You're mine, and you always be mine... [PV]

De longs cheveux violets, c'est ce qu'on aperçoit en premier chez elle. C'est assez impressionnant de voir la quantité qu'elle a de cheveux, longs et fins, et surtout lisses. Elle savait que sa chevelure soyeuse attirait bien des regards, et elle n'avait aucune gêne à cela. Elle dévisageait les personnes avec calme, et supériorité. Vous vous dites alors : "mais, c'est une gorgonne, alors elle les transforme tous en statue !". Eh bien non ! Cette gorgonne, car c'en est bien une, est tout à fait capable de contrôler son pouvoir. C'est assez utile dans certaines situations, n'est-ce-pas ? Cette femme avait une particularité, elle aimait avoir les plus belles créatures pour elle. Par "créatures", elle ne parlait pas d'animaux. Non, elle collectionnait les plus belles jeunes femmes, les gardait jalousement pour elle seule. Elle les transformait, peu à peu, en statues qu'elle affichait sans gêne dans son jardin. Jeanne, car tel est son nom, savait faire ses coups en douce et ne jamais se faire découvrir. Et puis, qu'avait-il de mal à profiter de la beauté que la Nature mettait à sa disposition ? Elle voulait avoir tout pour elle, et uniquement les plus belles femmes. Et justement, elle avait toujours réussi à arriver à ses fins, rendant ses prisonnières dépendantes d'elle. Quitte à déclarer qu'elle les achetait, après tout elle pouvait se le permettre. Elle avait récemment entendu parler d'une jeune femme, religieuse qui plus est, qui pourrait l'intéresser. Elle s'était renseignée, et en effet, la jeune femme correspondait parfaitement à ce qu'elle voulait. Jeune, fraîche, bien formée et belle. Très belle, avec ses cheveux bleus coupés courts et ses yeux de la même couleur. Elle avait étudié un peu ses habitudes, sa façon de vivre, et elle avait trouvé la combine parfaite. Elle se dirigeait vers son objectif, chez la demoiselle. Elle frappa doucement à sa porte, prenant un air religieux.

Quand la porte s'ouvrit, elle fut alors certaine de ne pas se tromper. Claire était vraiment très belle, et elle plut aussitôt à notre futanari. Elle esquissa un sourire, faisant toujours mine d'être croyante. Elle avait les mains jointes devant elle, et un sourire simple sur le visage. Elle pencha légèrement la tête, venant alors prendre la parole en restant sur le pas de la porte :

Bonjour, excusez-moi de vous déranger... J'ai entendu parler de votre connaissance dans le domaine religieux, et je suis venue vous demander si vous accepteriez de m'accompagner dans ma demeure afin de m'en apprendre plus sur la religion.

Elle espérait que la jeune femme serait assez naïve pour croire à son histoire.

Il faisait beau ce jour-ci, cela ne faisait aucun doute. Un magnifique soleil, qui certes, allait mal avec le temps froid, on va bien l’avouer. Mais dans ces mois d’hiver, il fallait pas imaginer qu’un soleil était synonyme de chaleur. Pour tout dire, il faisait même généralement plus froid quand le ciel était dégagé que quand le ciel était couvert. Ce sont des raisons métérologique et surtout physique, et j’ai pas le niveau ni l’envie de vous l’expliquer. Ainsi, ce genre de journée montrait du monde dans la rue, mais du monde qui était couvert. Souvent bien emmitouflé les gens avaient le regard attiré par des personnes qui tiraient leur originalité, on ne va pas le cacher. Et une personne aux cheveux violettes, ça attire le regard, bien entendu, dans une ère peuplé de personnes aux cheveux bruns, marrons, noirs, et blonds parfois. Il y a des roux aussi ne les oublions pas. Mais n’allons pas trop vite.

L’un des lieux très occupés, de la ville, c’est bien entendue le MacDonald. Mais on va pas parler du MacDo, parce qu’on en a rien à faire, pour être poli. Nous, un autre endroit très occupé, c’est bien entendue l’église ! Ou même, soyons franc, la Cathédrale. La différence, c’est le big boss du lieu quoi. Chef d’oeuvre d’architecture, elle attirait énormément de gens tout les jours… Mais pas vraiment pour des raisons religieuses, plutôt des raisons doubles. Déjà, c’était un super lieu pour se retrouver entre potes… Avant d’aller faire quelques choses de plus intéressant. Ouais, car bien entendu, vous devinez bien que bah, ils allaient pas après dans la Cathédrale. C’était juste le lieu pour se retrouver. Enfin, les amoureux d’art, pas tant de religion, qui venait voir cette merveille de pierre et de verre, admirant contrefort et voutes. Bref, un lieu qui devenait plus apprécié pour sa nature même que sa raison.

Mais nous ne sommes pas à la cathédrale ! Et ouais, cette intro vous a trompé. Et j’ai même pas honte. Nous sommes plus loin, dans la ville, et même dans la banlieue. Dans un tout petit appartement, assez maigre avec pas grand-chose. C’était très sobre, mais on remarquait plusieurs symboles religieux, plusieurs livres, et quand je dis plusieurs, c’est énormément… bref, un ensemble qui vous le devinez, n’était pas le dealer de drogue de cette petite banlieue tranquille… Mais le logement de Claire, notre protagoniste de la journée. Cette jeune religieuse vivait là, et là, était dans sa tenue habituelle de religieuse. Pourquoi cela me demanderiez vous étonné ? Et bien tout simplement car la jeune femme partait justement vers la Cathédrale. Elle avait un temps libre, donc, autant en profiter pour prier pour l’âme de quelques mécréants ! Après tout, c’est aussi ça, son rôle… Quand soudain, quelqu’un vint à sa porte...

Bonjour, excusez-moi de vous déranger... J'ai entendu parler de votre connaissance dans le domaine religieux, et je suis venue vous demander si vous accepteriez de m'accompagner dans ma demeure afin de m'en apprendre plus sur la religion.

