Sophiana avait amené à Massheï une sacoche, comprenant sans aucun doute des cadeaux très précieux. Vu le goût de leur fille pour la culture, Onyxian pensait à des livres, ou à d’autres objets de ce type. Mais, avant de déballer ces cadeaux-ci, elle était prête à offrir à Massheï son vrai cadeau, en l’excitant. Pour ça, rien de mieux que le voyeurisme. Onyxian ne comptait plus le nombre de fois où elle s’était envoyée en l’air avec Sophiana sous les yeux de leur fille, généralement attachée, condamnée à les voir se faire l’amour, le désir montant ainsi progressivement en elle. Mine de rien, au sein du Clan Magoa, le sexe était une notion qu’on apprenait. Il était certes instinctif et inné chez les succubes et les incubes, mais, même malgré ça, Onyxian ne tenait qu’à déployer des succubes de grande qualité. Le sexe était l’élément de base que toutes devaient savoir maîtriser, et, pour Massheï, il était presque temps de passer à la pratique.
Presque... Car Sophiana comptait bien faire durer encore le plaisir, et, surtout, montrer à Onyxian combien elle était heureuse de la revoir, et combien la Matriarche lui faisait envie. Onyxian sourit donc en sentant la main de Sophiana la masturber fortement, ses doigts glissant et grattant sa chair, la faisant doucement gémir, son membre semblant se roidir, donnant de légers à-coups en se redressant légèrement, avant de se rabaisser.
« Hmmm... Haaa, Sophiana, ma chère et tendre... »
Ce fut presque la seule tirade d’Onyxian pendant les minutes qui suivirent. Le sexe entre succubes, c’était comme un spectacle. On l’observait silencieusement, comme on regardait une pièce de théâtre... Et, si les succubes se débrouillaient bien, le spectacle était tellement hypnotique qu’on ne pensait pas à se caresser, tout en ressentant une envie terrible. Massheï, debout, sembla se statufier, au fur et à mesure que Sophiana glissait avec ses lèvres le long du corps de la succube. Sensuellement, et avec talent, elle laissa une fine traînée de salive, ainsi que ses marques autour du téton d’Onyxian, des traînées rouges témoignant de son suçon. Elle arriva ensuite à hauteur de la superbe verge d’Onyxian, un phallus comprenant tout ce qu’il fallait, et qui pulsait joyeusement.
Sa queue était si dressée qu’elle pointait au-dessus de son nombril, un membre veineux et rigide. Onyxian en appréciait la douleur, et avait appris, avec ses pouvoirs de magie rose, à rester en état d’érection, comme ça, pendant des heures. Elle n’était pas la Matriarche du clan Magoa pour rien. La magie rose n’était pas la seule magie qu’elle maîtrisait avec virtuosité, mais c’était assurément son domaine de prédilection. Face à cette verge, Sophiana prit son temps, ne se contentant pas juste de la sucer, et veillant surtout à ce que Massheï, qui avait la gorge desséchée, et était incapable de parler, d’observer ce qui se passait.
La femme s’attaqua à ses testicules, les masturbant, les soupesant, les grattant, ou les embrassant, tout en recouvrant sa verge de coups de langue et de baisers, tirant parfois dessus, avant de ramener ses délicieuses et expertes mains.
« Hmmmm... !! » soupirait Onyxian.
Ah, ce n’était pas pour rien qu’elle avait eu une fille avec Sophiana ! Non seulement la belle était influente en Enfer, mais également très belle, et très douée. En fait, le seul problème avec elle, c’était la difficulté qu’elle avait actuellement à reprendre une forme infernale, qui faisait qu’on la voyait comme une « inférieure », puisqu’elle venait ici avec une forme hybride. Mais, et au-delà de ça, il fallait tout de même reconnaître qu’elle était très douée. Pendant qu’elle la suçait, Onyxian posa ses mains sur les cheveux de la femme, crispant ses doigts dessus, et accompagna légèrement les mouvements de la femme, qui termina par une longue gorge profonde, qu’elle fit durer une bonne minute, sans remuer, juste pour permettre à Sophiana de ressentir cette indescriptible sensation de plaisir.
Finalement, après ce long préliminaire, Sophiana se retira, laissant une verge couverte de salive, avec Onyxian qui sourit malicieusement.
« Tu es aussi douée que dans mes souvenirs, ma chérie... »
Pour autant, Sophiana n’oubliait pas sa fille, car, tout en se mettant en position, elle assura à sa fille qu’elle allait passer là sa meilleure soirée. Et, juste après ça, la queue caudale d’Onyxian fouetta les fesses de la femme, faisant couiner Massheï, qui mit pudiquement son poing devant sa bouche, le corps en feu.
« Observe bien, Massheï... Et, pour une fois que tu n’es pas attachée, tu peux venir toucher... »
Surprise, la jeune femme écarquilla les yeux, avant de se mordiller les lèvres.
« Oh... V-Vraiment ?
- Bien sûr ! Mais, pour l’heure, je vais baiser ton affamée de mère ! »
Et, joignant le geste à la parole, elle posa ses deux mains sur les hanches de Sophiana, et s’enfonça d’un coup sec... En ciblant son fondement ! Ça, avec Onyxian, il fallait s’y habituer... Les sodomies, c’était son grand fantasme avec les fellations ! Et, vu comment Sophiana l’avait chauffé, elle pouvait s’attendre à un sacré rodéo, surtout que, pour faire plaisir à Massheï, Onyxian comptait bien baiser très fort la belle Sophiana !
Ce qu’elle commença donc...