Avant d’être au-dessus il faut passer par en-dessous [avec Clad Oyio]

Avant d’être au-dessus il faut passer par en-dessous [avec Clad Oyio] – réponse n°1

Dans toute société, avant de devenir chef on est simple employé. On commence en bas de la pyramide sociale et on grimpe les échelons petit à petit. « Avant d’être au-dessus il faut par en-dessous » Cette phrase est à double sens pour Lissandre qui veut s’engager dans l’univers pornographique.

[…]

Lissandre était arrivée il y a peu dans la région de Seizuku. Avant de passer une des Failles dont lui avait parlé son professeur particulier Renaud Takei, elle souhaitait découvrir un peu les environs. Après tout, elle n’était pas pressée et elle aimait la culture japonaise. Preuve en était de sa façon de s’habiller : une combinaison intégrale de latex rose qu’elle portait comme si c’était un tee-shirt et un jeans.

Derrière un ordinateur, elle avait laissé un message aux locaux. Elle se présentait rapidement comme une future réalisatrice de film pornographique. Elle recherchait des figurants pour acquérir de l’expérience. Elle ne désirait pas d’acteurs particuliers. Ça pouvait être deux femmes. Ça pouvait être une peau noire, une petite verge ou encore une multitude de piercings.

*En brassant large, je devrais obtenir des réponses variées et rapides. *

Effectivement, elle avait eu des retours. Et naturellement, elle en avait refusé un tas. Trop vulgaire. Trop pervers. Trop criminel. Jusqu’à ce qu’elle soit contactée par ce Clad Oyio. Lui et elle s’étaient échangé quelques messages. Jusqu’à convenir d’un rendez-vous.

Le lieu était un love hôtel et Lissandre attendait assise en tailleur sur le lit. Elle avait retiré sa veste dorée, ses chaussures montantes et conservait uniquement sa tenue moulante de latex rose. Installée de cette façon, elle ne ressemblait pas à une réalisatrice mais plutôt à une adolescente tuant le temps.

*Je suis curieuse de savoir ce qu’il va se passer. Ne pas savoir à l’avance à quelque chose de stimulant ! *

En effet, à travers leur court échange, il avait été convenu que le-dit Clad Oyio serait en compagnie d’une autre femme et que ce serait ce couple qui serait filmé à travers la caméra de Lissandre.

Ses doigts passèrent sur son téton droit. Un téton dur qui poussait sur le latex.

*Ce n’est plus de la théorie. Je passe à la pratique. Et ça a quelque chose de follement excitant ! *

C'était un mercredi soir, et l'homme était chez lui, dans son somptueux appartement, en plein cœur de la ville de Seikusu. Il flânait sur internet, à la recherche d'un site porno, pour se satisfaire cette nuit. Mais il ne trouva rien de fou. Qui plus est, il n'avait personne en ce moment, avec qui passer sa nuit et se « vider » la tête. Cependant, quelques minutes plus tard, alors qu'il crut tomber sur un virus en appuyant malencontreusement sur un mauvais bouton, il ouvrit un site, avec différentes petites annonces. Une en particulier, l'intéressait. Cela disait, qu'ils recherchaient un homme ou une femme, pour une scène pornographique avec un partenaire. La rémunération était aussi spécifiée. Clad s'en foutait de l'argent, il en avait trop, c'était surtout la scène qui l'intéressait. Ça disait aussi de venir, le lendemain, dans un appartement assez chic, dans sa ville, à Seikusu.

L'homme prit les coordonnées de la personne et décida de lui envoyer un message, disant qu'il était très intéressé par cette scène. Ils échangèrent beaucoup, avant de fixer une heure précise pour le rendez-vous. Clad s'était bien habillé, une chemise bordeaux, un pantalon noir, tout comme ses chaussures. Il se dirigea vers son garage, prit sa voiture de sport et direction l'autre bout de la ville.

Dix minutes plus tard, il se gara en bas de l'immeuble. Il ne s'attendait pas à voir un love hôtel ici. Mais bon, après tout, il était venu faire du porno. Donc le lieu où il le faisait, n'était pas importe. Il se demandait plutôt qu'elle tête aurait sa partenaire et surtout si elle serait à son goût. Difficile de bander, quand sa partenaire ne lui plait pas …

L'homme entra par la porte et rejoignit directement l'étage, où était situé l'appartement, la chambre plus précisément. Lissandre lui avait demandé d'entrer sans frapper. Ce qu'il fit. Il entra et ferma derrière lui. Il tomba presque nez à nez avec une jeune fille blonde, qui était assise sur un lit. Elle avait une tenue particulière. On aurait dit du latex. Elle était très jolie. Il se demanda si c'était Lissandre Verrières, étant donné qu'il avait l'impression d'être seuls.

