Une visite dans le mauvais club...

Edrusba aimait se poser, prendre un peu de temps pour ne pas faire grand-chose. Cette fois elle s'installa dans un club très privé au milieu de la capitaine de Tekhos, en plein dans la métropole bondée. C'était un club en pleine rue bondé, connu pour ces jolies filles et ces soirées à thèmes très chaudes... Surtout connus d'ailleurs, pour embaucher des furrys dans la misère, à fins de les humilier encore plus ! Elles s'y faisaient souvent tripotées, violées, insultées et pas forcément dans cet ordre. Le club est dirigé par des femmes, et les furrys icis sont traitées comme des esclaves, quand ils ne sont plus rentables, on les revend au marché aux puces. Edrusba là-dedans ? Oh, elle avait trouvé le lieu sympathique, et après quelques jours de débauches avec des furrys, elle décida que cet endroit sera temporairement son nouveau chez elle !

Choses dites, choses faites ! Son pouvoir se mit en action et plus personne n'osait douter de sa place légitime à la tête de l'établissement. En plus depuis son arrivée, les rentrées d'argent allaient bon train ! Enfin, au bout de quelques jours elle s'ennuyait de nouveau, elle avait beau tourmenter si et là des furrys, ce n'était d'un grand plaisir. Après tout ces derniers étaient bien souvent soumis de nature dans la région. La loi du plus fort tout ça... bref, c'est en voyant une cliente que l'idée lui vint ! Et quelle cliente, grande, svelte, avec une belle poitrine ! Une vraie tombeuse d'homme, que venait-elle faire ici du coup ? Peut-être, rencontrer une jolie furry et se faire empaler sur son énorme engin ? Oh, ça ne serait pas la première. Mais ses traits angéliques, ses cheveux noirs de jais trop propre, et son petit air de tombeuse... Elle n'était pas une cliente comme les autres.

Edrusba attirée de fait par cette demoiselle décida de quitter sa forme éthérée. Elle prit un corps dont elle avait l'habitude, à savoir le sien ! Cette fois elle ne se cachait pas, quand elle était dans la pièce, tout le monde lui faisait révérence. Le club lui était aux couleurs de la luxure, bois brun, cuir rouge ou grenat, le bar était brun foncé. Une pancarte rose avec les tarifs en noirs était de chaque côté du bar. Oh, pas le tarif des boissons, vous pensez bien... D'un côté celui des mâles et de l'autre celui des femelles du club. Les prix incluaient les soirées privées, de groupe, les fellations, les pénétrations, les pratiques possibles en bonus.

Bref, l'entrée passée, l'invitée tombait sur une série de tables posée autour de pôle de danse surélevé. On pouvait y voir des furrys en petites tenues, parfois avec des godes, danser et exciter un public presque uniquement féminin. Après tout ici les femmes avaient le pouvoir. Mais pour autant le club n'était pas fermé aux hommes, les ruiner ici était de bonne foi ! Elle put donc voir des hommes, en groupe généralement, car ici un homme isolé est souvent un homme maltraité ! D'ailleurs les quelques mâles en étaient la preuve, nombre des furrys de sexe masculin par ici, étaient en string rose avec de gros godes dans les fesses et des jupes courtes. Ici pas de "sexe fort" étalon ou simple chaton, tous au même régime, l'humiliation !

Alors du coup, que venait faire la cliente par ici ? Edrusba s'avança lentement vers elle, cette présence, unique en son genre, avec autant de personnalité, ne pouvait que la captiver. (Et ce n'est pas parce que c'est une PJ voyons, pas du tout !) La déesse se posa devant elle, d'ailleurs, non, elle ne touchait pas le sol, elle semblait être au sol et marcher. Mais en fait ses étais deux ou trois millimètres au-dessus de ce dernier, c'était subtil et personne ne semblait l'avoir remarqué. Quelque chose chez Edrusba pouvait ne pas inspirer la confiance, déjà son air méprisant et hautain. Ensuite, ses yeux rouges luisant, et luisant aussi de malice en même temps ! La poitrine de la déesse était faible, elle était mince, petite, mais ne manquait aucunement de présence pour autant !

- Bonsoir jeune cliente, puis-je vous aider à trouver votre satisfaction en mon antre de la luxure ?

D'ailleurs, maintenant que la jeune femme avait vu la déesse, une autre chose se manifesta. Rien de bruyant, ni de lumineux, aucune forme d'aura ou de vénération en arrière-plan. Non, en fait c'est juste que désormais, pour Monica, la prote d'entrée n'existait tout simplement plus, de même que la sortie de secours en cas d'incendie. Toutes les portes menant à dehors, avaient simplement disparue. Mais ça, elle ne l'avait surement pas encore remarqué.

Cela faisait bien longtemps que Monica n’avait pas mis les pieds sur Terra. Pourtant quand elle dut le faire, pour les besoins d’une mission provenant de ses employeurs, elle n’eut autre choix. Cependant, l’habitude d’autrefois voulait qu’elle atterrisse en pleine savane, ou en territoire parfaitement vierge et sauvage. La traversée du portail fut cette fois-ci bien différente, car la sortie la conduisit vers une zone toute nouvelle et ... Très civilisée. Le seul problème étant qu’à peine ressortie, la faille se referma derrière elle. Etait-ce réellement un problème ? Monica avait de la ressource et ne doutait pas un seul instant de sa capacité à revenir sur Terre en temps voulu.

En attendant, elle devait penser à sa mission. Qui était de retrouver un client important pour le compte de ses employeurs. Un client ayant fait défaut de paiement, et pas n’importe quel défaut ... Le préjudice s’élevait à un nombre à plusieurs zéros derrière. L’objectif était de le trouver, et de le ramener. Les dernières informations donnaient sa dernière position ici, à Tekhos, dans le plan de Terra. C’était bien la veine de Monica qui n’avait que rarement mit les pieds ici. Ainsi donc, la voilà dans la mégalopole de Terra, livrée à elle-même. Néanmoins elle savait y faire, et se mit donc rapidement à chercher des indices, à mener son enquête.