« Oh ? C’est… Formidable ! »

Claire fut extrêmement heureuse d’entendre… Elle en oublia même de dire bonjour. Mais pourquoi était-elle si contente ? Et bien, faut bien imaginer que la religion se cassait un peu la gueule ses dernières années, à cause de plus en plus d’athée. Les églises se vident, et surtout, restent bien souvent remplies uniquement de personnes qui deviennent de plus en plus âgé avec le temps… Vous imaginez bien. Donc voir une jeune femme, comme ça, être intéressée par la religion, et qui demandait justement un peu de son temps, juste pour en savoir plus ! Et bien, elle se devait de remplir ce rôle ! Que Jeanne soit heureuse ! Elle avait ici la lumière sacrée qui venait jusqu’à elle, sous la forme de Claire, et elle allait pouvoir apprendre beaucoup de choses ! Claire s’imaginait déjà des choses, en voyant en Jeanne une amie proche, qui la rejoindrait dans les ordres… Oh, calme toi Claire ! Ce n’est qu’une sympathisante au mieux ! Bref, ainsi, Claire déclara, totalement radieuse :

« Je vous suit ! »

Ni crainte, ni méfiance chez elle, elle prit juste bien son sac et ses clefs, pour emporter tout ses papiers, TOUS, et ses clefs… Bref, une très mauvaise action pour une jeune femme qui allait complètement disparaître. Mais que voulez-vous ! Elle ne pouvait pas le savoir ! Elle ne savait pas ce qui lui attendait. La jeune femme aux cheveux bleu ciel donc avait tout sur elle, et pouvait donc accompagner Jeanne vers chez elle, quelques soit le moyen de transport ! Ouais, la naïveté était à ce point, mais que voulez-vous, elle se sentait transporter par sa foi, par ce qu’elle voulait accomplir… Et puis, il faut bien l’avouer, Jeanne était belle. Hors, quand une personne est belle, t’as bien plus confiance en elle que quand une personne est laide. C’est classique de chez classique ! Ainsi, Jeanne parlait donc :

« Moi, c’est Claire. Je suis si contente ! Vous savez, la religion intéresse de moins en moins de nos jours… C’est triste ! Vous semblez vous intéressé, j’en suis contente. Donc, on va chez vous ? Allons-y ! »

Mais quelle pipelette… La jeune femme, elle avait 20 ans, avait eu un copain avant de rentrer dans les ordres à l’âge de 17 ans. (Ouais, elle a eu son copain à 16 ans, je vous rassure, et je rassure notre chère Jeanne, elle est encore vierge et pure) Pourquoi je vous explique cela ? Et bien l’une des raisons de leur rupture, c’était qu’elle parlait tout le temps… mais tout le temps ! Et donc, que le fameux copain, il en avait eu ras le cul ! Et parfois ça se comprends car t’as des gens qui abusent niveau blabla inutile et tout le temps ! Bref, donc, Notre chère Claire était en compagnie de Jeanne, et comptait bien lui parler, encore et encore, de sa religion, de ces croyances, et de ses pensées… Espérons que Jeanne allait tenir le coup, car ça risquait d’être vite insupportable. Mais bon, la patience permet de tout endurer, quand on sait que la récompense sera grande… n’est-ce pas ? Oui, bien sur…

Oh ? C’est… Formidable !

La réaction de la religieuse ravit les oreilles de notre gorgonne. Elle eut un sourire, alors que la jeune femme n'avait même pas salué la belle femme. Celle-ci sourit grandement, faisant mine d'être honorée qu'une jeune religieuse lui fasse partager son savoir sur l'Eglise. Et puis, ce serait au tour de Jeanne de faire partager sa religion, la luxure. Elle ne jurait que par ça, elle aimait déflorer toutes ses captures, et elle comptait bien faire de même avec la fille aux cheveux bleus. Elle fit un léger salut de la tête, alors que la religieuse semblait s'imaginer des tas de choses. Qu'elles allaient être les meilleures amies du monde, qu'elle irait à l'église tous les jours et même qu'elle vénérerait Dieu comme son unique supérieur ? Certainement, mais tout cela était dans la tête de la jeune femme. Parce que Jeanne, pour sa part, s'imaginait déjà fourrer tout un tas de choses vibrantes ou non dans tous les orifices de cette jeune demoiselle. Elle était patiente, mais rien que cette idée lui donnait terriblement envie de commencer les choses rapidement. Notre dominatrice fut très contente d'entendre que la jeune femme la suivait, en prenant le nécessaire. C'est à dire la totalité de ses papiers, et ses clés. Oui, elle avait pris tous ses papiers, ce qui faciliterait le kidnapping. Enfin, ce n'était pas vraiment un kidnapping puisqu'elle la suivait volontairement chez elle. Après, ce qui se passait dans l'enceinte de ses murs, dans sa propriété, cela ne regardait personne d'autre qu'elle. D'ailleurs, elle montrait la direction de sa maison, se plaçant à la droite de la jeune femme. Elle prenait une posture tout ce qu'il y a de plus banal, les mains devant elle, tout en marchant. Elle était plus grande que la religieuse, qui d'ailleurs ne tarda pas à rectifier un léger oubli qu'elle venait de remarquer :

Moi, c’est Claire. Je suis si contente ! Vous savez, la religion intéresse de moins en moins de nos jours… C’est triste ! Vous semblez vous intéressé, j’en suis contente. Donc, on va chez vous ? Allons-y !
Enchantée, Claire. Je m'appelle Jeanne, et je suis aussi très heureuse de rencontrer une personne pouvant m'en apprendre plus sur la religion !

Elle menait la marche, d'un pas tranquille, en direction des maisons qui étaient en sortie de ville. Cela aurait pu alerter quiconque, mais Jeanne détourna l'attention de la jeune religieuse en lui demandant, l'air tout à fait intéressée par tout ce qu'elle venait de dire :

Vous allez à l'église tous les jours, Claire ?

Elle savait que relancer ainsi une jeune femme aussi pipelette endormirait sa crainte, alors qu'elle ne pensait qu'à une chose : enfourner son pénis dans la bouche de cette bavarde pour la faire taire.

Claire était enchantée, on sentait qu’elle était radieuse, et que cela faisait longtemps qu’elle avait pas été aussi heureuse. Et vous savez quoi ? Claire était loin d’être une fille constamment malheureuse, limite gothique ! Non, au contraire, elle était plutôt une jeune femme ayant tendance à être heureuse, et à montrer sa joie… Mais là, c’était la première fois qu’elle avait enfin une personne avec qui elle sentait qu’elle allait pouvoir être extrêmement joyeuse, qu’elle allait pouvoir partager ses passions. Elle avait eu des amis, même un petit copain, comme dit précédemment… Mais voilà, il fallait bien imaginer que cela avait toujours été proche, mais sans partager ses passions. Faut dire quand tes passions se contentent de lire les textes sacrés, et c’est tout… Bah, mate tes fêtes de merde…

Enchantée, Claire. Je m'appelle Jeanne, et je suis aussi très heureuse de rencontrer une personne pouvant m'en apprendre plus sur la religion !

