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Loup y es-tu, que fais-tu ? [ Mon gros loup ]

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Bellona Melbourne

Humain(e)

Loup y es-tu, que fais-tu ? [ Mon gros loup ]

samedi 05 août 2017, 00:12:12

Quelque part, sur Terre. Une chambre, à une certaine heure.

– Sally ?
– Oui ma chérie ?
– Tu me racontes une histoire ?

Bellona aime les histoires. Allongée sur les jambes de Sally, les deux femmes viennent de faire l'amour. Leur corps encore brillants de sueur, elles sont sur le sol de la chambre à coucher de Bellona. Tout ici est rose et bleu, dans des tontes pastelles. Les peluches de toutes tailles remplissent le lit. Elles ne l'usent donc que rarement. Sally caresse d'une main distraite le dos de sa protégée, effleurant ses courbes, redessinant les monts, les vallées qui la constituent. Elles aiment beaucoup se découvrir. Se goûter, s'écouter. Bellona aime la maturité de Sally, là où Sally aime la candeur et la fraîcheurde Bellona.

– Je veux bien. As-tu une préférence ?
– Le Petit Chaperon Rouge !

Encore...ce conte qui semble tant plaire à Bellona sans même que cette dernière ne sache pourquoi en particulier. Ces derniers temps la jeune femme réclame plus d'histoire que d'habitude. Sally est patiente et accepte de lui en raconter, lui en lire. Dans ces moments-là, elle oublie que Bellona est bientôt une femme et plus vraiment une enfant. Elle oublie même leur situation. Tout ce qu'elle voit, c'est les yeux bleus qui brillent, la bouche qui s'arrondit en des "Woah" silencieux. Sally aime aussi lorsqu'une histoire un peu effrayante la fait gémir doucement et s'aggriper aux draps, à son bras. Attendre avec impatience la suite. "Il va mourrir ?" "Elle l'aime ?" "Pourquoi ?" Des tas de questions auxquels elle tente de répondre. Bellona a beau être cultivée, elle semble aimer faire l'enfant quand il est question de créature et de magie.

– Il était une fois...

Allongée. Ses cheveux étalés sur les cuisses, la verge molle de la transexuelle, doux. Ils embaument l'air d'un parfum fruité. Ses racines moites de leur coït précédent, elles exhalent une légère odeur de cuir chevelu en sueur. Cela pique les narines de Sally. Dieu qu'elle aime ça. Elle y passe les doigts, les ancrent dans la tignasse rose, les lisse de ses ongles, les coiffe, tout en racontant l'histoire de cette enfant qui se promène "Non une jeune femme !". De cette jeune femme qui doit porter à sa mère-grand une galette dans son panier. "Rose. Un chaperon rose...c'est plus joli que le rouge." Patiemment, Sally continue, reprend, corrige. Elle lui raconte l'histoire. Non pas la vraie, mais celle que Bellona veut entendre. Et lorsque le loup entre dans la danse, alors elle sent la jeune femme qui frémit. Bellona elle adore les histoires avec "le grand méchant loup" dedans. Les trois petits cochons, le loup et l'agneau, le Petit Chaperon Rouge. Sous ses doigts, la peau de Bellona est chaude et moite. Moite comme son intimité offerte. Les cuisses écartées, ses pieds joints, la demoiselle au visage d'ange regarde les lèvres d'où sortent les mots qu'elle aime tant. "Comme tu as de grandes dents..." "Comme tu as de grands yeux..."

– Comme tu as une grosse...
– BELLONA !!! N'as-tu pas honte !