Cela la conduisit auprès d’un établissement assez particulier. Un club de strip-tease employant des Terranides. En effet, notre homme était un vicelard particulièrement penché vers tout ce qui touchait à la zoophilie, et par extension, aux Terranides. Ce lieu étant unique à Tekhos, Monica s’y dirigea en tout premier lieu. Si le client devait être quelque part, c’était bien ici, pensait-elle. Donc, elle se fraya un chemin vers les lieux, puis pénétra dans l’établissement. Décoration sobre, aux tons rouges et boisés. Comme une maison close, mais décoré à l’ancienne. Sans dire un mot, elle regarda un peu autour d’elle, ses revolvers bien apparents au cas où on lui chercherait des problèmes.

Monica parvint finalement jusqu’à la salle principale où séjournaient les clients et les strip-teaseuses. Des créatures mi-humaine et mi-animale. Un spectacle déroutant, mais qui laissa de marbre l’agente, scrutant les clients pour tenter d’y reconnaitre sa cible. Toutefois elle fut interrompue par une demoiselle, qui en vue de son discours, semblait être la gérante. Monica la toisa, puis se racla la gorge. « Bonsoir madame. Ne vous inquiétez pas pour moi, je cherche simplement quelqu’un ... Un client. Disons qu’on est censé avoir rendez-vous ici. Mais, c’est très gentil de vous souciez de vos propres clients. » Dit-elle, avec un faux sourire. Monica décida de tourner les talons mais, elle se rendit alors compte que la porte avait disparu. Levant un sourcil, elle pensa d’abord qu’elle avait du mal s’orienter, ou voir.

Elle tourna sa tête tout autour, pour constater que réellement, il n’y avait plus aucune porte ni issue. Que se passait-il ? Instinctivement Monica commença à diriger sa main vers son revolver, prête à faire face au moindre piège ...

Ainsi donc, la jeune femme, ou femme tout simplement, semblait vouloir s'enfuir d'ici. Edrusba n'aimait pas cela, elle la regarda en silence sans froncer les sourcils ni rien. Elle la fixe simplement et regarde le faux sourire, cette femme était donc une menteuse. Edrusba se demandait bien qui, elle cherchait dans ce lieu, ni d'une ni d'eux elle eut la réponse. La femme cherchait un client régulier, un homme qui aimait forcer les femelles furries à prendre le rôle de petits animaux. Il leur passait des colliers, leur faisait faire la belle ou encore les promenait dans la maison close. Sa cible n'était pas dans la grande salle, mais à l'étage occupé à jouer avec deux femelles contre une belle somme d'argent. Argent qui n'était pas le sien, la déesse voyait désormais clair dans cette trame d'histoire.

- Je vois, mes clients sont sous ma protection, je n'aime pas votre attitude, mademoiselle Monica.

Comment ? Elle savait son nom ? Visiblement oui, et aucune raison valable à cela. La déesse sourit un peu, cette fois elle pouvait sentir l'attention de la jeune femme revenir sur elle. Il ne restait plus qu'à expliquer la suite, de toute façon, elle n'avait plus vraiment d'autre choix, que d'écouter maintenant.

- Votre cible est bien en ces lieux, vous la verrez en temps voulue. Pour le moment, j'ai décidé que votre rôle sera de danser sur scène, avec les furries.

Elle sourit un peu, puis se pourlèche les lèvres visiblement amusées de la situation. La victime allait-elle sortir son arme et tenter d'abattre ses femmes arrogantes devant tout le monde ? Oh, ça ne serait pas la première fois qu'une mercenaire est envoyé tuer une patronne d'un club un peu trop... hors-la-loi ! Oh, et pas hors la loi sur le traitement des furries, mais sur la vente d'alcool, le fait que des mineurs pouvaient entrer facilement et accéder directement aux danseuses. Pas de fouille à l'entrée, pas de contrôle d'identité non plus. Il y avait plus d'une raison de vouloir fermer le club, et par extension, tuer la patronne.

Monica était face à ce qui semblait être la gérante. Après lui avoir expliqué les raisons de sa présence, sommairement, elle s’était attendue à ce qu’elle lui lâche la grappe. Mais étonnamment, cette femme insista et osa même déclarer que ses clients étaient sous sa protection. Une parole qui fit réagir Monica, comprenant donc qu’elle était une ennemie, et non une simple décoration dans le cadre de sa mission. Pire encore, elle affirma quelque chose que la tueuse à gage ne prit pas au sérieux ; danser avec les espèces de créature animales sur scène. Pensait-elle sérieusement parvenir à plier Monica ? Qui croyait-elle avoir en face ?

Ainsi la jeune femme sourit dubitativement, puis tira ses deux revolvers, les braquant vers la gérante. « Ecoutez, je n’ai pas le temps pour vos salades. Maintenant que vous m’avez confirmé la présence de mon client ici, je vous conseillerai de ne pas interférer. » Dit-elle, ayant pleinement confiance en elle. Après tout, elle était à mille lieux de se douter de qui était vraiment cette demoiselle. Monica se déplaça sur le côté, fixant la femme et la ciblant du bout de ses revolvers. « Et vous avez sincèrement cru que j’allais monter sur scène et faire le show ? Vous vous êtes cru où, ma pauvre ? » Dit-elle également, marquant un sourire narquois.

Monica était belle et bien décidée à attraper ce mauvais client. Elle ne comptait pas la gérante dans l’équation, pensant alors qu’elle ne faisait que brasser du vent, ne désirant sans doute pas d’ennuis. Une bien mauvaise analyse. Mais la femme n’avait aucun moyen d’évaluer le potentiel de cette patronne, surtout qu’en apparence, elle était toute frêle. « Aller, écartez-vous je vous prie. » Finit-elle par dire, secouant l’un de ses revolvers pour accompagner ses dires. Allait-elle coopérer ? Il n’y avait plus qu’à espérer.

