Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Vengeance commune [PV]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Clad Oyio

Humain(e)

Vengeance commune [PV]

mercredi 22 avril 2020, 00:34:57

Deux heures du matin, à Tekhos. Jeff était derrière un petit buisson, devant une grande auberge. Il avait eu connaissance  qu'un trafic d'enfants devaient y avoir lieu dans un peu plus d'une demie heure. Et sa cible allait être présente. Un peu loin, l'homme s'avança, il prenait soin de ne pas faire de bruit, pour arriver le long du mur de la maison, juste en dessous d'une petite fenêtre. Il avait choisi d'aller en dessous de celle-là, car elle était située sur le côté et donc quasiment invisible pour toutes personnes passant par là. De là où il était placé, il pouvait voir qui arrivait et surtout, qui était à l'intérieur. Il avait une vision parfaite de la situation dans l'auberge. Evidemment il fallait faire attention, car si lui pouvait les voir ; eux aussi. Mais notre homme savait y faire et pour cause.

Dans sa jeunesse, lorsqu'il avait huit ans, il fut enlevé avec sa sœur jumelle lors d'une virée en famille du côté de Nexus. Ses parents étaient de nobles personnes. Son père était boulanger et sa mère vendait le pain que son mari faisait. Alors que leur mère leur avait donné assez d'argent pour pouvoir aller se payer des sucreries, ils furent enlever par deux hommes. Ils furent traîner dans deux sacs différents et placer dans un chariot, tiré par des chevaux. La peur se faisait ressentir chez lui et sa sœur, d'autant qu'ils ne pouvaient voir ce qu'il se passait, ils pouvaient juste s'entendre et savoir que l'un et l'autre allaient bien. Une fois arrivé à destination, le convoi s'arrêta, et ils furent glisser de force par terre, toujours dans les sacs.

« C'est bon, le compte y est ?
Laisse moi voir la tête des enfants avant. Je veux pas me faire avoir comme la dernière fois. »
Puis Jeff et sa sœur furent sorti de l'obscurité du sac par un homme ayant la cinquantaine et chauve. Il lança à un homme plus jeune, très musclé, sans doute celui qui avait enlevé Jeff et sa sœur.

« Très bien. Voilà pour toi. Mike, tu me les mets dans le camion et on se casse. » dit-il en donnant une mallette à l'homme plus jeune et en faisant signe à deux hommes encore plus costauds de venir s'occuper des deux frères et sœurs.

Replongés dans le noir, Jeff et sa sœur Ridia en sortirent quelques heures après. Jeff plus précisément. En effet, il était à présent dans une espèce cellule, avec une d'étiquette attachée à la cheville. Où y était marqué son âge et son prix. Il faisait très sombre, mais il pouvait voir qu'il y avait d'autres cellules présentes à côté de la sienne. Toutes ses pièces étaient reliées à un seul et même couloir, sombre et lugubre. Jeff bien qu'encore enfant, compris assez vite la situation. Il avait été enlevé, afin d'être vendu, mais à qui, pour quoi faire ? Il ne s'inquiéta pas pour lui, mais surtout pour sa sœur. Il cria alors son nom, mais rien ne se passa. Il chercha un moyen de s'évader, mais impossible, les murs étaient trop durs et les bureaux beaucoup trop solides. Il ne prenait pas trop conscience de ce qu'il se passait, lui ce qu'il voulait, s'était sauver sa sœur.

Plusieurs jours passèrent, un homme venait parfois lui donner de la nourriture et de l'eau, avant de repartir dans l'obscurité du couloir. On y entendait parfois des cris, ce qui fit paniquer plusieurs fois notre jeune homme, qui pensait directement à sa sœur et comment elle allait. Le lendemain matin, l'homme qui avait l'habitude de venir lui donner à manger et à boire, ouvrit sa « prison » et le prit par le bras et le balançant hors de la pièce. Il ne lui enfila pas de menottes, il faut dire que la force de cet homme, empêchait Jeff de faire le moindre mouvement. Ils montèrent plusieurs escaliers, tout aussi sombre les uns que les autres et sortirent de là, par une petite porte en fer. Jeff pu enfin sentir l'air frais. Ils marchèrent encore quelques minutes, avant de se retrouver devant une petite maison. Il y en avait plusieurs à vrai dire, on aurait dit un complexe immobilier. L'homme costaud le fit entre à l'intérieur et ferma derrière Jeff. Le jeune homme se retourna et vit à l'intérieur un homme d'un certain âge, en caleçon, dans un siège. Il prit la parole.

« Oh alors c'est toi Jeff ? Tu es bien plus mignon que ce qu'on m'a dit. Allez, viens ici ! » dit l'homme en montrant son genoux. « Nous allons bien nous amuser tous les deux. »

Jeff était encore jeune, mais compris très vite la situation. L'homme était en caleçon et on pouvait déjà y voir une érection. Il s'approcha néanmoins, mais à bonne distance.