Elles rient, se battent. Bellona lutte un instant, puis se laisse embrasser. Elles roulent sur le tapis en peluche moelleux et la jeune femme lui attrape le bassin de ses cuisses dodues, serrant jusqu'à sentir la verge de Sally entrer dans son intimité encore trempée de leurs précédents ébats. Elles font l'amour avec une sorte de complicité tendre, passionnée. Bellona demande à Sally, tout en gémissant, qu'elle lui parle encore du loup...du chaperon et de la galette dans le petit panier. "Est-ce que tu crois que les contes sont tirés de la réalité ?" Cela arrive souvent. "Bien sûr que non..." Un soupir extatique. Sally ne regrette pas d'avoir refusé l'opération finale de son changement de sexe. Après tout...qui a dit qu'il fallait absolument qu'un homme ait un pénis. Qu'une femme ait un vagin. Pourquoi pas une femme avec un pénis et un homme avec un vagin ? Un homme avec des seins ? Une femme avec un vagin, un homme avec un pénis...etc...

"Raconte...raconte...comment il la mord. Non. Il ne la mange...pas." C'est de plus en plus difficile de parler. Les souffles s'accélèrent. Sally tient Bellona par les hanches. Des hanches larges et généreuses dans lesquelles ses doigts s'enfoncent. Sa chaire est si tendre. De petites ondes se forment sur les fesses de la jolie demoiselle lorsque le bassin de son amante claque contre. Et tout en jouissant, Sally raconte...encore et encore...comment le loup mord et copule avec le chaperon rose. Bellona reste ainsi. Poitrine écrasée contre le sol, la rose attend que Sally ne conclue. Ses lèvres contre son sexe, aspirant sa propre semence. Étrange Bellona qui veut que son amante lui mordille les chairs tandis qu'elle jouit, se laissant retomber dans la moiteur de la chambre.

– Tu sais quoi ? J'adooooore cette histoire...

Une forêt, quelque part sur Terre. Japon, 14h50

"Bon...c'est ici. Après...le...rocher en forme de papillon...on dirait plus un pénis auquel on aurait collé des ailes...haha...non Bellona. Non. Concentre-toi. Après le rocher en forme de papillon, faire une dizaine de pas en direction du groupe d'arbre bi-centenaires..." Comment peut-on deviner si un arbre à cent ou deux cent ans ? Bellona était dubitative. A tous les coups, elle allait se perdre comme une idiote et Sally rirait de recevoir un sms avec ce petit mot "Help" écrit dessus. Non. Bellona avait envie de prouver qu'elle était capable de s'en sortir. Sally avait bien dit "Il y a une surprise dans la clairière pour toi." La clairière. Il fallait la trouver, cette clairière. Et sally semblait avoir prévu certaines réactions de Bellona, car elle pu lire sur l'écran de son téléphone. "C'est le nom du rocher. Le papillon. Ce n'est pas un pénis. Et tu n'as cas regarder la couleur des feuilles et leur épaisseur. Ainsi que la taille...ne rit pas. Ne ris pas ! Elle est marrante Sally ! Mais elle me fai des commentaires tendancieux et me demande de...rooohlala...dans quoi je m'embarque moi ?"

Bellona commençait à avoir chaud. Sans être une jeune femme flemmarde, elle n'avait pas la condition physique de sa colocatair et amie et sa petite robe n'était en rien pratique pour les longues marches. Elle avait mis de la terre sur le bas de ses jupons pastel et avait tâché un de ses petits souliers. Comme la fillette du conte, Bellona avait enfilé une capeline, mais rose plutôt que rouge. Elle reposait, large, sur sa tête, la protégeant du soleil et de la brise légère. Pourtant, elle avait chaud et ses joues étaient roses.