Néanmoins, pourquoi Monica avait le sentiment que cette femme n'allait pas se laisser faire aussi simplement ? Pourquoi fallait-il toujours des complications ... Monica détestait faire des victimes collatérales mais, cette patronne allait malheureusement mal finir !

Comment ? Elle osait sortir des armes et les pointer vers le sacre aux saintes déesses de l'absurde ? Se rendait-elle compte des conséquences de son acte perfide et vil ? La déesse pour autant ne sembla pas choquée, ni même effrayée par les deux armes. Elle les regarda l'une après l'autre, puis sourit un peu et l'écouta sortir ses menaces. La déesse écouta tout cela attentivement, puis sourit un peu plus vicieuse à son tour, elle ne voulait pas faire le show avec les terranides ? Oh, pourtant elle en avait bien le potentiel, avec sa jolie queue de chatte et ses oreilles de chats sur la tête. Elle ne s'en rendit surement pas comptent pendant qu'elle sortait les flingues, ni quand elle demanda à la déesse de s'écarter. Mais la jeune Monica arborait maintenant les appendices d'une belle petite chatte Terranide.

- Non merci, je suis bien ici, et ce n'est pas vos jouets qui vont m'impressionner.

Si tôt dit, si tôt fait ! Les pistolets semblaient soudainement plus légers, plus chaud, bas oui ils étaient tén plastique et tiraient maintenant des petites cartouches en mousse tout à fait inoffensive ! Comment ? Pourquoi ? Allez savoir, ils avaient changé le temps d'un battement de cils pour la jeune, ex-humaine.

- Allez ! Allez, les terranides c'est sur scène, je te laisse le temps d'allez dans ta loge pour enfiler ta tenue de scène.

Puis la déesse l'esquiva passant près d'elle non sans dégager une aura étrange, un quelque chose de... bizarre. Ce n'était pas une aura effrayante ni rassurante, mais une sensation étrange comme si le monde entier tournait autour de cette personne. Désormais une autre terranide habillée en soubrette se présenta, elle prit les mains de Monica et lui proposa de la guider en loge pour son premier jour ici. C'était une petite chienne toute mignonne et gentille aux cheveux brun clair et à la queue battant l'air rapidement. Oh, elle avait aussi un gros vibromasseur qui s'entendait entre les cuisses.

C’était que cette demoiselle faisait la forte tête ! Monica n’avait encore jamais croisé de pareil cas. Mais inutile de dire que la tueuse à gage allait vite bien fait lui régler son compte. Si cette dame croyait un seul instant pouvoir faire peur ou impressionner Monica, elle se trompait lourdement. Ainsi, alors que la tueuse allait faire feu, elle se rendit compte que ... Ses armes n’étaient plus les mêmes. « Hm ?! » S’exclama-t-elle, regardant de plus près ses revolvers pour s’apercevoir ... Qu’il s’agissait de jouets.

« Qu’est-ce que ... ?! » S’écria-t-elle en lâchant ses revolvers, observant avec stupeur qu’ils avaient changés en jouets. Instinctivement, elle reporta son attention vers la dame, qui en réalité, devait être une magicienne. Une sorcière ... Cela expliquerait bien des choses, dont notamment son attitude nonchalante en présence, pourtant, d’une dangereuse adversaire. « Huh, une sorcière. Tu crois que c’est ça qui m’arrêter ? Petite joueuse, je... » Dit-elle, commençant à se rassurer, au moment où elle sentit la femme passer près d’elle. Une bien étrange, et viscérale, sensation s’empara d’elle. Indescriptible, indéfinissable.

Monica se sentit troublée, confuse, mais se secoua bien vite la tête et reprit ses esprits. Elle s’apprêtait à rappliquer quand une Terranide vint à elle, l’air de rien, semblant vouloir l’emmener plus loin. Dans une loge ? Comme le lui avait dit sa maitresse ? Cette situation devenait ridicule. Néanmoins, Monica comprit réellement le danger de tout ceci quand elle finit par sentir une gêne sur sa tête et en bas de son dos. Passant ses mains, elle hoqueta, et fut pris d’un effroi certain en constatant, avec horreur, qu’elle avait dorénavant de grandes oreilles félines et une queue. « Q-Quoi ?! Tu vas enlever ça tout de suite, sorcière ! » S’écria-t-elle, s’apprêtant une nouvelle fois à foncer sur la pauvre dame, avant ... Que quelque chose d’autre ne survienne.

La magie de la gérante devait être en pleine activité puisque Monica, non contente de s’être fait donner des attributs félins, fut soudainement envahit d’une puissante sensation, à mi-chemin entre le malaise ... Et le manque sexuel. Ce fut si intense et soudain, la jeune femme s’écroula à terre. « Haaa q-qu’est-ce que t’es en train de me faire ?! » S’exclama-t-elle, sentant une vive chaleur entre ses cuisses, la faisant rougir malgré elle. Tous ses sens étaient en alertes. Une étrange mais puissante sensation irrésistible se développait en elle ... Plus elle succombait, plus elle lorgnait sur une barre de pole libre. C’était comme si, rester loin d’elle lui était néfaste, que ce soir pour son corps, ou son esprit. Encore un peu, et la gérante allait parvenir à forcer Monica à monter sur scène ... Exactement comme elle l’avait désiré en premier lieu.

« Sale sorcière !!! » S’insurgea à nouveau Monica, son corps se tordant alors que de puissantes vague de chaleur s’empara d’elle, se transformant peu à peu en plaisir, en excitation. Après un long moment, Monica poussa violemment la Terranide venu la chercher, puis monta sur scène, se collant à la barre. Il n’y avait qu’en se frottant à elle, qu’en restant proche d’elle, que la tueuse à gage sentait son corps satisfait. La sensation était hautement intenable, il lui était impossible de résister à l’envie ... De se frotter, de lover son corps langoureux tout contre ...