Donc, elle s’appelait Jeanne ! Quelle beau nom, cela ne faisait aucun doute que cela serait une grande religieuse avec un tel nom… N’est-ce pas ? Bon, d’accord, le nom n’avait pas forcément de poids ! Mais voilà ! En plus, elle trouvait que ça approchait presque de « Claire », dans le sens symbolique ! En plus, elle était heureuse qu’elle allait en apprendre plus sur la religion ? Franchement, c’était géniale. Elle était contente de voir des gens motivées ! Et cela, c’est très important. Elle disait toujours « La motivation, c’est le plus important pour une bonne religieuse ! » Et là, elle voyait. Mmh… Elle allait devoir lui apprendre beaucoup de chose, il faudrait qu’elle sache où elle en était…

Vous allez à l'église tous les jours, Claire ?

« Oui ! Depuis… 14 ans ? Ouais, c’est ça ! »

Et ouais, quand on sait qu’elle avait 20 ans, bah, ça voulait dire qu’elle était dans les Lieux divins depuis l’âge de six ans.. T’imagines, depuis que t’as l’âge de six ans, tu te retrouves à devoir constamment aller dans l’église… C’est trop chiant non ? Bref, ainsi, elle, elle avait grave kiffer ça. Faut dire, avec sa grand-mère, qui était décédée l’an dernier, et bien, elle avait été bercée dans la religion. Elle avait lu les textes sacrées, elle avait travaillée là dessus… Faut même dire que son premier livre, cela avait été les textes sacrée ! Donc, ainsi, quand on lui posait la question si elle allait à l’église tout les jours, cela ne faisait aucun doute que ouais, elle y allait constamment. Même quand ce n’était pas nécessaire, quand il n’y avait pas de cérémonie… Mais la question… pourquoi n’allait-elle pas

« Enfaite, mes parents n’étaient pas croyant du tout ! Ils étaient même, paix à leur âme, des hérétiques ! Leur dernier sort fut terrible, ils… Enfin, ils étaient en voiture et là ils ont fais l’amour… Et … Un accident… Enfin… Bref, c’était il y a longtemps… Oh pas d’inquiétude ! J’ai fais mon Deuil, et ils sont dans un monde meilleur ! »

Elle parlait, sans trop de soucis maintenant de ce qui lui était arrivé. Faut dire, encore une fois, cela faisait 14 ans… Mais je vous connais, vous voulez savoir comment tout ça est arrivé ! Et bien, enfaite, son père avait demandé… Une petite pipe. Alors qu’il conduisait. Pour cela, et bien, ils s’étaient arrêté sur la bande d’arrêt d’urgence, et elle s’était installée entre ses jambes… Et il avait recommencé à conduire. Ouais, je sais ce que vous vous dites « Mais c’est complètement con ! » Et bien, était arrivé ce qui était arrivé. Notre chère Claire l’avait appris très vite, à l’âge de 12 ans, car sa grand-mère voulait expliquer pourquoi sa fille et son beau-fils avait été puni par la volonté divine ! Et depuis, donc, elle avait vécu son l’apprentissage de sa grand-mère, puis finalement, dans sa propre voix depuis la mort de la dite grand-mère… Toujours aussi bavarde, la fameuse Claire déclara :

« Je suis sûr que vous serez la bienvenue ! Je vais tout vous expliquer ! Ca sera géniale ! »

Oh que oui, ma chère Claire, ça sera géniale… Mais pas du tout pour les raisons que tu penses. Elle marchait tranquillement au près de sa future ravisseuse, et voilà qu’elle allait bientôt malgré elle rejoindre le même milieu que sa mère : Celui de grosse salope. Ok, c’était contre son gré, mais chut, n’allons pas plus vite que la musique ! Pour le moment, elle marchait toujours en compagnie de son interlocutrice. Elle se demandait où vivait la fameuse Gorgone (elle n’avait aucune idée, je tiens à préciser que celle-ci était une gorgone. Elle n savait même pas ce que c’était une gorgone)… Elle était très bien habillée, peut-être que cela voulait dire qu’elle était riche ? Elle n’en n’avait aucune idée, mais sans doute qu’elle allait bientôt le savoir ! Vivement !!!

Oui ! Depuis… 14 ans ? Ouais, c’est ça !

14 ans ? Pauvre gamine, son adolescence avait dû être terrible ! Vivre sans rien connaître au sexe, au plaisir qu'on éprouve quand on se fait caresser de la bonne manière... Elle allait remédier à ça, mais d'abord elle se devait de l'attirer chez elle. Ce fut assez simple en soi, elle avait été assez crédule pour croire qu'elle voulait apprendre pleiiiiin de choses sur la religion. Mais elle s'en foutait, notre Gorgone, elle voulait en faire sa chose. Elle continuait d'écouter la bavarde qui lui expliqua que ses parents n'étaient pas croyants du tout. Et quand elle continua, la Gorgone comprit qu'ils étaient décédés, les "hérétiques". Un accident alors qu'ils faisaient l'amour, apparemment, mais la jeune femme affirma qu'elle avait fait son deuil et qu'il étaient dans un monde meilleur. Parfait, dans ce cas ! Elle avait vraiment l'air toute excitée de raconter à Jeanne tout ce qu'elle connaissait, et celle-ci se disait que ce serait fort long. Elle avait 14 ans de religion derrière elle, et elle comptait lui parler de tout. Et vu qu'elle était bavarde, aucun doute sur le fait qu'elle se perdrait dans des explications inutiles, et tout ça. La religieuse affirma alors que la femme serait la bienvenue dans la maison du Seigneur, et qu'elle allait tout lui expliquer. Par contre, notre Jeanne avait un gros doute sur le côté génial de la chose. Elle fit cependant un mouvement de tête, reprenant son air de croyante et intéressée. Inutile de préciser qu'en fait, elle se foutait totalement de Dieu et tout ce bordel. Elle voulait juste montrer à la jeune femme comment on vivait dans le vrai monde, et lui apprendre tout ce qu'elle savait. Mais chhut, faut pas le dire. Rapidement, la maison fut en vue. La Gorgone entra alors, poussant Claire devant elle. Les différentes statues des femmes les plus mignonnes qu'elle avait eues devait présager quel sort attendait Claire.