Bellona pensait ne jamais arriver. Sally avait parlé d'un ruisseau, qu'elle ne trouva pas, avant de se rendre compte que depuis quelques dix mètres, elle marchait dans ce qu'il restait. Un chemin sinueux, asséché. Elle le suivit donc longtemps avant de trébucher et rouler sous un éboulement de caillou. Fermant très fort les yeux, la jeune aventurière du dimanche pensa atterrir lourdement sur le sol, mais la douleur ne vint pas. Bellona atterrit dans une sorte de petit lac au pied d'une cascade. Sa robe était fichue ainsi que sa capuche, mais au moins, elle n'avait pas mal. Elle nagea jusque vers la berge et sortit. Son téléphone, lui, n'avait pas survécut à tout ça. En soupirant, la jeune femme se laissa rouler sur le dos, plaçant un bras sur son visage pour protéger ses yeux du Soleil. Elle était harassée. Mais fière, parce qu'elle avait trouvé la surprise. Une magnifique clairière entourée d'arbre. Il y avait une couverture et un petit panier. Bellona se redressa en essorant la longue chevelure. "C'est la dernière fois que je me laisse aller à ce genre d'idiotie...l'aventure, c'est clairement pas pour moi....". Tout en se dirigeant vers la surprise dressée par Sally, ses mains manucurées de perle, s'escrimaient à défaire les lacets de sa robe, après avoir laissé choire le chaperon qui était devenu lourd d'eau. Sa robe et ses longues chaussettes blanches furent mis à sécher sur une branche, tandis qu'elle s'allongeait, encore humide avec pour seul rempart face à la nature, ses sous-vêtements de dentelles fines.

Curieuse, Bellona farfouilla dans le panier. Il y avait là une boîte de fraises en sucre candy, une bouteille de liquide rose, la boisson préférée de Bellona et quelques...jouets. Sally devait visiblement la rejoindre. Seulement, si le téléphone n'avait pas laché, la jeune femme aurait pu voir que sa colocataire n'allait pas pouvoir la rejoindre. Du coup, le pot de bonbon près d'elle, se couchant sur le ventre, Bellona se mit à grignoter en attendant. Mais bien vite, la fatigue, la douce brise sur sa peau claire, la jeune femme s'endormit.

C'est un bruit qui la réveilla. S'installant en tailleur, Bellona plissa les yeux, les frottant doucement en baillant.

– Sally ? Cela fait des heures que je t'attends ! C'est toi ?

Il n'y eût aucune réponse. Baillant une nouvelle fois, elle s'étira longuement en gémissant doucement, souriant, coquine.

– Salllyyyyy ce n'est pas drôle. Si cela fait partie d'un petit jeu bizarre...

Bellona se tourna, essayant de percer l'épaisseur sombre de la forêt feuillue. Elle ne voyait rien. Soupirant un "bon...bon tu as gagné" la jeune femme plaça ses mains sur ses yeux, les coudes écartées. Elle se mordit la lèvre inférieure, petite tâche fruitée sur son visage de porcelaine.

– Promenons nous...dans les bois. Pendant que le loup y est pas. Si le loup y était, il nous mangerait. Mais comme il n'y est pas, il nous mangera pas ! Loup y es-tu, que fais-tu...

Et doucement, un à un, Bellona retira ses mains de devant son visage.

Ghanor Lonefury

Terranide

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  • Messages: 146


  • FicheChalant

    Description
    Ghanor est un Terranide vivant sur Terre, grâce à un collier supprimant la singularité de son apparence. Grande gueule profitant de son image de bad boy pour charmer de potentielles femelles, c'est un grand amateur et contrebandier d'artefacts magiques. C'est aussi un boxeur amateur, au talent absolument ahurissant, qu'il n'utilise néanmoins pas par flemme, la boxe n'étant pour lui qu'un simple répulsif à relous.

Re : Loup y es-tu, que fais-tu ? [ Mon gros loup ]

Réponse 1 mercredi 09 août 2017, 19:14:22

« C'est toujours un plaisir de faire affaire avec vous, Monsieur Lonefury. »
« C'est ça. »

