Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Entretien d'embauche avec un vampire [Lissandre Verrières]

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Lissandre Verrières

Humain(e)

Re : Entretien d'embauche avec un vampire [Lissandre Verrières]

Réponse 15 dimanche 07 juin 2020, 18:33:34

C’était vrai. La serveuse était comme hypnotisée par Hadrian. Malgré les appels de ses collègues et une remontrance de son chef, ses yeux revenaient toujours sur Hadrian. Certes, il était beau mais il était beau à ce point-là ? Lissandre décida alors de prendre un petit moment pour l’observer. Elle remarqua qu’il semblait plus jeune qu’elle avait cru. Etrange. Peut-être qu’elle s’était trompée parce qu’il était le chef de la compagnie qui venait de l’embaucher à l’essai ? Ce devait être ça. On avait tendance à penser, et c’était somme toute une évolution logique, que ce soit des « vieux » à la tête de tout.

« Merci, merci et merci. »

Un remerciement pour chacun des trois compliments qu’il lui avait faits. Du moins, elle les prenait comme telle. Le doute pouvant être là concernant le dernier. A savoir qu’elle était une « fonceuse ».

« Quant à me séduire ? Ne serait-ce pas là un jeu dangereux entre une employée et son patron ? »

Lui souriant malicieusement, le pied de Lissandre vint effleurer la jambe d’Hadrian. Pas un moment, elle ne pensa à la séduction avec sérieux. Elle cherchait plutôt à jouer, à être amicale et chaleureuse. L’objectif était également de tester les limites. Après tout, Lissandre n’était pas complètement une adulte. Elle avait toujours cet esprit enfantin et, pour ce coup-ci, cette envie de rébellion qu’on possédait à l’adolescence.

« Je dirais même que ça ressemblerait à un scénario typique de film X, qu’en dites-vous ? »

Aussitôt que les mots étaient sortis de sa bouche, elle avait récupéré l’idée et l’injectait déjà dans le film qu’elle préparait. Elle imaginait un scénario conduit par deux fils rouges parallèle. L’un suivant les prisonniers qui devaient faire des choix de mort et d’amour. L’autre qui suivait les chefs, les têtes pensantes derrière ce jeu horrible. Dans ce scénario, il était totalement possible qu’à côté de graves décisions qui implémenteraient des moments dramatiques ; qu’il était possible qu’une secrétaire à gros seins cherche à séduire son chef. Chef qui, sous prétexte qu’il abdiquait face à sa volonté et sa persistance à demander, la laisserait passer sous le bureau pour une première fellation. Bien entendu, ce serait un mouvement stratégique. Une façon de la manipuler et de récupérer des informations.

Ses yeux s’étaient levés vers le plafond. Signe qu’elle réfléchissait. Si Hadrian –ou la serveuse- avait tenté de lui parler. Elle n’avait rien entendu.

*Mais est-ce que ça ne serait pas trop compliqué de jouer sur deux tableaux à la fois ? Sauf si ces deux tableaux ne durent pas si longtemps ? Peut-être que la secrétaire aux gros seins pourrait apparaitre dans l’épisode deux ou trois ? *

Sans trop y penser, sa main alla à sa coupe de sake. Elle la porta à ses lèvres et c’est à ce moment qu’elle « s’éveilla ».

*Non ! Fais attention, Lissandre ! Pas trop de sake ce soir, ma grande. *

« Pardon. Je réfléchissais à notre film. Je crois que je suis parti loin. »

Elle sourit pour mieux faire passer son excuse. Mais ce n’était pas un sourire pour adoucir la relation. Il était réel.

« Hum, j’ai raté quelque chose ? »

Hadrian Kensley

Créature

"Quant à me séduire ? Ne serait-ce pas là un jeu dangereux entre une employée et son patron ? Je dirais même que ça ressemblerait à un scénario typique de film X, qu’en dites-vous ?
-Mhm, approuva le vampire en prenant une autre gorgée de saké.

Sentant le pied de Lissandre effleurer sa jambe, le vampire eut comme un petit rire mental devant ce comportement. En bon camarade de jeu, le vampire se permit de laisser son propre pied remonter le long du mollet couvert de latex de la jeune femme jusqu'à la mi-cuisse, mais se retira aussi prestement. Hadrian n'était rien sinon un bon partenaire de jeu.

-Je dirais même qu'il s'agirait d'un cliché et…

Voyant que la jeune femme était partie en pleine pensée, le vampire y trouva le meilleur moment pour s'éclipser quelques minutes et s'excusa, sous prétexte de devoir emprunter les cabinets. Il regarda alors la serveuse et lui fit un petit signe discret de la tête, l'invitant à le suivre, ce qu'elle fit sans grand égard pour son poste. Il ne la laisserait certainement pas perdre son moyen de subsistance, surtout qu'elle allait bientôt devoir manger un peu plus qu'à l'habitude. En digne grand restaurant, les salles de toilettes étaient complètement indépendantes les unes des autres, et d'une propreté irréprochable. Dès qu'ils furent seuls, la jeune serveuse se jeta dans les bras du vampire, comme si elle ne demandait qu'à se faire agresser. Tel était l'effet monstre que le vampire avait sur les humains normaux. Fiou. Il était sur le point de croire qu'il avait perdu les talents des Ventrues. La jeune femme glissa rapidement sa main dans le pantalon du vampire, avant de prestement retirer le sien. Sans attendre un instant, le vampire lui donna ce qu'elle réclamait et la prit là, maintenant, dans les toilettes de son bureau, et alors qu'elle approchait de l'orgasme, le vampire en profita pour enfoncer délicatement ses crocs dans la nuque de sa victime et, sans hésitation, s'abreuva de son sang à grande gorgées, ne la relâchant qu'une fois avoir drainé suffisamment du liquide de vie pour refaire ses réserves, mais sans mettre la vie de la jeune femme en danger.

L'esprit humain ne pouvait pas vraiment comprendre ce qu'était le Baiser. Un humain lambda ne verrait probablement rien de plus qu'un baiser prolongé, voir un suçon, car la plupart des vampires étaient très habiles à cacher leurs crocs, surtout que rien ne forçait un de ses semblables à s'abreuver au cou. C'était simplement la méthode la plus classique et la plus rapide de se satisfaire. Dans le cas d'Hadrian, sa méthode favorite pour les femmes était de leur entailler discrètement la langue avec les dents et de boire tranquillement au fur des baisers. Enfin, pas cette fois; là, il avait besoin de se faire tout ça rapidement. Pour la jeune femme, ce baiser lui accordait la même sensation de pure extase que le plus puissant des orgasmes qu'elle n'eut jamais connus. Il y avait une raison pourquoi certains devenaient parfaitement accrocs au baiser; son effet était si exaltant et si puissant qu'ils en devenaient dépendants. Enfin, ça, c'était quand le vampire leur accordait le droit de se souvenir de cette rencontre. La plupart du temps, comme dans cette situation très précise, la jeune femme se rappellerait un baiser au cou, d'une baise soudaine et intense, mais ni du visage de son amant ni de cette morsure.

