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Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]

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Lamnard Kystrejfter

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Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]

samedi 07 avril 2018, 22:15:03

L'Empereur Alexandre VII de Blure


Princes et
princesses


Dans cette histoire, difficile de donner une origine aux événements dramatiques qui vont vous être contés. Depuis des générations, le Royaume de Clairis et l'Empire de Blure étaient en conflit permanent. Rares furent les occasions de célébrer un événement hors des issues des batailles durant ces longues décennies de sang versé.
Dans un dernier coup de maître, Blure avait fini par écraser Clairis. Par son génie militaire, Alexandre VII, 20 ans, captura l'essentiel de l'armée clairisienne, et leurs maîtres, les jumeaux Arthur et Clémentine, roi et reine de Clairis, 16 ans, peu après. Ainsi les jeunes mirent-ils fin aux vieilles querelles sur l'Alde. Lassés par la guerre, les deux camps étaient prêts à accepter toute issue au conflit.
Afin de garantir que sa descendance saisirait Clairis de plein droit, Alexandre annonça son intention d'épouser non pas juste Clémentine, mais les deux souverains de Clairis. Il fut acclamé par son armée tandis que les Clairisiens se résignaient.



Clic ... clic ... CLAC ! La porte de la cellule d'Arthur s'ouvrit, et la faible lueur de la torche suffit à l'éblouir. Il avait été enfermé si longtemps qu'il avait perdu le fil du temps. Combien de temps avait passé ? Des jours ? Des semaines ? Il avait été bien nourri, mais il se sentait abattu et faible. Voir sa soeur Clémentine saine et sauve lui donna du baume au coeur, cependant.
Ils furent amenés chacun dans une salle séparée, où ils furent baignés, frottés, récurés, parfumés et habillés à la mode de Blure. Arthur portait ainsi une simple chemise de soie bleue et un pantalon blanc bouffant. Le tout ne tenait que grâce à une ceinture écru bandée. Clémentine sortit de sa toilette dans une robe de soie blanche diaphane, qui révélait presque sa nudité complète. Le voile du même tissu qui dissimulait son nez et sa bouche en était presque superflu.

Ainsi accoutrés, ils furent conduits à travers leur propre chateau par des gardes armés, comme des condamnés. Qu'est-ce qu'Alexandre pouvait bien leur réserver ? Il avait nécessairement pris sa décision.
Ils découvrirent la salle du trône, une grande salle toute en longueur où avaient siégé leurs aïeux avant eux. Auparavant, portraits et armoiries ornaient les murs entre des statues magnifiques. Les statues avaient été travesties, vêtues comme des femmes, et les tableaux et tapisseries avaient été jetés au sol sur leur chemin. Ils foulèrent du pied les armes de leur dynastie et les visages de leurs illustres prédécesseurs, avançant jusqu'à Alexandre, nonchalament étendu sur le trône royal dans une tenue légère de soies noir et pourpre.


L'Empereur victorieux regarda avancer son butin avec de l'amusement au fond des yeux. Il avait été éduqué à ne ressentir ni plaisir, ni frustration en aucune chose, à être une machine dédiée à la guerre. Mais la machine avait gagné la guerre, et elle jubilait au fond d'elle-même à l'idée de profiter de sa victoire bien méritée. Alors qu'il voyait les jumeaux avancer, il sentit émerger en lui des désirs qu'il n'attendait pas. Il bouillonnait d'une énergie inconnue, et elle menaçait de le submerger et de prendre le contrôle.
Ici.
Au beau milieu de la ruine de leur monde chéri.
Ils seraient siens.

Aux pieds de Son Altesse Impériale s'étalaient coussins moelleux et tapis épais. Un narguilé trônait sur une table basse tandis que des esclaves attendaient, impassibles, de resservir leur maître en dattes, en vin ou en raisins. Quand les jumeaux furent enfin au bord des tapis, il claqua dans ses mains. Les esclaves disparurent, ainsi qu'une partie des gardes. Quelques-uns restèrent.
On bloqua les portes. Une poignée des gardes veillait clairement à ce que les jumeaux ne cherchent pas à reculer, tandis que les autres allèrent chercher les tableaux éparpillés, couverts de nourriture écrasée, de vin ou de terre. Les portraits furent positionnés en demi-cercle autour du trône, fermant tel un amphithéâtre la scène soyeuse du spectacle du vainqueur.

" J'espère que vous ne m'en voudrez pas, mais je me suis dit que tous nos ennemis vaincus voudraient assister à ce triomphe. "

Il marqua une pause, laissant l'insulte infiltrer l'esprit des jumeaux avec un sourire difficile à dissimuler. Il se sentait frémir, véritablement. Il posa son regard sur chacun des deux prisonniers, et s'adressa à eux comme à de simples serviteurs.

" Vous voudriez sûrement régner en mon nom. C'est impossible. Il ne vous resterait alors que l'esclavage. Arthur irait dépérir dans une mine de diamants destinés à ma couronne, que Clémentine polirait avant de me masser. " Il sourit, serra les poings. Il se sentait terriblement excité. Il dévia de son discours prévu, laissant la lame de fond le submerger. " Vous croyez peut-être qu'on traite ainsi des atouts aussi jeunes et séduisants ?! Allons. J'ai une grande nouvelle, mes tourteraux ! Vous êtes officiellement devenus mes épouses il y a une heure de cela. La foule célèbre encore l'événement ! "

Il laissa l'annonce faire l'effet attendu : l'incompréhension. Epouser Clémentine, c'était prévisible, mais pourquoi Arthur ? Alexandre lui donna la réponse sans attendre : " Clémentine me fera des héritiers de sang clairisien, et toi, tu la regarderas me donner tes neveux et tu te prosterneras. Et je compte bien vous apprendre vite comment les choses vont fonctionner désormais ! "

Il avait prononcé ces mots presque dans un rugissement. Se relevant d'un mouvement félin, il lança sa veste au loin et défit sa ceinture d'un mouvement expert. Le pantalon s'affaissa, révélant son pubis et la moitié de ses fesses, mais n'alla pas plus loin. Face aux jumeaux, une bosse explicite l'empêchait de glisser plus avant.
Du doigt, il pointa Clémentine, puis ses propres pieds. C'était une instruction très claire. " Vas-y, ma femme, montre-moi comment les Clairisiennes expriment leur affection à leur époux. Gardes ! Si le garçon fait mine de regarder ailleurs ou de bouger, forcez-le à obéir ! "

Les gardes se rapprochèrent d'Arthur, poussant Clémentine à s'avancer. Les jumeaux échangèrent enfin un regard. Comment allaient-ils bien pouvoir réagir ? Alexandre n'en avait guère idée, mais ce jeu l'excitait terriblement. Sa verge n'avait jamais été aussi raide qu'en ce moment. L'excitation ne tombait pas, l'attente ne faisant qu'intensifier son désir pour la princesse soumise à sa volonté.

" Allez, Clémentine. Viens. Fais ton devoir d'impératrice. "

Cassandre Harmington

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Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]

Réponse 1 samedi 07 avril 2018, 23:05:00

Les légendes les plus anciennes racontaient déjà que Clairis et Blure étaient en guerre au début des temps… La querelle entre ses deux peuples était ancienne, profonde… Tellement ancienne et profonde qu’on ne savait même plus pour tout dire… Tant de théories voguaient… Plusieurs théories circulaient. On parlait de l’assassinat du premier empereur de Blure par un poison contenu dans une amphore de vin Clairsienne. On parlait de jalousie Bluroise envers les terres agricoles de Clairis, tandis qu’eux vivaient dans le sable du désert… On parlait de pays étrangers qui avaient fait en sorte que les deux plus grands royaumes s’entre-tuent, pour ainsi récupérer les miettes de ce qui resterait après ce conflit, et ainsi, devenir la superpuissance du continent… Tant de théorie qui ne faisait que tenter d’expliquer l’inévitable…

Clairis était tombée. Clairis avait perdue une importante bataille, où la cavalerie Clairisienne avait été massacrée par les armées de l’Empire. On recomptait que sur les 6000 hommes du roi et de la reine, plus de 5000 avait trouvé la mort. Toute la noblesse et toute l’armée Clairisienne avait été décapitée en une journée. Il ne restait que les deux monarques, qui furent bien vite capturés après que la capitale se soit rendue sans combattre. Aucun des habitants de la capitale ne voulait voir la magnifique ville tombée et être pilée, détruite, et les villageois massacrées. Cela n’allait pas aidée dans la vieille réputation que les Clairissiens étaient des lâches et des couards… Bref, les monarques furent séparés, et emprisonnés… Arthur, isolé dans un cachot, ne put qu’attendre la mort arrivé…

Revoir sa sœur fut un énorme soulagement pour lui. En effet après une très longue attente, il fut « libéré » et amené vers une salle. Les deux furent lavées et nettoyés, ce qui leur fit énormément de bien, bien que cela soit fort gênant qu’à seize ans, ils soient dorlotés ainsi… Les deux furent habillés à la mode de Blure, chose assez troublante… Cela allait pour Arthur, pensa-t-il, mais Clémentine était extrêmement gênée de sa tenue. Elle était… Nue, littéralement, sous ses vêtements, et n’avait qu’une robe extrêmement transparente… On pouvait tout voir pensa-t-elle ! Et sans doute que les gardes le pensaient, eux aussi. Quoiqu’ils en soient, ce fut dans cette tenue que les deux furent amenés, transportés jusqu’aux lieu où les attendait Alexandre… Leur propre salle du trone.

" J'espère que vous ne m'en voudrez pas, mais je me suis dit que tous nos ennemis vaincus voudraient assister à ce triomphe. "

La grandeur de Clairis était travestie, ridiculisée, humiliée. C’était la grandeur de leur pays qui avait sombré. La salle, les deux anciens monarques ne la connaissaient que trop bien, cela ne faisait pas de doute… Donc voir ainsi les portraits de leur ancêtre, dont leur père, l’ancien roi Maxime IX, et leurs armes jetés à même le sol… Mais le pire, c’était sans doute les statues. Les statues représentaient les plus grands héros du royaumes, et ils étaient tous travesties, vêtues comme des femmes. Le peuple de Clairis, plutôt sexiste, n’avait honoré aucune femme dans cette salle… Chose changée, car maintenant, tous étaient des femmes… Bref, quoiqu’il en soit, les deux jeunes monarques n’avaient pas qu’à regarder autour d’eux. Ils devaient maintenant se concentrer sur le vainqueur, qui avait des choses à leur dire… Beaucoup de choses…

" Vous voudriez sûrement régner en mon nom. C'est impossible. Il ne vous resterait alors que l'esclavage. Arthur irait dépérir dans une mine de diamants destinés à ma couronne, que Clémentine polirait avant de me masser. Vous croyez peut-être qu'on traite ainsi des atouts aussi jeunes et séduisants ?! Allons. J'ai une grande nouvelle, mes tourteraux ! Vous êtes officiellement devenus mes épouses il y a une heure de cela. La foule célèbre encore l'événement ! "

Ils… Ils n’allaient pas finir comme esclaves ? Cela surprit Arthur, qui s’y était préparé depuis le début. Il s’était préparé à ça… Ou bien à être exécuté. Mais… Être… Attendez quoi ? Comment ça ils étaient devenues ses « épouses » ? Arthur était un homme, il devait le savoir. Après, comme beaucoup de Clairisien, Arthur n’était pas un modèle de virilité, on disait souvent que les Clairisiens, comparé aux Blurois, étaient des femellettes, bien qu’ils avaient sauvagement défendus leur terres… Mais de là à en faire eux deux des femmes ? Cela n’était pas logique, mais… Pouvait-on s’attendre à de la logique de Blurois ? C’était que peu probable… Quoiqu’il en soit, leur interlocuteur s’expliqua un peu, en explicitant ce qu’il avait voulu dire par là, et déclara simplement :

