelle seule Lana osait adresser la parole. À nouveau, il ne visitait et n'était visité que par Despina, Élosia, Aphrodite et ses autres amantes. Je savais que mon dieu n'était pas au même degré d'affection que moi, mais je commençais à me dire qu'il n'éprouvait du désir pour moi que parce que j'étais vierge. Mon arrivée avec ce ventre rond m'avait attiré beaucoup de regards et j'en fut un long moment intimidée. Puis, vint le commentaire-question0 que toutes les prêtresses se posaient, durant les bains collectifs, depuis qu'elles m'ont vue. Une jeune dame m'approcha et m'a fait un sourire, posant une main sur mon ventre que je nettoyais avec beaucoup d'amour en pensant au petit être qui y grandissait que j'allais bientôt mettre au monde.

-Votre époux doit être comblé de vous savoir enceinte, madame.

Cette simple remarque m'arracha un sourire des plus tristes. Arès n'était pas mon époux et il ne le sera jamais, je le sais bien, mais concevoir un enfant hors mariage était encore mal vu sur Terra. Ma main caressa doucement l'orbe de chair qu'était devenu mon ventre, alors que mon esprit s'absentait l'espace d'un moment. Ce bébé ne l'avait guère rapproché de moi et le fait que je lui avais donné ma virginité non plus, et maintenant, il semblait plutôt désintéressé de mon sort. D'une voix calme, teinté de tristesse, je répondis:

-Non... je n'ai pas d'époux... c'est l'enfant de mon maître que je portes...

Les autres prêtresses comprirent qu'Arès était le père de l'enfant et si certaines me regardaient avec un air réprobateur, d'autres m'ont approchée pour me féliciter et me démontrer de la compassion. Mais à leurs yeux, je savais ce que j'étais. Une autre simple putain d'Arès, une traînée qu'il a engrossé et abandonnée. Devant de telles préjugés, je ne pus faire qu'une seule chose; partir. j'ai quitté l'eau chaude du bain, prenant le temps de me sécher d'abord, puis j'ai revêtu une belle robe à manches longes blanches, dont le tissu élastique permettait d'être confortable même avec mon ventre prononcé. Lorsque j'ai quitté la salle des bains, les cheveux encore humide, une jeune noble pieuse s'est approchée et m'a abordée. À sa demande, je baissai la tête, à nouveau.

-Elle prie pour rentrer chez elle... et essaye d'imaginer que sa situation ira mieux à l'avenir.

Je me tournai vers elle et je m'inclinai, le plus que mon bébé puisse me permettre, pour saluer la noble avant de continuer mon chemin hors du temple, essuyant mes yeux embué de larmes. Je devais vraiment devenir plus forte et je le savais, forte comme Élosia et insensible comme le fut Lana... j'aurais voulu être l'une d'entre elles, sans souci, heureuses et aimées...

Mozaria

Re : Une mère dans les griffes d'une bête. (PV Raven)

Réponse 2 vendredi 09 octobre 2009, 10:47:20

Mozaria cacha un juron, elle pensait que cette futur mère aurait eut un peu plus de politesse et commencé une discussion à la place elle partait, il était hors de question pour la sorcière de laisser sa proie du soir  partir indemne. Aussi sortit-elle sa flute, mais au moment où elle allait jouer un air, elle la rangea, autant continuer à jouer un peu avec cette futur victime encore un peu.

Mozaria prit un léger temps de réflexion ,permettant à Raven de quitter l'église, mais la noble revint vite à son niveau en disant avec une voix inquiète parfaitement imitée.

- Je crois qu'il serait plus prudent si je vous accompagnais, on ne sait jamais quand un bandit ou un violeur peut tomber sur vous et si vous avez des contractions, il vous sera plus aisé pour vous d'avoir une assistante.


L'idée de Mozaria n'était pas de l'aider, enfin pas dans le sens premier du mot, mais vous le dévoiler tous de suite tuerais la surprise. Tous ce que l'on sait c'est que Mozaria allait profiter de la moindre opportunité pour provoquer une douleur au ventre de Raven, que ce soit fait de façon manuel ou magique. La sorcière avait deux idée, soit utiliser la magie d'azur maudite et être sur à 100 % de la réussite de son entreprise, soit utiliser la magie d'azur classique, mais là aussi il y avait des facteurs qui ne plaisent pas du tous à Mozaria. Elle commençait à en avoir marre de jouer cette comédie et se mordit la lèvre inférieur, pour évacuer cette frustration de devoir attendre, la sorcière était vraiment peu patiente.