« Heu … Bonjour ! Je suis Clad Oyio. Je crois qu'on s'est parlé hier soir. Je suis venu pour la scène. » dit-il sobrement, en restant juste devant la porte.

Avant d’être au-dessus il faut passer par en-dessous [avec Clad Oyio] – réponse n°2

Il entra par la porte sans frapper. Ils en avaient convenu durant leur échange. Une façon de rendre les événements à venir plus naturels. Plus chaleureux. Lissandre venait d’un monde bourgeois et elle connaissait les blocages qui résultat d’un serviteur qui ouvre une porte et du vouvoiement.

« Tu dois être Clad Oyio. Bonjour ! »

L’apprentie-réalisatrice ne bougea pas de sa position. Elle resta assise sur le lit d’hôtel comme si elle était chez elle. Elle en profita pour détailler l’arrivant. Il était bien habillé avec sa chemise bordeau et son pantalon noir. Une façon propre et décontracté à la fois.

*Ce qui apporte un joli contraste avec sa tête de voyou. J’aime ça ! *

D’un signe de la main, elle invita son acteur à entrer dans la chambre et prendre ses aises. De sa main, elle indiqua un petit frigo où se trouvait notamment quelques bières. Une boisson qu’elle préférait au champagne. Du moins, c’était son petit côté rebelle qui luttait contre le champagne de la bourgeoisie.

« N’hésite pas à te servir. De toute façon, nous ne devrions plus attendre très longtemps maintenant. »

Lissandre sortit son téléphone à la coque rose. Elle vérifia l’heure et ses derniers messages. Elle hocha la tête, visiblement satisfaite du dernier message lu. Puis elle pivota sur elle-même, restant assise en tailleur, pour se tourner vers Clad.

« C’est un joli tatouage que je vois sur ton cou. Ton serpent se déroule à quel point sur ton corps ? »

Une question posée trop rapidement après avoir relevé la tête. Pas assez de temps pour que Clad s’intercale avec une probable curiosité. D’ailleurs, la porte s’ouvrit tout aussi rapidement. Lissandre haussa les épaules. De toute façon, il se déshabillerait bien assez vite. Elle verrait à ce moment-là la réponse à sa question.

« Je te présente Tamao. Ce sera ta partenaire. Voici Clad, Tamao. »

Tamao avait le physique typique d’une japonaise. Une coupe au bol noir. Une petite taille. Un regard fuyant. Un visage timide. Elle était habillée dans un ensemble noir, typique d’une employée travaillant dans les bureaux. Elle était encore jeune et on pouvait encore imaginer Tamao dans un uniforme scolaire.

*Mais si elle est ici. C’est qu’elle dissimule des désirs que ses parents, ses proches doivent trouver tabou. Peut-être que derrière ce visage d’agneau se cache un tigre affamé ? *

Clad était très étonné qu'une femme aussi jeune puisse être réalisatrice de film porno. Qui plus est, elle était vraiment jolie. Des pensées vinrent rapidement à son esprit. Puis elle lui proposa de se servir dans le frigo, où lui attendait quelques bières. Il se dirigea vers le fameux frigo, l'ouvrit et empoigna une bière avant de la décapsuler. Il la mit au niveau de ses lèvres et la jeune femme lui demanda où son tatouage au niveau de son pouvait bien se finir. Il sourit et n'eut pas le temps de répondre que quelqu'un entra dans la pièce. C'était une jeune fille asiatique, d'apparence timide. Inconsciemment, Clad était déçu. Si il avait le choix, ça aurait été avec la réalisatrice qu'il ferait cette scène. Mais ce n'était pas le cas, et puis il était payé pour ça. Il n'allait pas commencer à faire des manières.

Lissandre présenta la fameuse Tamao, sa partenaire, à Clad. Il lui prit la main et la serra.

« Bonjour, content d'enfin te rencontrer. » dit-il légèrement excité par la situation.