" Clémentine me fera des héritiers de sang clairisien, et toi, tu la regarderas me donner tes neveux et tu te prosterneras. Et je compte bien vous apprendre vite comment les choses vont fonctionner désormais ! "

« Je... »

Arthur ne sut pas que dire devant une telle déclaration… Imaginer sa sœur, sa précieuse sœur, être engrossée par un sauvage de Blure ! C’était… L’idée même lui donnait la nausée. Et en plus… Il se déshabilla, là, devant eux deux, sans plus de cérémonies. Enfin, non, il ne se déshabilla pas totalement, étant donné qu’on pouvait voir que son phallus retenait justement le pantalon, sauvant les deux spectateurs d’une vision du phallus. Clémentine laissa pousser un petit « gasp » sonore en imaginant ce qu’il y avait en dessous, tandis qu’Arthur lui restait interdit, réfléchissant aux conséquences de ce qui était entrain de se passer… Oh mon dieu. Par le grand protecteur de Clairis, pourquoi cela devait-il arriver ? Bref, en tout cas, le fameux empereur alors désigna ses pieds, et déclara :

" Vas-y, ma femme, montre-moi comment les Clairisiennes expriment leur affection à leur époux. Gardes ! Si le garçon fait mine de regarder ailleurs ou de bouger, forcez-le à obéir ! "

Les Clairisiennes… Il déclara cela comme si les Clairisiennes étaient des chiennes ou des salopes ! C’était… C’était inacceptable ! Mais comment faire pour tenter de le contredire ? Après tout, les gardes étaient tous là, et bien prêt à les mettre hors d’état de nuire s’il y avait quoique ce soit… Bref, ils ne rigolaient pas, et cela se voyait. Deux gardes étaient venus jusqu’à Arthur, le maintenant, tandis que deux autres gardes poussèrent Clémentine à s’approcher de l’empereur… Clémentine accepta, et s’approche, venant jusqu’au pieds de son époux. Elle le regarda de ses deux grands yeux, tandis qu’on pouvait voir ainsi ses seins dans la transparence de son vêtement… Aussi bien elle que son frère était terrifié par la situation, comprenant qu’ils n’avaient absolument aucun contrôle, et qu’ils ne pouvaient que subir… Néanmoins, après les déclarations d’Alexandre, et bien…

" Allez, Clémentine. Viens. Fais ton devoir d'impératrice. "

« Attendez ! »


Ce fut Clémentine elle-même qui osa déclarer cela. Elle tremblait légèrement… Mais elle ne céderait pas. Elle savait que « femmes » étaient un euphémismes pour leur destin. Sans aucun doute qu’aussi bien elle que son frère allaient devenir des esclaves sexuelles qui ne pourraient rien faire de plus que satisfaire leur époux et maître… Mais visiblement, Clémentine allait se révolter contre cela ! Ou peut-être pas, étant donné qu’elle n’était pas dupe. Aussi bien elle que son frère n’avait strictement aucune chance de faire quoique ce soit qui leur permettent de s’en sortir vu la situation donné… Et même s’ils s’en sortaient, l’armée de Clairis avait été écrasé sur la pleine de l’Alde… Donc, en gros, ils leur restaient plus rien du tout. Clémentine prit une grande respiration, et commença à déclarer :

« Messire Alexandre… Nous…
-Nous sommes roi et reine de Clairis. »

Cependant, elle n’arriva pas à terminer sa phrase. Elle eut trop peur, ou elle craignait un saut d’humeur de son nouvel époux… Elle ne savait pas du tout. Mais bref, elle n’arriva pas, et devant la détresse de sa sœur, Arthur, toujours emprisonné, avait décidé de déclaré, calmement, et rappelé qu’ils étaient les rois et reines de Clairis. Petite provocation ? Ou bien avait-il une vraie raison dans ce qu’ils avaient dis ? Et bien, il avait une vraie raison pour dire ça, il ne disait pas ça dans une gratuité la plus totale, juste pour rappeler leur ancien roi… Mais il comptait bien montrer le respect qu’il devait à l’empereur… En effet, il ne voulait pas que Clémentine souffre à cause de lui. Donc, il déclara, baissant la tête…

« Permettez une offense de votre… Grrr… épouse, mais promettez que notre peuple ne craint rien.
-Après… Je ferais ce que vous me demandez... »

Clémentine montra alors qu’elle était résignée. Bien plus que son frère, elle avait abandonnée tout espoir, et elle espérait juste que son peuple n’allait pas souffrir les ravages d’un peuple barbare. Le Royaume de Clairis était important pour son vin, et ses exportations très rapides. Cela en faisait un royaume riche qui avait donc grandement contribué à la richesse artistique et patrimoniale du monde. Bref, un royaume d’art et de vin… Comparé à beaucoup d’autres royaumes bien plus portés sur les armes, les Clairisiens avaient donc réputation d’être des bons vivants. Et ainsi, que leurs femmes seraient des chaudasses, connaissant de nombreuses performances sexuelles… Etait-ce le cas de Clémentine ? Pas du tout ! Elle était pure comme la robe blanche qu’elle portait en ce moment… Cela montrait que visiblement, elle avait beaucoup à apprendre… Comme Arthur, d’ailleurs, n’avait-il pas dis lui-même qu’il était son « épouse » ?

Lamnard Kystrejfter

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Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]

Réponse 2 samedi 07 avril 2018, 23:57:23

Quand Arthur était intervenu, les gardes avaient bien failli lui donner une leçon de protocole blurien, mais l'Empereur avait levé un doigt et ils s'étaient ravisés. Pendant un instant, on aurait cru entendre les violons accompagner la résignation des jumeaux au sort cruel qui leur était réservé. Alexandre resta là, Clémentine dignement agenouillée à quelques centimètres de son sexe couvert, Arthur énonçant dignement, mais les dents serrées, les conditions des jumeaux royaux pour que l'accord tienne.
Ils voyaient cela comme un accord. Une décision bilatérale.
Le Blurisien trouvait ça très drôle, mais il ne réagit pas dans l'immédiat, croisant les bras, reprenant sa poker face habituelle en les laissant s'exprimer. On aurait cru qu'il avait perdu pied, et qu'une négociation avait démarré. Peut-être les jumeaux le pensaient-ils vraiment ? A 20 ans, Alexandre avait encore de l'expérience et du savoir à accumuler. A 16 ans, Arthur et Clémentine étaient, au mieux, des novices du monde et des affaires d'Etat.
Il aurait presque eu pitié pour leur innocence enfantine, s'il n'avait eu ni remords, ni doute, ni mépris pour eux et leur culture.

Aux dernières paroles de Clémentine, on aurait pu entendre les violons se taire, et un silence opressant tomber sur la salle du trône clairisien. Les jumeaux étaient là, attendant de recevoir leur récompense pour avoir pris la parole, d'obtenir matière à s'imaginer étant les héros du jour, les sauveurs du peuple clairisien. Alexandre les laissa patienter, semblant vraiment plongé dans une intense réflexion, une main devant son visage.
Mais ses épaules tremblèrent après un instant, et il ricana, puis rit aux éclats pendant un petit moment, et même les gardes, réalisant que leur souverain s'amusait, se permirent des rires étouffés. L'Empereur se calma bien vite, cela dit, tournant un regard acéré vers Arthur. Son rire avait changé en un rictus moqueur. Il le regardait, lui, dans les yeux, car il voulait bien qu'il ne le lâche pas du regard dans les prochains instants. Une main avait, pendant ce temps, glissé le long des cheveux de Clémentine sur son épaule, la maintenant gentiment, mais aussi sûrement qu'un étau l'aurait fait.

" C'est sûr, avec vous, les Clairisiens, on s'amuse. Donnez-moi ceci, je veux cela ... Qu'est-ce qui vous laisse penser que vous êtes en position de négocier ? "
" Nous sommes vos sujets obéissants, Votre Altesse Impériale, mais ... "
" ... Nous voulons des ... garanties ... p-p-pour ... pour ... "
" ... Pour pouvoir vous servir convenablement. "

Alexandre leva les sourcils, clairement surpris par la position des jumeaux. Il n'attendait pas tant de répartie de deux morveux de Clairis. Mais il n'en était pas désarçonné pour autant. Son visage s'assombrit.

" Permettez-moi d'être clair : désormais, les Clairisiens seront nos esclaves. La générosité de mes décrêts, le traitement qui leur sera réservé, la fréquence et la sévérité des punitions ... Cela dépend de vous. Vous déterminerez s'ils vivront esclaves et bien portants, ou esclaves et misérables. Et si vous m'y forcez, je vous ferai diriger les pelotons d'exécution. Voilà où en est Clairis, et où vous en êtes. Vous voulez pouvoir servir convenablement ? Dites-vous que si vous n'y arrivez pas, ce n'est pas vous, mais tous vos bienaimés sujets qui en feront les frais. " En disant ces mots, il passa sa main sous le menton de Clémentine, lui dégagea les cheveux et défit le voile couvrant son visage, le tout très doucement. " Je n'ai pas envie d'abîmer la mère de mes héritiers, ou leur tante Arthur. "

Il était presque devenu galant avec Clémentine. Elle espéra peut-être même, un instant, avoir trouvé le bouton pour calmer le feu de son époux et maître. Mais il n'en était rien.
Aussi vite qu'il avait lentement défait son voile, Alexandre glissa une main derrière la tête de la fille, agrippant ses cheveux, tandis que l'autre l'attrapait à la gorge et sous la mâchoire, l'immobilisant et la soumettant aux gestes de ses bras. Arthur eut un mouvement d'hésitation. Un garde tira son poignard et le glissa sous sa gorge tout en lui attrapant, lui aussi, les cheveux.
L'Empereur baissa enfin les yeux vers Clémentine. Il rencontra son regard terrifié, ses dents claquaient et son corps entier semblait chercher sans énergie une issue introuvable, suspendu aux mains d'un maître impérieux.

" Alors, femme, dis-moi ... " Secouant son bassin, il fit chuter son pantalon, révélant sa verge raide et son gland humide, et il la maintint tout près, pour qu'elle ne puisse y échapper. " ... est-ce que ce sont vraiment les garçons qui s'occupent de vos hommes ? Est-ce qu'Arthur doit prendre ta place ? "
Tout en l'interrogeant, il la rapprocha, faisant glisser son visage contre son sexe, y laissant des trainées de liquide séminal avant de le presser entre ses cuisses, contre ses bourses. Il retourna son regard conquérant sur Arthur, qui n'avait d'autre choix que d'assister à la scène sans bouger. Il croisa son regard et un éclair de malice traversa ses yeux. Arthur tenait vraiment beaucoup à sa soeur. C'était presque de la jalousie qu'il voyait là, il en était certain.
" Suce-les, ma femme. Utilise ta langue. Ouvre-moi ces lèvres de salope, remplis ta bouche. Montre-moi comment se donne une chienne clairisienne ! "

Cassandre Harmington

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Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]

Réponse 3 dimanche 08 avril 2018, 10:36:29

Etait-ce de la folie ? Du courage ? Un peu des deux ? Franchement, ni Arthur ni Clémentine n’en savaient rien… Mais ils avaient demandés… Car c’était du devoir d’un souverain. Même réduis en esclavages, ils se devaient de faire attention à leur peuple… Bien sur, c’était stupide, car ils faisaient ça, comme s’ils croyaient qu’ils étaient en position de négocier. Ils savaient très bien qu’ils n’étaient pas du tout en position pour négocier, au contraire même… Mais que pouvaient-ils faire sinon ? Abandonner tout espoir, et laisser leur peuple à la mercie des Blurois ? Impossible, ils étaient des souverains fiers, et comme leur prédécesseurs, même dans le déshonneurs, ils penseraient à leur peuple… Avec un peu de chance, l’empereur serait magnanime avec ses nouveaux sujets…  Malheureusement, tout semblait mal partie.

