La nature a tant à offrir. [PV Iriya Owl]

Le regard rouge embrasse l’immense territoire qui s’étale devant lui. Une vague de bonheur, mais aussi de nostalgie envahit celle qui pose ce regard sur cette étendue si sauvage. Ces immenses herbes, cette végétation si vierge de toute machine, de toute civilisation, cet air si pur, ce vent si agréable, ce calme si apaisant, Akita n’était jamais venu ici. Ces étranges lumières semblent l’emmener d’un endroit à un autre et ici la ville de son arrivée devait être loin, très loin. Elle est bien plus à son aise, au milieu de ses herbes hautes, même si ces dernières, malgré leur taille, ne la cachent pas. Au moins ici, il est peu probable qu’on la traite comme un être déguisé ou qu’on la chasse comme une créature effrayante. Ici son apparence de belle grande plante ne sera perçu ni comme un danger, ni comme une attraction ou même comme un sujet de laboratoire. Mais comme un être à part entière. Fière de ce qu’elle est, libre sans la peur de se retourner à chaque pas. La nature, elle connaît et celle-ci n’est pas son ennemie, bien au contraire. Jamais elle ne s’est aussi libre dans ce endroit dégagé, aussi pleine de vie. Le soleil au-dessus de sa tête, le vent dans les ramures de son corps, la terre sous ses pieds. Si la liberté a ce parfum, alors elle veut le sentir toute sa vie. Mais combien de temps avait-elle marché ? Combien de distance avait parcouru depuis qu’elle était passé au travers de cette étrange lueur ? La dame-plante l’ignorait, comment pourrait-elle le savoir ? Le temps ne peut-être calculé qu’en terme de jour et de nuit pour un être qui ignore la notion de temps. Mais cette longue l’épuise, non pas physiquement, sans organe et avec autant de nourriture, elle ne se fatigue jamais. Non cette marche l’épuise mentalement, une plante est plus fait pour végéter. Mais où s’arrêter, au loin, au milieu de ses immenses herbes, un arbre semble régner sur cet endroit, comme dressé pour dominer ce qui l’entoure. Cet arbre sera son abri. Elle presse le pas et se retrouve vite sous l’arbre. Des vrilles se dressent et viennent s’accrocher à une lourde branche pour retomber sur le sol. Akita en dresse plusieurs ainsi, d’autres s’étalent sur le sol. Après un long moment à "tisser" ses vrilles, celles-ci forment ce que les êtres de chair appellent une tente, Akita laisse une ouverture pour que l’air circule mieux. Les vrilles émanant de son corps, elle est, de fait, déjà dans son habitation. Elle s’assoie au milieu de son habitation, en tailleur et ferme les yeux comme pour se reposer, sereine, apaisée, foi en l’avenir et l’espoir de rentrer un jour chez elle plus fort que jamais.

Akita sent des vibrations dans l’air, celles-ci font remuer les minuscules poils présents sur ses vrilles. Telles les vibrations sur la toiles d’une araignée, elle sent que quelqu’un approche au loin. Mais la créature, quel qu’elle soit, approche de façon désordonnée, chaotique, ne sachant visiblement pas où aller, mais suffisamment vite, comme pour fuir un danger. Cet être inconnu ne représente pas une menace, du moins pas suffisamment pour inquiéter la dame-plante dans son étranger abri. Mais voilà qu’elle s’approche, tout près, elle a peur, Akita en est de plus en plus convaincue. Elle la laisse donc entrer dans sa cachette. Lorsqu’elle entre la dame-plante l’observe, ouvrant lentement ses yeux, alors que sa présence n’a pas du tout été remarquée.

"Bonjour, étrange créature. Je me nomme Akita. Je ne suis pas ton ennemie, tu n’as rien à craindre de moi."

Les vrilles qui forment le sol de la hutte se mettent à onduler, dirigeant la nouvelle venue vers la maîtresse des "lieux." Celle-ci tend doucement une main… qui se pose délicatement sur la tête de l’inconnue, lui caressant doucement les cheveux et découvrant ses étranges oreilles. Un soupir de soulagement s’échappe de ses lèvres vertes, cet être de chair n’est pas une humaine, c’est un être de chair comme elle.

"C’est étrange, tu ressembles à ce que les humains appellent un lapin."

La main glisse lentement sur le visage et touche les vêtements et constate alors leur humidité.

"Les êtres de chair sont sensibles au froid quand ils sont mouillés, n’est-ce pas ?"

Les mains délicates se mettent alors à défaire l’uniforme. Sans demander l’avis de la créature, mais avec une douceur et une délicatesse qui étonnent même la dame-plante, elle agit de manière maternelle. Un à un, les éléments de l’uniforme sont retirés. Chacun est posé sur une vrille qui sert de fil à linge pour les sécher. Ses yeux rouges constatent une chose curieuse.