Une fois satisfait, Hadrian lécha la blessure pour s'assurer de ne laisser aucune trace et s'excusa pour la culotte de la jeune femme; celle-ci semblait avoir mystérieusement disparu. Un petit tour de passe-passe; en fait, elle était simplement dans la poubelle. Malgré son manque d'expression et son esprit analytique, il n'était pas détaché de son humanité au point de manquer une opportunité de faire preuve d'espièglerie.

Il retourna donc dans la salle à manger pour y trouver sa compagne, à peine remise de son voyage au pays des rêves éveillés. Elle demanda alors si elle avait raté quelque chose, et le Cainite étira un sourire rassurant.

"Non non. Je crois que notre serveuse a eu un malaise. Notre nourriture ne devrait pas… oh, la voilà."

Et comme il parlait, un homme s'approcha et déposa prestement la nourriture devant les deux clients, avant de s'en aller rapidement, évitant à tout prix de regarder la jeune femme; décidément, le latex ne le laissait pas indifférent.

Le vampire entama donc son repas, non sans une certaine tension au niveau de ce qui restait de son 'estomac'. Il eut, un moment, une prière, alors qu'il faisait entrer dans sa bouche ces immondices que les humains appelaient 'nourriture'. Certes, il fut humain, à une époque, et il aurait probablement adoré ce qu'il venait de mettre dans sa bouche et se forcer à avaler, mais en tant que vampire, le seigneur de la nuit trouvait que ce goût était immonde comparativement au délice qu'était le sang. Pour chaque vampire, le sang était le pinacle de la cuisine, son goût variant selon le vampire pour représenter ce qu'il aimerait le plus au monde, ne serait-ce que pour le motiver à se nourrir même si certains trouvaient le simple geste de se nourrir d'un être vivant parfaitement insupportable.

Pour être honnête, le vampire n'avait aucune affection pour le genre humain en soi. Les humains, comme les vampires, étaient des créatures capables des plus grands vices et des plus grandes réussites, mais comme le monde ne s'intéressait pas aux bienfaiteurs et que le bien était rarement payant, la plupart se tournaient vers le crime, la drogue, la violence. Le monde, tel que le vampire le voyait, n'était pas aussi rose et joyeux que le latex qui couvrait la peau de sa partenaire. C'était un monde sombre, où chaque geste pourrait causer un incident qui, plus tard, causerait la mort de plusieurs innocents.

Enfin. Tout cela était bien loin des pensées du Cainite.

Après s'être gavé, faute d'un meilleur terme pour décrire cet effort surhumain pour absorber cette nourriture abjecte, le vampire leva la tête vers sa compagne pour voir si elle appréciait son repas.

"Sinon, vous sembliez avoir une idée. Je peux vous aider? À la rigueur vous inspirer?"

Il dit la dernière phrase avec un sourire mi-provocateur, mi-sincère.

Lissandre Verrières

Humain(e)

Avec surprise, Lissandre avait apprécié le ramen-burger. Elle se disait que c’était probablement parce que cette nuit était spéciale. Dans quelques jours, ces mêmes expériences auraient perdu de leur saveur unique. Mais ce n’était pas grave. C’était ça vivre une vie. Il fallait profiter des nouvelles rencontres et des moments éphémères.

« Oui, j’ai eu une idée. Mais je me demande si je devrais la partager avec vous. »

Pour reprendre le jeu d’avant le repas, elle fit de nouveau glisser son pied sur la jambe du vampire. Accompagné bien sûr d’un sourire joueur et espiègle.

« Je me demande car vous pourriez imaginer des choses. Il se pourrait qu’elles soient totalement fausses. Mais il se pourrait aussi que j’en ai envie. Pour être sincère, j’hésite encore mais il est évident que je ne suis pas aveugle à votre charme. »

Elle prit un moment pour réfléchir. Moment qu’elle accompagna d’une nouvelle coupe de sake. Elle se rendit compte que la chaleur avait un peu augmentée dans la pièce. Ce devait probablement être à cause des nouveaux groupes venus et des plats chauds. Mais ça pouvait également être le signal que l’alcool commençait à faire effet.

*Peu importe. Il faut que je profite du moment. Puis, du moment que je n’ai pas envie de faire pipi. C’est que ça va encore ! *

« Je vais essayer d’être claire. Mais je pense que je vais encore digresser et partir dans un petit monologue. Désolé d’avance ! »

Elle sourit et rebut une nouvelle coupe de sake. Est-ce que c’était elle qui s’était resservie ? Elle ne se souvenait plus. Ce devait être un nouveau signe. Lissandre devait arrêter de boire ces petits « apéros » de quelques centilitres. Ils paraissaient inoffensifs mais commençaient à être diablement efficace !

« L’idée est de jouer sur un double fil rouge. D’un côté les participants enfermés dans un bâtiment mystérieux, mortel et emménagé pour les choses du sexe. Une sorte d’achitecture fantasmée ? Peut-être. Tiens ! Ça me donne une autre idée. On pourrait également jouer avec les réseaux sociaux. On créerait un groupe de travail entre les créateurs de décors et l’équipe marketing. Le but serait de dialoguer avec le public et de faire en sorte qu’il ait un pouvoir décisionnaire. Par exemple : leur demander s’il préférerait une salle BDSM ou plutôt une salle licorne ? Mais ce n’était pas ça ma première idée. Ma première idée était de jouer sur un double scénario. Un premier centré sur les participants et un deuxième sur les chefs. Probablement des étages plus hauts que les participants. De riches hommes et femmes tous habillés de costumes et de robes très chères. Ils joueraient avec la vie des participants. Une sorte de chasse 2.0. En somme, si les participants représentent le film basique de pornographie. Les chefs permettraient d’incorporer un cinéma bien écrit. A la Inception peut-être ? Peut-être. »

Les sourcils se froncèrent. Où était passée la serveuse qui faisait de l’œil à Hadrian ? Elle haussa les épaules. Elle se fichait éperdument de cette serveuse, dans le fond. Ce n’était qu’une péripétie secondaire dans l’histoire de sa vie. Bon, revenir à la discussion entre les deux héros. Levant les yeux en l’air, Lissandre réfléchit une nouvelle fois à ce qu’elle avait dit. Elle avait oublié une partie. Donc elle rebraqua ses yeux sur Hadrian et poursuivit :

« Dans tous bureaux de riches, il y a forcément des secrétaires pour les tâches fastidieuses et administratives. L’idée serait que ces personnes seraient le liant entre la trame des participants et la trame des chefs. Mais… Peut-être devrions-nous aller dans les toilettes pour que je vous explique plus en détail ? »

*Attends, attends, attends. Qu’est-ce que tu es train de dire là, ma grande ? Tu veux aller aux toilettes pour faire pipi ? Tu cherches à culbuter ton nouveau patron ? Ou tu veux vraiment parler brainstorming dans les toilettes d’un restaurant au trentième étage ? *

Il y eut un moment de flottement dans le regard de Lissandre. Elle haussa ensuite les épaules. Puis son sourire revint en même temps qu’elle écoutait Hadrian.