" Permettez-moi d'être clair : désormais, les Clairisiens seront nos esclaves. La générosité de mes décrêts, le traitement qui leur sera réservé, la fréquence et la sévérité des punitions ... Cela dépend de vous. Vous déterminerez s'ils vivront esclaves et bien portants, ou esclaves et misérables. Et si vous m'y forcez, je vous ferai diriger les pelotons d'exécution. Voilà où en est Clairis, et où vous en êtes. Vous voulez pouvoir servir convenablement ? Dites-vous que si vous n'y arrivez pas, ce n'est pas vous, mais tous vos bienaimés sujets qui en feront les frais. Je n'ai pas envie d'abîmer la mère de mes héritiers, ou leur tante Arthur. "

… Damnit. Donc, c’était fichu… Les Clairisiens allaient souffrir, et ils seraient le baromètre de ses souffrances… Et le pire, c’est qu’aussi bien Clémentine qu’Arthur savait très bien que… Qu’il ne blaguait pas dans ce qu’il disait. L’empereur de Blure n’était pas du genre à mentir, ou bien à faire des blagues sur ce genre de sujets. Les Clairisiens étaient bien des esclaves. Sans doute qu’à cette heure, les plus illustres habitants de Blure étaient déjà entrain de se diviser et de récupérer les plus précieuses terres viticoles de Clairis. Bientôt, les autres nations laisseraient les deux états en paix. Pourquoi aider Clairis ? Blure n’était pas stupide, et allaient reprendre les exportations de vins et denrées alimentaires vers les autres nations. Cela ferait de Clairis une vieille nation, oubliée dans les livres d’histoire, tandis que la lignée de Clairis aurait été fusionnée à la lignée de Blure…

Quoiqu’il en soit, alors que l’empereur était donc à expliquer ça… D’un seul coup, Clémentine fut attrapée à la gorge… Ses cheveux étaient tirés, tenues, et elle laissa échappé un couinement aussi bien de peur que de douleur… Elle était immobilisée, soumise à son agresseur. Arthur eut un mouvement de reflexe, voulant sauver sa sœur, mais ce fut aussi ridicule qu’inutile. Immédiatement, il fut lui aussi immobilisé, avec un poignard à la gorge. Bref, peut-être plus Clémentine qu’Arthur, mais les deux étaient terrifiés. D’ailleurs, l’empereur de Blure put le voir, voir cette détresse dans les yeux de son interlocutrice, étant donné qu’il la regarda… Il la regarde de ses deux yeux profonds, et déclara :

" Alors, femme, dis-moi ... est-ce que ce sont vraiment les garçons qui s'occupent de vos hommes ? Est-ce qu'Arthur doit prendre ta place ? "

« No… Non… »

Elle ne voulait pas qu’Arthur la remplace, elle ne voulait pas qu’Arthur souffre car elle avait été trop lâche. Un  peu comme un ridicule courage, elle estimait qu’elle devait faire en sorte que son frère s’en sorte… Il révéla alors son phallus, qui fit échapper un nouveau « gasp » à la fameuse Clémentine. Elle put bien le voir, étant donné que visiblement, le phallus commença à glisser, tranquillement sur son visage, laissant une coulée sur son visage. Elle fut pressée contre les testicules, bref, la jeune femme était véritablement un jouet sexuelle à la mercie de son interlocuteur, qui semblait bien profiter du fait qu’elle était totalement en son emprise… Clémentine, peu habituée, ne connaissant pas ce genre de pratique sexuelle, était encore hésitante, et ainsi, heureusement son époux était là pour la guidée.

" Suce-les, ma femme. Utilise ta langue. Ouvre-moi ces lèvres de salope, remplis ta bouche. Montre-moi comment se donne une chienne clairisienne ! "

Arthur regarda ça médusée. Sa sœur, sa précieuse sœur jumelle allait être violée, et il pouvait rien faire. Il voyait juste le dos de sa sœur, et le puissant torse de son mari… Il voyait mal, mais devinait tout… Il avait entrapperçu lui aussi la taille du phallus de son époux, et… Et on pouvait dire qu’il était bien ridicule en comparaison, qu’il avait un petit phallus, bien loin de l’imposant calibre de l’empereur… Bref, à la taille de la bite, on pouvait comprendre pourquoi Clairis s’était fait écrasée par Blure, car, il allait bientôt le découvrir peut-être, mais le jeune roi de Clairis n’était pas le roi doté du plus incroyable des pénis… Bref, quoiqu’il en soit, c’était un spectacle dégoûtant et horrible qu’il allait voir, mais il ne pouvait rien faire, et même pas détournée le regard, sans se faire trancher la gorge.

Mais Clémentine, c’était elle sur qu’il fallait se concentrer… Bref, tremblottante, elle ouvrit légèrement la bouche, et commence à sortir sa langue, et passa un coup sur les testicules de l’homme… elle passa un coup de langue, et frisonna, avant de continuer, de reprendre… Pour le moment, c’était très timide… Mais elle tentait. Après tout, il l’avait dit. Si ses épouses étaient de bonnes esclaves, elle comme son frère, alors, son peuple ne serait pas maltraitée. Si elle ne mettait pas d’efforts dans ce qu’elle faisait… Alors, elle n’osait pas imaginer ce qui allait arriver. Même ce qui était peut-être entrain d’arriver, là, maintenant à son peuple.

Devinant que sa timidité et ses maigres actions ne contenteraient pas son mari, elle ouvrit un peu plus la bouche, et prit le gland en bouche. Après qu’il soit passé autant de fois sur son visage, elle n’avait plus qu’à faire ça, elle supposait. Elle lécha, calmement et timidement, arrivant à ne pas trop grimacer. C’était très timide tout ça, mais on pouvait supposer que pour une première fois qu’elle voyait un phallus, c’était quand même pas si mal… Mais le soucis, c’était que « pas si mal », et bien, ce n’était pas ça qui allait satisfaire son époux ! Bref, maintenant, Clémentine elle-même se posait la question, que devait elle faire ? Elle avait un phallus en bouche pour la première fois de sa vie, le gland dans sa petite bouche, et elle hésitait. Devait-elle tenter d’aller plus profond ? Lécher plus efficacement ? Elle ne savait pas vraiment…

Lamnard Kystrejfter

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Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]

Réponse 4 dimanche 08 avril 2018, 15:26:31

L'empereur blurois frémit lorsque la petite Clémentine se décida enfin à se mettre à l'ouvrage, mais il ne quitta pas Arthur du regard. Un sentiment pervers qu'il ne se connaissait pas se manifestait en lui. Il aimait être regardé, mais il aimait encore plus l'idée d'avoir une emprise totale, d'être dans le contrôle, de contraindre et prendre selon son seul désir. Il avait déjà eu des relations, avec plusieurs femmes du harem. Feu son père, l'Empereur Nicolas VI, considérait qu'un homme n'était un homme que si il savait comment s'accoupler à une femme. Comme toute chose, Alexandre l'avait pris comme un exercice, un devoir à remplir. Il avait donné du sien, avait mollement répandu sa semence, et avait été récompensé.
Ici, tout était différent. Cette langue sur sa verge, son gland dans sa bouche, c'était la récompense de sa victoire historique, le cadeau adéquat à un souverain triomphant, son plaisir, que lui seul pouvait prendre s'il le voulait, car tout cela était à lui, pour lui. Il songeait à cela et se sentait tout puissant. Mais il lui manquait les pulsions d'extase que l'acte devait lui procurer.

Il baissa les yeux sur Clémentine, qui tétait timidement, comme un bébé tétant le sein, mais sans la faim. Il serra les dents. A quoi devait-il s'attendre ? La petite blonde avait sûrement vécu sa vie dans un cocon, entourée de sycophantes ne pensant qu'à préserver son innocence et son endoctrinement, jusqu'au jour où ils pourraient la donner à un vieux duc récalcitrant. Encore aurait-il fallu qu'Arthur accepte. Elle aurait sûrement fini vierge et enfermée dans une tour.
C'était peut-être mieux ainsi pour tout le monde.
Mais sa petite vierge de femme le frustrait. Il la poussa contre lui, faisant glisser son sexe dans sa bouche. Elle l'accueillit sans résistance, mais sans appétit. Il voulut donner le rythme, agrippant ses cheveux derrière ses oreilles et faisant aller et venir sa verge entre ses lèvres. Il y alla sans ménagement, et elle commença à baver, le faisant glisser plus profondément et au fond de sa bouche. Mais, bien avant qu'elle n'en prenne la majeure partie, elle toussa, força pour se dégager et parvint finalement à se défaire de son emprise.

" Je ne peux ... trop grosse ... kof kof ! "

Il grogna, la giffla et la laissa retomber, déglutir et reprendre son souffle, la fixant avec déception. Il n'avait pas envie de lui apprendre comment faire. Elle pouvait bien le deviner elle-même, non ? Ou bien ...
Un sourire remonta sur son visage tandis qu'il relevait son regard vers Arthur, décomposé mais toujours immobile. Il alla rapidement vers un garde, tirant une dague courbe d'un fourreau et revenant à sa place. Il pointa la pointe de l'arme sur le garçon et lui fit signe d'approcher. Les gardes le laissèrent instantanément.

" Tu as le choix : la guider pour bien faire, ou le faire toi-même. " Sa tête se pencha de côté tandis que son sourire s'écarquillait, carnassier et joueur. " Je veux voir si tu oseras enfoncer ma queue dans sa gorge et lui dire de faire tourner cette langue de pucelle, ou si tu règneras par l'exemple et lui présenteras la marche à suivre. "
Alexandre voulait sincèrement voir ce qui allait se produire. Il n'oubliait pas leur attitude fusionnelle et le regard de braise du prince clairisien. Il se demandait jusqu'où allait son amour pour sa soeur. Il se demandait s'il l'aimerait au point de sacrifier cet honneur clairisien si pompeux et monomaniaque. Rien que pour ça, se faire sucer par un homme en vaudrait la peine.
Mais en même temps, il avait envie de Clémentine, et il se réjouirait tout autant du spectacle d'Arthur la poussant à faire son travail, à genoux devant lui.
Deux petites chiennes à dresser, et un maître patient.