Effectivement, se retrouver comme ça, avec deux jeunes filles, alors qu'hier encore, il était seul et avait bien besoin d'une présence féminine. Là, il se retrouve à faire une scène pornographique avec cette jeune fille. Certes, elle n'était pas dans ses standards. Mais pourquoi pas.

« Comment ça se passe du coup ? » dit-il, curieux, à l'encontre de Lissandre.

Il ingurgita une autre gorgé de bière. Cependant, il ne regardait pas vraiment sa partenaire. Mais plutôt la réalisatrice. En arrivant, il avait cru apercevoir, sur sa jolie tenue en latex rose, ses tétons qui étaient pointés fièrement. Et en ce moment, cela était toujours le cas. Il donnerait tout pour lui déchirer sa tenue et pouvoir s'en occuper.

Rien que de penser à cela, le fit bander. Cela se voyait assez bien, sur le long de sa cuisse. Mais il n'y prêta pas attention et continua de dévisager la réalisatrice.

Avant d’être au-dessus il faut passer par en-dessous [avec Clad Oyio] – réponse n°3

Tamao répondit plutôt avec un petit bruitage qu’une parole complète. Quand ils se serrèrent la main, elle et Clad, elle enchaîna avec une petite révérence. Salut typique du pays. Puis elle se mura dans son silence, attendant que l’attention se reporte sur elle. Et pas avant qu’on lui pose une question spécifiquement à elle.

Clad était beaucoup plus à l’aise. Une bière dans la main, il posait des questions et ne quittait pas Lissandre des yeux. C’était même plus que ça. Il la dévorait des yeux. Preuve en étant de son pantalon tendu par son sexe en début d’érection.

« Je n’ai pas vraiment de plan défini. Du moins, je vois ce tournage en deux actes. »

Lissandre refit un tour mental dans la pièce. Elle avait payé la chambre pour plusieurs heures et était arrivée depuis une bonne heure déjà. Ainsi, elle avait pu dissimuler de petites caméras espions pour obtenir des angles de vue divers. Sans compter capturer des images, des sensations et des visages « volées ». Ainsi, les acteurs ne seraient pas dans leur sur-jeu et le film gagnerait en crédibilité. En immersion.

« Etant donné que personne ne se connaît, j’imagine une première scène où vous vous découvrez l’un l’autre. Il devrait y avoir des gestes plus retenus. Des attentions plus délicates. Sur vos visages, les spectateurs découvriront vos émotions et pourront s’attacher à vous. »

L’apprentie-réalisatrice tourna la tête en direction de Tamao. Ses deux mains, paumes tendues, étaient posés à plat sur sa jupe noire descendant jusqu’après les genoux. Rien de ce sexy dans ces vêtements de travail. Elle hochait la tête régulièrement, façon pour elle de faire comprendre qu’elle écoutait et comprenait les consignes.

« Dans un second temps, nous passerons à quelque chose de plus ludique je dirais. Vous commencerez à vous connaître. Tous comme les spectateurs. Donc il faudra les surprendre. Et pour ça, rien de tel que des effets spéciaux et des accessoires. En bref : quelques jouets sexuels et colorés. »

Pour résumé : une scène soft suivie d’une scène un peu moins soft mais pas encore hard. Car Lissandre avait un projet en tête. Elle imaginait un film d’une heure et demie. C’était du moins le challenge ! Une durée longue mais avec un contenu à rebondissements. Un peu comme les films classques d’actions ou de fantastiques qu’on pouvait aller voir au cinéma. Pour ça, il fallait une histoire. Il fallait un attachement aux acteurs. Il fallait donc un fil rouge et des rebondissements.

Lissandre se releva et alla chercher sa petite caméra qui était posé sur la table.

« Je vous laisse le lit. C’est à vous de jouer ! »

Sur ce petit mot, elle finit par un clin d’œil et un sourire amical.

Clad, toujours avec sa bière à la main, écouta les directives de la réalisatrice. Lui qui croyait que dans les films pornographiques, il n'y avait pas de scénario, et bien là c'était tout l'inverse à priori. En effet, Lissandre leur demandait des choses bien spécifiques, sur une relation qui évolue, etc. En espérant qu'elle n'espère pas trop de Clad, un jeu d'acteur parfait. Lui, était venu pour la baise et ce n'est qu'en ça, qu'il était bon.