Puis il y eu un bénédiction, un bon coup de vent très froid, de quoi faire bouger un clodo de son pont et, oh miracle, un bar, idéale pour rendre la mère un peut pompette, si Raven buvait bien sur.

- Si nous allions dans ce bar, il serait assez dommage que vous attrapiez froid dehors.

Raven Miller

Invité

  • Messages:

Re : Une mère dans les griffes d'une bête. (PV Raven)

Réponse 3 vendredi 09 octobre 2009, 14:47:09

La noble m'a suivie. Elle voulait m'accompagner au cas où je pouvais être attaquée ou alors que je sois prise de contraction. Je m'arrêtai alors puis je la regardais. Je ne savais pas si je pouvais faire confiance à qui que ce soit. Déjà que même Arès a décidé de m'éviter après m'avoir donné cet enfant. Il m'a bien protégé contre Poséidon, mais justement, c'était parce que son oncle était là et qu'il représentait une menace pour lui. Les êtres de ce monde sont capable des plus grandes gentillesses comme les pires perfidie. Mais enfin, pourquoi pas? Je hochai alors la tête pour lui montrer mon accord. Un vent froid passa et je fus prise de frissons. Elle me proposa alors d'aller dans le bar. Je n'ai jamais pris d'alcool, et je n'en prendrai jamais, mais c'est vrai qu'il serait plus agréable d'être au chaud plutôt que sous les courants d'air... mais soudainement, je fis non de la tête.

-Ce n'est pas un endroit convenable pour une femme qui porte un enfant... qui sait ce qui pourrait m'arriver là-bas...

Je me mis donc à marcher vers une petite maisonnette qui m'était réservée par Zeus. Décidément, tous les dieux ne pensaient qu'à me faire des faveurs pour m'attirer dans leur temple puis dans leur lit. Une mortelle autre que moi aurait probablement été flattée par de telles attentions, mais moi, je n'étais pas aveugle. Je me méfiais de toutes ces gentillesses et je ne les acceptais que si je n'avais rien à donner en retour. J'ai déjà accordé ma confiance à Arès et regardez où cela m'a conduite. J'étais seule, sans le père de mon enfant pour me supporter et qui m'ignorait en plus. Cependant, j'avais tenu à ce que la demoiselle me suive à l'intérieur. Un peu de compagnie ne me ferait pas de mal, et elle semblait si gentille... ou alors, c'était moi qui était naïve, mais ce n'est pas comme si Arès serait triste si quelque chose arrivait à notre enfant ou même à moi. Il a eu ma virginité, il a eu mon amour, ma fidélité, mais lui, il ne m'a rien donné autre que son toit et ma solitude. Je commençais vraiment à croire qu'il ne s'intéressait à moi que parce que personne ne m'avait touchée et que je m'étais réservée pour lui. J'étais comme un plat qu'il avait toujours voulu goûter, mais une fois qu'il l'a fait, il n'y voit plus rien de particulier. J'essuyai encore les nouvelles larmes sur mes yeux avant de refermer la porte de bois derrière mon invitée puis d'aller m'asseoir sur la chaise berçante. Regardant la demoiselle, je murmurai d'une voix lasse

-Je me nomme Raven... Raven Miller...

Mozaria

Re : Une mère dans les griffes d'une bête. (PV Raven)

Réponse 4 vendredi 09 octobre 2009, 15:17:19

Mozaria eut le droit de patienter encore, elle ne rechigna pas quand l'elfe refusa sa demande. La sorcière hocha aussi un peu la tête pour dire qu'elle comprenait la situation, à vrais dire elle bouillait, Mozaria n'était vraiment pas patiente, elle du attendre et suivre en silence sa proie, jusqu'à une maison qui regorgeait de magie, mais elle n'arrivait pas à décrire cette magie, elle n'était pas blanche, ni noire, ni rouge, c'était une magie plus puissante que celle qu'elle manipulait, aussi n'avait-elle plus que la magie d'azur maudite, mais la sorcière n'était pas chaud pour se faire blesser pour une proie aussi … facile.