Monica ne comprenait surement pas tout l'art subtil d'être une déesse de l'absurde, de pouvoir changer la réalité presque sans le vouloir. Elle écouta Monica surprise par le changement de ses armes sen vulgaire jouet pour gamin, elle les regarde tomber au sol et rebondir un peu. Puis elle continue de fixer la jeune humaine, elle l'avait traitée de sorcière là ? D'usurpatrice profane, de vile créature de bas étage qui enfrunt les lois des dieux ? Ouille ça, ça faisait mal ! Edrusba était très fâchée et fronça les sourcils ! La déesse lui fera ravaler cela, plus tard, là elle la laissa avec la féline. Prête à partir, à l'oublier un peu, quand elle entendit encore crier sur elle, il était temps de lui faire payer cette audace !

- Ce que j'ai fait ? À genoux devant ta déesse petite nuisible !

Dit la déesse furieuse, elle la regarde lorgner sur la barre du club, puis sourit un peu, oh elle voulait danser ? La déesse comptait bien l'y voir tôt ou tard, alors autant la faire monter sur scène et qu'elle se déshabille un peu. La déesse n'avait rien contre les spectacles en son honneur, tout au contraire même. Elle s'installa sur une chaise, la féline d'avant passa à quatre pattes lui servant de repose-pieds gémissant et levant la queue sous le gode. Quelques curieux regardaient la scène avec une trique remarquable, notamment chez les équidés plutôt bien équipés.

- Tu sais quoi, je vais te pénétrer comme jamais tu ne l'as été, on va voir ce que tu me caches perverse !

Et si tôt dit, si tôt fait, Edrusba sans discrétion la fixa, et commença à lire en elle. Une désagréable sensation pour la jeune femme qui voyait son histoire défiler, ses secrets les plus sombres, les plus pervers aussi, revenir à la surface. Tout y passait un bel examen en règle, avant de ressortir de là et la fixer un moment.

- C'est bien, continue de te caresser avec la barre, retire tes habits devant la foule aussi, regarde, tout le monde ne voit plus que toi !

En effet, tous les regards, tous ! étaient sur elle ! Comme si d'un coup, plus rien d'autre n'importait en ce lieu, que de voir la belle tueuse professionnelle, s'amouracher d'une barre de danse exotique...

Cette barre. Tout et uniquement cette barre semblait happer son attention. Plus rien autour ne semblait important, si ce n’était cette seule et unique barre de pole-dance qui tournait rapidement à l’obsession. Monica avait rampé jusqu’à celle-ci pour s’y frotter, pour s’y trémousser contre, en l’espoir de se soulager. Mais de quoi ? Elle ne le savait guère. Tout ce qu’elle savait était qu’elle avait furieusement besoin de danser autour, de jouer avec, comme une ... Strip-teaseuse. Elle savait néanmoins qui était la cause de cela ; cette femme, cette sorcière ! Elle l’avait sans doute ensorcelée pour la réduire à l’état de vulgaire strip-teaseuse à oreilles de chat.

Dès que Monica allait se débarrasser de son envie pressante de strip-tease, elle se jurait d’aller tuer de ses propres mains cette garde. Mais le pourrait-elle seulement ? Pour le moment elle était surtout bien partie pour rester là, à amuser la foule. Plus que l’amuser ; l’exciter. Des mâles en plus ... Pour Monica qui avait toujours préféré les femmes, voilà qu’elle se retrouvait à offrir son corps en spectacle pour ces messieurs qui se rinçaient bien l’œil. (Foutue magie !) Pensa-t-elle, tant qu’elle avait encore l’esprit un peu lucide. Mais son puissant désir reprit largement le dessus, et dès lors, Monica commença des déhanchés très provocateurs, se mouvant tel un serpent sur cette barre, commençant peu à peu à apprécier le petit jeu malgré elle.

Néanmoins au bout d’un moment elle ressentie une bien étrange et très désagréable sensation. Sa vie se mit à défiler dans sa tête ; toutes les images fortes de celle-ci refirent surface, des plus mauvaises, aux meilleures pour terminer ... Jusqu’aux plus perverses. Monica se sentait espionnée, comme si quelqu’un était à côté d’elle. Bien entendu, il ne fallait pas être devin pour deviner que la patronne des lieux était derrière cette intrusion. (S-Sors de ma tête ... Haaaa ...) Pensa-t-elle, alors que son esprit commençait à être submergé de toutes les images les plus perverses et excitantes de sa vie. Tous les regards sur elle, sur Monica ... La star de cet établissement. Monica la perverse ... Monica qui avait tant de temps et d’énergie à de perverses et malsaines choses dans sa vie. Toutes ces choses qui refaisaient surface et la submergeait, envahissant son esprit tel un poison, le corrompant. « Plus ... Plus ... J’en veux ... Plus ... » Dit-elle toute seule, comme si elle était aliénée, hors de son propre contrôle.

La jeune femme se mit alors soudainement à faire un strip-tease en bonne et due forme, comme si elle était possédée. Elle ne répondait plus de rien, se laissant porter par sa vraie nature perverse. C’était là ... La fin de la route pour elle. La cheffe des lieux gagnait la bataille et cela commença à se voir physiquement ; plus Monica faisait l’amour à sa barre fétiche, plus elle se métamorphosait. Sa combinaison en cuir commença à crisser, à gonfler, puis craqua à plusieurs endroits, révélant ainsi une belle et douce fourrure ! « Oui ... OUI !!! » Gémit-elle toute seule, son corps s’enflammant de plaisir et d’extase, alors que paradoxalement elle avait l’impression d’être en train d’exploser. Ses pieds déchirèrent ses chaussures, laissant apparaître des pattes canines, alors que ses mains en firent de même. « HMMMM ! » Rugit-elle, serrant les dents, sentant la brûle se reprendre partout sur elle, atteignant finalement son visage.

