Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Affaires de classe (PV Chloé Reynard)

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Chloé Reynard

Humain(e)

Re : Affaires de classe (PV Chloé Reynard)

Réponse 15 jeudi 21 janvier 2021, 14:54:01

"Ca s'arrêtera quand tu seras vidé et quand il me sera impossible de bouger."

Chloé avait à peine haussé le ton, s'expriment toujours aussi doucement. Elle couvait le ventre de Bando de baisers, y laissant imprimés les contours de sa bouche. Elle descendit mordiller plus bas, jusqu'où sa souplesse l'autorisait à se plier. Ce faisant, le sexe massif qui ramonait entre ses seins heurtait plus durement sa mâchoire alors que Bando se laissait aller. Son Visage était un livre ouvert sur ses émotions et il exprimait un plaisir indescriptible. Personne ne résistait bien longtemps à une branlette espagnole avec Chloé. Elle aurait simplement attendu sans l'aider qu'il serait arriver au bout  de la même manière. Ses seins étaient si lourds et voluptueux que le simple contact de cet étau de chair suffisait à venir à bout de n'importe quel homme. Et Bando ne faisait pas exception.

"Je pense à tout ce que tu veux, la question est : vas-tu pouvoir y arriver après ça?"

C'est peut être la phrase de trop. Chloé se crispe pour contenir les efforts de Bando qui ramone tant qu'il peut, libérant sa propre lubrification. Oh? Faciale? Pas faciale? Il se retient comme un fou, se retire, son sexe gigantesque pointant devant elle. Elle ouvre immédiatement la bouche en tirant la langue mais il serre sa queue à la base pour se retenir. Il la malaxe, tente de ... faire quelque chose, il s'accroche à tout ce qu'il peut.

Elle le regarde fixement dans les yeux. Son attitude devient bestiale. Elle ronronne et se balance imperceptiblement de gauche à droite. Chloé glisse sa main entre ses seins et se la porte à la bouche pour la lécher. Son sourire devient carnassier et dans ses yeux brillent quelque chose de plus sauvage, de plus lubrique. L'éveil de la salope.

D'une tape, elle écarte la main de Bando qui se retient et entoure sa queue de ses dix doigts. Elle pose le gland écarlate sur sa langue et le branle comme une furie. Elle le malmène, presse sur l’urètre gonflée, elle marque le geste par une rotation obscène des poignets autour du membre pulsant ... sans jamais lâcher son regard.

Il gicle sans prévenir, intensément, violemment. Le premier jet vient se répandre dans la bouche de la jeune femme, juste avant qu'elle ne referme ses lèvres autour du gland. Le déluge de sperme est beaucoup trop dense. Elle avale autant qu'elle peut et il se vide toujours. Elle le branle, une vraie chienne ...

"MMMMmmmmfffff!"


... et le relâche pour l'engouffrer dans sa gorge qui s'étire autour du sexe qui l'envahit. Bando termine de se répandre en elle, directement au plus profond, toujours prit de spasmes. Il la baise, la tête de Chloé part en arrière à chaque coup de reins, verrouillée par cette queue massive enfoncée aux trois quarts et qui pulse dans son cou.

"GGGarrargggLLLL"

Elle repose ses mains qu'elle gardait en coupe sous son menton. Pas une goutte n'y tombe. Elle enfonce ses ongles dans les fesses de l'homme qui vient de la remplir et tourne la tête (tente de tourner la tête) pour se voir de profil dans le miroir. Son cou est déformé par le monstre de chair qui s'y loge.

"MOOUIIIFFF!! T'CHAS VU?"

Du doigt , elle pointe son reflet à Bando pour qu'il profite du spectacle.
 


Bando

Humain(e)

Re : Affaires de classe (PV Chloé Reynard)

Réponse 16 jeudi 21 janvier 2021, 19:03:50

Je n’avais visiblement que trop pris les devants ces dernières minutes et Chloé ne s’empêcha donc aucunement de me le faire remarquer, alors qu’elle était sur le point de me faire jouir. Elle m’avait bien fait comprendre qu’elle était ouverte à tout ce qui pourrait bien encore me passer par la tête et ainsi finissais-je par me rendre compte à quel point ses appétits en la matière devaient être hors-normes...

Sur le point de voir mon corps se rompre sous l’extase, la jeune femme n’avait pas perdu une seconde pour me recevoir comme il se doit. Le regard qu’elle me jetait était de ceux qui en disent tant alors que, ni une ni deux, elle avait ouvert grand la bouche sans même que je le lui demande. À la voir se dandiner comme elle le faisait les yeux rivés sur mon chibre, j’avais la sensation d’avoir réveillé un monstre. Me regarder perdre mes moyens et tenter de retenir semblait avoir éveillé quelque chose en elle, quelque chose venait la mettre bien loin de ce qu’on pourrait appeler une « allumeuse », car si une chose était sûre et bien actée, c’est que la belle n’était sûrement pas du genre à laisser son hôte comme ça, dans son coin. J’avais aperçu son sourire presque malsain, entre deux clignements d’yeux forcés. Voilà qui était bien annonciateur de la suite à venir.

Ni une ni deux, Chloé était repartie à l’assaut pour mener cette dernière mais extatique bataille. Ses mains avaient chassé les miennes pour m’entourer tout entier, alors que mon gland frétillait, reposant contre sa petite langue bien chaude. Elle se remit ainsi à me branler sans pitié, forçant sur mon vît comme s’il s’agissait d’une serpillère à tordre afin d’en extraire tout le jus. N’avais-je alors pas le temps de découvrir ses lèvres qui s’ouvraient à moi que je me contractais tout entier, me lâchant dans un râle profond, que j’essayais du mieux d’étouffer de ma main à nouveau libre.

« Ooh oh oooooh mmmmmmph... AAAAAAAAAH... »

Je giclais salve sur salve et tentais de me cramponner tandis qu’elle continuait de m’astiquer comme une forcené. Sa bouche s’était refermée en douceur sur ma queue et je la remplissais alors tout entière, de ma chair comme de ma semence brûlante, qui suintait en d’astronomiques quantités.
Mais alors que je me voyais déjà pouvoir reprendre mon souffle après tant d’émois, elle ne me lâcha pas pour autant et m’accueillit même toujours plus loin. Je sentais alors sa gorge se déployer comme pour s’ouvrir, toute prête et rien que pour moi. Je la sentais avaler centimètre après centimètre de ma bite, qui glissait chaudement, comme aspirée par sa bouche, alors qu’elle m’enfonçait d’elle-même bien au chaud.
Mes muscles se contractaient encore, échauffés plus qu’ils n’en faut pour un second round et je n’eus d’autre choix que d’attraper ses cheveux en une queue de cheval prise comme je le pus.
Je ne pouvais alors me résoudre à lui décrocher la mâchoire en de vaillants coups de butoir, mais me laissais toutefois aller à profiter d’elle ainsi, puisque c’est là ce qu’elle semblait vouloir m’offrir.