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Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]

Réponse 5 dimanche 08 avril 2018, 17:24:07

Elle tenta. On ne pourrait rien dire autre que « elle avait tenté. » Mais dès qu’elle commença à faire des efforts, et bien, cela devenait très dur pour elle. Très très dur, car… Et bien, elle n’avait pas l’habitude. Elle n’avait aucune éducation seuxelle… Et le pire, c’est que oui. Ses parents auraient survécus, elle aurait été marié à un vieux duc très riche, et puis basta ! Là, ce qui l’avait protégé du mariage arrangé, c’était le fait que les deux avaient été orphelins, et donc sacré roi et reine très jeune ! Donc, voilà… Bref, Clémentine tentait de prendre le phallus dans sa bouche… Mais c’était… C’était trop gros pour elle. Beaucoup trop gros. Il avait un calibre absolument énorme… C’était incroyable ! Bref, elle arrêta, et fut punie pour cela. Elle fut punie pour cela, et reçu une claque qu’elle supposait… méritée. Elle était une mauvaise épouse après tout…

Arthur manqua de se lever rapidement, pour tenter de sauver sa sœur, mais fut empêcher par le garde… Alors qu’il voulait casser la gueule de ce putain d’empereur qui n’avait pas le droit de lever la main sur son épouse, et encore moins sur sa sœur… Et bien, l’empereur autorisa les gardes à libérer Arthur. Le jeune garçon avait réussi à se calmer, et approcha alors vers l’empereur, histoire de voir ce qu’il voulait. Il lança un regard à sa pauvre sœur, qui avait une belle marque sur la joue. La peau blanche des Clairisien marquait très facilement, cela était donc « logique » qu’elle ait une marque… Bien que cela déplaisait beaucoup au fameux Arthur. Clémentine, elle restait un peu en retrait, quand les deux jumeaux entendirent :

" Tu as le choix : la guider pour bien faire, ou le faire toi-même. "

« Quoi ?! »

Arthur poussa un quoi extrêmement surpris, presque choqué ! Tandis qu’il disait ça, son interlocuteur, lui avait un sourire narquois. Il profitait de la situation, il l’aimait, cela se sentait, cela se voyait de très très loin. Clairement, il aimait ça… Clémentine regardait ça, et se demandait… Elle avait cru dès le début que le mariage était un projet d’Alexandre uniquement pour ainsi avoir sa descendance sur Clairis… Mais… Mais ne dîtes pas que… Qu’il voulait vraiment elle et son frère… Pour des raisons amoureuses, sexuelles, bref, tout ce que vous voulez ? Elle ne déclarait rien, se contentait de regarder son interlocuteur… Mais… Mais si cela se vérifiait… Cela changerait beaucoup de choses pour elle, comme pour son frère. Ils seraient pas que des esclaves, mais de véritables trophées… Avec tout les avantages, comme les inconvénients que cela voulait dire… Bref, quoiqu’il en soit, Alexandre explicita ses déclarations :

" Je veux voir si tu oseras enfoncer ma queue dans sa gorge et lui dire de faire tourner cette langue de pucelle, ou si tu règneras par l'exemple et lui présenteras la marche à suivre. "

« ... »


Arthur resta muet un moment, quand il entendit cela… Cela voulait dire qu’il avait le choix, maintenant. Soit il poussait sa sœur à sucer cette homme… Soit lui-même, il allait devoir le sucer… C’était un choix Cornélien. Soit il sacrifiait son honneur, et sous le regard des portraits et des statues de ses ancêtres, il suçait, lui, le Roi du Pays, un étranger… Soit il faisait bien pire. Il forçait sa sœur… Tout, mais alors tout lui disait quoi faire. Le choix était assez « simple » en apparence… Mais qu’on soit clair, cela voulait dire que non seulement il cracherait sur l’honneur de Clairis, et ainsi, la princesse serait réduite à une suceuse, mais en plus, il serait complice de cette situation, vu que ça serait lui-même qui aurait forcé sa sœur à le faire… Bref, dans le cas où c’était lui qui devait sucer l’empereur, ainsi… Il n’y avait qu’une seule et unique personne qui allait souffrir. Et ça serait lui. Un choix suffisent pour lui, pour qu’il décide ainsi de faire…

« Pousse toi petite sœur… Je vais le faire.
-Ar… Arthur... »

Il poussa délicatement, gentiment sa sœur, et s’approcha du phallus. Il jeta un dernier regard de braise à son époux. On pouvait voir dans ses yeux une fureur, mais sur ses joues… Une gêne, une gêne quasi féminine, même on pouvait dire. Presque celle de sa sœur, enfaite, pour tout dire. On avait presque l’impression que les deux étaient interchangeable. Bref, quoiqu’il en soit, après ce regard du jeune ancien roi de Clairis, il baissa les yeux, et regarda le phallus. Maintenant qu’il l’avait en vue, il pouvait confirmer. Sa bite était toute petite en comparaison, le rendant rouge de honte… Dire… Dire qu’il allait faire ça… Mais il n’avait pas le choix… Et donc, il devait faire de son mieux, pour montrer qu’il était prêt à aider sa sœur… Il approcha sa bouche, gentiment et très délicatement, encore une fois avec une attitude fort peu virile, montrant bien que visiblement l’empereur avait eu un bon choix… Et pris le gland en bouche, à son tour.

Il commença alors à sucer son époux et l’actuel empereur… Plus ambitieux que sa sœur, visiblement car il avait vu celle-ci se faire rembarré, il commença un vas et viens, qui se voulait un peu plus actif, un peu plus performant… Il allait un peu plus profond qu’elle, et hésitait pas à jouer de sa langue pour faire que l’empereur soit satisfait… Plus vite il allait jouir, mieux ça serait. Avec une peu de chance, une telle bite était forcément peu endurante, non ? Ayant un peu de mal, il remercia sa sœur, qui l’aida à faire le vas et viens, guidant sa tête, l’aidant à bien se positionner… La situation ainsi était devenue totalement inversée. Il avait proposée qu’Arthur aide sa sœur à apprendre à sucer… Et bien, c’était finalement l’inverse qui était entrain de se produire. Clémentine aidait à Arthur à apprendre à sucer. Les deux jumeaux ainsi travaillaient ensemble pour satisfaire leur époux… comme deux bonnes épouses.

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Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]

Réponse 6 dimanche 08 avril 2018, 17:55:47

Alexandre poussa un soupir. C'était mieux, bien mieux même. Il gardait sa dague bien en main, prêt à punir tout acte de rébellion à hauteur du préjudice, mais il devait l'avouer, Arthur se montrait plus entreprenant et doué que sa soeur, plus naturel. Peut-être était-ce parce que lui aussi était un homme, et qu'il savait d'instinct comment la prendre pour l'exciter. Il se détendit et grogna, de façon plus détendue cette fois. Il avait passé une main à travers le col très échancré de la robe transparente et lâche de Clémentine, lui caressant un sein pendant qu'elle aidait son frère à ... aller jusqu'au bout ? Cela le fit sourire d'autant plus. Si Arthur avait autant de mal pour tenir une fellation, il ne serait pas bien combattif sous peu, et il serait d'autant plus facile de faire ce qui convenait de faire pour le plaisir de l'empereur.

" On nous a toujours dit que les Clairisiens sucaient comme nos femmes, mais je n'aurais jamais cru que c'était vrai ! " La remarque provoqua une envolée de rires du côté des quelques gardes toujours présents. La plupart ne regardaient pas, peut-être gênés, mais tous riaient manifestement de bon coeur, grassement, par moquerie pure et simple, comme s'ils apprenaient que la meilleure blague du monde était vraiment vraie.
Pour Arthur, qui ne s'arrêtait pas, ce serait manifestement un coup dur. Comme le manipulateur qu'il était à la cour, Alexandre usa du prétexte pour obtenir quelque chose, comme toujours. " Allons, allons, vous allez frustrer l'épouse royale ! Il mérite aussi quelque chose, non ? Fais voir ce que tu as là ! "

Sans crier gare, le Blurois tailla dans le tissu du pantalon à l'entrejambe. Cette fois, Arthur s'arrêta, tomba en arrière, ce qui était normal. Alexandre était réputé pour son talent aux armes, et il n'avait même pas éraflé sa peau délicate et blanche ; mais un trou béant s'ouvrait maintenant, révélant son pelvis. Il posa ses mains, gêné, soucieux de cacher l'évidence qu'il avait lui-même constaté depuis un moment.
Alexandre gardait Clémentine à lui. Il l'avait agrippé par l'oreille pour poser sa tête contre sa cuisse, et il caressait maintenant le lobe de son oreille sans trop y faire attention. Il avait bien envie de la ménager, car il allait passer à la vitesse supérieure, et ils avaient tout intérêt à être bien installés.
" Allez ! Montre ! Tu as décidé de prendre sa place, et c'est super. Tu mérites une récompense. Mais d'abord, enlève tes mains de là. "
Le prince s'exécuta. Il voyait bien que son époux avait la tête de sa soeur dans une main, et une dague dans l'autre, et la vision était proprement terrifiante maintenant qu'il mesurait l'ampleur de la folie de cet homme.

Il y eut un silence, puis Alexandre éclata de rire. Aucun garde ne pouvait voir, mais le souverain impérial leur adressa quelques mots en blurois entre deux fous rires, et l'éclat fut maintenant général. L'humiliation était absolue. Si le sexe d'Arthur n'était pas minuscule, il n'était pas franchement grand ni bien viril. L'Empereur essuya ses larmes du dos de la main tout en se calmant.
" Oh ! ne le prends pas mal, voyons, Arthur ! Je n'en veux pas, de toute façon. Non, Clémentine va t'aider ! " Cette fois, les jumeaux ne savaient pas par où commencer. Il les coupa directement. " Des époux doivent se donner du plaisir, c'est important ! Et tu as vraiment donné du tien pour lui enseigner des choses utiles, c'est Justice que tu en profites. Allez ! Lève-nous cette nouille ! Et toi, ma petite blonde, montre-lui comme tu as bien appris. "
Dans le même geste, il tomba sur le trône derrière lui et allongea son bras pour fesser Clémentine. Le claquement résonna dans la salle tandis qu'elle se redressait dans un couinement de douleur. Alexandre la fixait des yeux. " Va ! Rampe vers sa virilité clairisienne et honore-là comme il se doit. Après tout, vous aimez tellement votre race, il est temps de la célébrer comme il se doit, non ? Allez, Clémentine, ne me déçois pas ! Et toi, Arthur ... Tu sais ce que tu dois faire si tu veux qu'elle ne soit pas punie. "

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Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]

Réponse 7 dimanche 08 avril 2018, 22:38:29

" On nous a toujours dit que les Clairisiens sucaient comme nos femmes, mais je n'aurais jamais cru que c'était vrai ! "

Il arrivait pas à le croire... Et tout le monde se moquait de lui, en plus... En même temps, que pouvait-il faire ? Il était obligé de le sucer, il ne le faisait absolument pas par plaisir... Mais en quoi des Blurois pourraient le comprendre ? Ils étaient trop stupide, trop gras. Pour eux, c’était la moquerie avant tout. Ils devaient être content, ils avaient réussi à capturer l’état de Clairis et le faire tomber en esclavage... Et voilà ! Maintenant ils pouvaient se moquer avec grand plaisir du jeune roi, qui était réduit à sucer leur empereur... C’était de la moquerie pur et simple, et... Et bien, ils avaient « bien raison » de faire cela, car cela marchait nickel. Cela marchait nickel pour l’énerver, le frustrer, presque le donner envie de pleurer... Car oui, il en avait les larmes aux yeux... C’était pas amusant à voir... ?

 Allons, allons, vous allez frustrer l'épouse royale ! Il mérite aussi quelque chose, non ? Fais voir ce que tu as là ! "

Le talent des armes de l’empereur Alexandre de Blure n’était plus à raconter, tellement il était connu. Cela ne faisait aucun doute. Clémentine et Arthur avait un peu de maîtrises aux armes, mais ils restaient des amateurs, plus habitués aux arts qu’autres choses... Bref, tout ça pour dire qu’en quelques secondes, sans que la peau fut éraflé, le vêtement pourtant léger d’Arthur fut découpée, à l’entrejambe, révélant tout. Bien entendu, il cacha, pour que ni Alexandre, ni sa soeur puisse voir. Clémentine, elle, était à la mercie de son époux, elle était dans ses bras, littéralement, et il la caressait sans qu’elle puisse rien faire, rien dire, bref... Elle était comme un petit jouet, et il avait son arme, dans l’autre main... Clémentine avalait sa salive avec difficulté, elle craignait toujours pour sa peau...