La maison était très sobre, possédant le minimum, mais une sacré confort tout de même, rien que le fait de voir Raven se coucher sur cette chaise qui bascule fit apparaitre un sourire furtif sur le visage de la sorcière, Mozaria allait pouvoir profiter de la situation, le cadre était parfait, une maison close, ne possédant qu'une seule sortie pour une femme enceinte, c'est-à-dire la porte. La maison faisait office de bâillon où aucun bruit ne pourra sortir et prévenir la population des action de la sorcière.

Mozaria continua à jouer son rôle de fille de la noblesse et fit porter à ébullition de l'eau, fouillant dans les placards et trouvant un sachet de thé, mais elle ne savait pas qu'elle goût il avait, car la boite était assez vieille et toute écriture étaient effacées, elle servit deux tasses et déposa l'une d'elle sur les genoux de l'elfe.

- Tenez, j'espère que je ne l'ai pas raté.


Mozaria avait distillé de la poudre dans la tasse de Raven, il n'y avait pas la moindre trace visuel, odorante ou gustative. Une simple gorgé aurait suffit à faire tomber un pégase dans les pommes.

Raven Miller

Invité

  • Messages:

Re : Une mère dans les griffes d'une bête. (PV Raven)

Réponse 5 vendredi 09 octobre 2009, 16:07:20

Je me laissais doucement bercer sur la chaise, caressant mon énorme ventre sous mon vêtement, regardant le feu de la cheminée, y perdant mon esprit un moment. Tant de choses négatives m'arrivaient, maintenant et j'avais peur que cela ne se dégrade encore. Je savais que j'étais fragile, très fragile, aussi bien mentalement que physiquement et que le moindre choc pourrait anéantir ma vie. L'enfant bougeait lentement dans mon ventre, faisant de petites bosses sous ma peau. Il allait bientôt naître et Artémis m'avait dit que ce serait un beau petit garçon. J'avais de beaux projets pour l'éducation de mon bébé et je le voyais déjà au bras d'une superbe demoiselle qu'il aurait rencontré lors d'une campagne militaire aux cotés de son père. Je souris brièvement à cette pensée. Alors, ma nouvelle rencontre m'apporta un thé aux fruits des champs. Je la remerciais d'un mouvement de la tête, reconnaissante, puis je pris une gorgée, ma condition de femme enceinte ayant totalement anéanti ma méfiance qui m'aurait habituellement poussé à jeter des sorts détecteurs pour le poison.

Les effets de la drogue ne prirent pas très longtemps pour faire effet. Prise d'une soudaine faiblesse, j'échappai la tasse sur le sol et elle s'y fracassa. J'avais du mal à respirer, tout à coup, et ma vision commençait à se brouiller. Un vertige me prit, mais je résistai. Je venais de me faire empoisonner comme une débutante. J'avais peur, très peur. Je venais de comprendre que je n'avais pas fait assez attention à la dame. Elle venait de me faire avaler de la somariralis. Cette plante qui pousse dans les zones humides est généralement utilisée par les chasseurs pour endormir les prédateurs dangereux et éviter d'être agressé par eux alors qu'ils traquent leur proie. Je me suis servie de ce qu'il me restait d'énergie pour me lever et je tentais de courir vers la porte... mais je ne pus que m'effondrer sur le sol, assommée par le médicament. Une larme perla de mes yeux. "Pourquoi...?"

Mozaria

Re : Une mère dans les griffes d'une bête. (PV Raven)

Réponse 6 vendredi 09 octobre 2009, 17:12:40

Mozaria avait eut un mauvais sourire en voyant Raven prendre la gorgée qui allait sceller son avenir. La sorcière ne fit pas un seul geste en voyant l'elfe se débattre avec ces dernière forces conter le poison, le fait qu'elle soit tombé au sol ne la fit même pas réagir. La manipulatrice attendit une dizaine de minutes, histoire que le poison fasse son meilleur effets.

Puis elle utilisa la magie maudite pour faire une brèche entre ce lieu et la cave de son manoir. Bien sur les quelque esclaves eurent la bonne idée de servir leurs maîtresse, ce qui facilita la tâche de Mozaria, l'elfe fut enchainée, les bras en l'air tenant tous le corps de la demoiselle, bien sur les chevilles aussi, car il ne fallait pas que Raven puisse donne un coup de pied, même si Mozaria était une femme, cela faisait mal.

- Quittez la cave, je m'occupe du reste.