Sortant d'une auberge, le mâle poussa un soupir. Voilà une nouvelle affaire qui venait de se conclure. Se trouvant à Terra, le loup observait un peu le ciel sombre d'une nuit sans lune. Il s'ennuyait. Sans réellement savoir pourquoi, comment. Il se sentait relativement vide. Un train-train quotidien s'était installé, malheureusement. Surtout en ce moment. Ses stocks étaient pleins, il vivait plutôt normalement. Aucune bagarre, aucun changement, de simples voyages réguliers, aucune nouvelle rencontre. Fade. Basique. Sans le remarquer, lentement, le Terranide s'était enfoncé dans une routine quotidienne. Pourtant, il s'en était passé des choses dans sa vie. Il avait passé quelques années aux côtés d'une délicieuse succube, rencontré une fée plus libre qu'il le pensait, affronté bien des dangers, rencontré bien des gens différents... Une vie d'aventure, d'affrontements divers, de plaisirs. Une vie pleine de rebondissements. Et voilà que maintenant, plus rien.

Cela faisait combien... Quelques mois, peut-être ? Moins, plus ? Il en perdait presque la notion du temps ! Qu'était devenu le grand méchant loup, bordel ? C'était un beau parleur. Une grande gueule dont la poisse était très certainement la plus attirée par le contrebandier. Où étaient ses aventures, ses nouveautés ? Ses frissons, qui faisaient accélérer, battre son cœur ? Animer son être, bouillir son sang ? Eh !

Des questions stupides. Un raisonnement vain. L'herbe est toujours plus verte chez les autres. Éternel insatisfait, Ghanor savait pertinemment que dans le cas contraire, il se plaindrait de ne pas avoir une vie facile et monotone. Étirant un sourire sans joie, fermant les yeux, il laissa un rire faux s'échapper de ses babines, tout en profitant d'une légère brise fouettant son corps. Agréable, fraîche. Et tout s'effaça, tel un masque qu'il venait bêtement de retirer. Bêtement. Ouais. Regardant le petit sac à sa ceinture, son paiement du jour, il décida qu'il était temps de rentrer. Oh, il pourrait rester ici. Profiter d'une autre auberge, ou bien aller dans un bordel. Mais il ne se sentait pas. Pas aujourd'hui. Il voyait déjà la suite : rentrer chez lui, tomber dans son pieu, et dormir en souffrant de l'affreux décalage horaire. Après tout, au vu de sa position et du portail le plus proche, il arriverait sûrement durant l'après-midi, sur Terre.

Il se dirigea alors vers une ruelle sombre, éloignée. Se terminant par un magnifique cul-de-sac, le puissant loup s'étira en observant un peu les alentours, avant de regarder sa montre. Observant l'heure, il attendit alors le bon moment pour s'engouffrer à travers la pierre, la traversant comme si cet obstacle n'était que de l'air. Un portail, instable, qui n'apparaissait qu'à certains moments de la journée... tout bêtement.

Ghanor débarqua alors dans une forêt. Une grande, grande forêt. Il ne reconnaissait pas totalement l'endroit. Merde. Poussant un léger grognement, il décida de prendre ça comme un petit défi de la vie. Un espèce de retour à ses sources, à ses origines, à cette aventure qui lui manquait... Merde, son train-train et sa vie facile commençaient déjà à être regrettés. Riant seul, de sa propre bêtise, il se mit alors en route, histoire de trouver le chemin le plus rapide pour rentrer en ville.

Les mains dans les poches, le regard légèrement vide, notre protagoniste marchait sans trop penser. La tête perdue dans les nuages, c'était machinalement qu'il mettait un pas après l'autre, le seul bruit des feuilles et branches écrasées par ses pas lourds raisonnants dans l'endroit, seule ambiance sonore, parfois ponctuée par quelques oiseaux qui se sentaient de faire entendre leurs voix. 14h20. 14h30. Les minutes s'enchaînaient, mais le loup ne voyait aucune trace d'activité humaine. Des arbres, des arbres, encore des putains d'arbres. Non mais ok, c'est un loup, il aime bien la nature, mais ça commençait peut-être à bien faire, là, non ? 15h30. Plus d'une heure après le début de sa marche, le contrebandier avait presque l'impression de tourner en rond. C'en était rageant, énervant. Alors qu'il s'apprêtait à jeter l'éponge et à hurler pour calmer sa colère, ses oreilles se levèrent brusquement, un bruit particulier venant perturber le silence de l'endroit.