"Tu as une petit queue touffue, vraiment très ressemblant aux lapins."

Le corps désormais dénudé de la jeune inconnue est détaillé. Et il est ce qu’Akita pourrait qualifier de mignon, du moins si elle arrive un jour à comprendre l’entièreté du sens de ce mot. Bien que ne connaissant guère l’anatomie des êtres dont elle n’a rencontré qu’une seul individu, elle trouve curieux que celle-ci est une poitrine et une croupe plus large que ne le laisse supposer sa silhouette. Mais qui est-elle pour en juger. Déjà que c’est compliqué de comprendre l’anatomie d’une humaine, alors d’une créature.

Ses bras et ses jambes s’écartent, les vrilles parcourant son corps se retire, le laissant aussi dénudé que celui de la nouvelle venue. Elle prend un corps féminin et une poitrine très avantageuse, afin d’effrayer le moins possible la jeune créature.

"Je peux te réchauffer si tu le souhaites. Bien que je sois une plante, le soleil me donne suffisamment de chaleur pour que je t’en transmette à mon tour.

Akita écoute, mais ne formalise de rien. Elle comprend souvent ce que les êtres de chair disent, sans souvent en comprendre la portée, l’importance, voir les deux. Aussi ne mesure t-elle pas le danger de la même manière que l’appréhende son hôte. De toutes manières, et après tout ce qu’elle traversé, la femme-plante ne craint pas un adversaire, confiant dans tout ce que son corps peut produire, de la force dont elle dispose pour sauver sa vie et de son don pour contrôler la vie végétale. Cette dernière lui viendra en aide de la plus violente des manières.

"-Akita n’a pas peur. Akita est forte. Pleine de fruits et de fleurs, pleine de lianes, de branches, de racines, d’épines. Akita est forte, Akita fait partie de la nature et la nature sait se défendre.

De grandes feuilles poussent de la cabane faite de liane et se mettent à battre en rythme pour sécher plus vite le linge suspendue. La dame-plante se dresse et avance lentement en direction de la nouvelle venue. Ses main enserres doucement la taille de l’être semi-félin et la soulève pour caler son visage contre l’opulente poitrine végétale. Elle se rallonge ensuite, emportant sa prise avec elle.

"La petite chatte est toute mouillée. Akita va la réchauffer et la sécher."

Une fois allongé et la tête féline posée sur la poitrine comme sur deux coussins, des mains vertes enserrent les bras de l’hôte et descendent des poignets, jusque sous les bras, absorbant l’eau comme une racine. Le cou est lui aussi débarrassé de son eau. Afin de ne pas lui faire mal, le dos est séché très doucement. Les mains parcourent d’abord l’échine du dos, évitant les cicatrices, puis chaque du dos est parcouru, évitant également les cicatrices. La femme-plante est très précise dans ses mouvements. Ensuite les deux côtés du corps sont séchés. Les mouvements sont doux comme des caresses, mais pas aussi relaxants qu’un vrai massage, Akita n’ayant aucune connaissance dans le domaine. Les haut des cuisses jusqu’au dessus des pieds, puis les pieds eux-mêmes. Le séchage est doux, mais la femme-plante ne se préoccupe pas du tout de la sensibilité de la demi-féline aux chatouilles. La queue velue est séchée de sa base à son extrémité, plusieurs fois.

"La fourrure sèche moins bien."

Les mains caressent les fesses pour absorber l’eau. Un doigt vient glisser de la basse du postérieur, jusqu’à son sommet sous la queue en glissant entre les globes fessiers effleurant un orifice obscur. Une fois tout cela fait, la plante couche Iriya sur le dos, toujours sur son propre corps. Les oreilles et le visage son séchés. Elle fait de même avec le ventre, caressant de son doigt le nombril. Ses jambes caressent les jambes félines pour réchauffer. Les bras d’Iriya sont levés au-dessus de sa tête. Ses seins sont alors attrapés par les mains, qui s’allongent pour les englober, en entier dans les doigts. Ils sont massés et séchés. Akita vient aspirer chacun des tétons avec les lèvres.

"Iriya n’a pas de lait."

Les jambes de la féline créature sont écartées au maximum, toutes comme celle d’Akita. Et une main verte vient se plaquer sur le duvet recouvrant l’intimité. La main caresse lentement.

"Iriya a de la fourrure ici aussi. Akita va tout sécher."

Les doigts épousent complètement les pétales de l’intimité au travers des poils de sa fourrure intime.

"Akita peut nourrir Iriya. Des fleurs de fruits et du nectar. Mais nectar, Akita ne sait pas si Iriya en voudra. Car nectar demande de faire sexe, du moins les êtres de chairs disent ça."