En de lents gestes d’avant en arrière, je venais alors lui servir mon sexe comme unique dessert, le laissant coulisser longuement de sa lèvre à sa gorge, limant sa bouche avec plaisir tandis que ces quelques gestes me tirent quelques nouveaux et puissants jets de sperme.
Je ralentis progressivement et m’arrête dans un nouveau râle, lorsque ses ongles viennent agresser la chair de mon postérieur. J’en serre à peine les dents, tant mon corps est encore tout tremblant suite à l’extase. Je maintiens difficilement mes yeux ouverts et nous regarde dans le miroir, comme elle me l’indique. Je souris à cet élan plus que pervers et nous nous en regardons alors ainsi, qu’à travers le jeu de notre reflet. Je me retire lentement, ne laissant plus que me gland se balader dans sa bouche. Je cogne doucement l’intérieur de ses joues, qui se gonflent sous le poids de mon épaisse pointe et viens à rester ainsi quelques secondes, immobile. Je soupire, essoufflé. En ce seul instant je n’en peux déjà plus mais me refuse à quitter ses lèvres délicieuses.

« Haa ha... merde. »

Alors que je lâche finalement ses cheveux, je me retire lentement du cocon de ses lèvres. Mon sexe retombe lourdement, mais à voir comme il tient encore en piqué, presque à l’horizontal, je me satisfais de savoir qu’il me reste bien assez de cartouches pour faire ça des heures durant.
Reprenant difficilement mon souffle, l’une de mes mains venait se glisser sous le menton de la jeune femme, lui faisant lever la tête. Je la fixais du regard un instant sans dire un mot, puis m’approchais pour mordiller ses lèvres, ce juste avant de venir l’embrasser. Je caressais son visage du bout des doigts et nous incitais alors à nous relever tous les deux.
Mes jambes tremblantes, j’arrivais difficilement jusqu’au bord du lavabo sur lequel je m’asseyais. J’entraînais ainsi Chloé avec moi et la faisais se retourner, debout, tout contre moi et me tournant le dos.

Mes mains, brûlantes, se posaient alors sur son ventre. Je la massais, la caressais langoureusement alors que, chassant quelques mèches de ses cheveux au passage, je partais en chasse de son cou, du bout de mes lèvres. Je soufflais chaudement à son oreille, l’embrassais, la mordillais tandis que mes mains venaient se perdre contre son corps. J’explorais ainsi ses épaules, ses bras, ses mains... je ne manquais aucune parcelle de sa peau, jusqu’à en revenir à malaxer ses seins. Je sentais déjà poindre l’envie qu’en j’en chatouillais les pointes avant de les pincer tendrement et, il ne fallut pas bien longtemps pour qu’à son tour, elle puisse sentir que la mienne revenait à la charge, mon sexe bousculant ses fesses en un sursaut pour se plaquer tout contre sa colonne vertébrale.
Je retirais mon t-shirt, derrière barrière entre nous, et me plaquais à nouveau tout contre la chaleur de sa peau. Je la serrais tout contre moi et mes mains vinrent vite se perdre dans de nouveaux jeux, à partir vers le bas de son ventre.

« Et si on s’occupait de toi, un peu ? »

Il ne me fallut pas plus de temps pour que j’en vienne à déboucler sa ceinture et à faire sauter les premiers boutons de son tout petit short. J’attrapais alors ses hanches et collais fermement son cul tout contre mon bassin, mimant là un bon coup de butoir qui ne faisait que m’échauffer, tant la tendresse et le rebondi de son postérieur m’incitait à en faire plus.
Lentement alors, l’une de mes mains vint alors se perdre sous ses dessous. Je passais sans sa permission du bas de son aine à la naissance de ses lèvres intimes. Je les effleurais, puis les écartais de deux doigts, tandis que mon majeur venait jouer de va-et-vient verticaux. J’en devinais au doigté la forme de son petit bouton d’amour et le massais dès lors... électriquement, en de petites pressions.

De mon autre main, je tirais sur ses derniers vêtements et les amenais à s’échouer sur le sol. Je découvrais ses fesses fraîches qui venait déjà chatouiller ma bite et cela m’en fit tourner la tête. Je soufflais au creux de son cou une nouvelle fois, puis vint ajouter quelques doigts à mon jeu, entrant en elle sans crier gare. Chloé mouillait déjà abondamment, mais peut-être pas assez encore pour espérer m’accueillir sans heurt...
C’était du moins là l’une des questions que je me posais. Pourrais-je entrer en elle et la labourer sans vergogne, la rendre moite et suppliante, dans cet état ?

« Tu sais quoi ? Viens par là. »

Sans me faire prier à mon tour, j’inversais presque nos positions. Je la faisais se retourner et se plier en deux contre le lavabo sur lequel je me tenais jusque là, les fesses bien en évidence. J’arrachais de mes chevilles ce pantalon qui m’entravais encore et passais derrière elle, presque prêt pour une levrette surprise...

Je n’en fis rien. Dans son dos, face à ses magnifiques fesses tendues vers moi, je disparaissais alors du reflet du miroir et m’agenouillait derrière elle. Une main s’agrippant à ses fesses, l’autre s’en retournait à ouvrir ses petites lèvres trempées, tandis que j’en approchais ma bouche. J’embrassais son sexe et enfouissais alors mon visage entre ses fesses. Le nez à portée de sa petite rondelle, ma langue venait quant à elle entrer en son intimité, parcourant avec gourmandise son petit trou.
Je la pourléchais alors sans honte et l’effleurais sans cesse en de nombreuses caresses. Sa mouille couvrant déjà la partie inférieure de mon visage, j’en recueillais de ma main joueuse pour m’en couvrir la queue, la lubrifiant encore et toujours plus, tandis que je n’arrêtais en aucun cas mon petit jeu.

Mes deux mains attrapaient ses fesses et je m’enfouis alors toujours plus.

Chloé Reynard

Humain(e)

Re : Affaires de classe (PV Chloé Reynard)

Réponse 17 dimanche 24 janvier 2021, 14:37:20

Bando est une véritable fontaine. Merde alors! Chloé a rarement prit une éjac de cette ampleur et s'en trouve toute amusée. Elle se promet aussitôt de recommencer ça dans un lieu plus propice où elle pourra pleinement profiter de ce cadeau du ciel. #bukkake, #FouMoiEnPleinLaGueule!

