Alice était en train de s’envoyer joyeusement en l’air avec Sophiana dans cette aire d’autoroute. Le fait qu’il n’y avait personne tenait clairement du miracle, car Alice se montrait fidèle à ce qu’elle était. L’innocente jeune femme pouvait en effet se transformer en une redoutable perverse, ce qui, somme toute, paraissait une chose normale quand on avait comme meilleure amie une vampire esclavagiste nymphomane. Et ce n’était sûrement pas Sophiana qui viendrait la changer. Sa solide queue s’enfonçait en elle, et, quand Alice la sentit durcir et gonfler en elle, elle poussa un hurlement étouffé, couinant sur place.
« Gnnnn... So-Sophiana, haaaa... Baise-moi encore... ! »
Sophiana se pencha vers elle, s’attaquant à ses seins, les mordillant, continuant à déplacer doucement son vit, le faisant coulisser en elle. Mais elle avançait lentement, elle la pénétrait doucement, exagérément doucement... La jeune femme gémit encore, et sa main se crispa sur la nuque de Sophiana, qui ne semblait pas décidée à y aller trop profondément... Sauf si Alice arrivait à bien la motiver. La jeune femme le comprit, et gémit encore, avant de sentir la queue de Sophiana se retirer lentement. La queue de Sophiana tapait jusqu’à heurter son col de l’utérus, déformant alors un peu sa peau. En fait, Sophiana avait tellement grossi la taille de sa verge qu’elle ne semblait plus pouvoir la retirer, comme si une sorte de nœud se trouvait à la base, l’empêchant de la retirer.
La Princesse déglutit encore, les yeux se révulsant dans ses orbites. Elle soupira encore, comprenant que Sophiana voulait la faire sortir de ses gonds. Alice s’était après tout lâchée une première fois, mais il fallait bien admettre qu’elle n’était pas spécialement habituée à ce genre de choses... Mais elle était en train de sombrer, après tout, et reprit donc, quand le vit de Sophiana remonta encore dans son corps.
« Haaaannn... Pi-Pitié, Sophiana, hmmm... Baise-moi plus fort ! Haaaaa... »
Sophiana avait toutefois une grande maîtrise d’elle-même, et pinça son sein, arrachant à Alice un couinement supplémentaire, son corps rebondissant contre le mur. Le vit remonta encore, doucement, sur plusieurs centimètres, et la jeune femme ferma les yeux, avant de les écarquiller. La main de Sophiana venait régulièrement se serrer sur sa gorge, l’étranglant à moitié, faisant encore gémir Alice, qui continua ensuite, abreuvant Sophiana de mots salaces et pervers :
« Je suis ta chienne, baise-moi comme ça, comme si... Comme si j’étais ta grosse salope !! »
Alice était une jeune fille bien éduquée, qui avait vécu dans un univers policé, celui de ses quartiers royaux. Ici, sur Terre, où personne ne connaissait son statut, elle pouvait se laisser aller, elle pouvait exprimer ce qu’elle pensait vraiment, elle pouvait laisser ses pulsions s’exprimer au mieux. C’est ce qui se passait ici, c’est ce que Mélinda lui avait appris à faire, et il s’avérait que se lâcher, laisser tomber les convenances sociales, c’était... Extrêmement jouissif.
C’est ce qu’Alice était en train de réaliser en ce moment, et elle prenait joyeusement son pied à cette idée, ce qui l’amena à se lâcher encore, tandis que Sophiana pinçait son téton.
« Allez, DÉFONCE-MOI, JE SUIS UNE CHIENNE EN MANQUE DE QUEUE !! »
Sophiana sembla se ravir à cette idée, et annonça qu’il était temps de refaire son « éducation maternelle », en tenant ses hanches à deux mains. Alice frémit en sentant les ongles de la femme à la chevelure rose s’enfoncer dans sa chair, et rebondit sur ce qu’elle venait de dire, la prenant au mot :
« Oui, Maman, hmmm... Rééduque-moi, rééduque la salope que je suis devenue ! »
Et c’est ce que Sophiana fit. Elle la pénétra alors plus durement, faisant remuer la table, entraînant celle-ci avec Alice, qui se mit à hurler, ou, plutôt, à alterner entre longs gémissements et hurlements. Elle mouillait frénétiquement, tandis que Sophiana se mit à la besogner sans vergogne, accélérant considérablement le rythme, et faisant vivre à Alice un train d’enfer. La jeune femme sentit ensuite des mains supplémentaires, invisibles, mais jaillissant très certainement du corps de Sophiana, retourner s’attaquer à ses seins.
Alice se mettait à couiner et à soupirer longuement, et sentit, au bout de quelques minutes, un premier orgasme la traverser. Sophiana ne s’arrêta évidemment pas là, et continua ainsi à la prendre, à faire ce que la jeune femme l’avait supplié de faire : la baiser jusqu’à satiété.
Et c’était tout simplement délicieux !