Hadrian Kensley

Créature

Re : Entretien d'embauche avec un vampire [Lissandre Verrières]

Réponse 18 mercredi 10 juin 2020, 07:33:25

"Oui, j’ai eu une idée. Mais je me demande si je devrais la partager avec vous."
-Ah? Et pourquoi donc?"

Il sentit le pied de la jeune femme venir taquiner sa jambe, démontrant que la première fois n'était pas un accident, et qu'elle était réceptive à son propre jeu. Il n'était plus complètement humain, donc certaines subtilités avaient besoin d'être un peu moins subtile pour qu'il en capte la portée.

"Je me demande car vous pourriez imaginer des choses. Il se pourrait qu’elles soient totalement fausses. Mais il se pourrait aussi que j’en ai envie. Pour être sincère, j’hésite encore mais il est évident que je ne suis pas aveugle à votre charme."

Au moins, elle était directe… enfin, beaucoup plus directe que ce dont il avait l'habitude. La plupart des femmes qui avaient le malheur d'expérimenter son pouvoir avaient deux options; soient embrasser complètement leur pulsion soudaine et inexpliquée ou les refouler de toutes leurs forces. Dans le cas de Lissandre, elle ne semblait tomber dans aucune des catégories, car elle ne lui avait pas arraché ses vêtements dans le bureau, et elle semblait encore contrôler ses sens et ses réponses.

D'autant plus qu'elle se lança de nouveau dans un long discours, parlant d'une trame double, et en bon supérieur, il l'écouta avec grande patience, car Hadrian n'était rien s'il n'était pas au moins un bon chef, et les bons chefs, ils écoutaient quand leurs subordonnés, surtout quand, comme lui, ils allaient devoir investir du temps et de l'argent dans leurs projets, et que s'il ignorait la jeune femme, il pourrait, éventuellement, perdre son intérêt, et il n'était pas bon pour lui de laisser ce genre de choses arriver; cela menait rapidement à de la dissatisfaction et, éventuellement, la fin de toute coopération.

Cependant, il restait que Lissandre semblait prise d'une soudaine envie et lui offrit de poursuivre la conversation dans les toilettes. Il crut, pendant un court instant, qu'elle avait flairé la combine; qu'elle avait compris qu'il était arrivé quelque chose à la serveuse et qu'il n'avait pas été assez prudent, mais il chassa rapidement cette pensée de son esprit. Non, se dit-il, il y avait de multiples raisons pour lesquels la serveuse aurait pris une pause, quitte à se faire relayer par un autre employé. Après tout, elle aurait très bien pu être viré.

Du coup, il n'était pas complètement sûr quelle envie dévorait ainsi la jeune femme; l'envie d'utiliser les toilettes, l'envie de parler en toute intimité ou celle qu'elle semblait garder dans un coin de sa tête, comme une obsession qui tardait à germer dans son esprit. Et puis, ce serait le moment idéal pour au moins s'assurer de sa loyauté. Il n'avait pas besoin de beaucoup de temps, après tout.

Il se releva lentement de son siège, puis offrit à la jeune demoiselle un sourire amical, avant de lui offrir galamment une main pour l'aider à se lever. Il déposa l'argent de la commande sur la table, sans même attendre la facture; il savait calculer mieux que n'importe quel humain ou machine, donc il savait exactement combien il devait donner, incluant un généreux pourboire pour le serveur.

Le Tremere escorta donc la jeune femme vers la salle de bain, non sans forcer d'un regard un nombre de personnes à détourner les yeux et oublier la vue; bien qu'il se mêle régulièrement à la haute société pour diverses raisons, il n'aimait pas nécessairement l'attention, et il consacrait énormément de ses ressources pour éviter scandales et infiltrations dans toutes les sphères de sa vie, hormis dans son domicile; sa fille savait exactement quoi faire des intrus qui n'avaient pas une invitation officielle, et comme il n'oubliait jamais de la prévenir, chaque visiteur imprévu était à risque de finir dans l'estomac de la petite vampirette, et son corps serait retrouvé quelques années plus tard, voire jamais, au fond d'une rivière.

Une fois dans les toilettes, évitant bien sûr de s'enfermer dans celle avec la jeune servante encore en train de se remettre de ses émotions et de ses pulsions, il regarda la jeune femme et lui étira un sourire.

"Alors, je vous écoute."

Lissandre Verrières

Humain(e)

Elle était dans les toilettes en face d’Hadrian. Même maintenant, elle ne savait toujours pas exactement pourquoi elle avait fait cette demande. Son corps et son esprit étaient pris en tenaille par plusieurs pulsions. Elle ne savait quoi choisir !

Lissandre fit quelques pas audacieux pour se coller contre le corps d’Hadrian. Son corps menu enrobée de latex rose et moulant. Elle était plus petite que lui et elle leva donc la tête pour essayer de le regarder dans les yeux. Ses bras commencèrent à se lever pour se poser contre les joues de son chef. Puis elle retint son mouvement.

*Qu’est-ce que tu fais, Lissandre ?! C’est ton chef !! *

Elle posa ses mains contre ses propres joues. Ses yeux étaient toujours dans ceux de son chef. Sans s’en rendre compte, elle bougeait ses lèvres. Ses lèvres cherchaient à se coller, à se mélanger avec celles d’Hadrian. Alors elle se hissa sur ses doigts de pied.

*Courage, ma grande ! *

Elle prit son courage à deux mains. Ses mêmes mains qui se posèrent finalement sur le torse de l’homme. Et elle alla l’embrasser.

Mais est-ce qu’il lui répondrait ? Est-ce que c’était ça qu’il voulait, lui aussi ? Ca n’allait pas. C’était le chaos dans ses pensées. Lissandre se mettait à trop réfléchir. Elle devait embrasser l’instant. Elle devait profiter du présent. Alors elle délaissa le torse de l’homme pour se poser sur les deux petites bosses qui déformaient les effets de lumière de son latex. Ses mains caressèrent sa poitrine. Ses tétons durcissaient et produisaient deux petites bosses bien visibles.

« Je- je ne sais pas ce qui m’a pris. Ca a été plus fort que moi. »

Une idée lui traversa l’esprit. Elle pouvait se raccrocher à son scénario. Elle pouvait utiliser sa dernière idée à son avantage.

Prenant un air plus sérieux, elle redevint la directrice qui expliquait ses idées à son chef.

