Le coup du siècle ! Camille est fou de joie. Il a réussi le coup du siècle.
Car, sous la douche, c'était plus fort que lui ; il a fallu qu'il regarde de côté, discrètement, bien aidée par la fumée que dégageait l'eau. Aya a passé un moment à le mater, il en est sûr. Si elle était aussi pride qu'elle le prétend, elle serait sortie de suite, mais pas là. Elle est tellement restée, qu'il a pu se passer de l'eau sur tout le corps, tout en insistant à se caresser.
Hélas, elle n'a pas osé le rejoindre. Trop réservée la femme de Ryo. Elle est si belle et sexy, elle mérite mieux que lui, surtout que, au lit, il doit être trop romantique aussi. Une femme comme aya, il faut la faire grimper aux rideaux ! « Ne t'inquiète pas, je vais m'en occuper de ta femme ». Camille a le feu en lui, il ne veut pas que la pression retombe trop vite en elle.
A peine a-t-elle fermé la porte qu'il se jette sur la serviette, s'essuie à toute vitesse, ouvre à son tour la porte de la salle de bains. Pas un bruit. Ils sont passés devant la chambre de Ryo et Aya tout à l'heure ; par réflexe, il pousse jusque là. Nu en érection dans le couloir, ça ne pardonnera pas ; si Aya ou Ryo le trouve ainsi, c'est viré direct.
Mais son flair ne l'a pas trompé. Un léger souffle provient de leur chambre, dont la porte n'est pas fermée. Tel un chat, il avance sans bruit, passe la tête lentement. Le spectacle est au delà de son imagination.
Allongée sur le lit, débarrassée de la culotte de bain, les cuisses bien écartées, Aya se caresse, remuant autour de sa propre main qui l'explore. Camille en sent aussitôt l'impact sur son érection, assortie d'une folle envie de venir remplacer les doigts de Aya par sa queue. "Elle est dans un tel état d'excitation, qu'elle prendrait n'importe quoi ou n'importe qui pour se soulager". Mais il se retient in extremis ; il y a mieux à faire.
Dans le même silence, il rejoint sa chambre d'ami, prend son smartphone, retourne à ce beau spectacle, qu'il filme, plan large, zoom sur les doigts ou sur le visage, pas top qualité mais suffisant. Toute à son plaisir, Aya a les yeux fermés, et cela est sécurisant. « Si elle résiste trop, ça pourra la persuader ». Ainsi enregistre-t-il jusqu'à l'orgasme de Aya ; « Dommage qu'elle n'ait pas osé crier, la vidéo en aurait été meilleure. Mais ça ira, on voit bien sa tête et ses doigts dans la chatte ».
Camille retourne vite à sa chambre, comme si de rien n'était. Oui, le coup du siècle, il le tient. « Elle rampera à mes pieds pour me supplier de ne rien diffuser ». Il range soigneusement son smartphone, avec le trésor bien enregistré. « Pour te remercier de ton hospitalité, Ryo, je vais faire de ta femme une bouffeuse de bites. Tu auras intérêt à assurer. »
Mlagré son érection, Camille enfile tant bien que mal un caleçon de bain. Son sexe, loin d'être au repos, dessine une bosse que nul ne peut ignorer. Pas le choix. Aya a dû retourner tuer son oisiveté au bord de la piscine, qu'il trouve facilement.
De loin, il la voit, plein soleil, sur une chaise longue. Elle a changé de maillot ! « Ben oui, quand on mouille, on laisse des traces ». Il avance, s'arrangeant pour être de profil ou de trois quarts face, afin que la bosse soit bien visible. « Ah, ça fait du bien, une douche comme ça ».
Camille vient s'installer sur la chaise longue juste à côté, s'étendant presque plat hormis une bosse qui, décidément, ne mollit pas. « Un grand merci, Aya ; ton massage m'a procuré de très agréables sensations. Tu es vraiment très douée pour caresser la peau ».