Akita continue de caresser l’intimité du petit chat humain. Sa paume glisse sur le duvet de son pubis. Ses doigt caressent les pétales de sa fleur. Ils s’allongent glissant entre les lèvres intimes et couvrant toutes leurs surfaces. Un doigt se glisse dans fente de la vulve, mais sans la pénétrer. Les mouvements sont lents, très lents, la dame-plante apprécie ce qu’elle fait et veut donner autant de plaisir et de bien-être qu’elle peut à ce petit être qui a tant souffert et qui craint tellement pour elle et celle qui l’entoure. L’être végétal fait en sorte de bien calé la tête du chaton dans sa poitrine.

Une main vient masser un sein, elle le caresse, le masse à nouveau, le soupèse. Ses doigts viennent doucement emprisonner le téton, le masser, tirer un peu dessus. En même temps, bien plus bas sur le corps, un doigt vient caresser le petit bouton d’amour d’Iriya. Il joue avec lui, le bouscule un peu, le masse un peu, espérant donner bien du plaisir par ses mouvements. Alors  que ses doux mouvement se poursuivent, la queue féline fait frémir le corps végétal et une bosse se forme au niveau de son bas-ventre. Puis la proéminence enfle grossit et commence lentement à se dresser, Le membre, bien forme et l’apparence clair, glisse contre les fesses félines, contre les cuisses. Des vrilles écartent légèrement les jambes du chaton pour que le membre puisse exprimer sa présence. Ses lèvres viennent embrasser un long moment, les lèvres du chat et viennent ensuite aspirer rapidement un téton.

"-Je crois que le biberon du chat est prêt."

Elle change alors la position de ce dernier. Iriya est toujours allongée sur elle. Mais cette fois, ventre à ventre, le visage du chat est au niveau du membre de la dame-plante, qui a aussi formé un sexe féminin pour donner plus de choix, encore. Ses vrilles continue de caresser le corps du chaton. Les jambes sont un plus écartées sur les deux corps, de sorte qu’elles puissent atteindre le sexe de leur partenaire. La fleur d’Iriya est embrassée sur toute sa surface, son mignon clitoris est aspiré un moment. Avant que la bouche végétale se plaques sur ses lèvres intimes et qu’une langue s’immisce lentement dans sa vulve, puis dans son vagin toujours plus profondément. Butinant comme un papillon se régalant d’une fleur, une vrille vient également titiller le petit œillet brun.

"-Régale-toi. Le biberon est tout à toi."

Akita a rarement eu l’occasion de ressentir son corps être traité d’aussi belle manière. Cet étrange être félin a une expérience très développée et un réel talent pour l’étreinte. Dans le but de récompenser les attentions de sa féline amante, deux paires de bras supplémentaires poussent sur la femme-plante. Les lèvres vertes se retirent lentement de celles intimes dont elle se délecter et propulse un souffle d’air entre les fesses. Le souffle vient heurter l’œillet. Puis les lèvres se font voyageuses et viennent embrasser les globes fessier rebondies. Elles n’épargnent aucune parcelle d’épiderme se rapprochant de l’œillet sans jamais le toucher. Puis un doigt fin vient titiller l’orifice strié, il en fait très lentement le tour, puis vient appuyer dessus. Il finit par le perforer et commence de doux mouvements de va et vient, remuant de temps à autre.

Tandis que ses lèvres reviennent prendre leur place sur le sexe félin, une de ses mains vient se saisir délicatement de la base de la queue féline et vient la masser. Ses lèvres, ayant retrouver leur position originel, viennent aspirer les pétales de la fleur intime, après qu’une langue mutine les aient caressées. Et tandis que les lèvres délaissent la vulve, des doigts fins et délicats viennent prendre le relais des caresses. Les lèvres viennent aspirer le bourgeon dressé avec gourmandise. La langue, restée en retrait, revient à la charge et après un passage, aussi bref qu’intense, sur toute la longueur de la fleur. Elle plonge au cœur de celle-ci. Chacun de ses mouvements la fait grandir, la plongeant de plus en plus profondément dans sa grotte de plaisir pour atteindre l’entrée de son nid d’amour. Deux mains viennent se saisir délicatement de la poitrine de la féline créature et viennent masser les seins. Au creux de leurs paumes, des orifices ressemblant à des bouches se créent et viennent aspirer les sommets des douces collines. Tout ces mouvements sont fait très lentement, malgré le plaisir qu’elle ressent et celui qu’elle veut offrir

Comme derniers cadeaux, ses jambes s’écartent dévoilant son intimité féminine brillante et luisante. Son membre viril offre un soupçon de sa semence végétale.