C'était un bruit sourd. Répété. De l'eau. Non, plus précis. Une cascade. Oui, une cascade ! Qui disait cascade disait rivière ! Et qui disait rivière disait généralement activité humaine non loin ! Un sourire venant de nouveau s'afficher sur ses lèvres, se figeant, sincère pour une fois, il se retint de sauter de joie. Voilà un moyen de retrouver au mieux son chemin, bordel, oui ! Gardant néanmoins son calme, il se dirigea alors en direction du bruit qu'il venait d'entendre, remerciant intérieurement ses aptitudes animales de le sortir de ce mauvais pas. Et il ne savait pas encore qu'il pourrait bientôt les remercier pour bien plus.

Ainsi, après de nouveau quelques minutes de marche, Ghanor approcha alors de la fameuse clairière, non sans écraser quelques branches qui craquèrent de manière sonore. Haussant les sourcils, observant de son regard vairon cet endroit nouveau et particulièrement agréable, son sourire s'étira un peu plus, preuve de son bonheur. Voilà. Voilà ce qui lui manquait. Cette impression d'aventure, de découverte. Voir pour la première fois des lieux qui resteraient gravés dans sa mémoire. Frémissant lentement, appréciant le bon air, le bruit de la cascade, mais aussi l'odeur qui envahissait la clairière, c'est qu'il pourrait presque s'y installer pour passer quelques vacances. Sa queue, caudale bande de pervers, se mit même à s'agiter nerveusement, exprimant cette joie bête, infime, mais qui lui manquait en ce moment.

Encore caché par les arbres, n'ayant pas du tout remarqué Bellona, il s'engouffra alors dans ce havre de paix naturel pour tenter d'en voir plus, d'en découvrir plus. C'est ainsi qu'il découvrit, non loin, une silhouette agréable. Une jeune femme, aux formes prononcées, dont la beauté frappa directement les yeux du Terranide. C'était une véritable poupée. L'incarnation même de l'innocence. Plutôt étonné, presque hypnotisé par cette rencontre fortuite, il s'approcha lentement. Bordel, que faisait-il ? Lui-même n'en savait rien. C'était ce frisson de l'aventure, cette envie de nouveauté. Le mâle n'aurait jamais pensé tomber ainsi sur quelqu'un, surtout sur une femelle comme ça.... Femelle. Merde. Voilà qu'allier à la nature, le contrebandier sentait ses pulsions doucement refaire surface. Merde.

Et elle se mit même à chanter. D'une voix douce, d'une voix belle, agréable, cristalline. Enfantine, presque. Putain. Sur qui était-il tombé, encore ? Allait-elle avoir peur ? Le verrait-elle comme ce gros méchant loup qui s'attaquait à de petits chaperons égarés ? Normalement, l'effet de son collier empêchait au moins la surprise... Normalement.

Continuant son avancée, il s'arrêta alors net lorsqu'elle leva ses mains, son regard tombant sur Ghanor. Et c'était ainsi qu'elle vit un gros loup, de presque deux mètres, qui était présent devant ses yeux. Il portait une longue veste brune, qui allait jusqu'à ses genoux, légèrement sale, ouverte. Elle dévoilait alors son torse, particulièrement musclé, taillé, fruit de ses nombreux entraînements... Mais aussi parcouru de quelques cicatrices, souvenirs douloureux d'une vie d'aventure. En descendant, elle pourrait alors voir son pantalon de tissu, et ses jambes tout aussi musclées que le reste. Un loup.

Un grand méchant loup.