Mais pour l'heure, Jeanne voulait profiter de sa nouvelle compagnie. Elle la poussa à l'intérieur, sentant alors qu'elle n'allait pas tenir bien longtemps. Sans laisser à la jeune femme le temps de sortir ses affaires de religieuse, elle s'approcha d'elle. Elle la conduisit dans son salon, lui offrant une tasse de thé. Quoi de plus normal que de discuter autour d'une boisson chaude ? Mais surtout, elle avait glissé dans cette boisson un aphrodisiaque qui allait vite rendre la jeune fille moite et excitée. Ce serait amusant de voir comment elle réagirait à tout ça, mais surtout... Jeanne comptait commencer à la préparer innocemment avant que l'aphrodisiaque ne fasse effet. Elle se positionna dans le dos de la demoiselle, derrière le canapé, et vint tout doucement glisser ses mains sur sa poitrine, alors que la jeune fille avait déjà bu une gorgée de sa boisson. Il ne restait plus qu'à attendre que tout fasse effet. Et pendant ce temps, elle massait habilement les seins de la religieuse, en lui murmurant à l'oreille :

Laisse-toi faire...

Elle était si contente ! On allait bien l’avouer, Claire n’avait pas eu la vie toujours la plus agréable du monde… Bien souvent, cela avait été une vie un peu terne, pas très intéressante, centrée sur la religion… Des choses de la vie ? Elle ne connaissait quasiment rien ? Des amis ? Oh, elle en avait beaucoup, mais celle-ci avait toutes le double, voir le triple de son âge ! Bref, c’était des personnes agés qui ne pouvait guère comprendre certaines choses qu’une adolescente aurait vécu… Son adolescente fut difficile à cause de cela, mais à chaque fois, aux yeux de la jeune fille, ce n’était pas la religion le coupable… mais elle. Donc, trouver une femme de son âge, qui l’amenait vers chez elle… Et bien, cela ne pouvait qu’être qu’une bonne chose non ? Ouais, bien entendue… Bien entendue…

Quand elle entra, elle comprit un peu qui était son interlocutrice… OH MON DIEU ?! Elle aurait compris qu’elle aurait à faire à une gorgone ! Quel intelligence et… oh non, calmez vous… Ce n’était pas du tout ça… Elle avait compris qu’elle était en face d’une… Grande amatrice d’art ! Et ouais, elle voyait toutes les statues, et elle n’imaginait pas du tout que cela aurait pu être des femmes. Elle était un peu, pas trop quand même, choquée par l’apparence de ces statues… Des statues de femmes toutes nues, et dans des positions parfois très obscène… Mais que voulez-vous ? C’était le choix des artistes… Bref, alors qu’elle était dans le salon, elle avait bu du thé… Et voilà qu’il se passait quelques choses...

Laisse-toi faire...

« Je… Non, ce n’est pas bien, arrêtez... »

BON DIEU ! Mais que se passait-il ? Et bien, elle se faisait attoucher ! Et ouais… pour le moment, sa poitrine était donc au centre des attentions, étant donné qu’elle était le lieu de concentration des actions de la femme. En arrivant, après avoir déposé ses affaires, elle s’était installée sur le canapé, et avait commencé à boire le thé qu’on lui avait proposé. Elle ne s’était douté absolument de rien. En effet, elle trouvait ça totalement normal, quand on accueillait quelqu’un, et bien, de le recevoir avec un peu de thé. N’est-ce pas ? Ouais, totalement, vous avez raison. Bref, elle avait bu le thé, puis progressivement, voilà, que son invitée commençait à la toucher ! Tout en disant de se laisse faire, sauf que non ! Non ce n’était pas bien ce qui se passait, elle ne devait pas se laisser faire… Mais...

« Mmh… C’est... »

Oh ? Oh ? Les gestes pour tenter d’empêcher de se faire toucher disparaissait, tout comme la protestation dans la voix… Elle semblait même apprécier cela… Cela s’entendait, vu son « mmh », qui voulait tout dire, cela ne fait aucun doute… Mais croyez-moi ou non, et bien, il y avait quelques choses d’autres. Quoi donc, me demanderiez vous ? Et bien, le fait qu’elle était entrain de se faire pelotter, oui, mais en plus, et bien, elle commençait à durcir ! Non pas que la transformation en statue commençait, hein, je vous rassure… Non, c’était ses tétons qui commençaient à durcir, mais vraiment… Montrant que malgré ses premières déclarations, et bien ce qui se passait… Elle était loin de ne pas aimer ça… Elle aimait même bien cela… donc, cela l’amena à commencer à déclarer, en proie à des doutes sur elle-même !

« Je me sens bizarre, j’ai chaud… C’est quoi…? »

Ce qui est terrible (et très bien, tout dépends du point de vue) avec l’aphrodisiaque, c’est qu’il est de moins en moins puissant plus t’en prends souvent. Comme énormément de médicaments d’ailleurs. Pourquoi cela ? Et bien, car c’est comme les antibiotiques. Ce n’est pas automatique ! Plus t’en prends, plus ton corps s’habitue, et donc, en toute logique, moins c’est efficace. Vous comprenez un peu le principe ? Donc, pourquoi j’en parle ? Car ça marche dans les deux sens. Si quand vous êtes habitué, c’est peu efficace… Alors quand vous n’êtes absolument pas habitué, c’est… C’est… ? Et oui, vous avez totalement raison ! C’est extrêmement efficace ! Et ouais ! Donc, chez Claire, c’était très efficace, elle sentait excitée comme jamais elle l’avait été, et voilà qu’elle mouillait, même, tachant sa culotte… Oh la honte ! Et en plus, elle était encore toute habillée… Mais pas d’inquiétude, cela allait sans doute être vite réglé…

Je… Non, ce n’est pas bien, arrêtez...