Toute sa combinaison craquait ci et là, puis finit par se déchirer complètement, tombant au sol. Après un dernier rodéo autour de la barre, sortant de la pénombre créée par le projecteur, ce fut ainsi une Monica complètement et irrémédiablement transformée en Terranide Hyène qui s’afficha. La nouvelle créature rugit de toutes ses forces puis reprit son strip-tease de plus belle, mais cette fois-ci, de manière bien plus convaincante, aguicheuse, et surtout, maitrisée. « HAA C’EST SI ... BON !!! » S’écriait-elle, possédée, se sentant en pleine extase en permanence. Une véritable furie sexuelle, une pile électrique ambulante qui offrait un spectacle des plus sulfureux à l’audience ... De toutes évidences, cette nouvelle Terranide était versée, de la tête aux pieds, dans la luxure et le sexe.

Edrsuba la regarda faire sa salope sur la barre, pire qu'une chienne en chaleur cette là, et la déesse n'en perdait rien, assise comme une reine avec sa chienne repose-pied. Le confort absolut ! Et le spectacle était assuré, Monica en chaleur se caressait bien contre la barre, les hommes ne rataient rien, mais les femmes non plus, tout le monde ne la regardait ! Elle qui semblait presque ne faire qu'un avec le solide bar de métal bien dur. La déesse l'avait examinée pendant ce temps, l'écouta même lui dire de sortir, mais c'était bien inutile, elle ne raterait rien ! Finalement l'esprit sembla craquer assez vite, la perverse emportée plus que rapidement en demandait encore, et cette fois la déesse n'y était pour rien du tout. Elle avait peut-être réveillé un monstre qui sommeillait jusque là !

Mais ce n'était pas grave, c'était presque amusant de la voir faire sa belle sur le pylône de métal. Enfin la perverse se changea même toute seule en chatte touffue, même la déesse semblait surprise. Finalement la jeune femme devint une Hyène sauvage et puissance, toujours en manque cela dit. La déesse pourtant n'était pas pleinement satisfaite, finalement rien de tout cela n'était de son fait, quelque chose lui échappait clairement dans cette histoire. Mais bon, les clients étaient contents, c'est ce qui compte ! La belle femelle put donc continuer de danser, tendis que la déesse but un coup et voit des gens déposer des billets à la nouvelle danseuse terriblement populaire, si bien que la déesse en serait presque jalouse.

- Bien pas mal, cette forme ne te va pas mal non plus... Regarde-toi, une chienne en chaleur !

Dit-elle en applaudissant avec quelques gars ? Mais son scan lui avait appris une chose, la belle était gouine, lesbienne, elle aime les femmes ! Ni d'une ni deux, tout le public se change en femme et filles équivalentes aux mâles de l'instant d'avant. Nombre étaient bien sûr équipée de jolis engins sexuels, et certains même se branlaient déjà devant la terranide perverse qui les excitait terriblement.

Que se passait-il ? Monica était scotchée à la barre de danse, impossible d’en détacher ni d’arrêter cette frénésie. Elle était comme possédée, comme aliénée par on ne savait quelle force. Tout ce qui comptait pour elle était d’offrir un spectacle aux clients, de se déhancher, de faire un langoureux et sexy strip-tease. Si sa transformation soudaine aurait dû l’alerter, il n’en fut rien ; bien au contraire, sentir son corps se métamorphoser, sentir son visage se déformer, ses os se déplacer pour la faire se changer en Terranide Hyène l’avait terriblement excitée. Elle avait rugi de toutes ses forces tellement le plaisir l’avait envahi, tellement la sensation était extraordinairement.

Mais ce n’était pas tout. Si la foule semblait l’acclamer et commencait à lui jeter des billets, Monica, elle, prenait un grand plaisir à se trémousser de manière bien plus appliquée. Oublié sa mission d’origine ; oublié son devoir ; oublié le danger … Monica était devenue folle, comme la patronne de ces lieux. « Hmm oui … Aller mes chéries, admirez votre nouvelle vedette ! » Dit alors la hyène, gratifiant un sourire carnassier révélant ses longues canines à la foule. Elle se hissa le long de la barre, puis écarta alors largement ses cuisses, faufilant une main entre elles. La femme se servit alors de deux malicieux doigts pour écarter son con, séduisant la foule avec son con tout luisant de mouille.

C’était clairement un appel à se faire tringler par la plus téméraire d’entre la foule. (Je … N’arrive pas … À … Résister !) Pensa alors Monica, bien trop submergée par l’extase et la joie que lui procurait tout ceci. Et surtout, bien trop aliénée par sa nouvelle apparence et le plaisir permanent que ça lui apportait ; exhiber fièrement son corps de hyène était furieusement excitant, et de tout son être, elle désirait le mettre à l’épreuve. De tout son être elle désirait se faire prendre, se faire tringler, elle désirait … Profiter au maximum de cette nouvelle apparence, de cette chienne en chaleur qu’elle était devenue malgré elle ! « Ne soyez pas timide … Y’a une petite chienne qui n’attend qu’une bite ! » S’exclama-t-elle alors, commençant à se doigter devant la foule pour l’enflammer encore plus.

La Monica arrogante et hostile était partie ; elle avait laissé place à la vraie Monica … La plus perverse et vicieuse créature de ce lieu ! Qui avait enfin obtenu un corps à la hauteur de ses désirs.