Mozaria attendit le réveille de la demoiselle, étant trop long, elle remplie via un robinet un sceau d'eau et avec un sourire sadique, elle vida le sceau de la demoiselle, rendant semi-transparent la tenue de Raven, la sorcière put voir les formes de sa proie, elle s'approcha de la demoiselle et frôla avec sa main chaude le ventre de la victime, prenant bien son temps de voir la demoiselle se réveiller sous les caresse de sa tortionnaire, qui allait lui faire connaître l'un des plus grand supplice qu'une femme puisse subir.

- Alors futur mère réveillée ?

Sa voix n'avait plus rien de mélodieux et son visage ne montrait plus la femme qui l'avait accostée, mais une créature immoral, transcendant  le mal par ces actes et ces paroles.

Raven Miller

Invité

  • Messages:

Re : Une mère dans les griffes d'une bête. (PV Raven)

Réponse 7 vendredi 09 octobre 2009, 17:55:16

Lorsque je repris connaissance, j'étais dans une endroit sombre et lugubre. Le sol était couvert de sang à de multiples endroits, il y avait des chaudrons un peu partout, divers étagères remplie de diverses fioles ainsi que de multiples machines de tortures. J'avais très froid et j'avais mal partout, en plus d'être toute trempée par je ne sais quel moyen. Devant moi, il y avait la noble. Mon regard était encore vide à cause de la drogue et même si je voulais crier, je n'y arrivais pas. Pas un mot ne sortait de mes lèvres closes. Cependant, beaucoup de larmes coulaient de mon visage. Lorsque j'ai sentit la main de la femme sur mon ventre, j'essayai de lui lancer un sort, mais mon esprit était trop embrouillé pour que je ne me souviennes d'un seul sortilège. Ma position n'était pas l'idéale pour une femme portant un bébé en son sein, et je me rendis compte que j'étais attachée. Je me mis à trembler puis je finis enfin par recouvrer la voix.

-S...S'il vous plait... ne nous faites pas de mal...

Oui, nous. Moi et mon bébé. Si je souffrais, les contractions de muscles du à la douleur pourrait causer des dommages au foetus. Je me mis à sangloter de terreur. Je voulais me sauver, m'en aller. Cette femme me faisait trop peur et je savais qu'elle ne me voulait pas de bien et certainement encore moins de bien à mon bébé. Je tirais sur mes chaines en pleurant de désespoir, pour rentrer chez moi et me cacher.

-Laissez-moi partir! Je ne vous ai rien fait! Laissez-moi m'en aller!

À bout de forces très rapidement à cause de l'énergie que consommait mon enfant, je me laissai molle dans les chaines, pleurante sur mon sort. Ce n'était pas juste que je sois toujours celle à souffrir réellement. Mon visage inondé de larmes se vida lentement de tout espoir. Je tremblais de partout, de peur et de froid. Tout effort était vain, je le savais bien. J'arrêtai donc de hurler pour tomber dans un silence. Peut-être qu'elle ne me fera pas trop de mal si je restes tranquille, peut-être me laissera-t-elle m'en aller.

Mozaria

Re : Une mère dans les griffes d'une bête. (PV Raven)

Réponse 8 samedi 10 octobre 2009, 09:06:58

Mozaria était en plein extase de voir sa victime demander grâce de sa vie et de son enfant, la sorcière écouta ce que Raven disait, ma regardant se débattre, essayer de faire quelque chose mais n'y arrivant pas, elle avait depuis longtemps sentit que cette prêtresse pratiquait de la magie et de très haut niveau, c'est pour cela qu'elle avait prit ces précaution bien avant de la réveiller. Une fausse larme coula sur la joue de la sorcière, cette salope faisait mumuse avec sa proie, donnant un faux espoir de laisser partir la demoiselle et son enfant indemne, elle s'approcha,, tendant ces mains vers les chaines, faisant de faux sanglot parfaitement imité, comme-ci elle avait de remord à l'avoir duper et au moment où ces mains allait toucher les chaine, elle saisit la mère par la gorge en serrant très fort.

- Malheureusement pour vous deux un seul d'entre-vous ressortira vivant de cette salle.


Elle attendit que l'elfe manque d'air, suffoque et tombe presque dans les paume pour relâcher sa prise et rigoler, en passants un coup de langue sur la joue gauche de sa proie. Elle recula un instatn pour voir dans le moindre détails sa victime, une vrais beauté, que Mozaria réduira à l'état d'âme errante voulant mourir.

