Dans le complexe où a été réveillée Norael se trouve plusieurs projets. Tous de nature bien différente mais qui se rapproche tous par leur aspect scientifique. Tous dans des pièces immenses avec des hommes et des femmes en blouses blanches. Mais ce ne sont pas toujours des objets. Et comme Norael avant elle, ce sont des êtres conscients. Elle n’aime pourtant pas la manipulation génétique mais elle fait confiance au Docteur Naoko et aux peu d’autres comme elle qui ont une conscience humaine envers les « sujets ». En plus des sujets vivants, il y a aussi les objets. Souvent des armes expérimentales, mais aussi quelques artefacts créés à partir d’objet inconnus. Ses objets sont décréter comme non terriens. Actuellement, le projet le plus important était un catalyseur de magie. Car oui, même ici sur terre elle est présente. Présente mais instable quand elle est présente en grande quantité.
Mais pour le moment, la dovahkiin était dans son appartement de fonction dans le centre de recherche. C’était un de ces logements créés à la chaine pour les employées. Heureusement que les travailleurs ici sont bichonnés. Donc elle vit dans un logement sur deux étages, avec vue sur la mer, et le tout sans rien payée. Il y a même une cuisine centrale malgré les individuelles qu’ils y a dans les appartements.
La jeune femme était donc dans son canapé comme une feignasse devant la télé. Mais elle fit secouer par une alarme. Elle bondit par réflexe et se précipita vers la fenêtre. Tout le complexe était en alerte.
- Norael, j’espérais bien te trouver ici. Il faut que tu te rendes dans le labo 6 dans le secteur 9, il y a une effraction. C’était Naoko, elle semblait hors d’haleine et inquiète.
- C’est la qui a le catalyseur ?!
La jeune femme partie alors en attrapant Ganryu, son habit. Ce qui est bien quand son habit à sa conscience c’est qu’il peut s’enfiler en courant. Arrivé sur les lieux, l’endroit semblait bien calme par rapport au reste du complexe. Norael avança dans le labo, qui devait bien avoir la taille d’un hangar. Il semblait bien vide, mais si quelqu’un était là, il serait obligé de passer devant la dovahkiin pour sortir.