« Voilà ce que pourrait donner une scène avec cette double trame. Dans ce cas, j’aurai joué la secrétaire nympho et vous le très beau chef puissant régnant d’une main de maître sur ce jeu où se mélange la mort et surtout l’amour. »

Son corps semblait traiter toutes les pulsions les unes après les autres. Peut-être une façon de mettre les choses aux claires ? De les appliquer dans la réalité et de découvrir ainsi celle ou celles qui faisaient le plus envie à Lissandre. Donc, après le baiser. L’explication de son scénario. Venait maintenant la pulsion de son corps.

« Je suis vraiment désolé mais j’ai bu trop de sake. »

Lissandre se posta juste au-dessus de la cuvette des toilettes. Elle ouvrit la fermeture éclair qui permettait d’accéder à ses lèvres intimes et son fondement. Elle s’assit et son visage exprimait les débuts d’un plaisir anticipé. Quand soudainement elle se rendit compte qu’Hadrian était à côté d’elle. Elle releva alors les yeux et chercha son approbation dans son regard. Elle crut bon de rajouter :

« Ca vous dérange si je- Hum… Enfin vous voyez ? »

Hadrian Kensley

Créature

Re : Entretien d'embauche avec un vampire [Lissandre Verrières]

Réponse 20 vendredi 12 juin 2020, 21:42:52

La patience était un jeu auquel Hadrian était rompu et un avide pratiquant; il ne faisait que rarement les choses en se pressant, parce que cela laissait place à l'erreur. L'entièreté de sa non-vie, jusqu'à un certain degré, avait été planifié et judicieusement préparé, que ce soit par lui ou par son mentor, bien que ce dernier s'imaginât assurément qu'il en ferait partie, avant que la folie ne consume son esprit et qu'il ne devienne qu'un mauvais souvenir. Parfois, dans ce grand plan qu'il avait préparé pour lui-même, il y avait de petits espaces libres où il pouvait insérer des paramètres variables, aléatoires, encore à découvrir, pour éliminer la monotonie de la non-vie. Et en ce moment, Lissandre était un de ces paramètres.

Les voilà dans la salle de bain. Peut-être même la même dans laquelle il avait fait eu son déjeuner un peu plus tôt. Et elle se jetait contre lui, posant ses lèvres de jeune femme contre les siennes. Elle semblait encore timide, incertaine, donc le Vampire glissa ses mains sur la peau de latex, partant de ses flancs jusqu'à ses hanches puis elles se refermèrent sur les fesses 'nues' de l'amatrice de latex.

Le vampire n'avait pas vraiment de gêne, et il devait admettre qu'il serait normal pour un homme, surtout un humain, de se sentir excité par la situation, aussi inopinée soit-elle. Les mains expérimentèrent le latex, malaxant les fesses de la jeune directrice sans montrer trop de vigueur.

Une main quitta alors les fesses pour remonter, sans briser le contact avec cette seconde peau, et caresser la poitrine aux tétons si visibles à travers le matériau moulant. La main massa doucement la poitrine, et pinça délicatement le téton durci, alors que le vampire pressait le corps de la jeune femme contre le sien.

"Eh bien, ce serait bien la première fois que je laisse ma secrétaire me trainer dans les toilettes, dit-il sur un ton amusé. Normalement, c'est dans mon bureau."

Enfin, cela était un mensonge. Normalement, les secrétaires étaient hors de question. Lissandre était une exception, dans le sens où l'essentiel de son travail était de créer des scénarios axés sur l'érotisme, peut-être même la perversion qui se cachait dans la nature humaine, et de fait, le fantasme de la baise dans les toilettes restait un classique, sinon un peu cliché, mais qui avait aussi son intérêt, car les participants pourraient risqué d'être surpris à tout moment, justifiant qu'ils se dépêchent ou, au contraire, qu'ils fassent durer le plaisir alors qu'un visiteur s'aventurait dans le cabinet d'à côté.

C'est alors que, soudainement, la jeune femme se prit d'un élan de la nature qui lui rappela son besoin d'utiliser les toilettes. Ah, ces humains et leurs besoins de base. Toujours prêt à mettre en pause toute tentative d'érotisme. Mais après, était-ce bien grave? Surement pas. Le Vampire la laissa donc prendre place sur la cuvette, se tenant bien droit devant elle. Elle lui demanda s'il serait dérangé. Il la regarda, de cette position de puissance, avant de se pencher sur elle.

"Vous pouvez vous sentir tout à fait à l'aise."

Et il se redressa devant elle, et alors qu'elle se relâchait et urinait dans ce son si bruyant et distinctif, l'homme restait bien droit. Était-il amateur de ce genre de choses? Pas nécessairement. Est-ce que cela allait l'empêcher de faire genre? Pas du tout. Alors que sa jolie compagne vidait sa vessie, le vampire restait calme, à l'observer sans vergogne ou gêne. Devant elle, il manifestait une érection naissante dans son pantalon, formant une bosse conséquente. Sans être armé de ces verges massives que l'on pouvait percevoir dans les hentai ou dans certains films érotiques qui offraient au public ces gens aux membres disproportionnés, le sexe d'Hadrian convenait parfaitement à sa taille.

Enfin, tout cela restait tout de même à découvrir pour la jeune femme dont le latex ne laissait, pour sa part, que peu de place à l'imagination, pas que ce vampire aie grand chose à faire pour imaginer ce qui se trouvait en dessous de vêtements.

Lissandre Verrières

Humain(e)

Re : Entretien d'embauche avec un vampire [Lissandre Verrières]

Réponse 21 samedi 13 juin 2020, 19:47:50

Cette situation commençait à lui tourner la tête. En pleine conversation professionnelle avec son chef, mais assise sur un cabinet dans des toilettes. Elle était en train d’uriner à cause de toutes les coupes de sake et elle voyait très clairement, -c’était au niveau de ses yeux- que son chef avait une érection. Il y avait de quoi recevoir des signaux contradictoires.

*Que faire maintenant ? *

« Ca fait du bien. »

*Que c’est bateau comme remarque. Tu peux faire mieux que ça, Lissandre. Ressaisis-toi ! *

Elle ne sait pas quoi dire. Elle pose alors ses mains sur les hanches de son chef.

*Mais que faire après ? *

Lissandre est perdue. Son esprit est en conflit entre la femme qui a des besoins et la femme qui veut travailler pour sa carrière.

*Fuck Lissandre. Fuck ! *

Ses mains décident alors de trouver le chemin de la ceinture de son chef. Retirer la sangle de la ceinture. Déboutonner le pantalon. Le faire baisser sur ses jambes et n’avoir plus qu’un sous-vêtement bien tendu sous l’effet de l’érection.

*Au moins, je lui fais de l’effet. Hi hi ! *

Ses mains remontent après avoir lâché le pantalon. Elle agrippe les bords du sous-vêtement et ose lever la tête pour regarder le visage d’Hadrian. Elle se demande quelle expression il a. Mais elle ne le regarde pas longtemps. En cet instant, ses narines sentent l’odeur de l’excitation. Ses yeux voient le membre gonflé. Son corps mouille à l’idée de ce qui va se dérouler dans ses toilettes, si proche d’un public en train de manger son dîner.

