C'était lui le maître, et il controlait chaque aspect de son esclave, elle était directement sous sa volonté et elle devait se plier a toutes ses directives si elle voulait être une esclave heureuse, ce dont Don ne doutait pas une seconde vu la façon dont Tooka avait fini par l'acceuillir en elle alors qu'il se forçait dans sa bouche et que les soupirs pleins de chaleurs de la créature remontaient le long de son membre, l'ébouillantant encore plus. Plus, il en voulait plus, toujours plus., parce qu'il savait que Tooka était capable de le lui donner, et il n'allait donc pas se priver pour prendre ce qui a présent lui revenait de droit. Don n'était pas hypocrite, il considérait Tooka a sa juste valeur :une marchandise, un monstre qui pouvait lui donner du plaisir et dont l'exotisme allait faire vendre, quoi que, peut être qu'il pouvait garder Tooka avec lui et la mettre enceinte?Comme ça il en aurait plus a vendre, toute une petite portée...Il ne savait pas ce qu'était Tooka, la laisser partir c'était peut être prendre le risque de laisser partir la dernière représentante de son espèce non?
Soudain le marchand d'esclave remarqua le manège de Tooka et saisit sa queue pour la retirer d'elle, avec une cruautée sans borne il lui lança
"Je suis ton maître, ne l'oublie pas esclave, tu ne prendra du plaisir que quand je consentirais a t'en donner."
Le marchand d'esclave contourna l'aveugle, avant de détacher ses liens soudainement pour la saisir par les aiselles et la prendre a nouveau par derrière tandis qu'il lui massait la poitrine, a quoi pensait t'il déjà?Ah oui.
"Qu'est ce que tu en dis alors, esclave, ça te dirais de porter mon enfant?"
Fit Don alors qu'il accellerait les mouvements de bassin et pressait les seins de Tooka, il allait très vite voir si elle avait vraiment abandonné tout espoir de liberté avec cette question, une femme "libre" ne la tolérerais pas