Bando profite encore un peu du confort de sa bouche avant de se retirer. Elle avale les résidus nappant encore ses muqueuses et du revers de la main vient s'essuyer les lèvres, juste avant que son partenaire décide de faire de même en venant l'embrasser. Finie pour l'instant l'excitation incontrôlable, la douceur remplace la brusquerie des gestes avides. Il la tire tout contre lui. Il est encore dur et chaud et se presse contre son dos. L'espace d'un instant, Chloé se demande si elle arriverait à l'accueillir partout en elle, véritablement. Mouuuui, elle pourrait, et combien même ça ne passerait pas, elle s'arrangerait pour que ... ça passe.

Une nouvelle fois, Bando procède à l'exploration de son corps. Putain, qu'il sait y faire. Rapidement, sous l'effet de ses caresses, Chloé repart, l'excitomètre au plus haut. Sa poitrine est sa partie la plus sensible et comme il s'y attarde, elle ressent ses palpitations caractéristiques entre ses cuisses. Aïe! Si elle se réveille maintenant, rester discrets va être difficile. Chloé se mord les lèvres, sans savoir trop pourquoi elle devrait résister. Et puis avec le sexe de Bando qui la stimule, bien calé contre sa colonne vertébrale. HHHaaaannn putain qu'elle a envie!

Elle acquiesce à sa question. Bien sûr !!! T'attend quoi ?? Il termine de la dénuder et elle se tortille pour se débarrasser de son short. Les mains de l'homme se font plus entreprenantes, il fonce directement entre ses jambes et elle se crispe dès la première pression. Exit la culotte, c'est mieux comme çAAAAAA!! Le gémissement qu'elle pousse ferait honte à une éléphante en chaleur. La jeune femme attrape une serviette qu'elle mord de toutes ses forces. Merde qu'il est bon! Hey T'arrête pas !!

Ni une ni deux, Chloé se retrouve pliée sur le lavabo. Oh? Le nettoyage par action linguale est prévu dans le forfait! Extra! Et en plus .........

"HHHAAAA putain oui!!!"

Les préliminaires sympas et les poutous, ça va un temps, Chloé aime quand ça cogne dur. Mais là, la performance de Bando mérite un classement dans le top ... 20 de ses amants qualifiés en cunnilingus.

"GNNNNN...." Attention! Zone sensible là! Quand il frotte le bout de son nez contre son anus, elle manque s'effondrer. Putain! Mais elle doit quand même pas le prier pour qu'il la prenne. Il fait quoi derrière là? Ah ... ben si, elle s'effondre quand il écarte ses fesses pour y plonger son visage, se rattrapant in extremis des coudes sur le bord du lavabo.

"Je ... s'il te plait ... arrête. NON! Continue! AAAHHHHHH MEEEERDDE!"

Nouveau coup à la porte! "Mademoiselle, il va falloir ouvrir où j'appelle le commandant de bord!"

"QUOI ? MAIS NON PUTAIN TU PEUX PAS FAIRE CA MAINTENANT BORDEL!!"

De l'autre côté de la fine cloison, uns silence édifiant accueille cette remarque hautement réfléchie puis ...

"Je vais le chercher!" Ils entendent l'hôtesse s'éloigner.

"Merde merde merde c'est pas vrai!! Mes fringues! Hey! Tu marches sur mon top!"

Chloé est toute déconfite. La suite doit attendre.

"Dépêche toi !! Il faut ...." Elle stoppe net en le voyant. Bando est nu, dans un état déplorable, transpirant, le sexe braqué.

"J'te finirai sur le fauteuil ! Allez!"

La jeune femme s'habille en hâte, jure, insulte le monde entier et surtout toutes ces putains d'hôtesses. Elle se regarde dans le miroir, arrange sa crinière, se lisse les sourcils. De profil? Mouais ça passe à peu près. Sans attendre Bando, le bustier encore délacé, elle déverrouille le loquet et sort des toilettes... pour s'écraser directement contre le commandant, un homme de taille moyenne mais avec un air de ... commandant de bord, sexy et sérieux. Elle tire la porte derrière elle.

"MMmmmh commandant, vous auriez pu attendre que l'on atterrisse pour ça ..." L'homme pique un fard.

"Mademoiselle, les activités auxquelles vous vous adonnez dans mon appareil ..."

"... ne sont que le reflet d'une personnalité joyeuse et charmante qui exige que sa société internationalement connue ne passe que par votre compagnie. Pourrais-je avoir une nouvelle bouteille de champagne s'il-vous-plait?"

Le commandant soupire ... Elle ne le reconnait pas mais lui, a déjà eu affaire avec elle et il est peine perdue d'essayer de la raisonner. On ne peut pas l'oublier et qu'elle soit conciliante l'arrange bien.

"Et ne dérangez pas mon ami, le repas l'a dérangé tout autant que moi. Vous n'aimeriez pas voir ce qu'il se passe là-dedans."

Chloé rejoint son fauteuil, comme une reine et attend qu'on vienne la servir. Tout va bien ... en apparence. Son haleine sent le sperme et elle a le goût de Bando sur les lèvres. Mais c'est entre ses cuisses que se déroule le drame. #TropEnvieD'Baiser.

Dans le compartiment, les lumières diminuent jusqu'à s'éteindre. Seules les panneaux exit restent allumés. La pénombre s'installe et les hôtesses distribuent des couvertures. Quand Bando revient s'asseoir. Chloé le sent plus qu'elle ne le voit. Elle lui tend une flûte pleine.

"J'ai très envie de toi, t'imagines pas."


Bando

Humain(e)

Re : Affaires de classe (PV Chloé Reynard)

Réponse 18 dimanche 24 janvier 2021, 17:37:32

Aaaah comme c’était rageant...
Cela devait déjà bien faire six ou sept minutes que je m’étais perdu tout en profondeur au creux le plus intime des formes de Chloé. Je ne me lassais pas de la goûter, de découvrir toujours plus de sa peau, de son petit sexe qui se trempait et s’étirait toujours plus à chacun de mes coups de langue, permettant à mes doigts de travailler plus en profondeur à chaque seconde qui passait tandis que je la couvrais de mes douces caresses, tout comme j’en venais parfois à serrer ses fesses un peu plus fort.
Mon corps avait déjà retrouvé le tout de ses fonctions et j’en étais de nouveau gonflé à bloc, n’attendant que le moment qui me paraîtrait opportun pour m’enfoncer longuement en elle et pour la faire couiner plus fort.

Je n’avais manqué aucun de ses gémissements et ceux-ci m’avaient indiqué comme son corps me réclamait. Elle mouillait déjà à torrent et peinait à contenir quoique ce soit, ses jambes s’arquant fermement alors qu’elle attrapait une serviette pour la mordre férocement. J’en déduisais à cette folie qui la gagnait que je pourrais dès lors pousser les portes de son jardin le plus intime en y imposant mon énorme gland palpitant. L’idée me traversait alors de me relever pour l’attraper et la prendre en levrette sur le champ, face au miroir, que l’on tambourinait à la porte. Et ça frappait encore. Et encore. Putain ils faisaient chier...