Comme elle s'y attendait, la belle religieuse protestait. Pourtant, la Gorgone continuait de masser sa belle poitrine, tenant fermement ses deux seins en main en offrant à Claire des sensations encore nouvelles. Elle avait beau protester, elle n'essayait pas de se dégager de sa poigne, ou bien de s'éloigner. Non, elle restait docilement assise sur le canapé, alors que les mains de Jeanne se faisaient plus inquisitrices encore. Elle vinrent très lentement défaire son haut, avec une habileté presque déconcertante, pour pouvoir mieux la toucher. Elle s'imaginait déjà la douceur de sa peau, la dureté de ses petits mamelons de chair qu'elle soignerait  bien comme il fallait... L'aphrodisiaque faisait son effet, parce que la jeune femme commença à doucement lâcher un gémissement. Elle aimait ça, qu'une femme dominante comme Jeanne s'occupe de ses seins avec douceur. Mais la douceur n'était que le début de sa torture. Elle ne le savait pas encore, mais la femme avait de sombres projets pour elle. Suite à son gémissement et son "c'est" qu'elle coupa en pleine phrase, la belle aux cheveux violets murmura dans son oreille :

Laisse-toi faire ma chérie...
Je me sens bizarre, j’ai chaud… C’est quoi…?

Parfait ! L'aphrodisiaque faisait son effet à merveille, et vu comment la jeune femme était, elle n'avait encore jamais rien fait. Alors la Gorgone fit le tour du canapé, venant prendre place à côté d'elle. Une de ses mains attrapa la cuisse la plus éloignée, venant alors pivoter le corps de la croyante pour qu'elle se retrouve à cheval sur Jeanne... Et totalement à sa merci. Jeanne continua son massage de face, pouvant alors profiter pleinement du beau visage de la demoiselle qui avait envie. Elle le sentait, sur ses cuisses, la mouille de la jeune femme était présente. Elle pinça ses tétons avec vigueur, ils étaient déjà terriblement durs. Elle s'occuperait de Claire avec attention, comme son petit chien, mais pour l'heure elle devait régler son petit souci d'excitation. Elle approcha sa bouche de son oreille, avant de murmurer :

C'est une potion magique qui te donne chaud, et qui te donne très envie de faire l'amour... Est-ce-que ça te plairait de le faire avec moi, ma puce ?

Elle travaillait ses mots, sa façon de parler, et ponctua même sa dernière phrase d'un baiser sur sa mâchoire. Lentement, mais sûrement, les lèvres de la dominatrice descendaient sur le corps de la plus jeune. Et, finalement, elle arriva au niveau de sa poitrine. Sans se gêner, elle posa la pointe de sa langue sur son téton droit, le titillant avec douceur. Sa main venait de glisser entre les cuisses de la jeune femme pour profiter de la chaleur et de l'humidité qu'elle procurait.

Totalement néophyte dans les choses de l’amour, elle ne comprenait pas exactement ce qui se passait avec son corps… Mais attention, elle comprenait ce qui se passait avec son interlocutrice ! Et ouais ! Ce qui se passait… Bah, c’est qu’elle était entrain de se faire violer ! Elle se souvenait de toutes ses mises en garde, qu’on trouvait dans les rues, dans les livres, partout… Elle s’était toujours dis « Mais ça n’arrive qu’aux autres... » Et ouais, sauf que… Bah non, vu que cela t’arrivait ! Et ouais, elle était entrain de se faire violer… Mais qu’est-ce qui se passait exactement ? Normalement, dans un viol on souffrait, on se débattait… Pourquoi… Pourquoi tout cela n’était pas entrain de se passer ainsi ? Oh mon dieu elle n’avait aucune idée de ce qui se passait, et cela la faisait paniquer… Quelques peu… Heureusement des explications arrivaient. J’ai dis heureusement ? Oups !

C'est une potion magique qui te donne chaud, et qui te donne très envie de faire l'amour... Est-ce-que ça te plairait de le faire avec moi, ma puce ?

« Non... »

Oh… Ceci était le « non » le moins convaincant de l’histoire des non. Non mais sérieusement, on sentait qu’elle disait ça pour la forme, car ces croyances, ce qu’elle pensait, et bien, tout cela l’incitait à ne pas, justement, accepter cette proposition. Mais je vous dis droit dans les yeux, ce non, c’est du flan. Mais du gros flan… Car c’était comme si… C’est comme si au fond, le « non » n’était pas tant voulu que cela, comme si elle disait non, mais qu’enfaite elle voulait ! Après tout, on disait souvent « non mais quand on dit non, c’est qu’au fond, on a envie de dire oui »… Bref, quoiqu’il en soit, il était évident qu’elle n’avait pas spécialement envie que cela s’arrête, et elle avait au contraire envie… Mais ce qu’elle disait, et bien, ce n’était pas exactement la même chose, et elle continua...

« Non, ce n’est pas bien arrêter, franchement… Je… Je ne devais pas être là pour ça à la base... »

Mais voilà, il y a le « sur-moi » qui agit ! Alors, je vous explique. Selon Freud (oui oui, on va parler de psychanalyse, mais vous inquiétez pas, c’est niveau L1, à peine) il existe trois niveau de conscience. Le « moi » qui en gros, est votre état conscient… Le « ça », qui est votre inconscient. C’est ce que vous voulez inconsciemment, mais que la société, votre éducation, tout ça vous empêche de le faire. Et le « sur-moi », bah c’est ça, ce sont les chaînes qui vous retient. Vous devinez que dans le cas d’une religieuse, bah, évidemment, le « sur-moi » est assez important, étant donné que toute son éducation avait été basé sur le refoulement, un principe bien connu des religieux, si vous voulez mon avis.

Mais là, l’aphrodisiaque était bien puissant, et les gestes de la demoiselle étaient les bons, au bonne endroit. D’abord, ses mains avaient joués de ces seins, et puis, progressivement, l’habit de la religieuse était tombé, sans qu’elle apporte une grande résistance, ce qui est déjà louche, si vous voulez mon avis. Mais maintenant, non seulement la main s’était délocalisé et commençait à lui apporter du plaisir dans l’endroit le plus intime, mais en plus… Voilà que la langue commençait à s’amuser aussi de son côté ! Bon sang de bonsoir, c’était redoutable, comme ça, une double attaque, on sentait qu’il n’y avait aucune chance qu’elle résiste. D’ailleurs, telle une armée face à un balai, et bien, elle ne pouvait que se rendre.

