Le Jeune Élève [PV]

Il faudrait du temps avant que Kasuo-chan soit à même d'accepter le fait d'avoir des fantasmes, et d'oser les dire à sa nouvelle petite amie. Ce dernier était encore dans une vision très candide de l'amour, et si Atsumi trouvait ça mignon dans un sens, elle en revanche n'avait absolument pas l'intention de se cantonner à des petits baisers avec son petit-ami. Quand ce dernier sembla hésitant, en disant que la fellation devait être "sale", la jeune femme s'empressa de poser son index sur les lèvres de Kasuo pour l'inciter au silence.

Tututu...je peux t'assurer qu'il n'y a rien de sale dans la fellation, et surtout pas quand on la fait à quelqu'un que l'on aime, mon petit chéri. Et puis, quand au fait de savoir si c'est bon ou pas, laisse moi au moins goûter avant que je ne me prononce hum ?

Atsumi s'était alors de nouveau lovée contre Kasuo-chan, sa poitrine opulente frottant contre lui.

Et puis, je t'ai senti jouir quand tu t'es frotté contre moi tout à l'heure. Tu ne va quand même pas sortir dans cet état n'est-ce pas ? Il faut bien te nettoyer, et qui de plus qualifiée pour cette tâche que ta petite amie ? J'en ai envie, Kasuo-chan...et à la façon dont tu es tout dur après avoir joui deux fois en peu de temps, tu ne me fera pas croire que tu n'en a pas envie toi aussi.

Tout en disant cela, Atsumi avait glissée l'une de ses mains sur l'entrejambe du jeune homme, chassant délicatement les mains qu'il avait lui même posé dessus pour tenter de cacher son érection. La jeune femme moula avec ses doigts la belle bosse qui se formait, oh cette fois elle n'avait nullement l'intention de laisser Kasuo-chan se dérober à elle. Elle avait passée un long moment à le titiller, à le chauffer, mais ce procédé avait également rendu Atsumi chaude comme la braise.

Allez, lève toi, et ne t'inquiète pas Kasuo-chan...je m'occupe de tout.

Elle l'invita à se redresser, puis tout de suite après, Atsumi se mit à genoux devant lui. Les délicates mains de la lycéenne se posèrent alors sur le bouton du jean de son petit ami, et elle entreprit de le défaire, tout en tirant sur sa braguette, et fit descendre ce pantalon le long de ses jambes. Le boxer que portait Kasuo-chan était effectivement dans un "sale" état, car il avait beaucoup joui dedans, ce qui fit tendrement sourire la jeune femme. Elle aurait été tentée de faire un petit commentaire sur la quantité de sperme qu'il avait du juter, rien qu'en se frottant contre elle, mais elle se disait qu'en l'était des choses, Kasuo-chan devait déjà manquer de faire une crise cardiaque à se retrouver en boxer, avec la fille de ses rêves à genoux devant lui, sur le point de le sucer.
Elle lui fit juste un petit clin d'oeil complice, avant de retirer très délicatement le boxer qui était imbibé de sperme, et révéla finalement le sexe bien dressé de Kasuo-chan. Si le lycéen n'avait pas un corps d'athlète...sa trique en revanche...

Wow...elle est si grosse, et toute tendue...

Atsumi était pour le coup agréablement surprise, et ne tarda pas, après avoir achevée de dénuder son petit ami, à aller le lécher. Il s'agissait de nettoyer ce sexe qui avait baigné pendant un petit moment dans une marre de sperme. Elle commença par les testicules ainsi que ses cuisses, aspirant avec d'audibles bruits de succion la semence du jeune homme, avant d'aller donner de long coups de langue sur son sexe. Atsumi y allait en n'omettant aucune parcelle de cette grosse sucette, qu'elle mit finalement bien peu de temps à nettoyer, tant elle se délectait de la semence du jeune homme, qu'elle était heureuse d'enfin pouvoir sucer. Une fois son sexe bien "propre", elle se retira légèrement, en se mordillant les lèvres.

Et bien, toi qui disait que ce n'était pas très bon, tu as vu comme je me suis régalée Kasuo-chan ?

La jeune femme ne lui laissa toutefois guère le temps de répondre, puisqu'elle glissa ses doigts sur son sexe, l'entourant avec à la base en commençant à délicatement le masturber.

Mais j'ai dit que j'allais te sucer...et c'est ce que je vais faire. Ne te retiens pas mon amour, je veux que tu vienne dans ma bouche, et que tu jouisse très fort dedans.

Elle lui refit un petit clin d'oeil en souriant, puis la jeune femme approcha alors son visage. Consciente que Kasuo-chan ne tiendrait probablement pas très longtemps, elle se pressa d'aller prendre son sexe dans sa bouche, et ferma ses lèvres pour commencer à le sucer avec énergie.