" Allez ! Montre ! Tu as décidé de prendre sa place, et c'est super. Tu mérites une récompense. Mais d'abord, enlève tes mains de là. "

Une récompense ? La situation était plutôt la plus horrible de sa vie. Et le pire, c’est qu’il se disait que... Bah, c’était sa vie maintenant. Ce n’était pas un mauvais moment à passé... Non, c’était comme ça, maintenant, cela allait se passer ainsi, et ils ne pourraient rien faire... Bref, Arthur, sachant qu’il pourrait faire mal à Clémentine s’il recevait un refus, montra son engin... Et de suite, les moqueries reprirent... Alexandre de Blure déclara même quelques choses dans sa langue natale, à ses gardes... autre faiblesses des deux jumeaux... Ils ne parlaient pas un mot de la langue de Blure, contrairement à Alexandre qui parlait un Clairissien absolument parfait, bien qu’avec un très léger accent... Mais trève de bavardage sur les langues, c’était les phallus qui intéressaient ici... Bref, quoiqu’il en soit...

" Oh ! ne le prends pas mal, voyons, Arthur ! Je n'en veux pas, de toute façon. Non, Clémentine va t'aider ! Des époux doivent se donner du plaisir, c'est important ! Et tu as vraiment donné du tien pour lui enseigner des choses utiles, c'est Justice que tu en profites. Allez ! Lève-nous cette nouille ! Et toi, ma petite blonde, montre-lui comme tu as bien appris. "

Que... Que... Il... Il disait vraiment ça ? Non, c’était une blague, une mauvaise blague ! Ils... Ils ne pouvaient pas faire ça... Encore moins en public... Non... Non, juste non... Pourtant, c’était clair que Clémentine devait y aller... Et plus vite que ça ! Sur l’une de ses fesses à peine couverte, elle sentit une main claquer. Elle sursauta, et fonça proche de son frère, après avoir quand même laissé échappé un petit couinement extrêmement mignon. Comme le claquement avait raisonné dans la salle, on pouvait dire que le petit gémissement avait fait pareil, et s’était fait entendre dans toute la salle... Bref, maintenant qu’elle était proche de son frère, celui-ci en profita pour la prendre dans ses bras, de façon protecteur, pour être sûr qu’elle ne risque rien, tandis que les ordres de leur interlocuteur continuèrent à venir jusqu’à eux...

" Va ! Rampe vers sa virilité clairisienne et honore-là comme il se doit. Après tout, vous aimez tellement votre race, il est temps de la célébrer comme il se doit, non ? Allez, Clémentine, ne me déçois pas ! Et toi, Arthur ... Tu sais ce que tu dois faire si tu veux qu'elle ne soit pas punie. "

« Ar... Arthur...
-Va... Va-y Clémentine... On... On a pas le choix... »

Les deux regardèrent leur époux, d’un oeil rapide, comme s’ils espéraient tout deux que finalement, ils disent que ce n’était pas vrai, et qu’ils n’allaient pas leur imposer de faire ça, de faire une relation incestueuses... Mais... Mais non, ils savaient très bien ce que voulaient le fameux Alexandre, ils voulaient continuer de les humilier, cela lui faisait plaisir, cela l’amusait... Et donc, ils n’avaient pas d’autres choix que d’accepter ce jeu qui les humiliait totalement... Bref, ils n’avaient pas le choix, et ils devaient commencer. Arthur, assit par terre sur les fesses, prit alors dans ses bras sa soeur, qui elle était à quatre patte. Elle baissa alors lentement la tête, pour venir faire ce qu’elle devait faire... C’est à dire, obéir aux ordres de son époux, et... Et oui, honorer la virilité Clairisienne, comme le disait l’empereur.

Ainsi, elle prit en bouche le phallus de son frère. A ce moment là, le tabou fut brisé, elle avait commencé une relation sexuelle avec son frère. Sans doute que c’était là, que Clairis serait maudit... Le roi et la reine, un frère et une soeur, faisant une relation sexuelle dans la salle du trone... Quel horreur... Mais bref, en tout cas, cela avait commencé, et on ne pouvait pas l’arrêter... En effet, Clémentine avait commencé à sucer son propre frère. C’était plus facile pour elle que quand elle avait tenté de sucer son époux, qui avait vraiment une bite imposante. La taille plus modeste de son frère faisait qu’elle avait moins de mal. Elle avait pas l’impression d’étouffer en la prenant bien en bouche, en allant le plus profondément possible. Cela permettait visiblement une fellation agréable, surtout quand on entendait les soupirs de son frère...

« Oh... Clémentine... C’est... »

Merveilleux ? Formidable ? Extraordinaire ? Il ne savait pas, il ne trouvait pas les mots... Mais une choses était sûre... Il adorait ce qui était entrain de se passer. Clémentine, elle faisait attention à donner du plaisir à son frère, tranquillement... D’ailleurs, on sentait que le fameux Arthur aimait ça ! Etant donné qu’il gémissait énormément... Et qu’il était sur le point de se lâcher ! On pouvait dire que ce n’était pas vraiment la classe, mais il ne put se retenir, et éjacula sur le visage de sa soeur, qui eut le reflexe de retirer sa bouche. Elle en eut un peu dans la bouche, mais la plupart sur son visage... Clémentine était rouge et blanche, Arthur était rouge. Ce dernier bredouilla quelques mots d’excuses, tandis qu’ils étaient sous le regard du fameux Alexandre... Qui devait sans doute trouver la situation cocasse et amusante... Qu’allait-il dire devant cette situation ? On allait bien voir...

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Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]

Réponse 8 lundi 09 avril 2018, 13:15:54

L'Empereur Alexandre observa la scène depuis la douce assise de trône, mangeant quelques raisins tandis qu'il observait, amusé et les yeux plissés, Arthur et Clémentine révélant leur goût inavoué mais facile à deviner pour leurs corps respectifs. L'adolescente avait léché et sucé la petite bite de son frère jusqu'à recevoir se semence sur son visage et dans sa bouche. Aucun n'osait rien dire dans l'immédiat, car la jouissance avait révélé le plaisir qu'ils avaient éprouvé à faire cela ensemble, et ils n'oseraient peut-être jamais l'avouer.
Alexandre brisa le silence, applaudissant doucement tandis qu'il se relevait et avançait vers eux.

" Et bien, et bien, tout n'est pas perdu pour vous, mes petites chéries ! Mais, maintenant que je sais que vous avez ça en vous, je vais être très insatisfait si je ne vois pas la même intensité dans vos actes. "

Les deux Clairisiens rougirent encore plus. Il les avait eu à plus d'un titre, les forçant à la fois à réaliser l'affreux acte d'inceste et à prouver qu'ils étaient bien capables de donner du leur et de se lâcher. Ejaculer sur le visage d'une fille n'était pas simple, et sur celui de sa soeur encore moins. Arthur avait bien montré que son petit sexe adolescent n'avait pas de limite.
Le Blurois s'était approché d'eux en piétinant sans bruit les coussins et tapis étendus alentour. En arrivant, il ignora complètement Arthur. Maintenant que le garçon avait eu sa première jouissance sur sa soeur, il aurait d'autant plus de mal à la laisser partir. Laisser son petit coeur fragile se serrer serait d'autant plus facile et jouissif à présent. Il attrapa Clémentine par le bras et la souleva, la faisant voler comme un jouet à quelques mètres. Elle atterrit sans mal sur les coussins moelleux, mais elle était trimballée comme une poupée, elle, princesse de Clairis, et se sentait toujours plus impuissante, encore barbouillée du sperme de son frère, qui coulait et se collait aux coussins.

Elle sentit le Blurois revenir vers elle. Alexandre saisit la robe à la fin de l'échancrure de son dos et tira. Le vêtement se déchira d'un coup et ne resta que des bandes de soie blanche. A quatre pattes, elle attendait la suite avec appréhension, pensant peut-être se faire prendre encore la bouche. Après tout, l'empereur disait vouloir la même chose, et elle était maintenant échauffée. Mais il appuya du pied contre sa nuque, la faisant flancher et écrasant sa tête dans les coussins glissants. Ses fesses mantenant découvertes en l'air, le dos cambré, elle révéla ses lèvres vierges et put sentir l'air les caresser.
Son époux se pencha sur elle et, crachant dans sa main, il lui attrapa la vulve, répandant sa salive entre ses lèvres, malmenant son clitoris et l'entrée de son vagin. " Je ne me voyais pas enlever sa virginité à ton frère, mais personne d'autre que moi ne brisera ton hymen. Et tu ferais bien de t'habituer tout de suite à ma queue. "

La princesse tremblait tandis qu'il se laissait tomber sur les genoux derrière elle. Il prit sa verge toujours raide en main et la pointa droit vers son sexe rose. Son gland humide écarta ses lèvres sans mal, et il fit son chemin avec force à l'intérieur d'elle. Elle n'avait jamais connu la virilité d'un autre en elle et cela se sentait, elle était serrée et gémissait. Le Blurois força, donnant des coups de bassin qui finirent par craquer son hymen dans un cri de douleur. A partir de là, il s'enfonça profondément, fourrant sa chatte en grognant sans ménagement. Sa bite entière allait et venait en elle, l'écartant sans douceur.
Elle finit malgré tout par mouiller, bien malgré elle, et les jus sexuels des deux époux se mélangèrent en elle, la lubrifiant et coulant entre ses cuisses. Alexandre soupira, grogna, la traita de chienne et de salope. Lorsqu'elle tanta de se redresser, il saisir sa nuque des deux mains, la forçant à garder sa cambrure et sa vulve bien exposée. Le conquérant claquait violemment contre ses fesses et elle sentait ses couilles claquer contre son pelvis. Le viol était affreux, mais elle devenait femme et découvrait, avec la douleur, le plaisir que pouvait lui donner son vagin et la brutalité de son mari. Leurs cris résonnèrent entre les murs et firent écho, leur cruelle union devenant la seule chose semblant exister dans la pièce.

Au sommet de son plaisir, Alexandre rugit et propulsa des flots de sperme en elle. Ses jambes s'agitèrent de tremblements et il sortit, alors que sa semence le quittait encore, éclaboussant son sexe, ses fesses et son dos. Il se masturba pour sortir son foutre qui s'élançait sur elle comme un acte de propriété. Et lorsqu'il eut fini, il la laissa retomber, mais il vint à ses côtés. Sa verge était toujours raide, et il souriait avec un appétit effrayant. Il caressa sa petite tête blonde et lui murmura à l'oreille : " Bonne Clémentine. La prochaine fois, sois moins passive. "
Il se tourna ensuite vers Arthur, guettant ses réactions et calculant sa prochaine envie, et ce qui lui prodiguerait le plus de plaisir.

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Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]

Réponse 9 lundi 09 avril 2018, 15:42:15

Les deux étaient interdit... Depuis la mort de leur parent, aussi bien Arthur que Clémentine avait été proche l’un de l’autre. Oui, ils s’appréciaient, et franchement, on pouvait dire qu’ils étaient inséparables. Dès la mort de leur parents, ils avaient tout fait ensemble. Des somptueuses funérailles donnés aux deux anciens monarques du royaumes, jusqu’aux dernières batailles qui avaient finalement amené la défaite Clairisienne. Les deux jumeaux étaient ensemble... Mais jamais ils n’avaient été aussi proche. Là, ils avaient fait quelques choses qui était quand même sacrément tabou dans un bon paquet de culture... Et là, ils l’avaient fait. Ils étaient tout deux interdits, mais heureusement, Alexandre était là pour relancer la discussion, car sinon, cela aurait risqué de devenir gênant... Oh, attendez, c’est gênant.