L'homme fini sa bière et la posa sur la table à côté de lui, avant de s'installer sur le lit, ou l'attendait sa partenaire. Ne sachant trop quoi faire, avec la caméra de Lissandre braquée sur eux, il salua Tamao et commença à échanger avec elle. Tout doucement, Clad se prit au jeu, et lui demandant ce qu'elle faisait dans la vie, tout en se rapprochant d'elle. Il n'hésita pas à la complimenter sur sa tenue et sa coupe de cheveux. Lui disant même qu'elle avait un très beau visage. Ils continuèrent de parler, Clad devenant de plus en plus proche, laissant glisser sa main sur la cuisse de Tamao.

Quelques instants plus tard, il fit signe à la jeune fille de venir s'installer plus en profondeur sur le lit. Il enleva ses chaussures et se coucha sur le lit, au niveau des oreillers. La jeune fille fille le suivit. Il remit sa main sur sa cuisse et remonta légèrement, pour lui tenir à présent les fesses. Elle n'avait décidément rien de fou. Ses cuisses étaient très fines, son cul pareil et elle n'avait pas l'air d'avoir de très gros seins. Heureusement que Clad n'avait rien fait depuis un moment, sans ça, il n'aurait peut-être même pas bandé. 

Ils continuèrent de converser, Clad étant de plus en plus tactile, n'hésitant pas à lui agripper les fesses et à la déshabiller légèrement, en lui faisant déboutonner son haut. Lui laissant voir, un petit soutien-gorge, retenant de malheureux petits seins. L'homme continua de lui caresser les fesses. Il enfonça légèrement ses doigts, avant de faire réagir sa partenaire. Celle ci enleva son haut, faisant de même pour Clad. Dévoilant une belle musculature.

Les minutes passèrent et les deux jeunes individus étaient presque nus. Tamao n'avait plus que son string et l'homme son boxer. Ils s'embrassèrent, Clad caressant les seins de la jeune fille, et celle-ci posait ses mains sur son torse. L'excitation montait très clairement dans la pièce. Tout en l'embrassant, il remarqua sur la table quelques petits jouets sexuels, comme un dildo par exemple. Il fit rouler la jeune fille pour la plaquer dos au lit, et agrippa le jouet. Il se remit à côté d'elle et commença à la teaser, en caressant ,avec le jouet, son intimité à travers le string. Puis tout d'un coup, il retira le tissu sur le côté, et entra légèrement le dildo. Il commença les vas et vient.

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Lissandre savait qu’elle avait de grandes attentes. Elle était déjà préparée à une forme d’échec suite à ce tournage. Mais à aucun moment, elle regretta. Après tout, certains dictons disaient qu’il n’y a pas d’échec, seulement de l’apprentissage.

Le regard dans l’écran de sa caméra, elle observait le jeu entre Clad et Tamao. Clairement, cette dernière manquait d’une aura. Par contre, lui confirmait un charisme naturel. Il était intéressant pour l’image. Intéressant pour un public féminin. De ce fait, les angles de vue mettaient clairement plus en scène l’acteur que l’actrice. Cette dernière était trop effacée.

Les vêtements commencèrent à prendre la direction du sol. L’apprentie-réalisatrice s’était attendue à un double-jeu de Tamao. Une apparence externe timide et effacée et une vraie tigresse une fois mise à nue. Mais son soutien-gorge ne portait pas des motifs de léopard. Pas même un rose flashy. Non, c’était un soutien-gorge noir qui contenait une petite poitrine. Lissandre commençait à croire qu’elle avait sélectionné la mauvaise partenaire à Clad.

Pendant que Clad chauffait sa partenaire, les pensées de Lissandre déconnectèrent. Il y avait déjà quelque chose d’ennuyeux dans cette scène. Si elle s’ennuyait, les spectateurs s’ennuieraient et donc il était inconcevable d’imaginer un film d’une heure et demie.

Ses yeux se perdirent dans le tatouage du voyou qui se trouvait en boxer. Une nouvelle fois, il prenait des initiatives. Le dildo fit des allers-retours sur le string de Tamao. Il semblait chercher son chemin. Puis Clad l’y aida. La ficelle noire fut mise de côté et exhiba un sexe d’enfant. Pas un seul poil. Pas un petit tatouage. Rien du tour. Tamao était vraiment inintéressante…

*Continuons cette expérience, tout de même. Peut-être que la suite sera surprenante ? *

Ainsi Lissandre pariait sur plusieurs données.