« Mmh… C’est si bon… Ne… Ne m’écoutez pas, con… Continuez... »

Elle était rouge et honteuse de dire ça, mais voilà, c’était dit. Elle voulait que ça continue. Ok, ce n’était pas bien du tout, et voilà qu’elle faisait quelques choses qui était contraire à son éducation et ce qu’on lui avait dit de croire… mais… Mais voilà, c’était pas très grave non ? Elle allait faire ça, puis elle se confesserait, elle ferait ce qu’elle doit faire pour se faire pardonner, et surtout, elle ne se ferait pas reprendre une deuxième fois. Elle serait plus méfiante. Elle s’était faite avoir, et voilà, c’était vraiment trop de plaisir. Un peu comme quelqu’un au régime qui abandonnait juste pour un repas, et qui mangeait trop… Voilà, elle se disait que cela n’arriverait pas une seconde fois, et qu’elle se ferait pardonner ainsi… La pauvre, elle ne savait pas ce qui lui attendait… Et ouais, elle ne se rendait vraiment pas compte, visiblement…

Non...

Jeanne se mit doucement à sourire. Elle massait avec habileté la jolie poitrine de sa compagne, torturant ses petites pointes roses tendues, avec une expérience visible. Elle avait bien compris que cette réponse n'était là que pour la forme, et que même la chrétienne n'y croyait pas. Elle avait envie, elle aussi, et cela se lisait dans son regard. La dominante jouait avec elle, avec son corps, n'écoutant pas son petit "non..." qu'elle avait lancé pour se donner l'air d'une chrétienne parfaite. D'ailleurs, la plus âgée vint murmurer à son oreille :

Oh, ma chérie, même toi tu n'y crois pas... Essaye d'être un peu plus convaincante, quand même...
Non, ce n’est pas bien arrêter, franchement… Je… Je ne devais pas être là pour ça à la base...

Elle se retint difficilement de rire. Elle croyait vraiment qu'elle avait l'air plus crédible ainsi ? Bon, d'accord, un poil plus, mais Jeanne ne comptait pas la laisser échapper à ses caresses sensuelles. D'ailleurs, elle l'avait bougé pour la positionner à cheval sur ses cuisses. Ainsi elle avait un meilleur accès à tout son corps, et ce fut une bonne chose. La jeune religieuse se laissa même déshabiller avec une docilité qui fit sourire notre Gorgone. C'était une preuve que l'aphrodisiaque fonctionnait parfaitement sur elle, et cela ne fit qu'enchanter davantage Jeanne. Bientôt, cette petite religieuse n'aurait plus besoin d'aphrodisiaque, elle viendrait d'elle-même quémander auprès de sa Maîtresse des gestes sexuels, rien que pour soulager ses envies. Jeanne connaissait les moyens de faire succomber une jeune fille pure et encore vierge, sans doute n'avait-elle jamais été touchée de sa vie. Mais elle comptait remédier à ce petit problème, avec une grande simplicité. Elle léchait son téton, tout en caressant ses lèvres intimes qui, mine de rien, étaient humides. Et cela fit son petit effet, car la religieuse finit par baisser les armes :

Mmh… C’est si bon… Ne… Ne m’écoutez pas, con… Continuez...

Jeanne ne se fit pas prier. Elle enfonça alors un doigt lentement entre les lèvres intimes de la jeune religieuse, venant apposer ses lèvres autour de sa pointe de plaisir de sa poitrine, tandis que son ultime main venait torturer à son tour l'autre téton. Elle calquait les gestes de sa main sur ceux de sa bouche, faisant rouler le téton entre ses doigts, tirant dessus quand elle faisait de même avec ses dents, et venant sans gêne laisser des bruits lubriques sortir de sa bouche. Elle aspirait son téton avec envie, tout en continuant de découvrir son intimité d'un doigt. Mais celui-ci fut rejoint d'un second, et alors elle masturba la religieuse avec vigueur. Et elle finit par murmurer à Claire :

Jouis, ma chérie... Jouis pour ta Maîtresse... Et désormais, tu m'appellera ainsi, compris ?

Elle enfonça de nouveau ses doigts en elle, reprenant sa torture buccale sur son téton.

C’était mal ! C’était mal ! C’était très mal ce qu’elle faisait, elle le savait bien, elle le savait que trop bien, mais elle ne pouvait rien faire, elle était piégé comme le moucheron qui n’arriverait plus à sortir de la toile d’araignée formée juste là… Elle était coincée, car non seulement elle n’arrivait pas à sortir, cela, vous l’avez compris, mais… Mais en plus, son esprit n’avait pas envie de céder, son esprit lui disait qu’elle devait continuer, et que… C’était pas si grave, si une fois, elle décidait de céder et d’aller à l’encontre de toute son éducation… ! Ce n’était pas si facile, et on sentait qu’elle avait tout fait pour ne pas céder… Mais son interlocutrice était si douée avec ses mains, ses doigts, elle était vraiment très… Trop doué… Beaucoup trop doué pour que les maigres défenses de notre religieuse puisse marcher ! Ainsi… Presque comme le coup assassin final,

Jouis, ma chérie... Jouis pour ta Maîtresse... Et désormais, tu m'appellera ainsi, compris ?

« Je… Bien… Je suppose... »

Ouah ! Elle acceptait si vite ! Et bien quel manque de résistance ? Cela ne faisait aucun doute que visiblement, notre chère religieuse mettait quand même peu de tentatives à ne pas céder ! Que dirait Dieu devant si peu de foi ? Hein ? Si cela avait été une épreuve du Très Haut, elle l’aurait échoué mais si vite… Si vite… Franchement, c’était décevant ! Mais voilà, elle ne savait pas trop comment réagir, et elle avait trop de plaisir qui engourdissait son esprit… Dans cet état, elle avait du mal à réfléchir sereinement à la situation, elle allait bien l’avouer… Et qui a du mal à réfléchir, à tendance à prendre de mauvaise décision. Ouais, c’est logique, non ? Bref, ainsi, elle déclarait sous l’emprise et la servitude du plaisir…

« C’est si bon… Si bon... »