Une... Une fellation... Non, elle ne pouvait pas être sérieuse, c’était forcément une plaisanterie, de l’humour pour décompresser ! Sérieusement ! Rien qu’à l’idée d’imaginer la belle bouche d’Atsumi-chan attraper son sexe poisseux... Surtout qu’il avait joui avec fureur, et sentait clairement le sperme contre son sexe... Beurk ! pensait-il à première vue. Mais, tout en étant révulsé, il sentait aussi une bien étrange, et bien inexplicable, chaleur pointer en lui, remuant dans le creux de sa poitrine. Une douce excitation qui s’imprégnait dans son corps, et qui l’amenait à considérer que, somme toute, la voir à genoux, à le sucer, c’était... Kasuo en rougit furieusement, et devint rouge comme une pastèque quand Atsumi-chan continua à lui parler, et à se presser contre lui, ses gros seins s’enfonçant dans son poitrine. C’était comme si un chat avait avalé la langue du jeune homme. Blême, en sueur, les joues rouge pivoine, sa tête transformée en pastèque, il n’osait tout simplement pas parler. Tout était confus dans son esprit, tout se noyait, se diluait sous une couche de... De chaleur, de souffrance à hauteur du sexe, et, et... Il ne savait plus, voilà ! Il était perturbé, oh ça oui, terriblement perturbé, mais... Eh bien... Somme toute, Kasuo se sentait gêné, oui... Mais il n’avait nullement envie de partir. Bien au contraire, au plus profond de lui-même, Kasuo se sentait profondément heureux.

Atsumi-chan lui parlait donc, et il la regardait, observant ses lèvres, les voyant remuer, formant des petits mouvements quand elles se frottaient, qu’il voyait sa langue remuer, ses muscles se détendant pour former des mots... Il les entendait, ces mots, il les comprenait, mais quelque chose, dans son cerveau, faisait qu’il n’arrivait pas à les retransmettre... Comme si le signal sonore arrivait en gare, mais se perdait dans l’aiguillage, car la gare était déjà toute remplie, pleine d’émotions, de pensées contradictoires, tout ça tourbillonnant dans son esprit à toute allure, l’empêchant de réfléchir consciencieusement et calmement. Et, au milieu de cet océan de confusion, il y avait Atsumi-chan.

Puis Kasuo entendit un déclic, et baissa la tête. Il avait senti les doigts de la femme caresser sa bosse. Sans qu’il ne comprenne pourquoi, son érection était encore revenue ! Il soupira alors, et tenta pudiquement de poser les mains devant son sexe... Mais la ceinture était déjà défaite, et le pantalon tomba. Il ferma alors les yeux fortement en constatant que son boxer était très sale, mais, curieusement, Atsumi-chan ne mit pas fin à ce ménage. Pourtant, il était sûr qu’elle aurait poussé un cri horrifié, surtout quand elle défit son boxer, et observa son sexe. Kasuo rouvrit alors les yeux quand elle avoua que son membre... Était « gros ».

« H-Hein... ? Tu... Tu trouves... ?! »

Il était surpris, car il avait toujours trouvé qu’il avait un petit sexe... Ou, du moins, dans la normale. Mais Atsumi-chan avait l’air sincère, et le reste... Ohlàlà ! Il écarquilla les yeux en la voyant, non pas le sucer, mais...

« At-Atsumi-chan, qu’est-ce que... Haaaaa... !! »

Impossible de parler ! Le plaisir se dilua en lui, pendant que la femme, patiemment, léchait son sexe. Oui, elle le léchait ! Une situation incroyable, tandis qu’il sentait la langue de la beauté filer sur sa queue, mais aussi sur ses testicules. Il faut dire que l’homme avait tellement joui que le sperme avait rebondi pour dégouliner sur ses testicules, et il soupira encore, la respiration lourde et profonde, en la voyant lécher son sexe. Son organe se remit à lui faire mal, en durcissant au contact de la bouche de la femme, qui, patiemment, le léchait, et le nettoyait.

Yeux désormais bien ouverts, médusé de stupeur, Kasuo l’observait, sans pouvoir rien dire, sans avoir envie de dire quoi que ce soit. Silencieux, il la regardait, tout simplement, l’admirant... Subjugué, tout simplement ! Kasuo entrouvrait faiblement les lèvres, les bruits de succion de la femme le faisant frissonner.

*Ça... Ça m’excite... Mais je ne comprends pas pourquoi, mais... Elle est si belle, si magnifique...*

Elle releva ensuite la tête en souriant, ayant bu tout son sperme, et, quand elle lui posa une question, lui, benoîtement, ne put que répondre en secouant vigoureusement la tête de haut en bas. Elle enchaîna ensuite, prête à passer au vif du sujet, et demanda à ce qu’il jouisse « très fort » dans sa bouche. Kasuo déglutit lentement.

Il allait essayer de se retenir, bien sûr, mais... En fait, il était tellement excité qu’il ne lui faudrait sans doute pas longtemps avant de jouir en elle. Cette fois, impossible de le nier... La perspective de se relâcher dans la bouche d’Atsumi-chan...