« Salut. » Lança-t-il, sans réellement penser à ses mots, les laissant s'échapper de ses lèvres sans même y penser. « Tu es seule ? »

Il ne remarqua même pas que cette simple question pouvait avoir tellement de sens... bon ou mauvais. En réalité, le beau mâle ne pensait plus à grand chose. Non. Son regard bicolore était simplement déposé sur la belle jeune femme en sous-vêtement, détaillant chacune de ses formes agréables. Elle était en chair. Elle semblait douce. Elle semblait innocente. Elle semblait si différente. Les yeux grands ouverts, les oreilles levées, la queue battante dans son dos, il commença à se dire qu'en effet, une vie d'aventures avait de nombreux avantages.

Bellona Melbourne

Humain(e)

Re : Loup y es-tu, que fais-tu ? [ Mon gros loup ]

Réponse 2 lundi 22 janvier 2018, 00:35:59

Une forêt. Quelque part sur Terre.

Le choc et un cri. C'est d'abord ce que ressentit et fit Bellona. Car en guise de Sally Duval, devant elle se tenait un...loup à la posture et aux vêtements d'un être humain. C'était innattendu et tellement improbable qu'une fois ayant arrêté de crier, Bellona se dit qu'elle était peut-être en train de rêver. Ou qu'elle avait dût manger trop de sucre...avec le Soleil tapant sur sa tête...oui, ce devait être cela. Mais il bougeait et parlait. "En cas d'attaque, prends quelque chose de lourd et brandit-le, ça devrait faire fuir l'adversaire." Alors ni une ni deux, Bellona se recula un peu et tâtonnant, elle finit par brandir sous le nez de son "agresseur"...

- Pas un pas ! M...Malotru !!!

...un vibromasseur rose. Et comme pour lui montrer qu'elle pouvait être dangereuse, qu'elle était très sérieuse, Bellona pressa sur le bouton et l'objet se mit à vibrer.

- Je ne sais pas ce que vous êtes et je ne sais pas ce que vous me voulez, mais je vous conseil de partir. Sinon...sinon je...

Sinon quoi ? Elle n'allait pas le menacer de lui donner du plaisir jusqu'à ce que mort s'ensuive si ? C'était le genre de phrase idiote qu'elle aurait pu sortir à Sally. Mais pas à cette créature tout droit sortie d'un conte. Et son bras potelé tendu, le lourd objet de luxure entre les doigts, Bellona commençait à faiblir du poignet. Les vibrations remontaient le long de son bras et ce n'était pas réellement agréable. De plus, ses prunelles ne savaient pas où s'accrocher. La fourrure sombre ? La gueule aux dents longues et blanches ? Les oreilles ? C'est ça. Ce devait être un costume.

Mais oui ! Comment pouvait-elle être si sotte. Après tout, Sally avait dit qu'elle lui avait préparé une surprise. Et elle savait la rose friande de l'histoire du Chaperon qui se fait attaquer par le grand méchant loup. Quelle idiote. Elle aurait dût le deviner ! Ce ne pouvait qu'être un costume, puisque ce n'était pas un rêve.

- C'est une blague...Sally ? Avoue ! Tu a loué ce costume et c'était ça ma surprise !

Riant, ses yeux brillants de malices, Bellona se redressa sur les genoux et avança en direction du loup qu'elle pensait être Sally. Une main tendue, elle s'accrocha à l'étoffe du manteau.

- En tout cas, il est super bien fait ce costume Sally ! Tu t'es donné de la peine pour me faire plaisir dis donc !

La rose riait beaucoup, parlant d'une voix suave et sa main libre attrapa le haut du pantalon, prête à déballer sa surprise finale. Parce que toute ces émotions, ça ne pouvait que donner des idées et des envies à cette dernière, gourmande qu'elle était.

- Ne me regarde pas comme ça et vient donc me dévorer !

Déjà, elle tirait sur le vêtement, cherchant de son autre main l'entre-jambe de celui qu'elle pensait être son amie et colocataire.

HRP: Je suis désolé, c'est très court. Il faut dire que je ne voulais pas trop empiéter sur les actions de ton personnage ♥


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