Identité : Giovanni Ernesto Sullivan Giovanni, dit le pacificateur/The peacemaker
Âge : 27 ans, à la "retraite" depuis deux ans
Sexe : Masculin
Race : Un homme
Sexualité : Hétéro.
Physique :
Il fait un mètre soixante dix-sept, est plutôt mince, et est dénuée de toute forme de quelque sorte que ce soit
Il a un visage fin, blasé. son nez affiche clairement qu'il a été cassé plusieurs fois, et sa mâchoire porte les traces d'une opération -à travers une quinzaine de points de suture et de cicatrice. Il a des yeux gris, et ses cheveux sont longs et broussailleux, d'un noir grisonnant. Deux détails notables: une trace de brûlure sur le haut du front, et des sourcils plutôt fins. Il se rase souvent. Il a de grandes cernes.
Son corps est couvert de cicatrices, trois rayures sur le torse, deux sur l'épaule, et une quinzaines sur les jambes. Ses doigts sont longs et abîmés, Ses phalanges proximales donnent l'impression d'avoir déjà cogné du béton.
Il s'habille généralement en baggy/tee-shirt, sauf quand il va aux concerts. Lorsqu'il fait de la contrebasse, il se vêt comme un serveur, chemise/gilet sans manche/pantalon noir.
Il peut avoir un certain charme sous ce dernier accoutrement.
Caractère :
C'est une personne très blasé, et peu amicale. Il n'aide que rarement les gens, et est solitaire. Il a une certaine tendance à bousculer pour passer, frapper pour obtenir, voir cogner pour en finir.
Il aime le silence, qu'on lui foute la paix, qu'un livre soit intéressant, qu'un vinyle ne soit pas rayé, qu'il pleuve, qu'il fasse chaud chez lui, qu'un chat s'installe dans son jardin ou qu'un jeu vidéal soit rentable en temps et en prix.
Il n'aime pas quand les gens l'engueulent, le perturbent, évoquent la guerre face à lui, sont patriotes, sont racistes, prétendre s'intéresser à l'armée.
Il a peur des bruits sourds, de l'idée de mourir seul, de l'idée de vivre avec quelqu'un.
Il est pacifiste, il n'aime pas la guerre et son ancienne existence le dégoûte. Mais il sait faire la violence, car il apprécie les paradoxe. Il aime jouer les gros dur, mais quand une fille est sympa avec lui, il a envie de raconter sa vie, de voyager avec elle, de rêver un peu...
Mais ça lui passe vite.
Histoire :
Giovanni Ernesto Sullivan est né aux USA d'une mère punk anarchiste radicale et d'un violeur inconnu. La musique a bercé son enfance, et sa mère ne l'a jamais rejeté, ils se sont longtemps beaucoup apprécié jusqu'à ce qu'elle prenne un coup de fusil à pompe dans le crâne lorsqu’il avait douze ans. La jeunesse agréable de Gio. s’arrêtera ici. Il fera le tour des foyers, sa vie deviendra un bordel sans nom, il échouera à l’école, mais en prenant la direction de l’armée, puis des milices privées d’entreprises, il trouvera sa vocation, jusqu’à prendre sa retraite et s’installer à Seikusu à l’âge de 25 ans.
Le cambrioleur qui avait tué sa mère à été retrouvé abattu par un sniper dans sa résidence après sa libération conditionnelle, il y a trois ans. Le tireur n’a toujours pas été interpellé.
Il a déjà accueilli des SDF chez lui, en particulier des femmes, mais s’est fait virer de l’organisation qui le lui proposait après avoir cassé le bras d’un voyou qui harcelait son hôte.
Il a à son répertoire en temps que soldat près d’une soixantaine de morts, et en temps que milicien, une cinquantaine. Il a été capturé deux fois au cours de missions, et les séances de tortures ne l’on pas laissé intact. Il s’est prix de la chevrotine sur son gilet par balle, et quoique celle ci ne l’ai traversé, la projection l’a envoyé contre le mur et lui a blessé le dos grièvement. Il est parti à la retraite suite à sa deuxième capture.
Il a acquis le nom de peacemaker sur le champ de bataille à cause de son affection toute particulière pour les vieilles armes à feu époque western. Il conserve d’ailleurs légalement chez lui deux Colts, d’avantage pour collectionner qu’autre chose.
La contrebasse est une rééducation pour ses doigts abîmés. Il se débrouille.
Il est déjà passé par les putes, et s’en est sorti sans problème. Il n’est guère attaché à la sexualité.
Sa tête est mise à prix par des civils souhaitant se venger de son zèle lors d’un massacre commis par la milice. Il est ami avec le patron du bar où il fait de la contrebasse. Il a des connaissances dans le corps d’armée japonais et américain.
Il s’est vaguement créé une réputation de freefighter avant d’entrer dans l’armée.
Il dispose de tout l’argent économisé pendant sa carrière, un pactole d’une valeur de deux cents millions de yens.
Quoiqu’il aurait pu être encore mieux payé, il a toujours refusé de torturer en temps que milicien.