À ce moment là, c’est comme si tout s’était arrêté autour de nous... ou plutôt, comme si tout redémarrait, en fait. Comme si le monde s’était remis à tourner et que nous retrouvions avec grande peine, frustrés au possible, le monde réel. Je me relevais dans un sursaut et peinais à regarder Chloé se rhabiller en toute hâte. Maintenant que je l’avais vue nue, je ne pouvais m’empêcher d’éprouver une pointe de déception au fait de la voir se dépêcher ainsi. J’avais beaucoup de mal à retrouver ce pan de réalité quand, au cours de la demi heure -au moins- qui venait de s’écouler, j’avais fini par me libérer de bien des barrières. Elle sortait en trombe de la petite pièce et je l’entendais déjà jouer la maligne auprès du commandant de bord qui avait été appelé en personne pour mettre fin à notre merveilleux petit jeu. Ça aurait pu me faire sourire si seulement je ne me sentais pas aussi dégoûté...

Me retrouvant seul, je soupirais longuement en me regardant dans la glace. Un bref coup d’eau sur le visage histoire de faire disparaître toute cette mouille qui luisait sur mon menton puis je me rhabillais lentement. J’enfilais mon t-shirt, puis peinais à tout faire entrer dans mon boxer. Pire encore lorsque je remettais mon pantalon, incapable de le refermer tant les coutures s’étaient usées autour de cette braguette branlante. J’avais l’air malin, tiens...
Après quelques instants, je ressortais donc, tentant de me faire le plus discret possible alors que je tenais mon pantalon d’une main ferme pour éviter qu’il ne me tombe sur les cuisses. Je faisais de mon mieux en m’arquant bizarrement pour cacher mon érection, me couvrant de cet avant-bras qui sentait encore le sexe à plein nez et rejoignais pitoyablement nos fauteuils. Chloé était déjà resservie, faisant mine de rien... Je lui esquissais un petit sourire et ne manquais pas d’attraper la flûte de champagne qu’elle me tendait. Dans le noir quasi total, je me rasseyais en face d’elle, affichant une mine oscillant entre jeu et déconfiture totale...

Je jetais quelques regards tout autour de nous pour constater comme les autres usager s’installaient confortablement sous leurs couvertures, prêts à s’endormir quand ils ne l’étaient pas déjà. Je m’en retournais vite à ma voisine, dont je ne devinais que quelques contours de la silhouette à travers la pénombre, seulement éclairée par la lumière qui nous parvenait de par les hublots. Je souris à ses mots et avalais d’une traite le contenu de mon verre, ma tête tournant presque sous les effets de mes obsessions primaires plus que sous ceux de l’alcool que j’avais ingurgité tout l’après-midi...

Je me relevais tout doucement dans un léger grincement de fauteuil et venais à m’approcher. Je me penchais au-dessus de Chloé, laissant mon pantalon retomber à mi-cuisses, et approchais mes lèvres de son oreille.

« Ah oui ? »

Mes airs se faisaient taquins alors que je ne pouvais décemment plus me sortir de la tête toutes ces idées perverses que la jeune fille avait fait jaillir en moi. Je nous couvrais grossièrement d’une couverture et m’approchais encore avant de me plier plus encore, tout doucement. Je passais rapidement la tête sous le petit drap et embrassais son ventre un peu... beaucoup. Je jouais quelques secondes puis m’écartais vivement, me reculant d’un bond pour rejoindre mon fauteuil.

« Dommage, je pense que l’équipage n’apprécie pas trop cette idée... »

En vérité, j’avais juste peur d’avoir l’air stupide en lui disant comme moi aussi j’avais envie d’elle. Je n’avais pas cessé de bander, malgré l’interruption momentanée de nos ébats et ne pouvais plus penser qu’à autre chose que ça. Je crevais d’envie, purement et simplement, à l’idée qu’elle vienne me chevaucher, à l’idée de laisser libre court à tous mes fantasmes la concernant, mais ça, je ne pouvais pas me résoudre si aisément à lui dire. Dans le noir presque total, je ne pouvais qu’imaginer le flot de sensations à venir, sans vraiment la voir... Je me sentais presque comme... à sa merci. L’idée me fit frissonner. C’était comme si je n’étais là qu’un stupide jouet, incapable de me contrôler face à toute l’opulence des merveilles qu’elle me promettait. Je me sentais idiot... mais quoique j’en pense, me laisser aller avait du bon. Beaucoup de bon. Je lâchais un petit rire à cette pensée puis soufflais.

« On a encore quelques heures à tuer, je crois... »

Un coup d’œil par la fenêtre et je terminais en un murmure :

« Et par ta faute, j’ai follement envie de baiser, maintenant... »

Chloé Reynard

Humain(e)

Re : Affaires de classe (PV Chloé Reynard)

Réponse 19 jeudi 28 janvier 2021, 10:22:59

Oui oui oui! L'imprévu, la tentation, la prise de risque, c'est tout ce qu'aime Chloé. Son activité sexuelle est sa ligne de conduite et elle ne compte pas descendre de cet avion sans avoir atteint le nirvana. Il est heureux que Bando évoque cette option qui n'en est pas une. Il s'agit d'une obligation vitale qui va directement conditionner leur relation future. Chloé veut baiser! Quand il s'est levé devant elle de retour des toilettes, elle a faillit tomber à genoux pour lui sucer la queue. Mais il a choisit de la titiller. A ce jeu là, il est perdu d'avance. Chloé dispose d'une expérience titanesque en la matière. Point pour lui quand même, la taille de son truc ... fallait pas rigoler avec ça, c'était comme les diamants noirs, on en trouvait pas tous les jours. Chloé accorda mentalement une trêve  à Bando qui ne sut jamais qu'il faillit passer le reste du vol à se branler. #KissMyAss, #OnRigolePasAvecLeSexe.

S'il avait pu la voir à cet instant, Bando aurait sûrement eu peur. Le petit volcan incarné femme entrait en éruption à l'écoute de la simple et tout petite phrase qu'il venait de prononcer. Le visage de la jeune femme se mua sur un rictus carnassier, ses yeux brillants dans l'obscurité comme ceux d'une hyène en chaleur. Comme souvent, lorsqu'elle était à la limite de péter une tornade sexuelle, Chloé devenait vulgaire.

"Ah ouais, tu veux vraiment m'baiser?"

