Vous êtes tranquillement chez vous, entrain de vous siroter une petite menthe à l’eau (ou au lait, suivant vos goûts, perso moi je préfère) et vous regardez votre forum préféré : Le Grand Jeu. Quand soudain, quel joie ! Une nouvelle réponse de Cassandre ! Mais c’est formidable, car vous adorez cette rpiste. MAIS LA, scandale… Les dialogues précédents n’ont pas été repris ! Mais comment ça se fait ? Pourquoi nous-a-t-elle trahis ? Et bien, je vais vous répondre, pas d’inquiétude mes enfants. Alors, Ingrid se réveillait peu à peu, et qu’on soit clair, elle avait du mal à réaliser où elle était, ce qui se passait, etc. Donc, elle rata les discussions, elle rata toutes les subtilités des déclarations de ces ravisseurs. Et vous savez quoi ? C’est triste, car c’était souvent plein de poésie et de subtilité… N’est-ce pas ?
Non, non bien que non… Elle n’avait pas encore bien captée tout ce qui se passait, étant donné qu’en plus, elle était devenue bien conne, mais elle était pas devenue un légume non plus, et les deux hommes, et bien, montraient très clairement qu’ils n’étaient pas dotés des attentions les plus sympathiques en son égard… Et cela, on allait pas le cacher, et bien, elle devinait que c’était pas jojo pour elle. Elle en tremblait presque de peur… Qu’allait-elle lui arrivait ? Et bien, tout simplement, où était-elle ! Et ouais, très bonne question, étant donné que je vous rappelle qu’elle n’avait pas encore récupéré la moindre once de mémoire ! Bref, elle était pas encore une bimbo écervélée au sexe, elle n’était qu’une stupide femme, pas intelligente pour deux sous, si vous voyez ce que je veux dire…
Mais c’est là qu’on voyait qu’elle avait perdu son intelligence. Car elle ne se méfia pas dans un premier temps du plus grand danger : le mec aux bandages. Ouais, ce dernier avait visiblement récupéré des objets qui allaient être important pour la suite… Mais bref, équipé d’un couteau, il s’approcha alors d’Ingrid, et commença à tenter de la libérer de ses liens. Sauf que le soucis, et vous le devinez sans soucis… C’est qu’elle eut un reflexe de peur, et tenta de donner des coups de pieds… Grand mal lui fit, étant donné que ce n’était PAS DU TOUT la chose à faire ! En récompense de ces exploits, elle se mangea une bonne grosse claque dans la tronche, qui l’a fit littéralement couiner, comme une chienne -ce qui correspondait bien, on va bien l’avouer, étant donné que c’était ce qu’elle allait devenir.-
Le mec au bandage n’en n’avait pas fini, malheureusement. Il commençait même. Bien plus docile, Ingrid se fit littéralement manipuler, pour se faire pénétrer… Oh non, pas par un phallus… Cela serait encore trop tôt… Mais par un bout de plastique. C’était deux godes vibrants qui commençaient à s’installer. Le premier, de couleur rose, s’installa gentiment dans son intimité, chose intelligente, car sa petite taille permettait de garder l’hymen de la femme encore intact, et ainsi, vanter aux futurs acheteurs une virginité -sauf si l’autre abruti la brisait avant-, et de l’autre côté, celui de couleur verte s’installa tout logique… Bah dans l’autre trou ! C’est à dire l’anus. Elle fut littéralement mise ainsi à l’épreuve, les deux trous occupés, par deux vibros, qui la faisait gémir, un peu de douleur, mais assez peu… Beaucoup de gêne… Et finalement, aussi, un peu de plaisir, tandis qu’elle entendait ces derniers mots !
« Tu vas jouir, encore et encore, sans arrêt. Si tu veux que j'arrête les godes tu devras me faire jouir avec ta bouche uniquement vu que tes mains sont attachées. Tu devras ramper jusque moi, me nettoyer les couilles et la bite. Ton entraînement commencera une fois à notre repaire. Et mon humeur dépendra de tes compétences, alors... »
« Je… »
Ah enfin ! Elle avait parlée ! Elle montrait bien qu’elle avait encore un minimum d’intelligence. Ce n’était pas un animal. Elle ne le montrait pas ici (mais elle allait le montrer un peu plus tard, donc pas d’inquiétude), mais elle était même encore capable de construire des phrases complexes, avec verbe, sujet, complément ! Bon, bien sûr, elle n’allait pas réussir à avoir le nobel cet année, en littérature. Déjà, car il y a pas eu de nobel en Littérature, cette année, renseignez-vous un peu ! Mais bref, elle était capable de parler, de faire des phrases un peu complexe, de dire son avis… Et ouais, c’était quand même assez développé, on sentait cependant que c’était un peu complexe par moment, et que bah… Heureusement qu’elle avait échappée à rester encore plus longtemps dans cette maudite source, sinon, elle serait bien moins intelligente.
« Soyez gentil… Si vous plait… Je vais… Nettoyer... »
Elle marcha alors, usant de ces genoux uniquement, vu que ses mains étaient bloqués, non sans difficulté, il faut bien l’avouer ! Surtout avec ses seins... Et ouais, elle avait pas l’habitude d’avoir ce qu’elle avait dans les orifices… Et s’approcha du mec au bandage. Ce qui était bien avec une fille stupide comme elle, c’est qu’elle ne risquait pas de tenter un coup fourré… Genre s’approcher et tenter de le poignarder, donc, vous comprenez… C’était tout bénef ! De toute façon, le jour où quelqu'un te poignarde alors qu'il a les mains dans le dos... Sinon, notre antagoniste avait bien eu raison de lui indiquer ce qu’il voulait, ou plutôt, ce qu’elle devait faire… En effet, la notion de « bite » et de « couilles » étaient une redécouverte pour elle. Déjà qu’avec mémoire et intelligence, elle n’en n’avait vu que des schémas et des images en cours de SVT… Alors sans ces deux aspects, et bien, il fallait lui indiquer. Heureusement, la notion de nettoyer, elle voyait ce que c’était…
Donc, elle arriva devant le fameux chibre, qu’elle avait en face d’elle. Un beau chibre de 20 cm madame ! Et au repos ! Rocco Sifredi, je tiens à préciser, avait quand même une bite de 24 à 27 cm… Donc, monsieur était bien membré. On allait pas le cacher. Oui, euh, les tailles différencient suivant les femmes, les estimations, bref, c’est assez compliqué de savoir quel est la taille de Rocco Siffredi Pour l’anecdote, j’ai du chercher sa putain de taille de bite au boulot. Bonjour la gène ! Quoiqu’il en soit, la fameuse Ingrid donc regardait la bite, et… Se rappela qu’il avait dit qu’il avait dit d’user de sa bouche. Ce qui était bien avec cette source, c’est qu’on la voyait tout redécouvrir… Et donc, elle approcha sa bouche, et commença à happer le gland en bouche… Elle était encore hésitante, ne sachant pas trop quoi faire… Mais pas d’inquiétude, vu les collègues, ça n’allait pas tarder… !