« Allez ! Commence pas à faire ton timide. Je veux juste te faire du bien. »

L'homme prit Jeff par le bras et commença à le caresser. Le jeune homme essaya de se débattre, mais l'homme était trop fort. Cela continua pendant plusieurs minutes, avant que le vieil homme face une erreur. En effet, alors qu'il l'emmena dans la chambre, Jeff vit un couteau de cuisine sur un des meubles qui longeait le couloir jusqu'à la chambre. Et lorsque l'homme se mit à enlever ses chaussettes et son caleçon, sur le bord du lit. Jeff en profita pour lui asséner des dizaines et des dizaines de coups de couteau dans le dos. Le vieil homme essaya de se débattre, mais Jeff s'y était trop bien pris et l'homme tomba en avant, dans une marre de sang. Le petit Jeff, se rhabilla, prit le couteau avec lui et sortit de la petite maisonnette en vitesse.

Le jeune homme couru dans tous les sens à la recherche de sa sœur disparue. Jusqu'au moment où il vit son corps sans vie, derrière des poubelles et du fumier. En effet, et il l'apprit que plus tard, les clients d'ici pouvaient louer les enfants qu'ils voulaient pour une nuit, une journée. Ils pouvaient en faire ce qu'ils voulaient, les violer … Les tuer.

Jeff au lieu de pleurer toutes les larmes de son corps, chercha un moyen de partir d'ici. Par chance, une calèche passa devant le complexe. Il couru dans sa direction, sautant par dessus une pile de sac de farine et il ne sait pas comment, mais il réussit à s'accrocher à la calèche et sortir d'ici, afin de se retrouver beaucoup plus loinn un peu seul mais dans une situation beaucoup plus favorable.

C'est à ce moment là qu'il pleura la perte de sa soeur. Il se promit ce jour là, qu'il fera tout pour la venger de ses bandits. L'homme s'entraîna durant des années, dans le maniement des armes, des techniques de combats et bien d'autres choses.

Quelques années plus tard, aujourd'hui donc, il se retrouva sous la fenêtre de l'auberge, où un des gérants de ce complexe morbide, où il avait été enlevé enfant, était présent. Mais alors qu'il regardait à l'intérieur de l'auberge, il entendit quelqu'un frapper à la porte. Il avait tout prévu. Il y avait le compte pourtant. Ces gens n'attendaient plus personne, qui était ce nouvel individu ? Le jeune homme prit un de ses couteaux en main, sa Flamberge et sa Rapière toujours rangées dans son dos.
« Modifié: samedi 25 avril 2020, 20:52:53 par Clad Oyio »

Clad Oyio

Humain(e)

Re : Vengeance commune [PV]

Réponse 1 jeudi 02 décembre 2021, 16:32:35

L'homme était collé au mur, juste en dessous de la fenêtre. Il avait son visage tourné vers l'entrée, l'oreille collée au mur, afin d'entendre un maximum de choses. Il s'agissait d'une femme, une pute sans l'ombre d'un doute. C'est pour ça qu'il n'avait pas prévu sa venue, ces connards voulaient sans doute se faire plaisir et avait payé une courtisane pour pimenter leur soirée. Ces hommes ne reculent devant rien. Leur mort n'en sera que plus nécessaire.

Jeff attendit un moment, avant de s'écarter du mur et de se tourner vers celui-ci avant de remonter la tête vers la petite fenêtre, afin de voir à l'intérieur. La jeune femme était à présent assise sur une chaise et trinquait avec ces hommes. L'homme profita de la situation, pour passer par derrière. Il avait eu l'info que des enfants devaient être emmenés ici, mais pas s'il y en avait en ce moment même. Il devait en avoir le cœur net. Il se dirigea alors vers une autre petite fenêtre située derrière la maison. Il faisait noir à l'intérieur, mais grâce à la pleine lune il pouvait deviner une cuisine. Parfait, il allait tenter sa chance par ici.

Il portait des gants, c'est pourquoi, il décida de donner un coup de poing à la vitre pour faire voler en éclat la glace, en essayant évidemment de faire le moins de bruit possible. PAF ! Des bruits de verre retentissaient dans le lavabo de la cuisine. Ca avait fait grand bruit. Il n'avait pas géré sur ce coup là, mais il ne pouvait plus faire marche arrière. Il passa sa main derrière la fenêtre pour venir l'ouvrir de l'intérieur. Une fois fait, il se glissa dans la cuisine. Puis se mit à avancer, faisant attention à ne pas marcher sur les bouts de verre.

Il y avait de la lumière derrière une porte légèrement entrouverte. Il s'en approcha pour y jeter un œil. Il pouvait voir au loin l'intérieur de la pièce,  qu'il regardait depuis l'extérieur tout à l'heure. La jeune femme était toujours assise sur son siège et les hommes continuaient à lui tourner autour. Il n'avait alerté personne apparemment.

Jeff tourna les talons et s'apprêta à passer par une autre porte, mais alors qu'il se mit à marcher de l'avant, il marcha sur un rat, qui le fit tomber à la renverse et taper le bas d'un meuble rempli de casseroles, poêles et vaisselle en tout genre. Evidemment, tout s'écroula faisant un bruit fou. L'homme compris assez vite ce qu'il se passait, malgré le fait qu'il soit un peu sonné. L'homme sorti instinctivement son couteau, s'apprêtant à se battre, alors qu'il était toujours couché sur le sol, du matériel de cuisine partout sur lui. Les yeux rivés sur la porte.


Répondre
Tags :