Cela semblait lui convenir, d'être une petite chienne en chaleur, une salope au service de clients lubriques et affamés ! Enfin dans le cas présent, les clients étaient tous devenus des clients ! Cela pour mieux répondre aux envies salaces et perverses de Monica Leone, la grosse gourmande qui veut se faire tringler par tout ce qui bouge ! Du moins c'est l'impression qu'elle donnait à la déesse, et de fait, c'est ce qu'inconsciemment la déesse faisait de cette femme. Cela est assez ironique, car la déesse qui lancée ce petit jeu, n'est en rien coupable de la corruption de cette jeune femme. Cette là même qui était venue tuer un homme aujourd'hui, cette là même qui avait provoqué la déesse. Et maintenant, cette femme idolâtrait une barre de métal bien dure, y frottait sa vulve nue comme cette barre pouvait répondre à ses attentes... Ce qui bien sûr, n'était pas encore le cas.

- On dirait que tu es faite pour ça, comme si c'était dans ta nature en fait.

En effet, elle avait beau lutter du plus profond de son âme, de son esprit, elle n'arrivait pas à résister à l'envie, se montrer nue, inviter les gens, leur tendre sa vulve humide et presque dégoulinante... Elle se doigtait maintenant, et devait donc bien s'en douter, elle en voudra plus encore dans les minutes à venir. Demander des bites était une chose, se qualifier de chienne en était un autre. Si bien qu'elle exacerba encore sa transformation l'encrant profondément dans son être. La déesse elle sourit un peu, elle avait envie de jouer elle aussi, et voir les autres femmes se caresser autour rendait tout cela très... Intéressant, même pour une déesse qui n'est pas celle de la luxure.

- Alors comme ça, tu veux une bite ? Une bonne grosse, longue, puissante bite ?

La déesse sourit, quelque chose de malsain se profilait, elle attrapa les bords de sa robe et la souleva. Dévoilant lentement, ses jambes, et entre elles, une troisième jambe, large comme les bras de la déesse. Longue comme un avant-bras de cette dernière, oh, mais il n'y avait pas de pied à cette "jambe" ! C'était une verge, à l'allure humaine, mais aux dimensions de celle d'un étalon des pleines ! La déesse n'y était qu'à moitié pour quelque chose cette fois, elle retira finalement sa robe ne gardant que son divin soutien-gorge noir. Le membre semblait encore au repos malgré sa taille démesurée.

- Viens donc me montrer ta dévotion, joue avec ma belle barre de chaire et de sang, et offre un spectacle divin, à notre public !

Monica n’était plus vraiment maitresse de ses faits et gestes. Ou plutôt, elle n’était plus maitresse de ses pulsions. C’était comme si quelque chose avait fait ressortir tout ce qu’il y avait de plus pervers, avide et vicieux en elle. Etait-ce de la faute de cette étrange femme ? Monica n’avait pas assez de temps à elle pour y réfléchir. Dans l’immédiat, tout ce qui comptait, c’était de se faire tringler. Elle désirait se faire prendre, utiliser son nouveau corps, pouvoir enfin afficher et jouir de sa perversité ! Au final ce ne fut pas une si mauvaise idée d’aller chercher ce client. Elle était certes aliénée, mais elle sentait d’ores et déjà qu’elle adorait ce qu’elle était devenue !

Continuant de se déhancher contre la barre, exhiber son sexe devant une foule enflammée par le spectacle, les yeux de la jeune femme finirent par se braquer sur la gérante. En effet, celle-ci se mit à parler, et lui demanda si réellement elle désirait se faire tringler. Il suffit d’un regard très sulfureux de la part de Monica pour acquiescer. La femme put ainsi voir de ses propres yeux la gérante relever sa jupe, et révéler ainsi un énorme sexe masculin bien dodus et joufflu, aux proportions démentielles ! Les yeux de Monica devinrent tout rend, et son petit museau de hyène trembla, signe qu’elle avait profondément envie de cette queue.

Ainsi donc, elle s’approcha d’un pas très félin de la femme, qui entre temps, retira complètement sa robe pour rester en sous-vêtements. Monica avait une brûlure à l’entrejambe, elle avait furieusement envie de danser sur ce sexe, de devenir cette chienne bonne qu’à être fourrée. La Terranide finit à quatre pattes entre les cuisses de la femme, puis reniflant de son museau l’imposant morceau de chair, commença à le lécher. « Hmmm, délicieux ! » S’exclama-t-elle, un sourire pervers aux lèvres. Ainsi donc, Monica commença à lécher, de plus en plus, faisant dresser cette massive barre de chair. Quand elle fut érigée, la Terranide l’attrapa fermement par la base puis commença à l’astiquer, à la masturber de toutes ses forces.

Tout en même temps, elle la lécha avidement, sa longue langue passant et repassant sur chaque parcelle de cette trique veineuse. La jeune esclave n’en oublia même pas la cerise toute chaude et avide, qui commença à laisser couler du présperme, qu’elle racla presque instantanément. « Hmm ... » Ronronna alors Monica, continuant de lécher, d’embrasser et masturber ce gros membre afin de le préparer pour la danse ! D’ailleurs, quand il fut à point, Monica se releva complètement puis, passant une jambe de part d’autres son amante, orienta sa fine féminité toute luisante au-dessus de son sexe. Puis, très tendrement, prenant tout son temps, elle commença à descendre, à s’empaler sur cette gargantuesque trique. « HAAAA ! » Rugit-elle d’extase, ouvrant grand sa bouche. Monica termina sa course et fut ainsi totalement empalée, sentant son corps d’ores et déjà au bord de l’explosion.

Mais ce n’était guère suffisant pour combler son appétit. Non, la hyène commença à remonter, puis redescendre, instaurant ainsi un rythme, une danse, tandis que ses mains se posèrent sur les épaules de sa partenaire. « Hmm ... Haaa c’est si boooon !!! » Rugit-elle encore et encore, dansant sur cette queue.