Ca sort cash et pas discrètement du tout, débité d'une voix rabotée par l'envie. Elle ramène ses jambes à elle et y fait glisser son shorty qu'elle lance sur Bando à titre d'alerte rouge, juste qu'il ne soit pas surpris par la suite. Elle enlève son top qui suit le même chemin. Vient enfin sa culotte qui finit ... oups ... par passer au dessus de l'appui tête de Bando et qui disparait dans l'obscurité juste derrière ... Bah, pas grave ...

La couverture finit dans la travée et Chloé jaillit de son fauteuil pour se jeter sur les genoux de Bando. Elle lui mord l'oreille avant d'y glisser.

"Je veux ta grosse queue dans mon ventre!"

Elle se colle à lui et ondule en un mime obscène de ce qu'elle attend. Le sexe tendu de l'homme presse derrière elle, énorme et tapant jusque dans  le bas de son dos.

"Putain, mais t'es gros c'est pas humain."

Chloé pivote pour attraper l'objet de sa convoitise et le branle contre ses fesses avant de se redresser pour le guider entre ses cuisses. 'tain ça rentre pas! Elle est obligée de se relever pour se retrouver au-dessus du monstre et en enfoncer le bout entre les lèvres de son vagin. Elle exhale de plaisir, être écartée de la sorte c'est le pied. Le gros gland passe aisément suivi de quelques centimètres de viande.

"Oh merde!!" Elle remonte, redescend, imprime la taille du truc dans sa mémoire, mention excellent. A chaque mouvement, Chloé s'empale plus encire sur le pieu vivant. Elle en a le souffle coupé. "oh putain!" Une pause ... elle en est seulement à la moitié, ses petits doigts évaluant le restant à prendre.
Le passage de l'hôtesse dans la travée opposée la rappelle à la réalité. Chloé se penche pour ramasser la couverture au sol. Ce faisant, elle glisse et pèse de tout son poids sur la queue de Bando. Elle s'empale jusqu'à la base, s'étranglant dans un cri bref. Le supplice du pal ... c'est donc ça que vivaient les victimes de Vlad Tepes? Mais c'est trop bon !!!! Chloé est en pleine extase. Écartelée par cette grosse chose vivante qui pulse dans son ventre. Elle tire la couverture sur ses épaules, les cachant, comme si c'était vraiment nécessaire. Elle gémit près de l'oreille de son partenaire, une mélodie lancinante dédiée à la déesse du sexe. Chloé ondule comme une naïade, concentrée égoïstement sur son plaisir à elle. Elle est brulante, perverse et maltraite son homme en comprimant ses parois vaginales autour de lui. Il tape dur au fond alors qu'elle commence à aller et venir tout du long en se mordant les lèvres pour garder toutes les insanités qu'elle à envie de sortir.

"Tu aimes?" lui susurre t'elle.

Elle saisit une main de l'homme pour la plaquer contre son ventre. Dedans il peut sentir son sexe bouger et distendre l'abdomen de la jeune femme. C'est absolument obscène. Et le sourire de Chloé l'est plus encore.


Bando

Humain(e)

Re : Affaires de classe (PV Chloé Reynard)

Réponse 20 jeudi 28 janvier 2021, 19:40:53

Ce n’était pas comme si j’avais lancé cette pique pour rien...
Bien sûr que je m’doutais que rapidement, Chloé passerait à l’offensive. Peut-être pas aussi vite, voilà tout. Après les longues et merveilleuses minutes que nous avions passé dans les toilettes de l’avion, je ne pouvais imaginer la suite autrement qu’entre ses cuisses, à m’agripper à ses formes si... bandantes qu’elles étaient, soyons franc.

J’avais seulement eu le temps de glisser une main dans mes poches, à la recherche de capotes grand format que je devinais sans mal le bruit de son shorty qu’elle retirait, avant qu’elle ne me l’envoie à la gueule, dans le noir. Le temps de rien faire, sinon de lâcher un « Mmmh mmh » approbatif lorsqu’elle se lâchait sur ô combien oui, j’avais envie d’la sauter, que le reste de ses vêtements faisaient de même.
J’apercevais un court instant la blancheur de sa peau, toute l’opulence de ses seins et le déhanché de ses jolies petites fesses qui s’avançaient vers moi et, sans plus attendre, je me trouvais le souffle coupé, plaqué bien au fond de mon fauteuil de cuir. Chloé venait poser son cul sur mes genoux et la friction de son mouvement vint ainsi faire tomber mon boxer, libérant une fois de plus la bête, qui se redressait bien vite pour claquer lourdement tout contre ses fesses, le gland à l’air libre. Hmmm, c’que ça pouvait faire du bien.

Mes mains se posant sur ses douces hanches, je l’observais sans honte dans cette pénombre qui n’appartenait désormais plus qu’à nous. Je me mordais les lèvres, mon souffle se faisant plus lourd alors que je la sentais m’attraper, guidant ma queue bien entre la raie de ses fesses rebondies qui ne cessaient de gesticuler, faisant déjà bien coulisser la peau si sensible de mon vît. J’attrapais son cul sans plus aucun ménagement et profitait de l’instant, de chacune de ces obscénités qu’elle ne cessait de balancer et qui, pourtant, ne faisait qu’accroître mon envie.

« Elle est déjà toute à toi, tu sais... »

Pas le temps de glisser à son oreille l’option « protection » que déjà je la sens se tortiller dans tous les sens, jusqu’à trouver, enfin, une position adéquate. Elle ne perd pas de temps et je sens alors la pointe de mon sexe, palpitante et grosse comme un poing, embrasser ses lèvres trempées. Elle dégouline de partout, je le sens. J’abandonne tout de mes idées... j’ai envie de la sentir comme ça, sans barrière, sans rien... juste sa toute petite chatte serrée et... et moi.

« Mmmh oh... »

Je pince le bout de mes lèvres alors qu’elle m’insère en elle. Chaque centimètre de plus me pique un nouveau soupir, bien plus profond, alors qu’elle s’y reprend en de nombreux va-et-vient. Elle s’empale en quelques râles sexy et m’impose peu à peu tout entier en elle. Je serre et pousse un peu sur son cul, de sorte à ce qu’elle reste comme ça, ma queue plaquée tout contre ses entrailles. Elle se contracte, m’enserre à son tour et engage son déhanché torride, ne manquant pas de nous couvrir au passage, que l’on se fasse au moins... un tout petit peu moins remarquer. Ce qui, parti comme c’est... ne servira sans doute à rien.

Ma main dans la sienne, je découvre avec fascination toute l’ampleur des dégâts, détaillant du bout des doigts les mouvements de mon sexe dans le sien, la retournant de l’intérieur...
Je lève les yeux vers elle tandis qu’elle me chevauche et mes mains s’en retournent à caresser son visage. Je ne perds rien de toute la fièvre brillante qui lui dans ses yeux lorsque je peux les apercevoir et prends alors le parti d’élever puis redescendre mon bassin, doucement, pour explorer sa petite chatte. J’accélère pour la faire sauter sur mes genoux, tout soupirant.

