Nom :Matsuko
Prénom :Aikaishu
Sexe : femme
Age : ça ne ce demande pas !
Orientation : bisexuelle
expérience : Longue et bien raide !
Physique
Physiquement parlant, Matsuko est une femme particulièrement belle, oooh que oui ! Et il faut bien ça pour être la directrice d'un baisodrome comme Mishima ! Étant en quelque sorte la figure de proue de cet établissement, notre directrice ce doit toujours d'être la plus soignée et étincelant possible, afin de garder dans sa poche tous les jeunes hommes (et les jeunes femmes) de son lycée. Et... Il faut bien avouer que cela marche terriblement. Bien qu'elle sorte rarement de son bureau, hors-mis pour quelque discours. Possédant une poitrine généreuse, un fessier tout aussi rebondie, des hanches solide et une paire de jambes à n'en plus finir, autant dire qu'elle sait attiser les regards lors des rares fois où elle déambule dans les couloirs, et ce, sous le son martial et téméraire de ses talons claquant contre le sol.
Pour ce qui est de sa tenue, elle porte généralement des tailleurs (anthracites, noirs, blancs ou bien bleu marine) et des jupes longues sous lesquelles ce cache une lingerie fine et généralement faite de dentelles, ce qui, là encore, ne manque pas d'émoustiller les quelques élèves qui auraient la chance d'avoir une entrevue avec elle. Petit détail cependant, elle porte toujours un foulard rouge, une sorte d'insigne rappelant les armoiries de sa famille ainsi qu'une broche la encore représentant le blason de ladite lignée de notre plantureuse directrice.
Pour finir, Matsuko arbore toujours un léger maquillage, toujours très élégant qui se compose de rouge à lèvres et de fard à paupière noir, marquant un délicieux contraste avec sa peau d’albâtre.
Mental
Matsuko est pour beaucoup d'élèves, une femme forte, stricte et autoritaire qui, en public et bien souvent lors de ses entrevues, garde un calme et une droiture exemplaire. Toutefois, quand il s'agit de passer à des choses plus... Soutenue, elle se montre... Eeeeh... Bah toujours très autoritaire mais en plus lubrique, une sorte de dominatrice (modérée cependant) qui aime se jouer de la timidité de certains élèves ou qui abuse de la vantardise de certains en les soumettant à son autorité suprême ! Alors bon, après, elle peut aussi se montrer plus douce, mais... En présence de ses lycéens (et Lycéennes) elle tient la plupart du temps à garder son image de femme autoritaire, n'hésitant pas parfois à se montrer sadique envers quelques petits loubards bien-portant qui auraient eu le malheur de finir dans son bureau. Cependant... Matsuko, avec des hommes plus... Mature, peu certes êtres la bonne garce dominante qu'elle est habituellement si son amant ne montre aucun signe de domination, mais... Face à un homme d'expérience et particulièrement virile, deviendra une gentille chienne, avec plus ou moins de dévotion selon son envie et puis... Au fond, bien qu'elle ne l'avouera jamais, notre directrice aime ce faire dominer, une chose qu'elle ne sais que très rarement autorisée dans sa vie, mais qui l'émoustille au plus au point.
Histoire
Insigne de la famille Aikaishu Matsuko est issue d'une riche et longue Lignée datant du moyen-age et qui déjà à l'époque était une, voir LA famille la plus influente de la préfecture de Kyoto. Suite à la seconde guerre mondiale, les Aikaishu ont fortement investis dans l'immobilier et dans la réparation de Seikusu au côté d'autres nobles familles, dont les Morimoto, les Ichtora mais aussi les Guramu, Guramu avec qui maintenant, les relations sont bien moins fortes qu'autrefois, mais toujours présentes, car, on à beau dire ce que l'on veux des Yakuzas, ils savent garder un certain code d'honneur et ont toujours étaient de mèche avec l'état, les Guramu et les hautes instances de la ville allant de paire, l'un et l'autre se soutenant mutuellement. Après la Guerre, toute ses familles (et quelques autres) on mit à profit leurs savoir faire ainsi que leur argent dans la reconstruction de la ville, leur octroyant au passage une place privilégiée. Finalement, une fois les plaies de la guerre pansées, les Aikaishu, qui étaient déjà la famille la plus influente devint petit à petit un véritable pilier de la ville.
La reconstruction de la ville ayant permis à la Famille Aikaishu de s'enrichir, la suite fut pour le dirigeant de l'époque (Baku Aikaishu), de carrément devenir une multinationale de l'immobilier. Cependant, en parallèle de tous ceci, l'homme vint à investir massivement dans l'éducation afin de permettre à Seikusu de s'offrir le complexe universitaire le plus complet possible. Cet aussi à ce moment-là que la Lignée Aikaishu (et les autres familles) mirent en place la « Fondation Mishima » qui donna par la suite son nom au complexe universitaire, complexe qui durant des années fut considéré comme le must en matière d'éducation même ci... Déjà à l'époque, quelques scandales d'ordre « sexuel » furent relevé, mais le graissage de pattes et le Cabinet Dowell eurent vite fait étouffer ces sinistres affaires qui, au final, n’empêchèrent en rien l'établissement de continuer à briller.
Baku Aikaishu Mais voilà... Le temps passe et à présent, Mishima est aux mains de Matsuko, cadette d'une fratrie de quatre enfants, elle seule voulu reprendre le flambeau laissé par son père qui, maintenant, c'est retiré avec sa femme à Hokkaido, Seikusu étant devenue une ville bien trop sinistre à leur goût.
Toutefois, c'est d'une main de fer que leur héritière tient les rennes de l'établissement ainsi que de la société Aikaishu et de la « Fondation Mishima ». Certes, avec le temps, le Lycée à fini par se forger une sacrée réputation de baisodrome et ce bien au-delà de la préfecture Kyoto.
Mais malgré cela, le nombre d'élèves est en constante augmentation, les notes sont généralement variables, allant du très bon au très mauvais et on dénombre très peu de renvoi au sein de l'établissement... Mais derrière une facette qui se veut lisse et propre, Mishima n'est clairement pas le magnifique campus de rêve où Jean-marie et Jeanne DeLacroix, chrétiens convaincus auraient l'idée de laisser leur fille, Mathilde, 18 ans et toujours vierge... Au risque de la voir devenir au bout de quelques mois une enfante lubrique qui s'introduit le saint crucifix dans les miches en guise de pater noster.
Ah... Et outre toutes les fabuleuses histoires entourant Mishima et la famille Aikaishu, la plus sordide d'entre-elle reste sûrement celle qui dit que, une fois par mois, dans une partie reculés du lycée (et inexistante sur les cartes des fondations), les familles qui donnèrent leurs noms à l'établissement s'adonnent à un étrange regroupement... Ou plutôt, à une gigantesque orgie dans un style très proche de ce que l'on pouvait trouver en Europe à la renaissance. Exhibition de jeunes élèves, débauche à n'en plus finir, etc. Il est bon de noter cependant que durant ce genre de réunions, beaucoup de beau monde se retrouve, pour parler entre deux galipettes de futurs investissements ou d'alliance plus ou moins troubles.