Ça le faisait vraiment, vraiment, bander dur !

On y étais, Atsumi était enfin parvenue à faire le plus gros du travail en parvenant enfin à amener sa relation avec Kasuo-chan à un niveau bien plus intime. Face au plaisir qu'il devait ressentir à se faire lécher le sexe, Kasuo-chan avait finalement arrêté de faire son timide, pour tout simplement se laisser faire. Oh Atsumi ne doutait pas qu'à terme, son petit ami finisse par se dérider au point de ne plus avoir peur de prendre des initiatives, mais pour le moment il était évident que ça serait encore à elle de prendre la barre des opérations pour quelques temps...ce qui n'était pas pour la gêner ! A genoux devant Kasuo, Atsumi était en train de goulûment le sucer, de lui offrir sa toute première fellation. Elle n'en était pas encore au stade de faire des gorges profondes, préférant lui offrir ça pour une prochaine fois, mais elle s'enfonçait volontiers bien loin le long de la queue du jeune homme, qui était terriblement dure. Le long de ce véritable bâton de chair, Atsumi allait et venait en serrant bien ses lèvres dessus, et elle jouait de sa langue tout en suçant. Une de ses mains se trouvait à la base de ce sexe, qu'elle masturbait au même rythme que ses va et viens, tandis qu'elle posait l'autre sur l'adorable petit cul de Kasuo pour prendre appui.

Hmmm...huuuum...

Atsumi relevait régulièrement les yeux en direction du visage de Kasuo-chan pour s'en délecter. Le jeune homme tentait tant bien que mal de se retenir, mais Atsumi ne lui laissait aucune chance, car elle n'en était pas à sa première fellation, et était même une bien belle experte en la matière. En conséquence de quoi, Kasuo-chan ne tarda pas à se relâcher dans sa bouche. Quand elle le sentit venir, Atsumi entreprit d'avaler les multiples jets de sperme qui se posèrent sur sa langue, tandis qu'elle le branlait énergiquement avec sa main pour stimuler son éjaculation. Comme elle s'y était attendue, son petit ami était si excité qu'il vint rapidement, mais surtout il vint beaucoup, et Atsumi du avaler de bien belles gorgées de ce sperme chaud pour suivre la cadence. Elle conserva encore ce sexe dans sa bouche après qu'il aie fini de jouir, suçant encore et léchant jusqu'à la dernière goutte de sperme, alors que la bite de Kasuo-chan commençait à doucement perdre de sa rigidité après ce bel orgasme.
Atsumi se retira alors, et se redressa, avant d'aller se lover contre son petit ami en l'entourant de ses bras. La jeune femme alla l'embrasser longuement, en frottant son corps contre celui, nu, du jeune homme.

Alors...tu as aimé que je te suces, Kasuo-chan ? Moi j'ai adorée...et je crois bien que je recommencerais volontiers.

Elle lui sourit, avant de déposer un baiser sur sa joue, reprenant alors.

Il y a une règle qu'il va falloir que l'on applique, maintenant qu'on sors ensemble toi et moi. Lorsque tu voudra jouir, il faudra que ce soit moi qui le fasse. Plus de masturbation seul d'accord mon chéri ? Quand tu aura envie, il faudra maintenant que tu vienne à moi pour que je m'en occupe.

Atsumi était très sérieuse sur ce sujet, et elle était certaine que Kasuo, timide comme il était, n'oserait pas contourner cette règle qu'elle venait de lui imposer. Ainsi, cela inciterait Kasuo-chan à devoir venir à elle quand il aurait vraiment envie de faire l'amour, et comme il était en période de puberté, cela signifierais sans doute possible qu'ils feraient l'amour plusieurs fois par jour.

Hum tu as beaucoup joui, je suppose que ton "petit" soldat a besoin d'un peu d'aide pour se remettre au garde à vous...mais je sais exactement comment procéder.

Atsumi, toute souriante, se recula alors un peu tout en glissant ses mains dans son dos. Elle défit ainsi son soutien-gorge, et révéla à la vue de Kasuo-chan, la vision de ses magnifiques seins, ronds, opulents et fermes, avec ses tétons qui pointaient. Mais Atsumi se défit aussi de sa jupe de lycéenne, qu'elle laissa également tomber au sol. La jeune femme n'avait concrètement plus que sa culotte, et elle fit un lent tour sur elle même pour offrir son corps sous tous les angles au regard hypnotisé de son petit ami, ce qui la fit encore une fois sourire.

Tu veux venir toucher en plus de regarder ? Viens, n'aie pas peur...après tout moi je t'ai carressé et embrassé un peu partout, ce n'ets que justice que tu puisse faire de même. Je suis ta petite copine après tout, donc mon corps est tout à toi, Kasuo-chan...mon chéri...

