La pluie, l'orage, quelle beau spectacle en plus que je sois totalement dénudée sous ma forme de bête mauves, le pelage trempée, mais cela est encore plus agréable qu'en étant tout habillé. Une sortie des plus prône à une luxure inattendue et bestial, je ne cherche pas du tout à du sexe cependant, plus à trouver un abris de fortune pour éviter de tomber malade pour rien et faire un feu pour me réchauffer un peu car je suis peut-être une semi-démone mais je ne suis pas imperméable au froid.
Je marche une longue heure dans le torrent d'eau qui déferle du ciel, trempée jusqu’au bout des doigts, la queue féline entourant mon bassin comme pour se protéger de l'humidité comme elle peut, traversant les bois et pâturages proches d'une falaise avant d'apercevoir une grotte entre deux buissons, m'y dirigeant à mon aise puis y rentre en me secouant pour sécher tout mon pelage. Elle remarque, par après, le corps endormie d'une jeune elfe en sous-vêtements, très bien foutu en plus d'être très jolie, ne bougeant plus pour lui lorgner les courbes sans faire de bruits.
Je suis gâtée aujourd'hui.. la pluie.. la nudité.. et maintenant, une magnifique elfe, en position faible, pour me satisfaire..
J'affiche un grand sourire pervers en me léchant les lèvres, telle une prédatrice sur le point de dévorer une biche qui ne se doute de rien, marchant doucement vers la blondinette, me mettant à quatre pattes pour lui renifler délicatement le peau de ses cuisses. Mon chibre, bander de toutes sa hauteur, montre mon intention pervers surtout quand je lui ôte sa culotte, assez lentement pour ne pas la réveillée, ainsi que son soutien pour lui dévoilée sa somptueuse poitrine avant de l'allonger doucement sur le ventre et de lui relever fesses en lui tenant les hanches pour la mettre en levrette, les cuisses serrés. Deux mains invisibles, puissantes, lui prendre les poignets et les entrecroisés dans son dos pour ne pas qu'elle s'échappe.
Bon réveil, princesse.
Je ricane sadiquement avant de lui empalé la fleur intime brutalement, logeant mes quarante centimètres de chair tendue dans la petite elfe qui n'a rien demandée, une troisième main mystérieuse venant lui saisir la chevelure d'or pour la tirer au même moment que le début de ce viol. Je gémis longuement et sans discrétion, entamant directement de rapides et violent vas et viens de tout le long du monstre qui veut s'installer dans cette grotte, claquant ses fesses à u point où les claquements de mon bassin sur son fessier blanc résonne dans la grotte où nous nous trouvions.