La première était qu’elle n’avait pas encore filmée le dos de Tamao. Peut-être y avait-il un tatouage qui rappellerait ceux des yakuzas ? Une façon de redonner un peu de « tigresse » à ce mouton blanc.

La seconde était une petite facétie de Tamao. Une façon discrète de s’exciter toute seule. Une surprise pour l’apprentie-réalisatrice et son partenaire masculin. Un plug anal semblable à un diamant brillant ?

Mais Lissandre pariait tout sur une dernière donnée : les performances sexuelles de Clad !

Clad continua de faire entrer et sortir le dildo de l'intérieur de Tamao. Cette dernière lâcha quelques petits cris de plaisir, mais rien de plus. On aurait dit qu'elle se retenait. Après tout, elle était peut-être un peu plus stressée que le jeune homme. Quoiqu'il en soit, Clad continua ce qu'il faisait. Il s'amusait même à lui caresser les tétons. Pendant plusieurs minutes, le dildo bien humidifié grâce à l'intérieur de la chatte de Tamao, continuait d'entrer et sortir à un rythme de plus en plus rapide.

Le jeune homme était curieux de voir jusqu'où pourrait aller sa partenaire. Il entra le dildo à l'intérieur de sa chatte et le relâcha pour venir lui donner une fessée. Sa main vint s'accrocher au tissu du string de la jeune fille et tout d'un coup, il le déchira, laissant Tamao à présent toute nue. Il en fit de même avec son boxer. Laissant apercevoir une bite énorme, mais pas encore en érection. Il fit tourner Tamao sur lui et commença à l'embrasser. Tandis que ses mains vinrent lui écarter son petit cul. Il ne ressentait vraiment rien de particulier à l'embrasser. Et même le toucher de ses fesses ne lui faisait ressentir aucun sensation. Elle n'avait pas grand chose pour elle, la pauvre.

Pendant plusieurs minutes, ils s'embrassèrent de la sorte. Afin de s'exciter un peu plus, il s'amusa à lui rentrer des doigts dans son anus. Ecartant ses fesses un maximum, afin que la caméra puisse bien voir ce que Clad était en train de lui faire. Mais ça ne lui suffisait pas. Pour bander, il s'amusait à mater la réalisatrice et ses tétons qui pointaient sous sa combinaison rose.

Malgré tout, son érection était à présent bien là. Il tira les cheveux de Tamao et l'emmena jusqu'à sa bite. Il lui fit signe qu'elle pouvait le sucer. Sa langue toucha le dessus de son gland, puis vint sa bouche. Et aussi surprenant que cela pouvait être, Tamao suçait vraiment bien. Son érection monta en flèche. Elle n'hésita pas à faire ressortir des bruits obscènes de sa bouche, tandis que de la bave, mélanger à son liquide pré sperme, sortait de sa bouche et coulait sur ses mains et le bas du ventre de Clad.

Sa main au dessus de son crâne, afin de la forcer à aller toujours plus loin, il fit un clin d’œil à la caméra, plus particulièrement à la réalisatrice.

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Lissandre était de plus en plus satisfaite des performances de Clad. Il y eut d’abord son côté « badass » qui s’exprima en explosant le string de la réservée Tamao. Mais la meilleure partie était à venir.

*Waouh ! *

Quand l’homme enleva son boxer, la jeune bourgeoise ne s’attendait pas à un tel monstre. Les préjugés ayant la peau dure, elle avait naturellement imaginé qu’étant blac, Clad en aurait une de taille modeste. Voire d’un peu plus grand que la moyenne. Ou plus épaisse. Mais là…

*Juste. Waouh ! *

La réalisatrice s’approcha du couple. Et plus particulièrement de la bite de Clad. Elle n’était pas encore totalement réveillée et elle comptait bien enregistrer toute la mutation de la bête.

Lissandre se rendit alors compte d’un fait. Elle ne prêtait plus attention aux doigts que mettait le yakuza dans la timide japonaise. Elle était totalement hypnotisée par Clad et ce dernier, jouant de regard également avec elle, ne pouvait que s’en rendre compte.

Il jouait avec elle ? Bien. Elle allait faire de même !

Elle eut cette pensée quand, justement, les bruits obscènes de Tamao suivirent de sa bouche couverte de salive et d’autres liquides attirèrent son attention. Elle ne pouvait pas se l’expliquer mais elle avait une fixation sur les bouches de femmes remplies, salies, coulantes de liquides.