Ses mains baissent le sous-vêtement et le membre se tend face à elle.

*Qu’il est beau ! *

Sa main glisse sur sa cuisse. Elle remonte vers son sexe et glisse dessus. Puis elle revient à la base et commence quelques mouvements d’aller-retour.

Mais elle doit savoir quel goût il a. Alors elle approche ses lèvres. Elle dépose un baiser sur son gland, regarde Hadrian et lui fait un clin d’œil. Puis elle se concentre de nouveau sur son sexe et commence une fellation en bonne et due forme.

Elle arrête et regarde à nouveau Hadrian.

« Il y aura beaucoup moins à enlever si vous souhaitez me faire la même chose. Je ne porte jamais de sous-vêtements en-dessous ma combinaison de latex rose. Ça crée des plis pas esthétiques. Donc, si vous souhaitez me faire le même plaisir, il y aura juste une fermeture éclair à ouvrir. »

Après un sourire mutin, elle retourne poser ses lèvres sur le sexe dur de son chef. Et elle fait des mouvements de va-et-vient. Pour le moment, ce n’est pas une fellation profonde à provoquer des toussotements et de grandes coulées de bave.

Hadrian Kensley

Créature

Re : Entretien d'embauche avec un vampire [Lissandre Verrières]

Réponse 22 samedi 13 juin 2020, 20:47:56

'Est-ce que les vampires peuvent ressentir de l'excitation sexuelle?' Ce serait assurément une excellente question. La réponse était oui, ils le pouvaient. En fait, ils pouvaient avoir n'importe quelle fonction vitale, mais contrairement aux humains, en raison de l'extase procuré par le Baiser, ils n'atteignaient pas vraiment l'orgasme. Surtout les femmes vampires qui devaient trouver une manière ou une autre de mêler du lubrifiant dans cette histoire. Dans le cas des hommes, tout simplement, ils n'atteignaient par l'orgasme, simplement parce que comme tous leurs fluides étaient remplacés par du sang, certaines femmes, ou hommes, pourraient être franchement et justement paniqués à la vue de ce liquide jaillissant de leurs orifices.

Enfin, après, Hadrian était non seulement un vampire, un suceur de sang, un homme d'affaire, mais il était également un formidable acteur. Il était simple pour un vampire de manipuler le sang dans son propre corps, aussi s'empressa-t-il de rediriger le sang vers son sexe lorsque la jeune femme s'affaire sur son pantalon; après tout, elle se présentait ainsi devant lui, désirable à souhait, et le baignait de sous-entendus et de promesses depuis leur rencontre, il aurait donc été très impoli pour un homme normal de ne pas au moins bander fermement.

Comme il ne suait pas, qu'il ne produisait aucune odeur notable, peut-être que la jeune femme trouverait surprenant qu'il n'ait pas une odeur plus prononcée, ne serait-ce que parce qu'il portait un pantalon toute la journée. Ou alors, tout simplement, Hadrian se disait qu'elle croirait qu'il avait simplement une hygiène irréprochable, ce qu'il avait, et qu'il avait peut-être pris une douche au bureau. C'était commun, après tout, d'avoir une salle de bain privée au travail lorsqu'on était PDG… enfin, non, mais ca ne surprendrait personne, en tout cas.

Lorsque Lissandre débuta sa fellation, le Vampire étira un sourire pour elle, la regardant dans ces jolis yeux, posant sa main sur la nuque de la jeune femme pour lui montrer un peu le "plaisir" qu'il prenait à sa fellation. S'il jouait la comédie ou non, il y était tellement habitué que cela ne devait pas ressembler à grand-chose. Cependant, les hommes aimaient se faire sucer, donc, Hadrian agissait exactement en accord avec ce principe, sans exagérer, bien sûr.

Elle recula alors un moment pour l'informer qu'elle ne portait aucune culotte et lui expliquer le fonctionnement de sa combinaison de latex, s'attirant un nouveau sourire amusé de son partenaire; il savait comment cela fonctionnait. Si seulement elle savait à quel point il était plus âgé qu'elle. Il la laissa s'amuser quelques instants avec son membre, avant d'y mettre fin à son tour.

"Eh bien, à une telle invitation…"

Il la tourna dos à lui, avant de poser une main sur sa nuque et la pousser doucement, sans violence, pour l'emmener à se pencher et à arquer le dos, afin de relever ses fesses, avant que le vampire ne glisse ses grandes mains sur les seins de la jeune adulte, massant sa poitrine à travers le latex, puis il se mit à genoux derrière elle, lui écartant bien les jambes. Il fit lentement glisser la fermeture éclaire pour l'ouvrir jusqu'à dévoiler son intimité et son bijou d'anus. Sans la faire trop patienter, il glissa sa langue sur son intimité offerte, caressant ses grandes lèvres et son clitoris. Les mains du vampire malaxèrent, entretemps, ses jolies fesses charnues, avant de taquiner son anus en tirant légèrement sur le bijou, puis le faisant remuer en elle. Ca lui apprendra à en porter un.

Lissandre Verrières

Humain(e)

Hadrian avait beau être un puissant homme d’affaire, il n’en restait pas moins un amant sachant prendre son temps. La façon dont il orientait son corps. La douceur de ses gestes. Lissandre était conquise. Elle s’attendait tellement à quelque chose de « sale » étant donné qu’ils étaient dans des toilettes.

*Mais je préfère ça. Puis, faut dire que ce ne sont pas des toilettes de F1. *

Il embrassait maintenant ses lèvres intimes de sa langue. Ce devait être la situation spéciale mais Lissandre ressentait déjà des frissons d’excitation. Alors, quand Hadrian commença à la titiller avec son bijou d’anus…

« Mais. Normalement, c’est moi qui joues avec et qui met mon partenaire au supplice. Mmm ! »

Sa main alla se poser sur celle d’Hadrian qui jouait avec son bijou d’anus. Ces gestes étaient contradictoires, comme si elle essayait de lui enlever la main alors que ce qu’elle désirait vraiment était qu’il joue encore plus passionnément avec.

« Tu sais quoi, j’aimerai bien te voir. »

D’un mouvement souple, Lissandre glissa sur le ventre et se redressa. Ce qui eut pour effet de ramener ses fesses au niveau du sol et sa tête dans les airs. Elle se retourna alors en croisant les jambes par-dessus la tête d’Hadrian avant de les reposer.

Puis elle les ouvrit de nouveau pour lui montrer ses lèvres humides et son trou dilaté. Avant de refermer les jambes en lui faisant un clin d’œil.