Kasuo était tout excité, fébrile comme jamais auparavant. Avait-il seulement déjà pu, dans le passé, sentir quelque chose comme ça ? Se retrouver dans un tel état ? Car le fait est qu’il était incapable de se rappeler quand il s’était retrouvé dans une telle situation, si... Si confus ! Confus, mais, en même temps, heureux aussi. Il ne savait vraiment pas comment décrire en d’autres termes la situation qu’il ressentait actuellement, un état qui l’amena très rapidement à jouir... Mais, tandis que sa queue se relâchait, ses deux mains se crispèrent sur les cheveux de la femme, en appui. Yeux clos, joues rouges, il gémit longuement en se vidant, tout en refusant qu’Atusmi-chan retire ses lèvres, et en voulant disposer d’un bon appui pour pouvoir jouir en elle bien comme il fallait.

« Haaaaaaaaaaaaaaaannn... !! »

Le jeune homme se relâcha donc, vidant ses tripes longuement dans sa bouche, se soulageant ainsi de cette forte tension, cette terrible douleur qu’il avait ressenti en lui. Son membre dégrossit tout aussi rapidement, et il rouvrit ensuite lentement les yeux, après plusieurs secondes d’une joie exquise et immuable, tellement intense qu’il avait encore du mal à croire à ce qui venait de se passer. Mais pourtant... C’était bien ça, oui... Il avait joui dans sa bouche, joui dans le corps d’Atsumi-chan ! Et loin, de se retirer, ou de signifier sa désapprobation, elle... Elle continua à lécher et à caresser le sexe de Kasuo. Yeux écarquillés, ce dernier soupira encore, se pinçant fortement les lèvres, l’observant sans rien dire. Le calme revenait dans son esprit, mais son corps restait toujours en ébullition perpétuelle. Elle le léchaiut donc, jusqu’à se redresser, si belle, magnifique, merveilleuse... Puis Atsumi se colla contre lui, serrant son corps contre le sien.

Kasuo cligna des yeux, et posa ses mains sur les hanches de la femme, avant de hocher la tête quand elle lui demanda s’il avait apprécié ce qu’elle lui avait fait. Il la regarda donc, les joues encore un peu empourprées, et répondit :

« Oui... Oui, bien sûr, Atsumi-chan, c’est... C’était formidable ! »

Le jeune homme déglutit encore, tout confus, tout ému... Et la suite n’alla pas pour l’aider à se calmer. En effet, Atsumi-chan lui indiqua que, désormais, à chaque fois qu’il aurait envie de se masturber, il faudrait obligatoirement qu’il passe par elle. Autrement dit, une interdiction absolue de se masturber, ce qui le fit honteusement rougir... Mais c’était normal, après tout.

« Main-Maintenant que nous sortons ensemble, Atsumi-chan, je ne peux pas faire ça, en effet... C’est d’accord, je reviendrais toujours vers toi quand je... Euh... Enfin, quand... Voilà ! »

Il était encore un peu trop gêné pour dire qu’il irait la voir quand il aurait une érection. Pour lui, ça ne lui semblait pas trop compliqué à suivre, ce qui était bien là la preuve que Kasuo était encore assez naïf. Car, maintenant que son corps avait goûté au fruit défendu, il allait devenir, par la suite, bien plus gourmand. C’était, tout simplement, dans l’ordre des choses, et il ne pouvait rien faire pour lutter contre cet état de fait. Atsumi l’avait touché, l’avait marqué, et il n’y avait plus de marche arrière. Et, en l’état, Kasuo était tout simplement tellement émerveillé, tellement emballé, qu’il aurait dit « Oui » à n’importe quoi. Un amour fiévreux et fou qui effaçait tout esprit critique de son jeune corps ! Comment pourrait-il imaginer qu’Atsumi-chan lui veuille du mal ? Elle ne cessait de lui parler avec des mots doux, de l’appeler « mon chéri », et lui se sentait tout ému, incapable de la repousser...

...Et son trouble ne fit que s’accroître quand il vit la jeune femme dégrafer son soutien-gorge. Ses yeux s’écarquillèrent devant sa magnifique poitrine, et il crispa ses mains, avant de sentir son trouble s’aggraver encore lorsqu’Atsumi-chan retira sa jupe, dévoilant une belle et fine culotte à dentelle. Il déglutit encore, et la vit se tourner sur place, avant de lui dire de venir, de la toucher, de la caresser... Le corps de Kasuo, tendu, réagit comme une sorte d’automate au début. Ses yeux avaient louché sur les belles fesses d’Atsumi, voyant cette belle courbe, ce corps parfait, ces formes... Ces formes anguleuses, magnifiques !

« A... Atsumi-chan... »

Il déglutit encore, et se rapprocha. Atsumi lui refit face, et sa main droite remonta, pour caresser le sein gauche de la femme. Il les observait, sans rien dire pendant plusieurs secondes, et posa son autre main sur le ventre de la femme, remontant ensuite pour s’attaquer à son autre sein. Ses mains étaient moites, et il les déplaçait sur la poitrine d’Atsumi, les caressant tendrement.

