Il ne savait pas pourquoi. Pourquoi il mettait autant d'effort, d'envie, de détermination dans cette idée de briser cet air monotone. Il donnait tout ce qu'il avait pour lui retirer cet air, ne serai-ce qu'une seconde. C'était ça, son envie, son plaisir. Voir le visage de Kumori perturbé, enfin, voir à quoi ressembler ce visage pâle lorsqu'elle prenait réellement son pied. Même s'il appréciait ce non-expression, qui décalait totalement avec l'acte brutal qu'ils réalisaient, cela n'empêchait pas pour autant une certaine frustration. Un énervement. Ghanor n'était pas du genre à simplement sauter une femme en se moquant du moment et en désirant simplement se vider les couilles, non. Il voulait marquer sa proie. Qu'elle s'en souvienne, longtemps. Arriver à marquer une telle femme était en soit un exploit, et c'était toujours le petit désir du Terranide. C'était pour cela qu'il se donnait à fond, qu'il usait de toute son expérience pour mener la belle au septième ciel, et la faire redescendre le plus lentement possible, qu'elle profite au maximum d'une virée en parachute dans un océan d'envie et de luxure. Caprice ? Futile ? Peut-être. Mais cela n'empêchait en rien au loup de lui aussi prendre son pied.
Après tout, le mâle explorait brutalement les deux orifices de la jeune femme. De ses deux énormes queues, tendues, explorant, raclant l'intérieur de ses orifices brûlants. La première queue, l'originale, entrait et sortait de cette rondelle étroite, l'écartant avec envie. La copie, elle, générée par magie, s'occupait de son intimité. Pendant qu'il la prenait, du sperme s'écoula plus violemment de son trou déjà remplis juste avant de sa crème, facilitant la pénétration. Ghanor n'était rien de plus qu'un animal, monté sur sa femelle, et copulant violemment, avec perversité, envie, désir. Elle le rendait fou. Totalement. C'était si bon, putain ! Prendre si perversement ses deux orifices, les défoncer ! Le loup donnait des coups de reins destructeurs, claquant son bassin dans un délicieux bruit pervers, tapant contre son cul, un bruit qui l'excitait au plus haut point. Au bout d'un moment, il sentit ses membres palpiter, et il vint dans un nouveau et brutal râle de plaisir. Se vidant une nouvelle fois, le Contrebandier profitait de ce moment, remplissant sa chatte à la faire déborder, ainsi que son cul tout aussi gourmand.
« Putain... J'vais pas me lasser... T'es si bonne Kumori... ! »
Sans attendre la belle se retourna pour plaquer de nouveau le mâle sur le lit. Quelle force, quelle brutalité ! Putain. Cette femme était parfaite. Se léchant les lèvres, il gémit de nouveau de plaisir en sentant ses deux queues toujours tendues comprimées entre ses gros seins, ces globes de chairs qui lui donnait tellement envie. Commençant de gros coups de reins, pour bien faire coulisser ses queues dans ce doux étau de chair comprimé, le mâle vint appuyer sur la tête de la belle pour qu'elle prenne au mieux son gland. De son autre main, il se met à violenter ses tétons, à les pincer, les tordre. Mais malgré tout, elle gardait cet air neutre, passif sur le visage. Seul son regard, qui, bien que monotone, trahissait de son envie de part cette étincelle de perversité. Ses yeux criaient qu'elle en voulait plus, qu'elle voulait se faire sauter toute la nuit, qu'elle n'attendait que ça. Mais merde, il n'arrivait pas à lui briser cet air ! Il voulait la voir perturbée... Merde ! Malgré tout, le mâle, encore sensible de l'orgasme, vint de nouveau. Il lui offrit une nouvelle rasade de foutre, remplissant sa petite bouche et recouvrant son visage et ses seins de sa crème.
« Tu... tu m'énerves, putain.. »
Frustré, mais pas moins excité, il vint de nouveau s'attaquer à sa petite chienne. La plaquant brutalement contre le matelas, lui montant dessus, sa frustration était lisible sur son visage. Combien de fois avait-il jouis ? Il n'en savait rien. Mais le mâle en voulait encore. Ghanor ne s'arrêterait pas tant qu'elle gardera cet air. Il la brisera !
D'un mouvement sec, il vint de nouveau s'enfoncer dans sa chatte. Sauf que cette fois, ce n'était pas avec une seule queue, mais bien les deux. Brutal, violent, il s'enfonce de force dans un cri de plaisir, écartelant littéralement son orifice déjà remplis de sperme, ce liquide chaud sortant en quantité à cause de la violence de l'acte. Brisant lentement son orifice, profitant de sa nature vampirique pour cela, le mâle se plante en entier, déformant violemment son ventre, une belle bosse démontrant de la présence de ces deux membres.
« Je vais.. te faire perdre.. cet air à la con bordel ! »