Elle n'était désormais qu'un animal en chaleur, conduit par ses pulsions les plus basses. Et sa forme de hyène ne l'aidait pas, ce corps entier réclamait à se faire tringler comme jamais la jeune femme n'avait du l'être dans sa vie. Elle se rendra bien vite compte que dans cet état, une bite ne suffira pas, elle en voudra bien vite de plus en plus. Mais d'un autre côté, la déesse ressentait que sa victime adorait cela, peut-être était-ce là sa nature cachée, refoulée depuis si longtemps ? Quel dommage, dire que l'espace d'un instant, elle pensait avoir eu à faire à un esprit fort. Une femme avec de l'ambition et du pouvoir, mais non, c'était simplement l'une de ses salopes refoulées qui craque au premier coup de rein qu'on lui met. Le genre de personne qui une fois violée, garde le silence, car dans le fond, elle a pris plaisir à cela.

Enfin, ce n'était plus très grave, la foule adorait la voir se déchainer contre cette barre, et la victime d'un regard intense confirma sans mal son envie débordante. La déesse lui avait offert à la vue ce qu'elle désirait sans doute le plus en ce moment, un énorme chibre tendu, large, veineux et dur comme tout ! Exactement ce qu'elle réclamait depuis ses longues minutes de souffrance. Et en plus, la déesse s'en était offert un gros, largement assez pour l'empaler et que la moitié ressorte encore. Il y avait de quoi tuer l'humaine qu'elle avait été, un coup de cet engin déchirerait sans aucun doute toute femme en deux morceaux, ou au moins lui ouvrirait une autoroute entre les cuisses. Mais cela ne semblai pas effrayé Monica, enfin ce qu'il en restait, car était-ce encore Monica ?

La jolie déesse dont l'engin pulsait d'envie, l'attendit donc, n'ayant plus que son soutien-gorge, dont la couleur se mettait à changer en suivant la musique du club de dance. Regardait sa petite videuse de couilles, et quelque part, pensait à en faire son objet de luxure personnel. Ça serait une bonne leçon pour les futurs agents qui viendront la pourchasser sans savoir à quoi ils ont à faire ! Ou pour ces fichues sorcières et chasseurs de démons qui se trompent sans cesse sur son identité ! Ohh oui, elle allait pouvoir donner des leçons désormais, et celte chienne elle, à quatre pattes, ne faisait que montrer une bonne solution à la déesse. Son simple souffle lorsqu'elle renifla l'engin, suffit à le faire se tendre encore un peu et gagner quelques centimètres de plus.

La grosse barre géante fut ensuite polie, frottée et lustrée par les petites pattes de la Terranide, donc les bras semblaient frêles en comparaison. Dommage qu'elle ait totalement perdu la raison, il n'y avait même plus matière à discuter, elle se laissa donc lécher la cerise, meilleure partie du gâteau selon beaucoup. Et souris un peu avant de produire encore plus de présperme brulant, et étrangement sucré ! Car oui, la déesse le préférait ainsi et cela se voyait, le membre entier sentait le sucré, goutait le sucré, mais n'en était pas en sucre pour autant ! La déesse encore souriante reste debout, la laisse faire et puis la voyant tourner son corps et poser les jambes autour de son chibre, rit un peu. La féline heureusement lui monta dessus, et étrangement la déesse ne sembla pas tomber, ni risquer de tomber.

La petite femelle s'empala alors dans un grand gémissement, le membre glissait en elle lentement, mais rapidement il atteint le col de l'utérus. Tigresse ou pas, elle avait des limites physiologiques, et l'une d'elles n'était que de trente centimètres. Enfin ça ne sera pas un problème bien longtemps, la sentant remonter, la déesse lui fit un sourire malsain, posa les mains sur s’épaules, et la repoussa dans l'autre sens.

- Non non, tu n'étais pas au bout ma petite, comme... ça !

Elle pousse alors plus fort, et explose son col avec la largeur de son pénis, une douleur sans doute atroce au tout début, mais qui fut vite remplacée par un plaisir intense. Cinq, bientôt dix de plus, puis vint centimètres de plus ! On pouvait même voir la forme de sa verge se tracer sur le bassin de la hyène en chaleur ! C'était presque amusant à regarder, autour d'ailleurs les curieuses approchaient, avec de gros yeux et des téléphones qui enregistraient la première fois de cette salope. Lentement la déesse relâcha la pression, puis regarde la petite hyène, et commence à marcher montant sur le pôle de danse. Elle se remet face à la foule et lève ses bras pour se tenir au poteau. Elle était contre le poteau, et sa verge était le seul point d'appui de la bestiole !

- Allez, danse, danse sur ta nouvelle barre de plaisir ! Montre à nos clientes que tu aimes ça, et lève ta grosse queue touffue si tu veux que l'une d'elles vienne jouer avec nous...

Qui était cette femme, déjà ? Monica ne le savait pas mais, semblait ne plus s’en préoccuper. En venant ici elle se souvenait de son hostilité, de sa hargne. Mais là, tout semblait ... S’être envolé. Absurde. Et pourtant réel. Cette étrangère qui l’avait menacé était maintenant en train de se faire chevaucher par une Monica complètement transformée en prostituée Terranide ! Celle-ci se défoulait sur son membre, dansant joyeusement dessus, montant et descendant de toutes ses forces. Cependant, pour des raisons évidentes de physionomie, elle ne parvenait pas à le prendre en entier, ce membre.

Absurde situation, qui très bientôt, allait continuer d’être absurde. En effet, par elle ne savait quelle magie ou technologie, son amante parvint à réaliser quelque chose d’encore plus impossible que sa transformation profonde en Terranide hyène ; elle pressa ses épaules de toutes ses forces, forçant Monica à s’empaler sur sa trique ... Jusqu’au fond. La hyène écarquilla ses yeux et se sentit comme si elle était déchirée en deux, une douleur insupportable et explosive s’emparant d’elle. Elle hurla – bien qu’on pouvait y avoir un hurlement de plaisir – très fort, mais ne mourut guère de ses blessures. Elle n’eut d’ailleurs aucune blessure.