« Ils... Ils sont si.. Si doux, Atsumi-chan... Et... Fermes en même temps... »

Il n’avait encore jamais palpé une poitrine de sa vie, et celle-ci était... Atsumi avait des seins merveilleux ! Autant dire que le jeune homme était totalement subjugué, et ses doigts titillèrent les tétons. Là, c’était plus dur, plus pointu, mais pas coupant, juste... Doux ! Très doux, en fait... Il se pinça encore les lèvres, et continua tendrement ses caresses et ses malaxations.

« Tu... Tu es si b-belle, Atsumi-chan... Si belle... » répéta-t-il en déglutissant lentement.

Kasuo rougit encore, tout en se pinçant les lèvres, et entreprit soudain de retirer ses mains, en constatant qu’il appuyait assez fort, et pinçait involontairement les tétons.

« Pa-Pardon, je... Je ne veux pas te faire m-mal... !! »

Kasuo-chan, même si il était timide, ne se fit vraiment pas prier pour répondre à l'invitation de sa nouvelle petite amie. Atsumi était vraiment ravie, car tout se déroulait vraiment bien désormais. Si elle avait un peu craint, au début, que Kasuo soit si timide qu'il n'ose pas aller à son encontre malgré tous les signes qu'elle n'avait pas manquée de lui envoyer, l'affaire était désormais dans le sac. Libérée de cette légère appréhension, la jeune femme était donc toute concentrée à faire découvrir peu à peu à Kasuo-chan les joies du sexe. Elle l'avait sucé tantôt, et son petit ami s'était allègrement soulagé dans sa bouche en jouissant en elle, tandis qu'Atsumi avait tout avalée jusqu'à la dernière goutte. La jeune femme allait prendre la virginité du jeune homme sous peu, c'était un objectif essentiel, d'autant qu'Atsumi était chaude comme une chaudière actuellement, et que Kasuo bandait vraiment bien. Sa queue avait un peu dégonflée après qu'il se soit vidé dans sa bouche, mais il allait très vite redevenir tout dur et prêt pour un nouveau round.
Kasuo s'approcha donc de la jeune femme et, avec sa timidité caractéristique, posa délicatement ses mains sur les deux seins d'Atsumi pour commencer à les caresser.

Hmmmmm...Oh Kasuo-chan...

Elle parlait d'une voix suave et sensuelle, emplie de désir, pour l'encourager à continuer. Ses caresses avaient beau être un peu maladroites, le jeune homme avait toutefois la volonté de bien faire, et surtout était terriblement amoureux, ce qui faisait qu'il prenait beaucoup de précautions, et surtout savourait ce moment. Atsumi avait une belle poitrine après tout, ronde et ferme, qui était un délice au toucher, et qui subjuga définitivement Kasuo. Ce dernier s'attarda donc un bon moment sur ses seins, se les appropriant, et il alla même jusqu'à légèrement les pincer, arrachant un délicat soupir à la jeune femme, avant qu'il ne se retire, comme terrorisé, persuadé qu'il venait de lui faire mal.
A l'instant, Atsumi posa son index sur les lèvres de Kasuo pour lui intimer de se taire et de se calmer, le tout accompagné d'un délicat sourire dont elle avait le secret.

Chuuuuut mon chéri, calme toi. Tu ne m'a pas fait mal je te rassure, si j'ai gémi comme ça c'est parce que...j'apprécie beaucoup la façon dont tu me caresse. Il n'y a pas de mal à pincer légèrement mes seins tu sais, du moment que tu n'y va pas trop fort, c'est même très agréable.

Se décidant à le guider à nouveau, Atsumi prit les mains de Kasuo dans les sienne et les reposa sur ses seins, mais cette fois en menant la danse, en lui montrant de quelle façon faire, et quelle pression appuyer.

Là comme ça...Huuuuuuum c'est si bon...Oh Kasuo-chaaaaan...

Tous ces préliminaires étaient en revanche clairement en train de sérieusement exciter la jeune lycéenne, qui jetait régulièrement des coups d'oeil appuyés sur la verge de son petit ami, qui avait du coup retrouvé sa dûreté. Elle se mordilla légèrement la lèvre inférieure en constatant ça.

Tu es de nouveau tout dur...Huuuum je t'excites à ce point Kasuo-chan, mon amour ? Hm...non je dois te le dire à l'oreille....c'est un peu gênant mais...

Elle s'approcha alors de l'oreille de Kasuo, tout en venant du coup plaquer son corps contre le sien. En écartant légèrement les jambes, la jeune femme pu entre autres s'assurer que la verge tendue de son petit ami puisse venir se fourrer entre ses cuisses, et se frotter contre sa petite culotte...juste à l'emplacement d'une petite tâche de cyprine, à hauteur de son intimité.

Tu me fais mouiller ma culotte Kasuo-chan...je suis toute trempée...j'ai envie de toi...

