Mélinda avait percé le comportement d’Asshaï. Elle était froide, dure, exigeante, mais non moins passionnée. En réalit,é la vampire était extrêmement heureuse, folle de joie de retrouver une figure de son passé. Dire qu’il y a encore quelques mois, à peine, sa famille ne se limitait qu’à Bran... Puis elle s’était mariée, et ce mariage avait été une véritable révélation. Elle avait découvert qu’elle avait un frère-jumeau, Edward Warren, était en train d’avoir des filles, des alliés puissants, comme Ishtar Naviento, ou le duc de Castlevania... Et venait maintenant d’apprendre que la redoutable Reine-De-Fer n’était autre que sa mère vampirique ! Mélinda avait beau ne pas croire au Paradis, elle était particulièrement euphorique. Le sexe l’aidait à avoir les pieds au plat, à rester en phase avec ce qui l’entourait. Sa magnifique mère était en train de se faire rudement enculer par sa femme, et, vu le visage contrit de Vanillia, ses soupirs, et ses crispations digitales sur la croupe d’Asshaï, la Reine devait jouer avec elle.
*Elle doit avoir une expérience sexuelle colossale...*
Comme quoi, peut-être que la perversité naturelle de Mélinda venait de là ? Elle avait entendu les légendes et les rumeurs sur la Reine-De-Fer, qui ne s’égayait que quand on lui faisait l’amour. Mélinda la câlinait donc, et elle aurait tout à fait pu se contenter, pour l’heure, de cette scène. Après tout, voir sa femme sodomiser sa mère, deux magnifiques beautés, c’était particulièrement agréable. Et puis, Mélinda n’était pas totalement inactive, puisque, pendant que sa mère se faisait sodomiser, ses mains caressaient son dos, ses seins, ses cheveux, griffaient sa peau. Mélinda fit même couler une légère ligne de sang sur le dos de la femme, et, visiblement, ce fut ce geste qui stimula davantage Asshaï, puisque, d’un seul coup, elle bondit en avant, et renversa Mélinda, la surprenant agréablement.
Malgré sa petite taille, Asshaï avait une sacrée force, et Mélinda, qui se retrouva couchée sur le dos, vit sa mère se rapprocher, et fourrer sa tête entre ses cuisses.
« Han... Maman ! » hurla brusquement Mélinda.
Sa main se serra sur les cheveux de la femme, et elle se pinça les lèvres. La langue d’Asshaï fila à l’assaut de ses lèvres intimes, et... Le moins qu’on puisse dire, c’est que Maman était douée ! Visiblement, elle avait dû lécher bien des sexes auparavant. Ses mains se posèrent sur ses cuisses, et Mélinda frémit en sentant les griffes de la belle femme aux cheveux argentés. Sa propre main vint se poser sur les cheveux d’Asshaï, qu’elle serra durement, tout en gémissant de plaisir.
« Hmmmm... »
Naturellement, ce qui devait arriver arriva... Dans un nouveau soupir, Mélinda libéra une belle verge. Un membre phallique jaillit brusquement, tapant contre le visage d’Asshaï, jaillissant en étant accompagné des multiples soupirs de la belle Mélinda...