« J’adore ça. »

Les caresses ayant toutefois assez duré, mes mains viennent agripper fermement ses fesses. Je la porte tout contre moi en me relevant d’un bond et vient la plaquer dos sur son siège, un mètre plus loin.
Toujours debout, bien qu’un peu arqué, je l’attrape par les cuisses et viens replier ses jambes dans mon dos. Les serrant un peu de la sorte, je ne peux empêcher mon bassin de pousser plus loin en avant, alors que ma queue coulisse plus brusquement en elle. L’ayant à moitié allongée, je la baise alors comme je n’attendais plus que ça, l’emballant toujours plus vite et avec plus de sauvagerie, maintenant que chaque once de ma bite entre sans mal. Je me couche tout contre elle et enfouis ma tête entre ses deux énormes seins que j’attrape au passage. Je les malaxe longuement avant de leur faire la fête, les embrassant, les lapant à m’en repaître grassement. J’en pince ses tétons, les pourlèche et les suce avec envie tandis que mon bassin entre dans un rythme de croisière des plus frénétiques...

Je m’arrête subitement pour la faire languir un peu, puis reprends tout doucement, de sorte à ce qu’elle me sente entrer et sortir en elle comme si je la limais avec une folle précision, qu’elle puisse sentir chacun des centimètres qui venait la déformer.

« Aaah... ah... et toi, ça te plait ? »

Redressé, mes mains se perdaient contre ses hanches, contre ses cuisses... mon dieu comme j’avais envie de voir son cul.

« Une levrette, c’est trop... classique, pour toi, ou ? »

Chloé Reynard

Humain(e)

Re : Affaires de classe (PV Chloé Reynard)

Réponse 21 mercredi 03 février 2021, 18:09:31

Oups, changement de pilote. Le sexe express vient de dérailler. Sans prévenir, Bando vient de se relever et le poids de Chloé termine de l'embrocher. De surprise, elle le mord pour ne pas crier alors qu'il l'allonge à demie pour laisser libre cours à sa passion dévorante. Il la veut et ne se gêne pas pour la défoncer sur son fauteuil. Il la malmène et elle adore ça. lus il cogne dur, plus elle s'enfonce dans l'assise molle, perdant tout repère. Les jambes repliées, elle est complètement offerte à l'homme qui lui pétrit les seins, augmentant toutes ses envies de plus belle. la situation dégénère vite en une baise furieuse ou pour une fois Chloé n'a pas l'avantage de faire ce qu'elle veut. Coincée sous Bando, elle subit ses assauts cherchant à tout prix à ne pas hurler de plaisir. Le gros sexe lui écartèle le vagin et tape dur dans le fond. #NoLimitsThere

Quand il s'arrête d'un coup, elle piaffe d'impatience et lance son bassin à la rencontre du sien. Non mais t'arrêtes pas, c'est trop bon! L'atmosphère du compartiment est calme et le ronronnement permanent des moteurs couvre une très petite partie de leur animation. Heureusement, le personnel de bord se repose aussi. A sa question, Chloé hoche rapidement la tête en guise d'approbation, si elle parle elle n'est pas sûre de pouvoir plus se maitriser. Oh ? Comme ça aussi? Pas de problème!

Elle gigote pour l'extirper de son corps. il ne sort pas seul. Une quantité de fluides corporels l'accompagne ne longs filaments collants. Chloé se retourne et plonge son visage dans un coussin avant d'attraper ses fesses et les écarter. Le retour de Bando la cloue sur place. Sans aucune mesure, il recommence à la pilonner sans merci, pesant de tout son poids, malmenant sa chatte trempée. Très vite, trop vite, une chaleur très particulière commence à irradier dans le ventre de Chloé, annonciatrice d'un ouragan de jouissance. Elle serre les poings et un long gémissement filtre à travers le coussin. Son corps bat la mesure du rythme de Bando qui ne faiblit pas, bien au contraire. Le coït devient violent, leurs peaux frottent, râpent, s'échauffent, claquent.

"Je ... merde ... ca vient trop fort, continue!!"

Chloé brûle, se sent fondre, la sensation de ce gros morceau de chair tapant dur et loin en elle la propulse au nirvana. Quand elle vient à jouir, elle se crispe violemment, s'arc-boutant en arrière, heurtant de son crâne le menton de Bando. Elle ne sent même pas la douleur du choc. Son orgasme la terrasse et la bouche ouverte sur un cri silencieux, elle explose dans un océan de plaisir avant de s'effondrer à nouveau en avant.

Faute à pas de chance ou au contraire, elle manque l'assise du fauteuil et plonge au sol, se recevant sur les mains et se tordant, les fesses toujours en l'air avec un Bando triomphant et prêt à tout sauf à lâcher prise. Le jeune homme a dû passer le stade de divinité car il ne faiblit toujours pas, limant Chloé comme un malade. D'une voie saccadée et tordue dans sa position pas possible, la jeune femme essaye de lui faire comprendre qu'ils frisent la démence s'ils continuent comme ça. Rien n'y fait. Elle se fait méthodiquement démontée.

"AAAaahhhhhh!"

Le cri lui échappe et elle se couvre la bouche des deux mains, écrasée au pied du fauteuil. Putain quelle machine! Elle comprend qu'elle vient de réveiller une Bête, un peu comme dans ces films où des explorateurs trop curieux réveillent la momie surpuissante qui ne demandait qu'à dormir. Là en terme de momie, la conservation est parfaite et rien de manque aux critères de sélection que la jeune archéologue en devenir pourraient attribuer.
Ah! Ca y est une ouverture! Dans un mouvement fluide, elle arrive à se caler alors qu'il lui laisse une seconde de répit. A l'envers, ses épaules au sol, les jambes pliées, Chloé, de dessous, devine les mouvements anarchiques de Bando. Elle tend une main et effleure ses attributs. Elle sourit. Comme une abeille qui trouve LA fleur, elle lui attrape les bourses et les masse comme une folle furieuse. Toujours en elle, il bourrine. Chloé est trempée, couverte de son plaisir. Maintenant il peut faire ce qu'il veut, elle a joui et égoïstement, c'est ce qui comptait.