« Dans mon scénario, je pense que je me lèverais et que je laisserais le chef sur sa faim. Ce serait une bonne façon de terminer un épisode. Un cliffhanger annonçant un retour de la belle secrétaire pour finir sa partie de jambe en l’air. Ou alors peut-être la colère violente du chef à l’égo rudoyé. Hmm… Je ne sais pas ce que je choisirai. »

En faisant semblant de réfléchir, Lissandre ouvrit de nouveau les jambes pour jouer avec ce qu’elle pouvait exhiber. Ce qu’elle pouvait mettre hors de portée des mains et de la langue d’Hadrian.

« Mais étant donné que ce n’est pas un scénario et qu’on parle de mes désirs. Je crois que j’aimerai bien vous voir assis sur la cuvette pour que je puisse vous grimper dessus. Je pourrai ainsi voir votre visage pendant que je monterais puis descendrais. Monterais puis descendrais encore et encore sur votre queue. Qu’en dites-vous, cher patron ? »

Hadrian Kensley

Créature

"Normalement, c’est moi qui joues avec et qui met mon partenaire au supplice! Mmm !"
"Vous trouverez chez moi un homme qui n'aime pas simplement regarder, Lissandre."

Il continua donc de faire coulisser le bijou, le retirant presque à un instant, simplement pour mieux le renfoncer dans son petit trou, avant de recommencer, avec la patience typique des vampires; il n'était pas pressé, il avait tout le temps du monde pour la combler, ou la rendre folle. Lorsque leurs mains se joignirent, le vampire n'eut qu'un sourire, alors que d'un mouvement, il retira lentement l'objet de l'anus de sa compagne, puis le réinséra, dans un mouvement lent, répétitif mais bien embrasant pour cette jeune femme qui semblait, au final, bien apprécier.

Elle s'arracha bien vite à ses caresses, le laissant un peu perplexe dans ses mouvements, alors qu'elle lui expliquait encore ses idées de scénario. Définitivement, elle n'arrêtait jamais de faire travailler son cerveau, continuant de faire des comparatifs entre ce qu'ils faisaient en ce moment et ce qu'elle pourrait mettre dans sa série.

Comme à son habitude, le vampire ne lui opposa aucune critique, se contentant de l'écouter alors qu'elle se relançait elle-même sur le sujet. L'idée ne manquait pas d'un intérêt, mais il devait avouer qu'un homme normal, dans la situation qu'elle décrivait, ne pourrait retenir bien longtemps sa frustration s'il était laissé ainsi.

Elle avoua alors qu'elle préférait avoir un contact visuel à ce moment-là, et espérait que le vampire prendrait place sur la cuvette pour qu'elle puisse le chevaucher. L'idée était simple, si un peu inconfortable puisque le vampire détestait le symbolisme même de la cuvette, puisqu'un être aussi supérieur que lui-même ne s'en servait jamais car son corps n'éliminait plus les toxines et les déchets de sa nourriture; il ne consommait, après tout, que du sang.

Cependant, il était curieux de voir où l'esprit de la jeune femme allait le mener, donc, il se redressa lentement sur ses jambes. D'un geste de la main, il abaissa le couvert de la cuvette pour pouvoir s'asseoir dessus, sa verge pointant fierement vers le ciel, alors qu'il prenait la main de la jeune femme et la ramenait plus près.

Une fois installé, il glissa une main entre les cuisses de la jeune femme et, très lentement, retira son bijou d'anus, qu'il déposa calmement dans le lavabo à leur droite.

La main retourna alors à l'exploration de la jeune femme, l'attirant alors sur lui, en position assise, alors qu'une main glissée derrière elle profitait de l'espace qu'il laissait entre ses jambes pour venir caresser les fesses de Lissandre, venant bien vite insérer un doigt, puis un deuxième, dans son fondement, venant remplacer le sex-toy, ses lèvres venant chercher les siennes pour l'embrasser avec la fougue d'un amant passionné.

Comme elle semblait vouloir lui montrer ce don elle était capable, le vampire ne se montrait pas nécessairement contraignant ou contrôlant; elle avait encore ses propres envies, et il se demandait jusqu'où allait son esprit dépravé de jeune humaine.

Lissandre Verrières

Humain(e)

Re : Entretien d'embauche avec un vampire [Lissandre Verrières]

Réponse 25 samedi 20 juin 2020, 08:14:53

Hadrian est un homme avec des manières, de la patience et un esprit coquin. Lissandre l’aime de plus en plus son chef ! Actuellement, elle observe « son roi » sur « son trône » blanc immaculé. Même dans cette situation, elle le trouve charismatique. Comme quoi, peu importe le lieu quand on a l’allure.

Elle l’embrasse tandis qu’elle ressent ses doigts dans son fondement. Elle avait manqué d’avoir une réaction d’enfant à qui on prive de son jouet, mais les doigts d’Hadrian remplissait parfaitement leur rôle. Même plus étant donné qu’il y avait du mouvement et qu’il s’adaptait à ses micro-contractions.

*Cet homme est doué. Cet homme va me faire crier, c’est sûr ! *

Lissandre alla chercher la main d’Hadrian alors qu’elle n’avait toujours pas quitté ses lèvres. Sa main frôla celle à qui plusieurs doigts avaient disparu dans les ténèbres. Gentiment, elle lui demanda de faire revenir tout le monde à la lumière. Elle voulait sentir le vide. Elle voulait ressentir la perte d’être remplie juste pour être frustrée avant que quelque chose ne revienne.

Elle quitta ses lèvres et parla à côté de son oreille :

« Vous devriez garder vos deux mains. Vous pourriez vous en servir pour jouer avec ma combinaison ou pour me retenir si vous réussissez à me procurer du désir telle que j’en perdrais le contrôle de mon corps pendant quelques instants. »

Son visage revint devant celui du vampire, affichant un grand sourire mutin.

Cette même main qui était allée chercher la main d’Hadrian alla maintenant chercher sa hampe dressée. Une fois fait, elle glissa lentement pour que ses lèvres intimes embrassent sa verge. Ses lèvres qui ne firent que caresser son gland. Elle manque une ou deux fois de s’empaler dessus. Mais toujours elle remontait. En somme, elle se vengeait de ce qu’il lui avait fait avec son bijou d’anus.

*En parlant de mon bijou. Je devrais le récupérer pendant que j’y pense. Avec ma petite tête hyperactive, je serais bien capable de l’oublier ici : Hi hi ! *

Se redressant, elle étira sa main vers le lavabo. Elle ne voulait pas quitter Hadrian du regard et farfouillait donc comme une demi-aveugle. Inévitablement, sa main toucha le bijou d’anus mais lui donna une impulsion qui le fit rouler sur la faïence avant qu’elle ne tombe. Au bruit du choc, c’était dans la poubelle.

« Merde ! Pardon. Désolé. »

Elle quitta sa position et enjamba Hadrian pour aller chercher rapidement son bijou d’anus. Qu’elle surprise elle eut en découvrant une culotte sentant bon le sexe. Elle se releva et afficha les deux objets. Dans sa main gauche son bijou d’anus et dans sa main droite la culotte du précédent coït du vampire.