Reprenant ses esprits, Lissandre retourna près de la table où un dildo était allé explorer l’intimité humide de Tamao. Elle joua alors avec sa caméra, avec la position des futures spectatrices de son film. Mais surtout de Clad.

Dans l’objectif de la caméra, au premier plan, se trouvait un plug anal. En second plan se trouvait Clad en train de besogner. La main de Lissandre passa dans l’objectif de la caméra pour s’emparer du plug anal.

Les yeux de Lissandre étaient fixés dans ceux de Clad.

*Regarde ça, ma belle bête. *

La main de la jeune bourgeoise frotta son entrejambe. Dans le mouvement retour, elle ouvrit la fermeture éclair qui révéla sa chatte exhalant une fragrance de désir. Elle enfonça un doigt. Puis deux dans sa chatte. Puis elle les retira. Elle vérifia que Clad le regardait bien. (et avec désir) Elle cracha sur son doigt. Puis elle commença à se toucher son petit trou. Il ne fallut pas grand effort pour enfoncer le plug anal. Elle referma la fermeture éclair.

De la provocation. Car elle restait ainsi inaccessible à celui qui la dévorait d’envie.

Elle reprit sa caméra dans sa main et se remit à filmer l’ébat du yakuza et de l’innocente.

Tandis que Tamao le suçait avec envie, Clad ne pu s'empêcher de profiter de ce que la réalisatrice lui proposa. En effet, elle s'amusait à jouer avec lui. N'hésitant pas à se mettre un plug à l'intérieur de son intimité. Cela ne se voyait pas, mais Clad avait encore grandit dans la bouche de sa partenaire. Si bien, que celle-ci failli s'étouffer à quelques reprises. Il n'en fallait pas plus à l'homme, qui tira sur les cheveux de la nippone et la plaqua tête contre le matelas, en direction de Lissandre. Il lui releva le cul et lui enfonça sa bite à l'intérieur.

Sa bite s'enfonça avec une facilité déconcertante. La chatte de Tamao était très humide et Clad n'eut aucun mal à se retrouver au fond. Il commença les vas et vient, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Il ajouta quelque chose de très personnel. Il s'amusait tout simplement de Lissandre. En effet, celui-ci la regardait pendant qu'il était en train de pilonner la pauvre jeune fille. Celle-ci commença à crier de plaisir. La petite sage, se trouvait être une vraie truie. Si bien que Clad la força à placer sa bouche contre le matelas et les draps, afin de l'entendre le moins possible.

Durant une trentaine de minutes, Clad lima complètement l'intérieur de la chatte de Tamao. Il ne pu s'empêcher de lui mettre quelques fessées, si bien que ces fesses étaient bien rouge. L'homme, toujours à regarder la réalisatrice, amena son index jusqu'à sa bouche et l'humidifia. Il aussi les sourcils et entra son doigt dans l'anus de Tamao.

Finalement, cette scène n'allait être qu'un jeu entre les deux jeunes individus. Heureusement pour Tamao, Clad n'avait toujours pas vu Lissandre nue. Ce qui compliquerait sa situation. En effet, celui ci pourrait devenir un vrai animal et ne se servir de Tamao que de toilettes publiques.

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La réalisatrice avait le rouge aux joues. Autant parce qu’il commençait à faire chaud dans cette chambre que par l’excitation que lui provoquait le voyou. Entre la taille de sa bite et le jeu de regards qu’ils échangeaient. Entre le fait qu’il ignorait complètement Tamao à son profit et qu’il avait l’endurance pour tenir trente minutes.

*L’acte deux sera bien différent de ce que j’imaginais au départ. Ô combien différent mais combien bien plus excitant pour moi et mes futures spectatrices ! *

Elle ne s’empêchait plus de cacher son plaisir. Sa main libre, celle qui ne tenait pas la caméra, ne pouvait s’empêcher de faire des allers-retours sur ses tétons. Parfois pour tourner autour et s’exciter elle-même de ne pas appuyer dessus et déchaîner ses nerfs de plaisir. Parfois, sa main essayait de trouver une position plus confortable pour ses tétons. Durs et tendus comme ils l’étaient, le latex rose devenait douloureux.