Bando

Humain(e)

Re : Affaires de classe (PV Chloé Reynard)

Réponse 22 dimanche 07 février 2021, 22:14:05

Au-delà du seul plaisir de la chair, aussi intense et décuplé qu’il pouvait être, s’en trouvait un autre tout aussi agréable : l’écoute de ces longs gémissements étouffés. Je frémissais à chaque fois, à chacun de mes sauvages coups de reins, le seul fait d’entre comme elle trouvait ça bon ne faisant alors qu’aiguiser mes sens. Pour ainsi dire, son plaisir valait bien là le mien.
Je devinais du mieux de mes capacités optiques les courbes de son corps, la souplesse de ses cheveux et cette somptueuse chute de reins qu’elle m’offrait alors sans honte alors qu’elle écartait ses fesses à l’aide de ses deux mains. Par derrière le hublot, le nuage passait et enfin je pouvais la voir. J’observais ses mains tremblantes, son petit mouvement de balancier quémandeur et puis... sans aucun autre temps mort, mes mains se pressaient sur la chair de ses fesses. Je m’enfonçais d’un coup sec et puissant, alors que son corps était maintenant si prêt qu’il ne me fallait plus aucun mal pour en trouver l’entrée.
Dans l’obscurité la plus totale, je n’y voyais plus que nous. Je ne voulais plus que nous. Plus que ça, plus qu’elle. Seulement guidé par mon envie et par ma soif insatiable, je n’en finissais donc pas, faisant claquer son cul bruyamment, sans plus prendre en compte quoique ce soit d’autre que les doux sons produits par nos ébats sans fin.

Je me focalisais sur elle. Sur ses mouvements, sur le poids, sur ce contrôle que mon corps exerçait sur le sien. Elle qui jouait tant en avait finalement terminée, seulement concentrée sur ces vagues ravageuses de plaisir que j’insinuais en elle, écartelant sa chair comme on ne peut le voir qu’au travers de nombreux films pour adultes. Sur l’instant elle était mienne et je devais avouer que ça me plaisait. Au-delà de l’étrange sympathie que j’avais fini par éprouver pour elle, je devais surtout admettre que c’est sur ce genre de moments que la relation que nous tissions venait à atteindre son point culminant. Son corps et le soin qu’elle y apportait était tout fait pour ça, pour s’ébattre, pour profiter d’extases en extases, dans l’insouciance la plus grasse qui soit. Et en cela, ce dont la nature m’avait pourvu me laissait à penser que je n’étais pas loin d’être de ce même genre... de ceux faire pour jouir de la vie, dans tous les sens du terme. Du moins, à la seule condition de trouver une partenaire de jeu assez ouverte aux... sensations fortes...

Une main bien cramponnée à sa croupe, je l’assommais en toujours plus de coups de bites puissants et maîtrisés, le souffle haletant mais le regard perçant, traversant l’opacité de la nuit pour jouir de la vue que Chloé m’offrait de tout ce qui composait son intimité. Je me régalais tel un véritable goinfre à la prendre par derrière de la sorte, à la bourrer violemment, à n’attendre que de la voir céder. Complètement.
À ses crispations soudaines, j’aurais dû le voir venir. Et pourtant, toutes forces et toutes pensées sont ailleurs lorsqu’elle se cabre. Son crâne tape violemment mon menton mais elle ne me laisse aucun temps mort non plus. À peine le temps de serrer les dents, de passer une main au coin de ma bouche, que je me rends compte que... Rien n’y fait. Mes hanches bougent toutes seules, ne rompant jamais le vacarme qu’elles produisent au contact de ses fesses sans doutes déjà bien rougies. Clac. Clac. Clac. Clac clac clac clac clac...

À bouts de forces, elle se laissait tomber vers le sol, laissant à ma merci ce joli cul bien bombé qui n’en demandait pas tant. J’agrippais l’appui-tête du fauteuil tandis que mon autre main ne perdait pas le contact de ses hanches. Je caressais son dos sans m’arrêter de bouger, dégageait quelques mèches de ses cheveux et posait mes doigts sur sa nuque, me voûtant vers l’avant, au-dessus d’elle, genoux pliés. Ma cadence ralentissait tandis que j’admirais une fois de plus ces courbes généreuses qui faisaient d’elle une jeune femme si... fatale. Je la regardais reprendre difficilement son souffle et entrepris donc de ralentir encore, toute sauvagerie se perdant alors pour que mes mouvements finissent par ne ressembler qu’à de longs, très longs coups de rames mises dans l’eau, trempée au beau milieu d’une balade dominicale, sur une petite embarcation légère, presque fragile. Je m’enfonçais doucement, prenant grand soin d’appuyer avec force mon énorme gland bien au fond de son corps, l’embrassant du bout de mon anatomie, pour ne la retrouver que quelques secondes plus tard. Je soupirais. Soupirais encore. Et encore.
Je sentais sa main caresser ma longue verge dégoulinante jusqu’à attraper mes bourses enflées de désir. Mes mains quittaient leurs appuis pour reprendre son fessier. Je l’enfilais longuement, très longuement, ne serait-ce que le temps de laisser la folie la gagner plus encore, de la faire passer... un nouveau seuil, tandis que je jouais de son corps. Et puis... si j’allais plus vite... j’allais jouir.

J’en profitais ainsi pour reprendre mon souffle également.

« Hin... ha... haaa... »

Et puis non. J’avais d’abord voulu lui demander si ça avait été bon, puis m’étais ravisé après m’être dit que cette question était vraiment idiote. Puis, je m’étais aussi fait la remarque : je n’étais pas sûr qu’elle puisse aligner le moindre mot.
Autre point : je ne pouvais décemment pas m’arrêter. Du tout.

« Ooh... »

Sans crier gare, ma cadence revenait se calquer sur celle que nous avions plus tôt. Crescendo, toujours plus vite, mon bassin revenait heurter son cul avec fracas, à ceci près que mes mouvements s’étaient faits moins amples, mettant seulement l’accent sur le fait de taper bien dans le fond, puisque ses mains enserraient mes couilles. Je le laissais me prendre, me triturer, m’aspirer au fond d’elle avec l’étrange impression qu’elle cherchait à me traire, à me vider de chaque centilitre de sperme qu’elle pourrait bien tirer d’un monstre comme moi... Mais soit. Le souffle rauque, je souriais.
Je n’avais plus aucune idée de l’heure qu’il était, d’où nous étions et savais encore moins comment se passeraient les quelques heures de vol qu’il nous restait. Ainsi, à ne pas savoir si nous le referions, je m’étais décidé à me laisser aller jusqu’au bout, à la baiser comme il se doit.

Attrapant bien fermement le cul de Chloé, je le faisais claquer sans ménagement et me perdais en fermant les yeux. Me fermant à tout le reste, je restais figé sur la seule visualisation, le seul ressenti de mon plaisir. Je soufflais, soupirais et gémissais plus et toujours plus. Jusqu’à...