« Je crois que nous ne sommes pas les premiers ce soir à prendre du plaisir ici. Quelle coïncidence, n’est-ce pas ! Hi hi !

Lissandre revint auprès du vampire et l’enjamba pour se retrouver dans la même position qu’avant. Prête à s’empaler sur la verge du vampire.

« Dites, et si je vous confiais mon bijou que je mettais dans la poche de votre manteau ? Quant à cette culotte… Hmm : je me demande si elle serait jolie sur moi ? »

Hadrian Kensley

Créature

Re : Entretien d'embauche avec un vampire [Lissandre Verrières]

Réponse 26 dimanche 21 juin 2020, 01:26:11

"Vous devriez garder vos deux mains. Vous pourriez vous en servir pour jouer avec ma combinaison ou pour me retenir si vous réussissez à me procurer du désir telle que j’en perdrais le contrôle de mon corps pendant quelques instants.
-Est-ce un défi?

Le vampire ressentait une étrange stimulation malgré son naturel détaché et désinvolte; il adorait les défis, simplement parce que cela le poussait à aller un peu plus loin. Il était ainsi depuis des années, et même de son vivant, pendant ses jeunes années d'école, il ne se contentait pas seulement de réussir, il voulait écraser toutes les compétitions. Autant dans les sports qu'au niveau académique, Hadrian avait recherché à démontrer qu'aucun défi n'était au dessus de ses capacités. Cela ne voulait évidemment pas dire qu'il était parfait, bien au contraire; il n'avait jamais eu un grand nombre d'amis, et bien qu'il soit à l'aise socialement, il lui arrivait parfois de manquer de délicatesse.

La main de la jeune femme se referma sur son sexe bien tendu, et elle s'amusa à le narguer, frottant son gland gorgé de sang contre ses lèvres intimes, tournant autour du pot, probablement pour voir quelle réaction il aurait. Et comme Hadrian était bon joueur, il laissa sa respiration accélérer de quelque peu, comme pour montrer une impatience et une légère frustration bien contenue. Il se demanda si un homme normale se serait contenté de lui agripper les hanches et de l'empaler comme une brute sur sa verge ne serait-ce que pour la punir de jouer ainsi avec ses nerfs, mais il n'allait quand même pas se risquer à adopter un comportement qui pourrait être interprété comme de la violence.

Il ne put retenir un haussement des sourcils lorsqu'elle s'éloigna de lui pour aller récupérer son bijou. Elle revint relativement vite, en lui montrant une culotte. C'était celle de la serveuse. Eh bien. Finalement, il ne semblait pas avoir retenu quel était la toilette qu'il avait utilisé plus tôt, parce qu'il avait espéré éviter cela, mais Lissandre ne semblait pas le moins du monde inconfortable. Peut-être qu'elle n'avait toujours pas réalisé qu'il s'était absenté plus tôt. Elle lui demanda si elle pouvait ranger son bijou d'anus dans sa veste. Malgré son comportement un brin lascif, Hadrian portait un soin à son apparence et avait un profond respect pour ses habits. Cependant, il devait reconnaitre que la jeune femme n'avait pas les poches nécessaires pour le conserver. Il prit donc l'objet d'une main, avant de l'enrober du mouchoir qu'il portait toujours dans la poche de son veston, et il le rangea dans sa poche.

"Je ne suis pas sûr qu'il soit bien hygiénique pour vous de porter la culotte d'une étrangère, surtout si vous l'avez trouvé dans les poubelles d'une toilette plus ou moins publique, Lissandre."

Même dans cette situation, le vampire gardait une certaine raison, et il n'avait pas tort; il y avait nombres de maladies qui pouvaient être transmises si l'on portait la culotte de quelqu'un d'autre. Pas que la serveuse ait une maladie, mais même en ce cas, le vampire ne pouvait pas les porter ou les transmettre, mais cela restait que ses sous-vêtements le pouvaient, potentiellement, et qu'il était plutôt certain que la jeune femme n'était pas bête, et assurément pas assez pour enfiler quelque chose qui puisse la mettre en danger.

D'une main, le vampire lui enleva la culotte des mains et la mit sur le coin du lavabo, puis reporta son attention sur elle, ses doigts se glissant sur les cuisses de la jeune femme, ses hanches, puis il les posa sur ses fesses pour les masser au travers du latex, la manipulant doucement et frottant le gland de son membre contre l'entrée de son intimité, la menacant un moment de la prendre soudainement, mais il fit mine de se raviser, glissant ses doigts dans le dos de la jeune femme. Les doigts de la main droite du vampire s'emparèrent doucement de ses cheveux, et il lui fit balancer la tête vers l'arrière, l'autre main venant rouler le col de sa combinaison pour dévoiler son cou, et lentement, il vint lui mordiller et lui lécher le cou. Ses crocs s'enfoncèrent dans sa peau, sans la moindre douleur, faisant perler légèrement quelques gouttelettes de sang que le vampire lapa rapidement, faisant également disparaître les trous. Ce n'était pas le Baiser, à proprement parler, mais même s'il ne plantait pas ses dents dans sa nuque, il produisait toujours cette substance électrisante qui procurait un plaisir immense à sa victime. Ce n'était pas l'usage le plus traditionnel de ses capacités, mais qui allait lui dire ça? Sa main se posa alors de nouveau sur les hanches de la jeune femme et l'attira lentement contre son gland, lui-même cette fois réellement attisé; le sang avait cet effet très aphrodisiaque sur lui, et maintenant, il avait une envie folle de la baiser, et de goûter son sang de nouveau.

Lissandre Verrières

Humain(e)

Re : Entretien d'embauche avec un vampire [Lissandre Verrières]

Réponse 27 dimanche 21 juin 2020, 17:36:29

« Je n’en mets jamais des culottes de toute façon. »

Lissandre passait déjà à autre chose. L’histoire de la culotte n’avait été qu’une péripétie. Elle s’en fichait même carrément maintenant qu’Hadrian s’occupait d’elle en plusieurs endroits. Voilà que c’était lui jouait à caresser ses lèvres intimes de sa verge. En même temps, elle ressentait ses caresses à travers sa peau d’adoption. Elle adorait la matière, le bruit que ça faisait. Elle le portait si souvent que, quand un homme la caressait de cette façon, le latex redevenait une tenue de sexe et non une tenue de tous les jours.

Quand tout à coup le vampire se fit plus possessif. Elle ne pensait pas qu’il était du genre à lui tirer les cheveux en arrière mais… que ce baiser était bon. Comment pouvait-il embrasser de cette façon et mettre le feu dans son corps ? Voilà qu’elle avait une nouvelle envie de chevaucher Hadrian. Comme s’il y avait eu un déclic dans son corps. Les mains de son partenaire l’invitaient à s’empaler ? Aucun problème ! Elle y alla et commença à coulisser sur sa hampe.