Il fallait le dire clairement… Elle n’avait aucune chance de résister ! Que cela soit ses seins ou son intimité, voilà qu’elle était prise de tout les côtés… Et le saviez-vous ? Et bien, Clair ne s’était jamais touchée de sa vie ! Non, elle était entièrement vierge, même de tentative ! Voilà, donc, vous imaginez bien à quel point elle devait être sensible ! Voilà qu’elle se faisait torturer de plaisir, et qu’elle ne savait nullement comment se défendre, à part en l’acceptant, en acceptant ce qui se passait, comme si c’était normal ce qui lui arrivait. Bon sang, elle se tortillait, tentait de bouger, mais elle ne pouvait rien faire, à part gémir de plus en plus fort, pousser des petits couinement de plaisir, des petits cris extatiques… Et finalement, un long soupir qui s’accompagna de ces fameuses déclarations…

« Ah maîtresse ! »

Et après quelques temps l’avoir promis, elle le déclara enfin ! Et pas à n’importe quel moment, vu qu’elle le déclara au moment clef : L’orgasme ! Bon sang, son premier orgasme, surprise, avec plein de mouilles ! Et bien, cela avait été rapide peut-on dire, sa « maîtresse » avait été d’une efficacité absolument monstre, contre laquelle les défenses de la religieuse avait été balayé, telles les défenses françaises lors de la Seconde Guerre Mondiale quoi ! Bref, quoiqu’il en soit, elle était haletante, terrasée par son orgasme, qui avait bien mouillé le canapé, cela ne faisait aucun doute. On pouvait dire qu’elle avait bien pris son pied ! Cependant, toutes les bonnes choses ont une fin, et là, elle devait absolument prendre les devant...

« Aaaah… Voilà… on… on s’est bien amusée, mais je… Je crois que je vais m’en aller... »

Et ouais, elle savait bien ce que cela voulait dire. Voilà, elle avait été violée, mais… Mais elle pouvait toujours partir, et faire comme si tout cela ne s’était jamais passé. Voilà ! On oublie, il ne s’est rien passé dans ce monde, et elle va pouvoir reprendre sa vie de religieuse comme si de rien n’était… oh, elle ferait des prières à notre Père pour se faire pardonner, et elle chercherait à faire un pèlerinage plus tard, car là, elle avait fortement pêché en prenant son pied… Cependant, tout ce programme était bien beau, mais est-ce qu’elle allait arriver à le faire… Bien sûr que non, vous le devinez bien. Mais on peut toujours rêver, non ? Bref quoiqu’il en soit, la jeune femme était donc sur le point de tenter de se rhabiller, et vite prendre ses affaires… Sans doute que Clair n’allait pas pouvoir partir ainsi…

J’étais bien plus convaincante qu’elle, n’est-ce-pas ? J’avais rapidement deviné qu’une jeune fille de la sorte était forcément pure de tout. Pas besoin d’être devin, suffisait d’être intelligent, une petite fille catholique était forcément pure. Elle ne jurait que par Dieu, ce même Dieu qui l’avait laissée entrer dans une maison d’où elle ne sortirait pas. Elle ne le savait pas encore, la jeune chrétienne, mais cette maison serait le dernier lieu où elle vivrait. Les mains et la bouche de l’adulte s’amusaient d’elle, car après tout c’était ce qu’elle voulait. La jeune catholique elle-même l’avait admis, elle ne voulait pas que cela ne tourne autrement. Enfin, elle voulait que cela continue, mais vous avez saisi l’idée. Elle avait accepté beaucoup de choses, Claire, mais elle n’était pas au bout de ses surprises. Car Jeanne ne comptait pas la laisser lui échapper aussi facilement, vous vous en doutez. Où serait l’intérêt de l’attirer ici si c’était juste pour ça ? Elle ne comprenait pas encore ce qui était en train de se passer, mais elle ouvrirait les yeux. En attendant, la plus jeune venait de répondre à l’adulte :

Je… Bien… Je suppose...

Elle semblait déterminée à se laisser faire, ce qui ne manqua pas d’enchanter Jeanne. Elle allait en faire sa petite poupée, sa petite chose serviable, en jouant sans doute avec la religion en laquelle elle croyait tant. C’était, certes, assez sournois et machiavélique, mais pourquoi s’en priver quand l’enjeu était si… Mignon ? Elle voulait Claire pour elle seule, et elle ne serait jamais assez satisfaite pour la laisser partir avant que ce petit joyau ne soit une pierre. En attendant, les doigts de la maîtresse de maison s’amusaient entre les cuisses de la demoiselle, qui étaient de plus en plus trempées d’un liquide qui démontrait bien qu’elle adorait ça. Alors la plus âgée s’en donnait à coeur joie, lui offrant à la fois des pénétrations avec ses doigts de plus en plus profondes, mais aussi des tortures sur sa poitrine qui allaient bien vite la rendre accro à elle. Jeanne s’occupait bien de sa petite pierre précieuse, de son diamant qu’elle allait forger selon ses envies, ses désirs, et la rendre totalement nymphomane. Même si ce serait juste temporaire, puisqu’elle finirait par rejoindre les statues dans le jardin.

C’est si bon… Si bon...

Quand je vous dit que la petite n’a aucune envie de résister, vous le voyez bien. Elle aurait pu essayer de la repousser, même pour simuler, mais il n’en était rien. Elle se laissait aller, s’abandonnant pleinement aux mouvements précis et expérimentés de sa Maîtresse. Jeanne le sentait, la petite catholique laissait tomber les barrières de ses convictions, et surtout elle allait se laisser tomber dans l’orgasme. Les parois intimes de la jeunette étaient douces, encore si sensibles car c’était la première fois qu’elles se faisaient caresser de la sorte. La plus vieille y allait profondément, et surtout elle prenait soin de bien remplir l’intimité de la demoiselle avec ses doigts. Elle voulait la faire jouir, mais en beauté, avant de commencer à lui faire essayer d’autres choses. Des choses vibrantes, des plus imposantes que ses doigts fins et féminins. Après tout, en l’appelant ainsi, la catholique venait de signer une sorte de contrat mental. Elle se soumettrait à elle, elle serait sa petite chose qu’elle pourrait utiliser comme elle le souhaitait. Et alors qu’elle s’appliquait à la tâche...

Ah maîtresse !