« AAAAaaAAAAAAAaaah...  Aah... haaaaa ! »

Je me raidissais subitement et blottissais une énième fois le bout de mon sexe tout au fond du sien. Comme pris de spasmes, les mains tremblantes, je gigotais encore un peu en de très courts va-et-vient alors que ma queue se gonflais et que je sentais mes bourses pomper entre ses doigts. Je me répandais à grosses gouttes en Chloé, si bien que je la sentis vite déborder aux prémices du second jet de fluides épais. Ma queue pulsait, pulsait et pulsait encore, se dégorgeant puissamment entre mes râles de plaisir. Je n’arrêtais pas non plus mes brefs mouvements et ceux-ci eurent vite fait, en quelques belles frictions masturbatoires, de me drainer davantage. Je m’agrippais à son cul comme un forcené en terminant de la baiser, laissant ma semence couler à flots le long de ses cuisses.

Puis enfin je lâchais prise. Je me laissais aller et tombais à genoux derrière elle avant de me laisser m’effondrer à ses côtés, la tête presque au beau milieu de la travée. Ma main contre son dos, je la poussais à tomber contre moi.
J’eus beau essayer d’articuler quoique ce soit, ce fut bien trop compliqué les premières secondes.

De mes yeux, je cherchais les siens, un sourire bien malin au bout des lèvres.

« Ça va mieux ? »

Chloé Reynard

Humain(e)

Re : Affaires de classe (PV Chloé Reynard)

Réponse 23 lundi 31 mai 2021, 16:27:17

"Ca va mieux ?"

Comment répondre à une question pareille à un moment pareil? Elle aurait voulu répondre par l'affirmative, avec en plus un petit commentaire flatteur, mais le seul son qui s'échappa de sa bouche fut un murmure insaisissable. Son corps en revanche répondait parfaitement, à sa manière. Elle frémissait encore du séisme qui l'avait traversée. Une fine pellicule de sueur couvrait sa peau nue et l'air soufflé de la ventilation lui donnait la chair de poule. Mais ce n'était rien en comparaison du tsunami qui se déversait entre ses cuisses. Bando semblait produire du sperme en quantités industrielles et ce qu'il avait répandu dans son corps prenait en partie le chemin le plus court pour en sortir.

Autour d'eux, un calme serein avait repris possession du compartiment à l'exception d'un ronflement léger émanant du côté opposé au leur. Reprenant ses esprits, la jeune femme sourit à elle-même. Le pied! Ca c'était une bonne séance de baise! Il faudrait qu'elle raconte tout en détail à Noriko sa meilleure amie, voire même qu'elle lui présente Mister Anaconda ... Un peu meurtrie (Bando n'y était pas allé de main morte), Chloé se redresse à genoux et fait un rapide check up de ce qu'elle peut. Ses genoux et coudes ont frotté sur la moquette. Entre tout, elle doit avoir le visage marqué si ce n'est ravagé ... et  son vagin pulse encore de l'assaut qu'il vient de subir. A propos d'assaut, son agresseur gît à ses côtés.

"Tu m'en as foutu partout !!!"

Chloé tâtonne et découvre l'objet de son plaisir tout collant et bien moins glorieux qu'un instant auparavant. Elle serre le sexe de Bando entre ses doigts et teste un va-et-vient. Nan ... la chose est déclarée décédée à 10000 mètres d'altitude, motif: dépressurisation brutale de l'engin en milieu confiné. Chloé le tapote donc avec tendresse #ABienServi. Elle se lève ensuite, chancelante et enjambe le corps de Bando pour tenter d'aller retrouver sa culotte disparue derrière le dossier du fauteuil de l'écrivain. Elle la retrouve là où elle a atterri, posée sur l'épaule d'un vieil homme endormi. L'énormité de la situation la fait pouffer. Elle passe le petit bout de tissu et se le réajuste sur les fesses. Ainsi couverte, tout peut arriver maintenant, elle est décente! De retour vers sa place, elle se baisse sur son amant, sa lourde poitrine s'écrase sur le bras de l'écrivain.

"Hey? Et toi ca va ? Tu sais que t'as perturbé l'équilibre de l'avion avec tout ce que t'as lâché?"

Elle ricane de sa connerie et trouve son short qu'elle réussit à boutonner malgré ses doigts collants et glissants. Pour son top ... elle verra plus tard. Tandis que Bando refait surface, elle s'assoit sur son siège et prend enfin le temps de se calmer. Elle inspire longuement, observe le jeune homme reprendre figure humaine bien qu'elle ne le distingue pas vraiment et remplit les flûtes avec ce qu'il reste de champagne. Même tiède, le liquide pétillant lui fait du bien. Elle avait soif.

Chloé est collante, elle se sent maintenant souillée comme jamais. Pas souillée comme on pourrait l'entendre, sale et usagée, juste souillée par le résultat d'une intense séance de baise comme elle n'en a pas eue depuis longtemps. Elle sent le sperme et sa peau la tire là où la semence de Bando a déjà commencé à sécher. Elle en a partout, des joues au menton, plein la poitrine, collée au ventre, couvrant l'intérieur de ses cuisses ... sans parler du goût qu'elle a en bouche.

De quoi a t'elle envie maintenant? De dormir? Sûrement pas ... Elle n'a pas faim mais a soif. Mémo : se présenter à l'hôtesse de service pour récupérer une nouvelle bouteille de champagne. Correction du mémo : envoyer Bando récupérer une nouvelle bouteille de champagne.

"J'ai ... bien aimé" glisse t'elle à l'homme qui vient de s'asseoir en face d'elle. C'est gentiment dit et totalement honnête même si elle aurait put y mettre plus de passion. Mais bon, surtout ne pas trop se réjouir quand aux performances sexuelles d'un partenaire masculin devant ce même partenaire masculin. Préserver l'égo d'un homme c'est le forcer à donner plus ... beaucoup plus espère t'elle.

Ressentant un besoin urgent de se nettoyer un peu, Chloé se lève et sans un bruit (incroyable) se faufile jusqu'aux toilettes, avec sa petite trousse de toilette de voyage, où elle s'enferme. Le reflet dans le miroir lui renvoie l'image d'une hippie ruinée et échevelée loin de la jeune femme pimpante montée à bord de cet avion. Son maquillage a coulé, des plaques sèches de semence maculent son visage et son cou. Son corps porte les marques des mains de Bando et elle a même un bleu au genou gauche, là où elle a heurté l'accoudoir de son fauteuil en tombant sur la moquette de la travée. Après 20 minutes de débarbouillage, elle ressort de la cabine qui a vu naître leurs ébats. Au naturel, Chloé est toute aussi mignonne que maquillée et pomponnée. Elle s'est nettoyée tant bien que mal vidant le stock de serviettes et en a profité pour laver sa culotte qu'elle pose sur l'accoudoir de son siège pour la faire sécher.

Elle n'a pas sommeil.

"On fait quoi?"



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