" Et bien, et bien, tout n'est pas perdu pour vous, mes petites chéries ! Mais, maintenant que je sais que vous avez ça en vous, je vais être très insatisfait si je ne vois pas la même intensité dans vos actes. "

C’est alors que Clémentine se fit... Littéralement attrapée. Que … Que se passait-il ? Arthur eut un reflexe, tentant d’attraper sa soeur, mais échoua, car ce n’était pas qu’un attrapage que comptait faire l’empereur Alexandre... Mais un véritable lancée ! Sans qu’elle puisse rien faire, Clémentine se fit jettée, comme un vulgaire jouet. Elle vola quelques mètres, avant de tomber lourdement sur des coussins moelleux. Elle ne se fit pas mal, mais cela montrait encore une fois son impuissance, le fait qu’elle n’était qu’un jouet, elle comme son frère, dans cette histoire, et qu’elle ne pouvait rien faire, rien faire du tout. Bref, elle était maintenant sur les coussins, alors qu’elle était toujours avec le sperme de son frère sur son visage. Elle n’avait même pas pu se nettoyer après ce qui s’était passé...

" Je ne me voyais pas enlever sa virginité à ton frère, mais personne d'autre que moi ne brisera ton hymen. Et tu ferais bien de t'habituer tout de suite à ma queue. "

« So... Soyez pas trop violent... »

Réduite à la nudité, ne portant plus rien sur elle, elle se sentait d’une très grande fragilité... Qu’allait-il faire ? Il allait continuer de passer sa langue, lui faisant arracher des soupirs de satisfaction, des gémissements de plaisir... Ou allait-il aller plus loin ? Elle était assez innocente, mais elle n’avait pas non plus complètement stupide, la Clémentine... Elle savait bien que l’acte sexuel le plus traditionnel faisait qu’elle allait se faire pénétrer ; Elle savait même que certains pratiquaient une sexualité plus... Inventive, et ainsi, pénétraient dans le cul. Bref, quoiqu’il en soit, ce qui devait arriver arriva. La sexualité arriva jusqu’à la fameuse Clémentine, qui perdit sa virginité, assez jeune finalement vu qu’elle n’avait que seize ans, il fallait rappeler. Elle poussa un grand couinement, tandis que son frère arriva à de nouveau blémir, devenant encore plus pâle que d’habitude...

Malheureusement pour elle, ses demandes tombèrent dans l’oreille d’un sourd, car le fameux Alexandre n’avait aucunement envie de ne pas être violent. Il faisait des vas et viens torride, efficace, profond dans la chatte de la fameuse princesse et même reine de Clairis ! Ca y est, la conception de l’héritier royale de l’Empire de Blure... Un moment historique, qui allait entrer dans les manuels d’histoire ! Ce moment où Blure et Clairis était maintenant unie, unie dans le sexe, unie dans l’union des deux empires... Et surtout dans le plaisir d’Alexandre ! C’était quand même un moment important. Les grognements de plaisirs, et les cris de surprises, douleurs, et quelques peu plaisir de Clémentine raisonnait dans al grande salle. Sans doute que tout les Clairisiens qui passaient non loin du palais pouvait entendre et découvrir la vérité. Oui, Clairis était tombée, et la reine était entrain de se faire violer.

" Bonne Clémentine. La prochaine fois, sois moins passive. "

« Bien... Bien... »

Elle déclara cela faiblement, alors qu’elle se laissait glissée sur les coussins. Pour une première fois, cela avait été torride... Et elle semblait vraiment lessivée. Ce qu’Arthur allait -plus tard- ne pas remarquer, c’est que certes, elle semblait aileurs après une telle agression sexuelle, mais... Mais il y avait aussi un air satisfait dans ce qui venait de lui arriver. Comme si avec ce qui venait d’arriver, et bien, malgré le viol et tout ce qu’on pouvait dire, et bien, elle avait aussi appréciée ce qui venait de se passer. Bref, elle avait été passive, oui, mais elle avait appréciée cette passivilité. Comme si au fond, elle appréciait l’idée d’être, elle et son frère, réduite à cela... Comme une pensée discrète qui se montrait peu à peu... Et qui n’était pas pour le moment perçu par Arthur, mais peut-être qu’Alexandre lui le voyait ?

« Clé... Clémentine... »

Arthur déclara cela, la voix cassée par ce qu’il venait de voir... Sa soeur, violée, littéralement il n’y avait pas d’autres mots... Et Clémentine, qui était là, sur les coussins, réduites à une poupée désarticulées, abandonnées, avec du sperme, le sien, sur son visage, et du sperme sur ses jambes et son intimité pour ce qui était du sperme de l’empereur... Satisfaite et assez heureuse, mais cela, Arthur ne le remarquait pas. Tant pis pour la punition qu’il allait recevoir, il le devinait, mais il se devait de rejoindre sa soeur. Il se déplaca, montra bien à l’empereur qu’il n’avait aucune attention belliqueuse, et s’installa sur les coussins, pour attraper sa soeur. Celle-ci était entièrement nue, contrairement à lui, et donc, était d’une grande fragilité... Bref, il gardait donc sa soeur entre ses bras, tandis qu’il déclara, faiblement :

« Là, là, Clémentine... Je suis là... Ca... Ca ira... On... On va s’en sortir... On... On arrivera à être ses épouses et moins souffrir... »

Il regarda d’un air pathétique son « époux ». Puis se reconcentra sur sa soeur. Elle avait l’air si fragile, si belle, si blessée... Bref, elle avait souffert, là, elle avait été violée... Il voulait la garder entre ses bras, pour être sûre qu’Alexandre ne lui fasse pas plus de mal. Mais il savait que ce dernier allait sans aucun doute l’utiliser elle, ou lui, les brisant de nouveaux. Il espérait seulement que la prochaine fois, il pourrait être à ses côtés... Bref, qu’allait faire Alexandre ? Ce dernier avait critiquée la performance de Clémentine, disant qu’elle n’avait pas été assez active... Et cela était vraie... Mais il fallait bien dire qu’il les dominait tout les deux totalement. Ils ne pouvaient rien faire, ils étaient complètement soumis à ce qui était pour eux deux un véritable maître... Qu’allait-il faire maintenant ? Arthur tenait sa soeur dans ses bras, qui regagnaient peu à peu ses moyens, il faut bien l’avouer.

Lamnard Kystrejfter

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Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]

Réponse 10 lundi 09 avril 2018, 17:27:37

Alexandre laissa un instant les jumeaux se retrouver, le sourire aux lèvres. Il n'avait jamais joui avec plaisir, pas réellement. Il avait vraiment prit son pied, et en voulait plus. Il savait aussi qu'il devrait laisser reposer la viande pour mieux en profiter. Dans l'immédiat, il alla se saisir d'un linge pour essuyer la sueur que l'acte, court, intense et extrême, avait produit. Il était très satisfait de lui et, dans le fond, même s'il avait critiqué sa passivité, il avait apprécié la réaction de Clémentine. Elle venait de se faire déflorer sans le moindre ménagement, et elle avait été capable d'y prendre du plaisir. Il en était certain. Arthur était trop loin et, sûrement, trop choqué pour le remarquer, mais il l'avait bien senti se relâcher, tremper sa queue avec sa mouille et trembler lors de l'éjaculation.
Elle apprendrait à l'accompagner et à jouir avec lui. S'il fallait que les femmes de la cour et son propre frère la rodent pour qu'il se réserve des plaisirs extatiques, il mettrait tout en oeuvre. Il sourit en se retournant. Il voyait bien la proximité des jumeaux, leur complémentarité et la façon dont ils parvenaient à endurer toute épreuve par une sorte de connexion profonde. Séparés, ils déprimeraient sûrement. Forcés à survivre aux assauts d'un époux vigoureux et insatiable allait les rapprocher plus que jamais. Il avait bien fait de les forcer à expérimenter ce tabou ensemble. Tant que cette connexion existerait, il pourrait tout leur faire, ils ne s'effondreraient jamais.
Et il savait que pour garder leur connexion forte, il devait faire ce qui lui plaisait : être le méchant, le maître cruel. Il s'avança à nouveau vers eux. Clémentine n'était pas tombée bien loin du trône, tout à l'heure. Assis dessus, il aurait pu atteindre sa tête avec le pied. Il entendait ainsi tout de leur petit moment. Désormais, ils n'auraient plus aucune intimité, qu'il soit là ou non ; et ils devraient s'y faire.

" Chacun son rôle, je vois. Celle qui endure et celle qui répare. Vous faites vraiment la paire. Mais tu as tort, Arthur, dans on il n'y a pas que vous deux, plus maintenant. " Le laissant s'interroger, il s'assit près d'eux, avec un sourire bienveillant, mais dans les yeux la menace d'une nouvelle torture. " Après ça, vois-tu, je suis entré dans votre petit cercle, parce que ta précieuse Clémentine veut ce que je lui donne autant qu'elle veut ce que tu lui apportes. Et après cette queue, pas moyen qu'elle ressente avec toi ce qu'elle a ressenti là. "
Les yeux du prince s'embrasèrent et il entra en éruption. " Vous mentez ! " Et c'est ainsi qu'il comprit qu'Alexandre avait d'autres moyens de punir que les coups ou les menaces. Il pouvait aussi asséner des vérités ou demies-vérités qui faisaient mal, et détruisaient l'esprit. Encore fourbue, Clémentine porta la main au visage de son frère. " Arthur, je ... " commença-t-elle, sans savoir quoi dire, car Alexandre ne mentait pas, pas vraiment.
Le Blurois ricana, peu impressionné par la rage du Clairisien, et il caressa la joue de Clémentine du dos de la main, avant de l'attraper par les cheveux pour la faire basculer vers son entrejambe. Elle comprit tout de suite, et ouvrit sa bouche, lécha le reste de sperme et de cyprine sur le sexe de l'empereur. Non seulement elle comprenait, mais elle s'exécutait, sinon de bon coeur, au moins sans hésiter.

Le regard d'Alexandre ne quittait pas celui d'Arthur. " Tu vois que j'ai raison. Tu veux me donner tort ? Sa chatte est juste là. Prends-la ! "
" Quoi ? Hors de question ! "
" De quoi tu as peur ? Qu'elle ne te sente pas ? Ou de ne pas réussir à aller au bout ? C'est un ordre ! "
Il fixa le Clairisien, qui s'exécuta tant bien que mal. Son sourire devint malveillant, tandis qu'il rythmait d'une main la fellation de Clémentine. Le prince pensait sûrement s'en sortir à bon compte. Jusque là, il n'avait que prendre son plaisir grâce à sa soeur. Mais le Blurois avait une surprise pour lui. Qu'il pénètre Clémentine, qu'il ferme les yeux en sentant la chaleur de son vagin. Il refusait de se comporter comme une épouse obéissante, persistant à rechigner. Il le ferait se sentir comme une femme, passerait derrière eux quand il ne s'y attendrait pas, et lui ferait découvrir une autre façon de plaire à son mari malgré son manque de chatte.