De quoi faire l'effet d'une bombe dans l'esprit de Kasuo, à n'en pas douter. Atsumi elle allait en profiter, elle se retira délicatement et posa ses mains pour tirer sur les élastiques de sa culotte, qu'elle fit doucement descendre le long de ses jambes. Là, Atsumi s'offrait aussi nue que l'était Kasuo, et elle prit place sur une table...celle sur laquelle Kasuo et Atsumi étaient installés lorsqu'ils étaient en cours enemble. Elle prit donc place dessus, puis écarta peu à peu ses jolies jambes, pour offrir à Kasuo la vue de son intimité, parfaitement épilée, et dont les lèvres intimes étaient luisantes de cyprine.

Kasuo-chan...viens...viens en moi...

Ses seins étaient si doux, si tendres, si agréables... Kasuo les avait pincés sans même le réaliser, et était maintenant tout penaud. Fort heureusement, Atsumi-chan savait comment le rassurer, et attrapa ses poignets, posant de nouveau ses mains dessus, tout en lui assurant qu’elle avait aimé ça. Le jeune homme en rougit benoîtement, sentant sa queue l’élancer douloureusement. Ça, par contre, il le contrôlait vraiment pas. Il venait de jouri, et, à chaque fois, l’orgasme coupait en lui toute envie de plaisir supplémentaire. Il retrouvait ses esprits, mais là, là... Jouir n’avait pas permis de lutter contre l’envoûtement, car, plus que jamais, il avait encore envie d’Atsumi-chan. Atsumi-chan, qui avait pris son sexe entre ses lèvres... Y repenser le fit trembler sur place, et il serra à nouveau les doigts, sentant de multiples frissons d’excitation le traverser quand Atsumi-chan lui avoua, dans le creux de l’oreille, qu’elle avait envie de lui, et qu’elle mouillait.

« A-Atsumi-chan... » répliqua faiblement Kasuo.

Sa gorge était sèche, trahissant son état d’excitation. Il était d’ailleurs extrêmement fébrile, tant Atsumi-chan le stimulait, et le rendait nerveux. Kasuo ne s’était tout simplement jamais senti dans un tel état de nervosité, dans une telle situation. Cette femme était sur le point de rendre fou, et rien n’allait en s’arrangeant ! Quand elle se frotta contre lui, et que sa verge caressa sa culotte, et qu’elle lui avoua qu’elle mouillait... Kasuo n’avait rien pu faire d’autre que susurrer son nom.

Au Japon, il existait un fort fétichisme pour les culottes, si vrai qu’il existait même des distributeurs publics de culottes de femmes usagées ! Une particularité qui amusait énormément les Longs-Nez, mais, en réalité, Kasuo avait souvent été tenté d’en acheter une. Il ne savait pas trop pourquoi, si ce n’est qu’il adorait la douceur d’une culotte, et s’imaginait volontiers en porter une. Il s’imaginait une petite culotte rose à pois, et sentir son membre heurter ce tissu doux et tendre le fit déglutir. Là, voilà, sa queue recommençait à lui faire un mal de chien !

Il déglutit alors en voyant la femme se pencher légèrement, et baissa les yeux en voyant la culotte glisser le long des magnifiques cuisses de la femme.

*Peut-être qu’elle acceptera de me la donner ensuite...*

À l’idée d’imaginer cette culotte se frotter à lui, avec la mouille d’Atsumi-chan... Kasuo aurait voulu lui poser cette question, mais sa gorge était asséchée sur place. Il suffisait de voir ses yeux, son expression faciale, ses rougeurs, pour voir combien la situation actuelle l’excitait au plus haut point. Atsumi-chan se déplaça ensuite, et s’installa sur leur bureau. Il y a encore quelques instants, Kasuo écrivait là, tout nerveux, concentré dans ses devoirs. Maintenant, il y avait les fesses d’Atsumi-chan, et il se rapprocha alors, comme une sorte d’automate.

Kasuo avait chaud, et ses vêtements le serraient énormément. Alors, il déboutonna son pantalon, retirant sa ceinture, et s’approcha, faisant aussi tomber la culotte. Le jeune homme dut se battre un peu au niveau des chaussettes, et tenta également de retirer la cravate et de déboutonner sa chemise, mais l’ensemble résistait. Il avait les mains trop moites pour ça, et tremblait bien trop, sans compter que son phallus était énorme. Il n’avait jamais eu une telle trique de toute sa vie, et rejoignit la table.

« At-Atsumi-chan, je... Je ne sais pas co-Comment faire... »

Il respira lourdement, et approcha sa queue, en la serrant à sa base, des lèvres intimes de la femme, parfaitement épilées. Elle était là, si belle, si magnifique, emplissant tout son être. Il ne pensait plus qu’à elle, et avait très peur de ne pas être à la hauteur. Il heurta ses lèvres intimes, regardant bien, et serra les lèvres.

« C’est... Ça... Ça ne rentre pas, At... Atsumi-cha... Channn... »

Kasuo rougit encore, et se mordilla les lèvres. Aucun doute, il allait encore falloir le forcer !