- Ce lieu est conçu pour repousser tout chose non scientifique, hormis ma magie bien sur, si tu tentes quoi que se soit, il se retournera contre toi et tu sais ce que cela peu occasionner pour ton enfant, il serait dommage de le perdre alors que tu voulais t'enfuir, non ?

Un sourire sadique apparut sur son visage, la pauvre elfe devait se demander si elle n'était pas tombé sur une bête ayant prit forme humaine, d'ailleurs la sorcière quitta la salle pour revenir l'instant d'après avec une chaise, elle le plaça à un mètre de Raven, s'assit et fit promener son pied droit, qui était nu, sur l'entrejambe, remontant sur le ventre en faisant des arabesque et finissant par prendre entre deux doigt le téton gauche, tout en commençant à le masser.

- Lequel d'entre vous veut vire ? Bien sur j'aurais le dernier mot, mais je veux savoir ton avis elfe.

Le choix était depuis longtemps fait, la sorcière voulait savoir si elle causerait un très grand mal, insupportable même ou une sensation de mal être classique sur sa proie.

Raven Miller

Invité

  • Messages:

Re : Une mère dans les griffes d'une bête. (PV Raven)

Réponse 9 samedi 10 octobre 2009, 15:04:10

J'avais vu une larme couler sur la joue de la sorcière. Elle s'était approchée de moi puis avait tendu ses mains vers les chaines. Un sourire plein d'espoir avait prit place sur mon visage... avant que mon cou ne soit entouré par ces mains cruelles. Je me sentis être étranglée, mes lèvres en devinrent bleues à cause du manque d'oxygène. Ce qu'elle dit perça mon cœur. Cette femme était cruelle, plus, même. Je devais choisir entre moi ou mon bébé... mais je ne pouvais pas faire une telle décision! Si je mourais, il mourrait de toute façon. S'il décédait, je ne lui survivrais probablement pas. Malgré la pression sur ma gorge, je tentais de respirer, tirant sur mes menottes comme pour essayer de me défaire de ses mains. Elle me relâcha enfin, se mettant à me lécher la joue avec cruauté. Je me mis à tousser fortement. Elle continua de parler de sa voix pourtant si douce, il y a un moment. Elle s'était assise sur une chaise qu'elle avait posé devant moi. Elle avait raison, je ne pourrais pas fuir sans tuer mon propre bébé à cause du mouvement et des contractions que réclament une course.

C'est alors que je sentis son pied sur ma vulve et remonta ensuite sous ma robe blanche et se poser sur mon sein, sous le soutien-gorge. Elle se mit à me caresser, mais moi, je n'étais pas, mais pas du tout dans l'humeur de me faire toucher. Je me mis encore à me débattre pour échapper à ce pied qui me souillait de son simple toucher. Je ne voulais pas qu'il me touche, je ne voulais pas qu'elle m'approche. Je voulais rentrer ou alors mourir vite. Je vois à nouveau le visage d'Arès lorsqu'on a fait l'amour. Je me mis alors à pleurer à chaudes larmes. Oh et puis à quoi cela me servirait-il de vivre? Arès a eut ce qu'il voulait de moi, je n'étais pas une guerrière comme mes soeurs et personne ne veut de moi. Une lueur combattive s'alluma dans mes yeux alors que je regardai ma tortionnaire. Ma voix résonna, rauque, morte, pleine de haine et de rancune.

-Fais ce que tu veux, sorcière, mais de moi, tu n'entendras pas de supplications de ma part. Ce bébé est le mien et si je meurs, il me suivra dans ma tombe et s'il meurt, il t'entrainera dans la sienne. Je suis Raven Miller, prêtresse du Dieu de la Guerre Arès ainsi que la générale de ses guerriers du nord.

Évidemment, ces mots étaient loin d'être convaincant, puisque, l'instant d'après, je redevenais la jeune femme qui n'avait plus rien dans ce monde cruel. Mon aimé ne m'aimait pas alors que je lui ai tout donné, j'allais perdre mon enfant et ma vie et en plus, j'allais être souillée par une sorcière psychopathe totalement timbrée qui va certainement me faire passer une sale journée avant d'enfin me tuer. Je voyais bien tous les machines et les instruments de torture qu'elle avait et en plus, elle était capable de se servir de la magie.


Répondre
Tags :