Cassandre Harmington

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Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]

Réponse 11 lundi 09 avril 2018, 22:30:21

Arthur et Clémentine étaient inséparables... Et cette épreuve... Et bien, ils allaient la surmonter ensemble. Ils étaient prêt, ils pouvaient le faire. Ils pouvaient vivre dans cette nouvelle vie, et survivre... Voir même avoir quelques moments heureux, parfois, rarement, mais quand même... Ils pouvaient le faire, car ils savaient que l’un avait l’autre... Et que l’autre avait l’un. Cette force, c’était bel et bien ce qui permettrait aux trois de survivre quoiqu’il arrive. Alexandre avait totalement raison avec son analyse, sur le fait que si l’un et l’autre étaient véritablement séparés... Et bien, ils commenceraient à dépérir, voir même à se laisser mourir. Donc... Les laisser ensemble, pour se réparer, étaient sans doute une très bonne idée qu’Alexandre annonça très bien avec ses quelques mots...

" Chacun son rôle, je vois. Celle qui endure et celle qui répare. Vous faites vraiment la paire. Mais tu as tort, Arthur, dans on il n'y a pas que vous deux, plus maintenant.  Après ça, vois-tu, je suis entré dans votre petit cercle, parce que ta précieuse Clémentine veut ce que je lui donne autant qu'elle veut ce que tu lui apportes. Et après cette queue, pas moyen qu'elle ressente avec toi ce qu'elle a ressenti là. "

Arthur ouvrir de grands yeux. Il déclara même quelques mois, enfaite... Plus pour lui que pour son interlocuteur. Il était sûre que sa soeur ressentirait avec... Attendez, qu’est-ce qu’il disait ?! Il était vraiment entrain de dire que sa soeur préférerait coucher avec lui plutôt qu’avec Alexandre ?! Mais c’était horrible, il s’était pas rendu compte, mais il avait réussi à dire, sans faire exprès, qu’il voulait coucher avec sa propre soeur... Ce fut à ce moment là qu’il réalisé qu’il avait perdue tout contrôle de la situation. Il avait espéré que l’intelligence Clarisienne batte la sournoiserie de Blure... Mais malheureusement, les gens de Blure était tout aussi intelligent que les gens de Clairis, montrant bien que Clairis tout entier avait toujours sous-estimée Blure... Et Arthur s’en mordait les doigts, là, maintenant...

Clémentine tenta de réconforter son frère, elle, de son côté. Elle se faisait caresser par son époux, quand soudainement, celui-ci la repris rien que pour lui... Attrapée par les cheveux, elle était de nouveau face au phallus de son époux... Oh... Cela ne voulait dire qu’une chose... Elle devait nettoyée tout ça. La jeune demoiselle, on pouvait le dire, apprenait très vite, et c’était une excellente chose ! Bref, elle commença à nettoyer le phallus. Le goût était fort... Mais pas désagréable. Comme Arthur, quand il avait sucé, et bien... Elle ne trouvait pas le goût tout ça si horrible. On pouvait dire que c’était une excellente nouvelle pour les deux... Bref, alors qu’elle commençait à sucer l’empereur de Blure, celui-ci déclara :

" Tu vois que j'ai raison. Tu veux me donner tort ? Sa chatte est juste là. Prends-la ! "
" Quoi ? Hors de question ! "
" De quoi tu as peur ? Qu'elle ne te sente pas ? Ou de ne pas réussir à aller au bout ? C'est un ordre ! "

« Ar... Arthur... »


Elle arrêta la fellation, pour déclarer très rapidement ses mots... Et oui, il fallait bien comprendre, même si mes paragraphes sont long, car je suis très bavarde, et que j’adore dire plein de truc, et bien, il faut comprendre que dans les faits, ses déclarations sont extrêmement rapide, hein, ce n’est pas le genre de long paragraphe qui veut dire qu’un long blanc passe. D’ailleurs, là, vous avez un exemple. Je vais faire un paragraphe de la longueur habituel, mais il faut comprendre qu’il y a peut-être qu’une fraction de seconde qui venait de passer entre le nom d’Arthur qui avait été déclarée, et ce qu’elle allait déclarée. Quoiqu’il en soit, elle savait que cette petite pause allait peut-être amener une punition, et elle comptait bien se racheter après... Mais elle ne voulait pas qu’Arthur soit punie, car il n’oserait pas faire ce que son époux lui demandait...

« Je... Je ne veux pas que tu souffres... Vas... Vas-y...
-Clémentine... »


Elle le pensait sérieusement, et elle était prête. Quoiqu’il en soit, dès qu’elle eut finie, elle recommença à prendre en bouche son époux, allant très profond même, avec difficulté, pour se rattraper... Arthur, lui, après le tabou de la fellation, ne savait pas encore s’il était prêt... A aller encore plus loin... Cela... C’était quelques choses qui, il fallait bien l’avouer, avait un poids énorme. Il regarda sa sœur, l’intimité de sa sœur, et savait que cela voulait dire qu’il n’avait plus le choix. Il était dur comme de la pierre, et bien que son phallus était pas le plus grand du monde... Et bien, il était prêt... Il était prêt à faire... Cela, quelques choses qu’aucun roi de Clairis avait fait au cours de sa vie... Et oui, il était prêt, sous le regard de ses ancêtres travestis à être... à être... à pénétrer sa soeur. Comme ça... Bref, alors qu’il prit une grande respiration, il approcha le phallus de la chatte à sa soeur... et le pénétra.

« Clémentine... Je... C’est bon... !
-Mmmh ! »

Elle poussa un fort gémissement, alors qu’il commençait son vas et viens dans le vagin de sa soeur. Sa soeur... Bon dieu, il était vraiment entrain de le faire... Il était entrain de prendre sa soeur... Il faisait son vas et viens, avec une tentative de douceur, mais c’était sa première fois, à lui aussi, donc, il savait pas trop comment faire. Pendant ce temps là, Clémentine, elle, continuait de sucer activement son époux, nettoyant bien le phallus, étant donné quil avait été quand même sali par tout ça... Donc, c’était important pour lui d’avoir un phallus propre. Prise en avant, prise en arrière, Clémentine devait bien avouer que le plus gros phallus, c’était bien celui d’Alexandre, et elle pensait, malheureusement, qu’une fois qu’elle serait plus habituée... Sans doute que celui de son frère serait moins... Satisfaisant... Bon sang, dire qu’elle pensait vraiment cela... Quel honte pour une princesse de Clairis !

Lamnard Kystrejfter

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Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]

Réponse 12 lundi 09 avril 2018, 23:00:49

L'Empereur reçut le spectacle et la détermination qu'il attendait. Ces jumeaux avaient brisé les tabous par le coeur il y a de cela des années déjà, c'était sûr. L'attachement réciproque n'était pas qu'une affaire d'utérus commun, c'était un lien qui s'était construit dans le confinement du palais à l'heure de leur maturation sexuelle, qui avait pris son pouvoir sur eux et s'exprimait maintenant comme il l'entendait. Pour tous les êtres poussant les autres à s'accomplir pleinement dans leurs vies, Alexandre pouvait postuler au titre de héros. Oui, le Blurois avait un égo bien plus grand que lui, et ça ne s'était pas arrangé avec sa victoire et le pouvoir utilisé contre ses nouvelles épouses. Il se sentait presque le droit divin de régner sur les Hommes comme il l'entendait.
Qu'il continue comme ça, et un démon viendrait dévorer son âme et le transformerait en avatar ; mais pas encore. Pour le moment, il pouvait faire comme il l'entendait.

Comme Arthur commençait à s'emballer et à prendre ses aises, il repoussa la tête de Clémentine et se glissa furtivement autour d'eux. Trop occupé à préparer à se lâcher à nouveau les yeux fermés, le Clairisien ne remarqua rien, et son époux l'attrapa par le scrotum et les bourses pour le sortir juste avant les premières giclées. Il éjacula sur les soieries dans un gémissement pitoyable, pendant qu'Alexandre, le genou dans le bas de son dos, l'immobilisait en attendant qu'il ait fini. Une fois fait, il se pencha et parla d'une voix très calme :

" Juste un détail : tu ne viendras jamais en elle. Ni en elle, ni en aucune femme du palais de Blure. Tu prendras des esclaves ou des gueuses si tu le souhaites, mais ta semence ne souillera aucune femme au sang bleu. Est-ce que c'est clair ? Tu es ma femme. Aie un enfant avec une femme qui t'es interdite, et il disparaîtra. Et pour que tu retiennes où est ta place ... "

Le souverain impérial arracha encore un pan du pantalon troué d'Arthur, révélant ses fesses creuses et serrées. Alexandre sourit, claquant les fesses du Clairisien jusqu'à ce que sa peau vire au rouge et qu'il ait trop mal pour serrer. Lui imposant une clé de bras inconfortable, il pivota derrière lui et murmura : " Ta place est celle de toutes mes femmes : tu m'obéiras et fera ce que je désire, ou je te prendrai quelque chose, quoi que ce soit. Aujourd'hui, je vais me contenter de ta dernière virginité. "
Ignorant les cris de plainte, il lui écrasa le visage dans les coussins pour commencer à s'enfoncer dans son cul. Il résista un instant avant d'être vaincu, la verge du Blurois s'enfonçant alors à chaque coup plus profondément. Ca ne dura pas très longtemps. Alexandre n'éjacula pas. Il voulait simplement lui donner une leçon. Quand Arthur fut complètement abattu, il se retira et se releva, laissant Clémentine venir réconforter son frère.
" Je te promets d'être beaucoup plus tendre avec toi quand ton tour viendra, si tu es bonne avec moi, sac à foutre clairisien. "

Se redirigeant vers le trône, il tapa dans les mains. Des esclaves acoururent avec une bassine d'or, des linges et des huiles, et entreprirent d'essuyer le sexe de l'Empereur.

" Vous allez retourner dans vos salles de bain respectives, vous faire laver, et vous me rejoindrez dans la cour. Vous m'avez mis de bonne humeur, aussi nous irons faire un cadeau au peuple pour nos noces. Disposez, et ne revenez que quand vous serez propres et sentirez bon ! "

Sur ces quelques mots, il les congédia. Les gardes avaient presque disparu quand ils reprirent conscience des alentours. Ils purent aller comme ils pouvaient jusqu'aux salles où ils avaient préalablement été lavés. Une eau propre et le personnel les attendaient à nouveau, mais pas de nouveaux vêtements à l'horizon.

Cassandre Harmington

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Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]

Réponse 13 mardi 10 avril 2018, 10:32:42

Bon sang.... Qu’est-ce que c’était bon ! Et il continuait, encore et toujours, à donner des coups de reins dans sa soeur, qui gémissait. Il avait fermé les yeux, et ne regardait plus, ni se concentrait sur ce qui se passait autour de lui. Il était coincé, coincé dans une bulle qui faisait que tout ce qui se passait en dehors de cette bulle... Et bien, cela n’existait plus. Plus du tout. C’était comme... En dehors de son monde. Son monde était uniquement concentrée sur la présence de Clémentine, et le fait qu’il était entrain de se la faire... Cependant, il aurait mieux fait de rester prudent... Car cela fit qu’il se fit tout d’un coup attrapée, et éjectée de sa soeur. Cela, de suite, le fit jouir totalement, dans un gémissement pathétique. Il tachat les soieries, et un peu le fessiers de sa soeur, quand même, mais bon, c’était pas la première fois... Dès que ce fut finit, le constat fut indéniable, rapide, et surtout, d’un grand calme.