Complètement déboussolée, elle constata avec stupeur la bosse se formant sur son ventre. La douleur se transforma en plaisir, et elle explosa complètement en elle, alors qu’elle se balança comme une folle sur son amante, s’empalant encore et encore, engloutissant tout son membre en elle. Bien évidemment la pauvre Terranide finit par craquer et jouit copieusement, sa mouille coulant et inondant le membre de la femme. Un bel orgasme qui la pétrifia sur place, la laissant encore plus aliénée et possédée qu’auparavant. « Haaaa – Haaaaannn ... » Gémissait-elle, reprenant son souffle, sa poitrine montant et descendant.

Mais ce n’était pas fini ! Son amante se leva et prit place contre la barre ... Sa barre. Cette barre dont elle ne pouvait plus se passer. Monica la regarda impuissante. Le seul point d’attache était désormais sa queue, sa juteuse et belle queue qu’elle venait de chevaucher de toutes ses forces. L’invitation était bien trop tentante, et Monica y céda, finissant de nouveau sur la scène, pliée, le visage devant le sexe de la gérante. Avidement, avec un appétit vorace, la Terranide se mit la pomper, onctueusement, langoureusement. Elle obéit à son ordre, et leva alors sa queue – celle qu’elle possédait en tant que hyène – tout en la remuant de manière taquine dans l’air, invitant ainsi une vaillante et courageuse demoiselle du publique.

Qui allait se prononcer en premier ? Monica n’en pouvait déjà plus d’attendre ; il fallait que quelqu’un lui détruise l’arrière-train !

Elle se faisait chevaucher comme une belle monture, par une créature n'ayant plus rien d'humain, ni l'apparence ni le mental, rien du tout ! C'était juste un animal sauvage en manque de grosse bite et qui prenait son pied en s'empalant sur une verge de taille démesurée. La déesse n'en ratait rien, c'était l'air de rien, plaisant pour elle aussi ! Après tout, cette grosse bite n'était pas qu'une décoration, c'était aussi un moyen de se faire plaisir par des moyens physiques. Une sensation, elle doit l'admettre, qu'elle avait presque oubliée. Mais la déesse n'était pas pleinement satisfaite, la verge n'était pas encore entière dans la petite chatte, il en fallait encore, plus, plus profond ! Et qu'importe le souci de physionomie, il se résolut quand l'envie de la déesse ce fut grandissant. Le sexe de la femelle s'allongeait alors sans tenir compte des autres organes, comme s'il avait toujours été aussi profond.

Forcée à s'empaler par la déesse, la créature ne pouvait plus que hurler de plaisir, adorer cela, se sentir pleinement remplie par ce sexe gigantesque. Un sexe qui pulsait en elle et semblait par moment grossir comme par des contractions. La déesse aussi se mit à gémir un peu, emportée dans cette frénésie des plaisirs charnels. Oh, elle par contre ne perdait pas la tête, ni le nord, elle observait sa femelle se fendre en deux sous sa verge, hurler de plaisir à en vouloir toujours plus ! Pire, la chienne se mit à jouir sans demander la moindre permission ! À force de jouer à al dure avec cette grosse queue, elle avait joui, la déesse pas encore et sentit que cela glissait soudain, beaucoup mieux ! C'est pour cela qu'elle continua encore la faisait remonter, puis descendre sur l'entièreté du membre gonflé d'envie. Elle utilisait Monica comme un masturbateur masculin, l'un de ses vagins artificiels faits pour s'y décharger quand on n'a pas de femme.

Monica la chasseuse de prime, la tueuse, n'était plus qu'un outil sexuel dédié à vider les grosses couilles de la déesse de l'absurde, une déesse qui approchait lentement de la jouissance aussi. Elle grimaça un peu, puis se leva, ce n'était pas le moment de jouir, la déesse empala sa victime et s’agrippa à la barre. Puis donnèrent de puissants coups de bassins en elle l'empalant bien sur sa queue. La petite victime était impuissante, empalée par cet objet de plaisir, Monica ne lutta pas longtemps avant de faire la demande de la déesse. La queue de la hyène se leva, tendis que la déesse amusée fixa quelques femmes présentes, et fit pousser une seconde bite à l'une d'elles.

La femme, originalement un gars sans doute, était donc brun, avec deux verges de cheval l'une à côté de l'autre. Deux magnifiques ustensiles avec deux gros glands plats, tendus, la femme approche, puis comme une bête elle aussi, presse les deux à la fois sur l'anus, l'une glisse à côté. La seconde semble presser où il faut, la déesse amusée attrapa les fesses de Monica et sembla les distordes, les écarter plus que de raison. Grâce à cela, son anus fut bien ouvert, et la demoiselle entra donc avec ses deux gros engins qui s'écrasaient l'un contre l'autre. Ils avaient la même longueur et largeur, deux mandrins de soixante sur douze centimètres, de quoi largement écarter le cul de la petite perverse. Heureusement une fois bien collés l'un à l'autre, les engins se tassaient un peu, mais cela restait juste énorme !

Pire encore, elle pouvait sentir les glands bien plats déformer son colon tout entier, cogner contre la verge de la déesse qui était devenue encore plus dure ! La déesse grimace un peu, puis la femme aux deux verges elle commence à gémir lourdement. Pas étonnant avec deux gros engins comme ça, elle risquait de jouir rapidement, mais autour, Monica peut voir les femmes observer, toutes avec des engins différents. De pénis de cheveux normaux, des pénis de chiens, de chat, de tigre, plus ou moins longs, parfois multiple. Un énorme seau était apparu, et déjà il était à moitié plein d'une substance chaude et odorante... Aucun doute possible sur sa nature, c'était clairement du sperme chaud et frais !

- Hmm, regarde sale chienne... Regarde tout ce joli foutre, ça sera ton unique régime... Et si tu ne bois pas... On te remplira alors tous les orifices disponibles avec le restant ! Hmm... bordel, t'es toute serrée !