Atsumi attendit fébrilement, les fesses posées sur la table, que Kasuo réussisse à se déshabiller complètement. La tâche se révéla un peu délicate pour le jeune homme tant il était excité, mais aussi stressé. C'était la raison pour laquelle Atsumi lui laissait tout son temps et faisait bien attention à ne pas "trop" brusquer les choses, malgré son propre état d'excitation. En effet après ces longs préliminaires, Atsumi était toute chaude, fortement désireuse de sentir la queue de Kasuo-chan venir la fourrer. Il s'y essaya, après avoir enfin réussi à se mettre nu, et en s'approchant d'elle. Atsumi avait les cuisses bien écartées, et la route était toute ouverte, elle sentit alors le pénis de son petit ami taper contre son entrejambe.

Oh Kasuo-chan...

Une petite voix fluette, transie de désir, mais il s'avéra très vite que l'inexpérience du garçon dans le domaine du sexe le rattrapait, sans compter le fait qu'il stressait beaucoup. C'était l'anxiété de vouloir bien faire, qui se heurtait à l'inexpérience, et Atsumi se rendit vite compte que Kasuo allait s'y prendre très mal par lui même...et il l'avoua lui même dans un sens, en en parvenant pas à trouver l'entrée de son vagin. Celà pouvait être en soit cocasse, voire même amusant, mais face à un puceau comme lui, Atsumi se garda bien de faire la moindre remarque. Elle posa alors un doigt sur les lèvres du jeune homme, qui était en train presque de paniquer, et déposa un bref baiser sur sa joue.

Chuuuut...détends toi Kasuo-chan, rien ne presse.

Le rassurer était crucial, Atsumi après tout se rappellait elle même sa première fois, où elle avait elle aussi beaucoup stressée. C'était différent bien sûr, mais les points communs étaient pourtant présents, car c'était un saut dans l'inconnu qui, si il était mal fait, pouvait avoir une influence négative sur le reste.

Désolée...tu m'excite tellement que j'en oublie que ce n'est pas évident pour toi de tout découvrir. Là, attends...on va faire autrement. Assis toi sur une chaise, Kasuo-chan.

Oui, il valait encore mieux que la jeune femme prenne les commandes, Kasuo-chan n'était clairement pas encore prêt à avoir la moindre initiative dans leurs ébats. Elle ne doutait pas que ça finirait par venir, et qu'il vaincrait à terme une partie de sa timidité, même si elle espérait aussi qu'il en conserve une partie, car ça le rendait craquant. Mais pour le moment, c'était clairement à Atsumi de le guider. Elle le laissa donc s'asseoir sur une des chaises sur lesquelles il prenaient place lors de leurs cours, et Atsumi s'approcha alors de lui. La jeune femme écarta les jambes, de façon à pouvoir se positionner entre celles de Kasuo-chan, et arriver avec son bassin proche, si proche, du sexe du jeune homme. Elle tendit alors l'une de ses mains pour délicatement le branler.

Là, là Kasuo-chan...ne pense à rien d'autre que mon corps...mon beau corps qui est tout à toi mon amour...Huuuum...

Elle le sentit devenir bien dûr, et elle usa alors de sa même main pour orienter le sexe de Kasuo, tandis qu'elle commençait à abaisser son bassin. Son gland tapa contre les lèvres intimes de la jeune femme en se couvrant de sa cyprine chaude, et le jeune homme allait devoir rapidement sentir que le bout de son sexe commencerait à s'enfoncer dans l'antre chaude et humide de sa petite amie. Doucement, précautionneusement, Atsumi s'empala sur la bite de Kasuo-chan, jusqu'à ce qu'elle arrive à complètement pouvoir se reposer sur le jeune homme, qui avait son sexe enfoncé jusqu'à la garde en elle.

K-Kasuo-chaaaaan...Oh tu es si gros en moi...Huuuum...

La jeune femme était tout contre lui, et positionnée ainsi, la totalité de son corps était accessible à son petit ami. Il avait son visage juste à hauteur de ses généreux seins, et ses mains pouvaient sans peine se déplacer presque partout sur le corps d'Atsumi. Cette dernière alla embrasser Kasuo, dans un long et langoureux baiser, tout en posant ses mains sur ses épaules.

J-Je vais commencer à remuer d'accord ?

La jeune femme entama, doucement, un mouvement de bassin, pour faire aller et venir le sexe de Kasuo-chan dans sa petite chatte trempée. De fait, le moindre mouvement qu'elle faisait provoquait de petits bruits spongieux au niveau de son intimité, et Kasuo-chan pouvait clairement sentir que son sexe baignait dans un merveilleux cocon de chaleur et de jus intime. Atsumi essayait de ne pas y aller trop vite, pour que Kasuo puisse se retenir un peu mais...mais il était évident qu'elle allait naturellement, et très vite, commencer à accélérer. A sentir ce gros mandrin fourré en elle, Atsumi avait elle aussi envie de jouir !