" Juste un détail : tu ne viendras jamais en elle. Ni en elle, ni en aucune femme du palais de Blure. Tu prendras des esclaves ou des gueuses si tu le souhaites, mais ta semence ne souillera aucune femme au sang bleu. Est-ce que c'est clair ? Tu es ma femme. Aie un enfant avec une femme qui t'es interdite, et il disparaîtra. Et pour que tu retiennes où est ta place ... "

« Bi... Bien... »

Il ne put rien faire. Complètement immobilisé, il commença à recevoir une fessée, une belle fessée cul nu, vu que son pantalon avait été en partie arrachée. Arthur ne tenta même pas ne serait-ce qu’une seule demi-seconde de résister... En effet, il fallait bien comprendre que les déclarations de l’empereur avait été... Très clair. En effet, il comprenait, il n’était que « épouse » de l’empereur. S’il commençait à outrepasser ses droits... Il aurait des ennuis, des gros ennuis. Il avala sa salive avec difficulté... Alors qu’il se faisait fesser, il devinait ce que cela allait vouloir dire... Il allait sans doute être castrée. Après tout, c’était un classique pour empêcher et mieux contrôler les anciens rois... Bref, la situation était mauvaise, très mauvaises pour ses petites fesses... D’ailleurs, au sens propre comme au sens figuré !

« Ta place est celle de toutes mes femmes : tu m'obéiras et fera ce que je désire, ou je te prendrai quelque chose, quoi que ce soit. Aujourd'hui, je vais me contenter de ta dernière virginité. »

QUOI ?! NON NON NON ! Il... Il n’était pas prêt ! Pas encore prêt pour... Il fut alors enfoncée, la tête dans les coussins... Puis ce fut autre chose qui fut enfoncer... Un phallus dans son anus. Et ça rime ! Bref, le jeune homme se débattait un peu, mais ce fut inutile, son anus commença à se faire prendre violemment... Il faisait des vas et viens dans celui-ci, ce qui dans les faits, ne dura pas si longtemps, mais paru comme une véritable éternité pour le fameux jeune garçon, qui en avait jamais fais. Il bandait grave, et... Il ne sut jamais si le fameux Alexandre le remarqua... Mais... Mais il arriva à jouir, avec ce traitement. Ce ne fut pas le cas d’Alexandre qui s’arrêta, laissant le jeune garçon, l’anus élargi, tomber sur les coussins. Il cacha de suite son phallus, pour cacher la honte qu’il avait d’avoir jouie en étant violée dans le cul.

" Je te promets d'être beaucoup plus tendre avec toi quand ton tour viendra, si tu es bonne avec moi, sac à foutre clairisien. "

Clémentine, qui dès que le supplice de son frère fut fini avait accouru à ses côtés... Entendit ça, et de suite, elle commença à rougir. « Sac à foutre » ? Cela voulait-il dire... Qu’ils allaient servir à autrui aussi parfois ? Bon dieu, elle espérait qu’elle se trompait. Exactement comme avait fait son frère auparavant, quoiqu’il en soit, elle attrapa le jeune garçon, et tenta de le réconforter. L’empereur était occupé par des esclaves, bichonnés, tandis qu’eux deux n’avaient que l’un et l’autre pour se soutenir. Il se désintéressait d’eux ? Est-ce que cela voulait dire que... La journée était finie ? Ca y est ? Après tout, il avait jouit en elle, donnant peut-être la voie pour le futur héritier aux trônes des deux nations... Malheureusement pour Clémentine et Arthur, tout n’était pas fini, étant donné que l’empereur de Blure déclara, tranquillement....

" Vous allez retourner dans vos salles de bain respectives, vous faire laver, et vous me rejoindrez dans la cour. Vous m'avez mis de bonne humeur, aussi nous irons faire un cadeau au peuple pour nos noces. Disposez, et ne revenez que quand vous serez propres et sentirez bon ! "

Les deux se regardèrent, inquiet mais se séparèrent quand même. Arthur alla dans sa salle de bain, où il commença à se nettoyer. Il avait mal aux fesses, et il réfléchissait. Que faire pour s’en sortir ? Il avait beau réfléchir le plus possible... Et bien, il ne trouvait rien. C’était désespérant... Il avait presque envie d’abandonner et d’accepter ce qui lui arrivait, mais il se devait, pour l’honneur de Clairis, d’au moins tenté. Mais que faire ? Compter sur l’armée ? Elle était morte l’armée ! Le maréchal Guy de Clerc ? Mort au combat, en fuyant l’ennemi. Le général de brigade Alphonse de Montbois ? Mort au combat en arrêtant une charge ennemi, sans succès. L’amiral Guillaume de Nothier ? En fuite, dès qu’il avait appris la défaite... Le général de chevalerie Jérémie de Plessis ? Il avait trahis Clairis et tentait selon les rumeurs à rejoindre l’armée de Blure, pensant plus à son propre succès que celui de son pays... Ils n’avaient plus de soutiens...

Clémentine, elle, tout en se lavant... Pensait aussi à pleins de choses, mais pas les mêmes. Contrairement à son frère, elle avait amplement compris que... il n’y avait pas d’échappatoire pour eux deux... Ils étaient maintenant les femmes d’Alexandre de Blure, et ils ne pouvaient rien faire. Et ainsi, Clémentine pensait à ce qui allait leur arriver... Bon sang, tant de choses possibles, cela... Bon dieu, elle devait se calmer, car elle commençait presque à s’exciter. Non, elle devait rester calme. Après tout, Arthur et elle allaient pas mal souffrir. Mais dans la souffrance, c’était aussi dans ce genre de cas qu’on trouvait le plaisir... Bref le tout était très gênant. Elle sortit alors de sa salle de bain, et retrouva son frère. Les deux étaient quasiment nus, maintenant... Leur lambeaux de vêtements... Disons que c’était inutile de les remettre. Ils retrouvèrent alors l’empereur, et déclarèrent tranquillement :

« Nous voilà... Mon... Mon époux...
-Que... Que devons-nous faire ? »


Les deux étaient tout timide, c’est pas mignon ? Si totalement. Qu’allait-il se passer maintenant ? Que cela soit Clémentine ou Arthur, les deux étaient d’une grande soumission, d’une grande obéissance. Après s’être fait enculé, et bien... Arthur s’était calmé, il était un peu moins dans la confrontation que tout à l’heure. Les deux réfléchissaient. Ils allaient peut-être refaire l’amour ? Ou il allait peut être demandée des secrets sur Clairis, genre, là où étaient cachés les trésors, les possibles régions de rebellions... Bref, tout ce genre de possibilité. Ils étaient là, nus, un peu honteux, et se tenaient la main, pour se donner du courage. Ils étaient ensemble, et ensemble... Rien n’était impossible. Ils pourraient s’en tirer, et survivre à cette épreuve... Cette épreuve qui allait sans doute tenir toute leur vie...

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Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]

Réponse 14 mercredi 11 avril 2018, 17:57:11

Quand ils arrivèrent dans la cour, l'endroit était bien différent de ce qu'il avait été auparavant. L'immense espace, où se déroulaient essentiellement des revues, avait été converti en camp militaire. Des tentes bluroises et des enclos avaient été dressés le long des murailles et en allées perpendiculaires. Malgré l'apparent désordre y régnant, tout était organisé de façon réfléchie. Chaque partie du camp était dédiée à une fonction particulière, et leur emplacement était ainsi pensé qu'elles communiquaient adéquatement avec les parties les plus susceptibles d'interagir avec elles. Arthur pouvait remarquer cela. En tant qu'homme, il avait étudié l'art de la guerre, et il réalisa que, si l'agencement blurois semblait au départ illogique et non protocolaire, il révélait vite ses forces et semblait, en fait, plus efficace que l'habituel cloisonnement appliqué aux camps clairisiens.
Il put se rendre compte que l'échec de son royaume n'était pas forcément dû à la compétence de son peuple ou à son courage, mais plutôt aux hommes qui l'avaient dirigé. Tandis que Clairis s'attachait à ses riches traditions chevaleresques et aux enseignements de leurs aïeux, Blure, qui, d'après tous les géographes, n'avait qu'une armée de clans nomades sans réelle unité à sa disposition, s'était remise en question, et avait développé des tactiques, des armes et des règles qui, avec le bon commandant, avaient finalement permis cette victoire éclatante.

L'Empereur Alexandre de Blure fut trouvé près des écuries. Plusieurs personnages aux robes richement ornées, sans doute des hommes importants, peut-être les maîtres des écuries impériales, discutaient avec lui à voix basse tandis qu'il examinait une jument blanche tâchetée de noir. La bête était à la fois robuste et élégante, formant une combinaison de vitesse et de puissance qui expliquait enfin comment les cavaliers et archers montés de Blure avaient causé tant de difficulté à la chevalerie clairisienne. Arthur se souvenait du bouclier d'un chevalier, peut-être un Du Guesclin, fendu à force de flèches perçantes, et il se souvenait s'être demandé comment les Blurois avaient pu décocher tant de traits sur lui. Il le savait, maintenant : ils s'étaient tenu hors de portée des chevaux lourds et carapaçonnés de Clairis.
Le souverain impérial semblait très à l'aise avec les chevaux. Il appuya son front contre celui de la bête en caressant son encolure. La jument restait calme et attentive. Ce n'est qu'une fois qu'il eut renvoyé le cortège et l'animal qu'il tourna son attention vers ses épouses, nues et soumises, qui attendaient ses ordres sans broncher. Il sourit. Peut-être avait-il réussi à les dresser, finalement ? Cette méthodologie, inspirée du maître des esclaves de sa cour, avait porté ses fruits. Il y avait bien ajouté sa propre touche sexuelle, mais la mesure avait porté ses fruits. Ils étaient prêts.

" Très bien. Voyez-vous, comme je vais rentrer à Blure sous huitaine, avec vous dans mes bagages, je me disais qu'il était important de rassurer le peuple, et de vous montrer. "

Il vit les jumeaux plisser les yeux en cherchant leurs tenues clairisiennes, qui rassureraient, à n'en pas douter, la population, quant à son avenir et ses chances de redressement. Ils ne les virent pas. Un regard à leur époux leur garantit qu'ils n'étaient pas non plus en chemin, et qu'ils ne se changeraient pas. Ils rougirent, et le Blurois sourit un peu plus, tandis que la jument qu'ils avaient vu auparavant était amenée à lui, harnachée et parée des couleurs de l'Empire. Il leur présenta Jasmine, la monture qu'il avait chevauché sur l'Alde contre leur armée, et laissa un groupe d'esclaves lui apporter une nouvelle tenue. En un bref instant, il fut équipé d'une tunique brodée d'or, d'une ceinture pourpre portant le sabre de cavalerie courbe blurois, d'un pantalon noir et de pantoufles dorées.
On apporta enfin deux cordelettes, de fines cordes, elles aussi dorées, qu'on attacha aux poignets des jumeaux, avant de les réunir sur la selle de l'Empereur. L'idée était très claire, il allait les faire parader comme les trophées d'un général victorieux. Et ils seraient nus et couverts de honte, devant le peuple de leur propre cité.

" J'ai prévenu la population d'un cortège jusqu'à la place principale de la ville, pour célébrer nos épousailles et présenter notre couple heureux. Que vous souriez ou non, je m'en fiche. La scène suffira à leur dire tout ce qu'il est nécessaire de savoir. Vous m'avez compris ? "

Pendant qu'il parlait, une troupe de fantassins en armure se formait et se dirigeait vers la grande porte du palais, tandis que cinq cavaliers venaient se placer à distance du cheval de l'empereur. Arthur en reconnut deux d'après des portraits qu'il avait vu en classe : Bakr le Prodigieux et Daram l'Etranger, descendant d'une famille clairisienne s'étant rebellée dans les premiers temps de la guerre. Ils étaient généraux de l'armée impériale, et les trois autres devaient être le reste du haut commandement blurois.
Au moins, Alexandre n'avait pas organisé la cérémonie à moitié. Tout le beau monde blurois semblait peu à peu se rassembler, et il y avait fort à partier que les nobles clairisiens survivants seraient sur la grande place.


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