*Je suis désolé Tamao, mais tu ne vas pas rester longtemps. Tes cris sont trop aigus. Ton corps trop simple. Certes, tu as une image de sainte et un comportement de salope, mais ton personnage va mourir à la fin de l’épisode un. *

Elle comparait maintenant la scène à une série télévisée. Ce qui n’était pas une mauvaise comparaison. En effet, garder les mêmes acteurs et tourner une mini-série de plusieurs épisodes pornographique : est-ce que c’était un bon format ? Est-ce qu’il y avait un potentiel exploitable ?

En cet instant, Lissandre s’en fichait. Car sa main libre avait quitté son téton pour venir se caresser la fermeture éclair. Celle qui séparait sa chatte dégoulinante de sa main baladeuse. Cette fermeture qui retenait le plug qui avait permis à lui et au voyou de gagner un niveau d’excitation.

*Et pourquoi pas une mini-série sous forme de jeu de rôle ? Les personnages gagnent en niveau. Il y a des lancers de dés qui déterminent les prochaines épreuves. Un échec critique et c’est un coup de fouet qui devient sanglant. Une réussit critique et. OH ! Lissandre. Focus ! Concentre-toi sur le voyou. Et essaie d’arrêter un peu de te masturber à travers ta combi. Un peu de professionnel, que diable ! *

L'homme continua de baiser l'intérieur de la chatte de Tamao. Qui plus est, la réalisatrice, était en train de continuer de jouer avec lui, en se touchant maintenant les tétons avec sa main libre. Ses deux tétons se voyaient parfaitement à travers sa combinaison, maintenant. Il s'excita d'autant plus. Il ne remarquait pas que Tamao le supplier d'arrêter, que c'était trop bon. Apparemment elle était déjà à son cinquième orgasmes. Cependant, il se concentra rapidement sur elle. En effet, son point de rupture venait. Dans un dernier va et vient, il se déchargea en elle, la remplissant entièrement de sperme. Il dû sortir sa bite pour se finir sur son dos et ses cheveux. Il en avait mis sur le lit et sur le sol. C'était un vrai dépotoir.

Clad retourna la jeune femme sur le dos, pour lui jouir sur les seins. Il s'avança sur elle, pour venir mettre sa bite dans sa bouche et lui faire avaler les dernières gouttes de sperme. Le corps de Tamao ne répondait quasiment plus. Elle ne faisait que sucer la bite de Clad et avaler son sperme.

Malgré ça, la bite de Clad était encore bien dure. Il en voulait davantage, mais cette Tamao ne lui satisfaisait plus. Il s'assit à côté d'elle, sur le coin du lit, en direction de Lissandre. Sa bite levée et toujours bien dure. Il fit signe à la jeune réalisatrice de venir jusqu'à lui.

Avant d’être au-dessus il faut passer par en-dessous [avec Clad Oyio] – réponse n°7

Tant de spermes. Ça signifiait beaucoup de chose pour Lissandre. D’abord qu’il en avait terminé avec Tamao. Preuve en était du signe qu’il venait de lui faire, alors qu’il s’était installé au coin du lit : sa bite encore bien dure.

Mais ça signifiait également beaucoup pour les fantasmes de la bourgeoise. Elle ne savait pas l’expliquer, mais voir une femme souillée de cette façon faisait battre son cœur plus fort. Provoquait plus de chaleur dansa son corps.

Elle commença alors à se rapprocher du lit. Elle lui sourit.

Ses genoux s’enfoncèrent dans le matelas épais. Et elle s’approcha de Tamao allongée. La japonaise était complètement vidée de ses forces, mais remplie de ses orifices.

Lissandre souri une nouvelle fois à Clad.

*C’est moi ici qui contrôle le rythme. C’est moi qui décide. Je suis la réalisatrice. *

Alors la bourgeoise lécha les lèvres de Tamao qui restèrent immobiles. Seul un petit halètement lui répondit.

Lissandre releva les yeux pour regarder de nouveau l’homme tatoué. Et elle revint à sa tâche actuelle. Elle progressa vers les petits seins souillés. De ce fait, sa propre poitrine frotta sur le visage de Tamao.

De sa langue, la bourgeoise commença à nettoyer la poitrine. Elle prenait son temps. Elle ne comptait plus le nombre de regards de défi et de joie malicieuse qu’elle lançait à Clad. Sa langue tournait autour des tétons dures de Tamao. Elle les suça et resta relié quelques secondes par des filets de bave.

*Je vais te rendre fou, mon petit yakuza. Tu vas me livrer une prestation mémorable ! *