«
Hmmm-hmmmm... -
Tous les tests sont positifs. Il sera vraiment parfait. »
La fille face à elle ne pouvait pas répondre, et ne devait d’ailleurs pas le faire. Sa tâche était toute autre, et elle y était entièrement dévouée.
Nishizaki Monome, qui était l’une des assistantes des infirmières du lycée Mishima, était agenouillée devant elle, lui tournant le dos, magnifique dans
sa robe d’infirmière rose moulante, et était très occupée à sucer une belle queue. Une activité centrale, car, depuis un chronomètre s’affichant sur l’un des écrans des ordinateurs à côté d’elles, on voyait le temps s’afficher. D’autres écrans montraient des courbes et des graphiques témoignant de l’activité sexuelle exceptionnelle du jeune homme.
Jambes croisées, la puissante et plantureuse
Reina Morimoto observait son esclave aspirer cette queue. Le traitement était vraiment très efficace, et réagissait le mieux chez lui. Endormi sur un fauteuil, le cobaye ne risquait pas de se réveiller. Ses poignets étaient immobilisés par des sangles, laissant à Momone tout le temps nécessaire pour le sucer bien comme il faut, s’imprégnant de sa grosse queue tendue, léchant son membre, l’embrassant parfois, se retirant pour laisser au drone le soin de filmer au mieux ce sexe en érection.
«
Hmmmmmmm... !! »
En voyant la main de Momone se rapprocher de ses cuisses, Reina se mit à secouer la tête.
«
Tût-tût ! Tes mains sur ses cuisses, petite dévergondée ! -
Mmmhmmm... ! »
Mais Momone, docile, obtempéra, et retourna à la charge. Reina avait devant elle, sur ses cuisses, le dossier scolaire du jeune homme désireux de les rejoindre.
Anael Marley. Sans surprise, ses deux parents appartenaient à l’une des multiples entreprises gérées par le clan Morimoto, et donc par elle. Elle... Reina Morimoto, fille d’Hayabusa Morimoto, mais véritable gérante du clan et du conglomérat immobilier et industriel du clan. Au sein de Seikusu, les Morimoto étaient un clan légendaire, le principal reconstructeur de la ville après la guerre, et qui détenait la majeure partie des usines et des entreprises de la ville. C’était le clan qui avait massivement investi dans la construction du lycée Mishima, et qui s’était ensuite exporté à tout le Japon, puis largement au-delà.
Ceci dit, un jour spécial approchait : l’anniversaire de sa petite-sœur,
Leona Morimoto. Des deux, elle était celle qui s’exposait le plus, car elle dirigeait le club social de Mishima, le premier club du lycée en terme d’adhérents et d’histoire, puisque ce club avait été le premier club du lycée après l’ouverture de Mishima. Un club dirigé par la redoutable Leona, et, à l’approche de son anniversaire, elle avait formulé un désir très spécial, que Reina avait accepté.
Avoir un
petit chien.
Quelle sœur pourrait refuser cela ? Elle sentit alors les détecteurs s’enflammer, et le cobaye, qui ne se souviendrait bien évidemment jamais de ça (et se réveillerait tranquillement dans les bureaux du lycée Mishima, avec le sentiment d’avoir fait une bonne sieste imprévue), se mit à jouir joyeusement, achevant de convaincre Reina, qui autorisa son admission au lycée, tout en le mettant sur la liste de sa sœur.
Momone, surprise par cette avalanche de foutre, éternuait sur place.
«
Kof ! Kof !! -
Alors? Comment est-il ? -
Euh... Euuurgh... Génial, Maîtresse ! -
Leona des projets très spéciaux pour lui. Heureusement, la rentrée est d’ici quelques jours, je suis sûre qu’elle va vouloir le tester dès le premier jour... »
C’était typique de sa sœur ! Que ne ferait-on pas par amour familial ? Elle allait pouvoir lui dire que son
petit chien se trouvait là, devant elle...