« Dé... Désolé, je... Je suis ridicule, je... »

Atsumi-chan lui imposa alors le silence en posant un doigt sur ses lèvres. Kasuo déglutit lentement, tout rouge, tremblant sur place. Il ne comprenait pas ce qui se passait, pourquoi ça ne marchait pas avec elle. Il avait pourtant envie de la prendre, mais il respirait lourdement, et il avait mal au sexe, si mal... Kasuo tremblait sur place, et, Atsumi, le notant, lui imposa le silence, lui intima de se calmer, et de s’asseoir. Il rougit encore, très gêné, et s’assit donc, sans rien dire, agissant presque comme un automate. Sa forte timidité disparaîtrait-elle un jour ? Elle pourrait s’amenuiser, certes, mais il y avait fort à parier que Kasuo resterait toujours un jeune homme nerveux et timide, incapable de savoir comment s’y prendre avec les femmes. Il déglutit donc, et, assis sur la chaise, essaya de se calmer, serrant ses poings sur ses genoux.

Il avait envie de s’excuser encore auprès d’Atsumi, tant il se débrouillait comme un manche... Mais sa queue continuait encore à l’élancer douloureusement. Il n’avait jamais eu aussi mal au sexe ! En fait, le dernier exemple lui venant en tête concernait encore Atsumi. C’était un jour de cours, l’été, alors qu’il faisait chaud, et il était assis à côté d’Atsumi, qui avait déboutonné plusieurs boutons de son chemisier, mettant en valeur ses seins. Il avait jeté quelques œillades discrètes, et avait eu une trique d’enfer, qui ne l’avait jamais quitté de toute l’heure de cours. Il aurait pu se lever en prétextant aller aux toilettes, mais Kasuo avait alors eu tellement peur de se faire voir qu’il avait attendu la sonnerie, et s’était masturbé frénétiquement dans les toilettes. Tenir toute une heure avec cette trique avait été terrible, terrible...

...Mais là, ce qu’il ressentait en voyant Atsumi se dresser au-dessus de lui, son corps nu et magnifique, son intimité parfaitement épilée, Kasuo déglutit. Il ressentit une furieuse pointe de désir le traverser, balayant tout le reste, toutes ces précédentes frustrations. Il n’en arrivait même plus à parler, et écouta la femme, les yeux écarquillés, buvant chacune de ses paroles. Finalement, en la voyant s’approcher, sa main se posant sur son sexe, lui arrachant un frisson électrique, il réussit, tant bien que mal, à déglutir :

« A... Atsumi-chan... » gémit-il.

 Il vit Atsumi s’appuyer à droite et à gauche de la chaise, qui remua légèrement, et il déplaça ses mains, les posant sur les cuisses de la femme, pour la soutenir, et se tortilla encore en sentant l’intimité de la femme s’approcher. Kasuo observait la scène, yeux écarquillés, et se pinça les lèvres en sentant son sexe se heurter à celui de la femme. Un frisson supplémentaire le traversa, et il gémit encore.

« Hnnnn... !! »

La douleur éclata autour de son sexe, mais, ensuite, Atsumi s’enfonça d’un coup sec, et il soupira, son membre disparaissant en elle. Il ferma les yeux, crispant ses doigts sur la peau d’Atsumi, pinçant même sa peau en gémissant. C’était... C’était si chaud, si tendre, si agréable. Sa queue était écrabouillée par la chair de la femme, mais il ne se sentait nullement étouffé, juste... À sa place. À sa place, mais frustré. Il se dandina donc, et, quand la femme commença à remuer, Kasuo se dandina encore sur place, serrant davantage ses doigts sur sa peau, rougissant furieusement. Là, voilà, oui... C’est ça qu’il voulait, ces mouvements, ces coups de reins. Il fallait stimuler sa queue, jouer sur son membre, afin qu’il aille mieux, afin de le soulager de cette forte tension en lui.

Kasuo l’observa encore, voyant les seins de la femme remuer devant son nez. Il gémit une nouvelle fois, essayant de se calmer, de retenir la vague en lui, respirant profondément. Las, tout son corps était assoiffé, impatient, sa queue extrêmement douloureuse.

« A... ATSUMI !! » répéta-t-il en criant.

Ses mains remontèrent pour se crisper sur le cul d’Atsumi, et ses muscles se bandèrent... Puis il jouit ensuite. Sa queue se relâcha, et expulsa des filaments de foutre qui remontèrent dans le corps de la femme. Il avait essayé de tenir aussi longtemps que possible, mais, en vrai, il avait joui en à peine une minute.

Ceci dit, sa queue restait toujours bien dure, ce qui le surprit aussi. À chaque fois qu’il jouissait, il était apaisé, il allait bien mieux, et pouvait se sermonner pour son comportement puéril. Mais là, là... Il se pinça les lèvres, et dit la seule chose qui lui vint à l’esprit :

« Je t’aime, Atsumi-chan... »