Et voilà comment une petite fille pure et innocente s’engage sur le chemin de la luxure. Elle venait d’avoir son premier orgasme, et on peut dire que cela lui avait profondément plut. Suffisait de se fier à l’énorme tâche de mouille sur le canapé, j’ai envie de vous dire. Elle avait adoré se faire toucher, se faire prendre par des doigts, et elle n’imaginait pas ce que cela allait être par la suite. Elle se redressa, et fit mine de prendre la porte. Elle déclara même qu’elles s’étaient bien amusées, mais qu’elle croyait qu’elle allait s’en aller. Comment était-ce possible d’être aussi aveugle, hein ? Elle pensait pouvoir quitter ce lieu, comme ça, mais il n’en serait rien. Elle semblait prête à récupérer ses affaires, ce qu’elle commença d’ailleurs à faire, comme pour réellement s’enfuir d’ici. Jeanne ne fut pas pour autant immobile, loin de là. Elle attrapa une serviette et, comme pour l’aider, commença à la glisser le long des cuisses de la jeune femme. Après tout, elle l’avait forcée à faire couler de son corps son liquide intime, elle se devait de l’aider, non ? Puis elle commença à passer la serviette sur son intimité :

Tu n’as pas l’air de comprendre, ma poupée… Tu ne peux pas partir, tu m’appartiens maintenant…

Devant son air incrédule, la plus âgée se mit dans son dos, attrapant dans un tiroir un jouet vibrant. Elle le plaça pile sur son petit point d’amour, avant de terminer :

Tu te souviens, tu m’as appelée "Maîtresse"… Tu es à moi, et je vais t’apprendre tout ce que je sais…

Tout en susurrant à son oreille, elle faisait glisser le jouet le long de ses lèvres intimes, tout en lui enlevant peu à peu les vêtements des mains.

Claire était une catholique convaincu. Elle priait, faisait de son mieux pour toujours à le messe, faisait partis des clubs de pélerinage et de charité, bref, elle faisait tout pour bien faire comprendre à tous qu’elle était bien une catholique. Parfois, on pouvait même lui repprocher son zèle à se faire VOIR comme une catholique, un peu comme un moyen de se légitimer, alors que dans les faits, mieux valait l’être et s’en foutre du regard des autres… Sauf que là, non, on avait donc à faire à une femme… Assez superficiel ! Et ouais, ce n’est pas car tu es dans un domaine plus… « intellectuel », « morale », que tu es forcément libérée d’être superficielle. Là, il n’y avait pas de doute, elle était superficielle, que vous le vouliez ou non. Mais chut, de toute façon, là, ce n’était pas le sujet, le sujet… C’était ce qu’elle allait faire !

Tu n’as pas l’air de comprendre, ma poupée… Tu ne peux pas partir, tu m’appartiens maintenant…

Elle se fut séchée, occupée… Bref, comme une poupée, littéralement… Elle ne pouvait rien faire… C’était la fameuse Gorgonne -chut voyons ! Elle n’en sait rien pour le moment !- qui contrôlait tout, et qui semblait bien profiter ud fait qu’elle était largement en position de force… Pour continuer à donner du plaisir à la jeune femme. Hors, sur ce point, cela ne faisait aucun doute qu’elle était totalement faible. Elle venait de jouir, donc, vous devinez bien qu’elle était totalement fragile… Et l’ainée des deux protagonistes alors en profitait à fond. Elle pouvait ainsi se délecter des nombreux petits gémissements qu’elle n’arrivait pas à cacher… Et ils étaient nombreux, et de moins en moins discrets… Ainsi… Elle écouta les déclarations suivantes !

Tu te souviens, tu m’as appelée "Maîtresse"… Tu es à moi, et je vais t’apprendre tout ce que je sais…

« No… Non... »

Et c’était repartis pour un tour ? On avait pas une impression de déjà-vu si vous voulez mon avis ? Après tout, tout à l’heure, cela avait été relativement similaire, avec notre chère Claire qui tentait de faire comprendre qu’elle ne voulait pas de cela, alors que de l’autre côté, son aînée elle, était littéralement entrain de faire comprendre qu’il fallait qu’elle aille plus loin… Bien plus loin. Après tout, tout ce qu’elle disait était vrai ! Elle l’avait appelée maîtresse, sans aucune hésitation… Donc, cela voulait dire qu’elle acceptait cela ? Enfaite, qu’on soit claire, (lol), mais les mots semblaient bien faible… Très faible… Heureusement, il y allait avoir une petite surprise… Une petite grosse surprise, qui vint de la jeune femme !

« NON ! »

OH LA ! Ouah ! Fini de rigoler, visiblement, le non fut sonore et là, personne ne pouvait dire qu’il y avait de l’hésitation. Enfaite, l’insertion du jouet sexuelle avait été la goutte d’eau qui faisait déborder le vase. Et donc, ainsi, elle avait carrément tenter de pousser la gorgonne. Et ouais rien que ça ! Elle voulait faire comprendre que voilà. Ok, elles s’étaient amusés, mais maintenant, il fallait que son interlocutrice comprenne que quand elle disait que c’était « Non », c’était… Bah euh… Allez, tenter de deviner… Non ! Bravo, vous gagnez rien du tout, à part mon plus profond respect ! Bravo, vous êtes trop fort. Bon, allez un peu de sérieux. Son non n’était pas seul cependant, vu qu’il fut accompagné de plusieurs autres déclarations, qui grosso-modo… Et bien voulaient dire la même chose… Mais inutile de vous le dire, je vais vous le montrer directement ! Lisez !

« Stop, arrêtez ! Je… Je ne veux pas ! C’est fini j’ai dis ! Vous… Vous me violez ! »

Oh ! Ah oui, quand même, les mots étaient forts ! Et pourtant, il n’y avait pas de doutes… Quoi donc ? Et bien, ouais, c’était un viol qu’était entrain de faire l’ainée sur sa cadette ! Elle était littéralement entrain de violer la pauvre Claire, qui ne pouvait rien faire… Et ouais, un viol, je vous rappelle, cela ne veut pas forcément dire qu’il y avait pénétration. Quoiqu’il en soit, elle tentait de remettre bien sa tenue, car elle avait commencé à la perdre, progressivement. Elle avait un peu peur que cela continue… Bon forcément, avec un peu de chance, cela allait finir maintenant. Franchement… C’était un viol, mais elle acceptait que cela s’arrête, là, maintenant, et que plus jamais elles ne se revoient plus jamais. Comme ça, elles s’oublient et voilà. On en parle plus du tout… D’accord ? J’ai bien peur que cela n’allait pas finir aussi simplement… Fait gaffe, Claire. Ce n’est pas une femme normale qui est devant toi.