« Vous commencez vraiment à me mettre dans tous mes états, monsieur le chef ! Hmm ! »

Elle posa ses mains en arrière, sur les jambes du vampire. Son corps était maintenant arqué. En appui, elle pouvait plus facilement glisser sur la verge. Elle était sujette à ses pulsions et ne prenait plus le temps de changer le rythme. Pour le moment, elle laissait ses pulsions parler et le rythme était rock n’ roll !

« Je pense que vous allez réussir à me faire perdre la tête. En fait, je vous mets carrément au défi de me faire perdre la tête ! »

Elle arrêta son mouvement de va-et-vient. En appui sur une main, profondément enfoncé sur sa verge, Lissandre vint caresser ses bourses. Mais elle n’avait pas envie d’y rester. Si elle s’était arrêtée de bouger, c’est parce qu’elle voulait revenir collée-serrée contre le vampire. Elle l’embrassa. Et alors qu’elle l’embrassait, elle recommença à bouger sur sa verge. Mais le rythme était plus lent. Après tout, elle faisait deux choses à la fois.

« N’hésitez pas à me tirer les cheveux à nouveau. Ça m’a fait quelque chose tout à l’heure. Je ne sais pas pourquoi mais ça a déclenché quelque chose. Tirez-moi les cheveux. Embrassez-moi. Restez dur et faites-moi tourner de l’œil, patron ! »

Hadrian Kensley

Créature

Au moins, elle n'était pas bien insistante sur le truc de la culotte, et elle avait commencé à se faire plaisir sur son membre, dans un rythme assez étrange et inconsistant, parfois lent, d'autres fois plus intense et vigoureux. Elle réitéra son défi, demandant qu'il lui fasse perdre la tête, et le vampire contint un sourire sinistre.

« Je pense que vous allez réussir à me faire perdre la tête. En fait, je vous mets carrément au défi de me faire perdre la tête !
-Judicieux choix de mot, mademoiselle Verrières.

Devant une telle provocation, il n'était pas dans ses habitudes de rester sans rien dire, et donc, il se fit un plaisir de répondre à ses attentes. Sans user d'un support, par la seule force de ses jambes, le vampire se releva en maintenant la jeune femme bien empalée sur sa verge, ses mains se glissant sous ses fesses et ouvrant bien largement l'ouverture de sa combinaison, retroussant la combinaison en remontant sur ses jambes jusqu'à ce que la jeune femme soit forcée de tenir les genoux fléchis dans une position qui la mettait facilement vulnérable.

Lui plaquant le dos contre le mur de dalles froides, les mains la soutenant par ses fesses désormais complètement nues, le vampire commença un rythme vigoureux de va-et-viens profonds et sans merci. Le membre du vampire, à son ordre, se gonfla davantage, gagnant encore un peu en longueur et en volume, ce qui lui permit d'entrer bien profondément en elle, heurtant de sa verge nue le col utérin de la jeune femme à plusieurs reprises, bien qu'il resta bien prudent de ne pas chercher à lui faire du mal. Après une bonne minute de ce traitement, le vampire releva une main et, comme elle le lui avait suggéré, il lui empoigna sa jolie chevelure, la forçant à regarder vers lui et plaqua sur ses lèvres un baiser sauvage, sa langue s'enfonçant dans la bouche de sa jeune subordonnée qui devait maintenant subir diverses sensations sur l'intégralité de son corps, combinant le ramonage de son sexe par un membre viril, ses cheveux qui étaient tirés, et surtout le torse de l'homme pressé contre sa combinaison de latex.

D'ailleurs, parlant de torse, après quelques secondes de besogne, le vampire se recula un peu, soutenant son amante en la calant bien comme il le fallait contre le mur à l'aide seule de son bassin pour libérer ses mains. Lentement, le vampire retira son veston, sa cravate et sa chemise pour les jeter sur le comptoir. Entre ses jambes fléchies, la jeune Lissandre pouvait désormais admirer le torse à la fois musculeux mais harmonieux de son chef, avant que celui-ci ne revienne à l'assaut, venant la prendre par les fesses histoire de pouvoir mieux la soulever et l'abattre sur le membre qui était resté quelques odieuses secondes immobile en elle, la ramonant de plus belle, avec les yeux du vampire qui la fixait droit dans les siens, sans le moindre signe qu'il allait se fatiguer facilement.

Lissandre Verrières

Humain(e)

Re : Entretien d'embauche avec un vampire [Lissandre Verrières]

Réponse 29 vendredi 26 juin 2020, 20:07:02

Elle avait cru avoir un orgasme quand Hadrian la prenait alors qu’elle était contre le mur, privé de l’usage de ses jambes parce qu’il avait joué de sa combinaison de latex rose. Mais il n’était pas allé au bout de ses allers-retours et Lissandre en avait presque eu envie de le rouspéter de son arrêt soudain.

Mais quand elle avait découvert qu’en plus de son charisme et de sa force à la soulever de terre alors qu’il était assis comme un roi sans royaume sur le trône blanc des toilettes. Bref, quand il s’était déshabillé devant elle, d’une façon fort élégante tout en la retenant de la seule force de son corps. Elle avait été… charmée ! Elle s’était même demandée si elle ne tombait pas amoureuse d’un tel homme sur le coup.

Et il avait recommencer à la besogner. Son intense regarde ne quittant pas le sien. Et Lissandre ne pouvait plus s’en éloigner. Comme s’il lui avait jeté un sort.

« Je vais- je vais très vite venir, je crois. Entre tous ses scénarios que j’imagine depuis le début de notre entretien et vous… Vous, votre corps, vos muscles et vos manières. Vous me faites perdre la tête, Hadrian ! »

Quelques allers-retours plus tard sur sa verge vampirique, et Lissandre se laissa aller à un cri de bonheur. Un premier orgasme. Elle perdit l’usage momentané de son corps et s’affala de tout son poids sur Hadrian et sa hampe.

« Ô que c’était bon. Je crois que ça faisait bien trop longtemps que j’avais été sans un homme. Alors, entre ça et le jeu du plug anal, je suis désolé. Je n’ai pas tenu aussi longtemps que je l’avais imaginé. »

Elle passa ensuite sa langue sur ses lèvres. Une femme était venue avant un homme. C’était tellement contraire aux idées préconçues et aux films porno usuels. Lissandre aimait ça. Mais Lissandre en voulait plus ! Hors de question qu’elle descende maintenant. Hors de question de retourner dans le restaurant. Bien qu’une partie de son esprit avait envie de voir les expressions sur les visages. Car ils devaient forcément l’avoir entendu crier !

*Est-ce que quelqu’un va bientôt arriver ? Ce pourrait être une bonne surprise : Hi hi ! *

« Mais bon, ce n’est parce que j’ai crié une fois que je vais tourner de l’œil, hein ! »

Elle finit sur un clin d’œil, anticipant déjà les coups de reins qui résonnaient dans son intimité.


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