Identité
Otsoyu Shinumu
Âge
18 ans
Sexe
Femme
Race
E.S.P.er
Sexualité
Hetero et vierge… Bien qu’elle ait déjà procuré plusieurs fellations.
Histoire
Otsoyu Shinumu est né d’une famille aisée à Seikusu, et a eu une vie on ne peut plus banale jusqu’à l’âge de 15 ans, quand peu après son entrée au lycée, elle a fait avec une de ses amies un pari stupide.
À son entrée au lycée, plusieurs élèves lui ont recommandés de ne pas s’approcher trop près d’un quartier en particulier, surtout à certaines heures, et lorsqu’on était une jeune fille fragile. N’y voyant là que des paroles destinées à effrayer les nouveaux venus, elle fit le pari avec l’une de ses amies d’y faire chacune une ballade seule, en courte tenue, et à l’heure la moins indiquée.
Naturellement, cela ne manqua pas : alors qu’elle s’engageait dans une petite ruelle sombre, un inconnu qui la suivait depuis un moment se rapprocha rapidement d’elle, et lui colla sa main sur sa bouche et un couteau sous la gorge, avant de la transporter dans une voiture. Toujours sous la menace d’un couteau, il lui ordonna de lui faire une fellation, alors qu’il était assis sur la banquette arrière. Sous l’effet de la peur, Otsoyu s’exécuta en silence, non sans verser quelques larmes.
Cela aurait pu finir en une banale histoire de viol de lycéenne imprudente, mais le destin est parfois farceur.
Lorsque son ravisseur jouit,il lui attrapa la tête pour l’empêcher de se retirer. Otsoyu ferma les yeux de dégoût et avala les quelques jets qui lui arrivèrent en bouche, pensant que ça serait court… Mais ce ne fut absolument pas le cas. Les jets de sperme qu’elle se força à avaler au fur et à mesure qu’ils arrivaient durèrent longtemps… Presque une demi-heure en tout. Terrorisée, elle continua d’avaler sans se poser de questions ou tenter de se débattre. Même lorsque la main qui était posée sur sa tête relâcha progressivement son étreinte et finit par tomber, elle continua, pour ne finalement arrêter que lorsque l’éjaculation finit enfin.
Elle se recula alors, et constata avec effroi que son ravisseur ressemblait maintenant à un cadavre desséché, comme laissé à l’abandon depuis plusieurs jours. Elle s’enfuit loin de là, et rentra se réfugier chez elle, sans raconter à qui que ce soit ce qui s’était passé.
Le lendemain, la police ayant découvert le cadavre ouvra une courte enquête, que l’autopsie du cadavre ferma rapidement en déclarant que la victime était vraisemblablement morte de faim. Un cas étrange, mais tout de même apparemment encore possible de nos jours chez certains sans-abris.
Otsoyu passa la nuit tenter de comprendre ce qui s’était passé. Elle n’avait rien fait de spécial sur cet homme… Pourquoi alors était-il mort de la sorte ? Était-ce vraiment elle ? Était-ce une sorte de pouvoir qu’elle avait ?
Quant à sa copine, celle-ci eu encore moins de chance… Elle s’était effectivement faite violée durant sa promenade… Et pas que par la bouche. Pire encore : elle avait parfaitement reconnu son violeur, qui n’était autre qu’un élève du lycée plus agé,. Mais il était totalement impossible pour elle de le dénoncer : pour elle, reconnaître qu’elle a été violée serait un déshonneur terrible pour elle et sa famille.
Ayant tout de même confessée sa mésaventure à Otsoyu, celle-ci eu tout de même l’idée d’utiliser son étrange pouvoir pour venger son amie… Puisqu’elle connaissait le nom du coupable, mais que lui ne la connaissait absolument pas, elle eut une idée spéciale, mais efficace : elle alla sonner chez le tourmenteur de son amie un soir, dans sa tenue de lycéenne, pour lui annoncer qu’elle était une jeune prostituée envoyée comme cadeau par l’un de ses amis, et qu’elle était une spécialiste de la fellation, capable de les terminer en de très longs orgasmes.
Sans se poser plus de questions, l’imbécile l’amena dans sa chambre et s’allongea sur le dos sur son lit, impatient. Otsoyu le déshabilla rapidement et commença lentement à utiliser ses prétendus talents. Pour son plus grand confort, il ne la toucha même pas, ne força aucun de ses mouvements, ce qui lui permit de s’aventurer à quelques expériences en matière de sexe oral, et de se rendre compte qu’elle était en réalité naturellement douée pour les gorges profondes.
Lorsqu’il finit par jouir, elle commença aussitôt à avaler sa semence, mais cette fois en gardant les yeux bien ouverts. Elle voulait voir les effets que cela procurait. Complètement allongé sur le dos et relâché, les bras et les jambes écartés, il affichait une expression d’extase totale sur son visage, en poussant de courts râles en rythme avec ses jets de sperme.
Quelques minutes passèrent ainsi. Puis les premiers effets furent visibles : elle vit les muscles de son corps tout entier commencer à fondre et se raidir, ressemblant de plus en plus à un squelette. Elle ne constata cependant aucune différence sur la verge qu’elle avait un bouche, qui resta dure et crachante jusqu’à la fin. Ses râles furent aussi de moins en moins puissant à mesure que la fin approchait.
Puis l’éjaculation cessa enfin. Elle déglutit péniblement, puis se releva, pour constater qu’effectivement, le corps du violeur de son amie n’étais plus qu’un cadavre ratatiné. Elle venait de volontairement tuer un homme.
Elle resta quelques minutes, contemplant ce qu’elle venait de faire. Et n’éprouva aucun remord.
Les années suivantes furent assez simples, si ce n’est qu’elle a recommencé à plusieurs reprises son acte de vengeance, à chaque fois sur un violeur. Elle apprit tout de même à être plus subtile dans son approche, attendant par exemple l’anniversaire de sa victime pour se présenter à elle comme un cadeau de l’un de ses amis.
Elle a aujourd’hui un compteur de 5 victimes en comptant les deux qui lui ont fait découvrir son pouvoir. Et ne compte pas s’en arrêter là. Elle vit toutefois cet effet comme une sorte de malédiction : après tout, cela l’empêche en quelque sorte de pouvoir espérer une relation stable avec quelqu’un.
Traits physiques
Lycéenne ayant tout juste atteint ses 18 ans, Otsoyu est assez petite et dispose d’une taille assez fine. D’une peau claire, elle a une poitrine pratiquement plate, ce qui ne la gêne pas réellement, et un fessier svelte mais ferme.
Elle a des cheveux noirs un peu hirsutes et rarement bien coiffés, n’attachant qu’assez peu d’attention à son apparence pour une jeune fille de son âge. S’étant rechigné à avoir une relation amoureuse stable depuis longtemps, la chose lui semble assez superflue. Elle est si mal coiffé qu’il arrive fréquemment que l’un de ses yeux soit complètement caché par ses cheveux, mais cela ne la gêne guère. Après tout, cela cache un petit peu son regard de tueuse : elle peut être assez troublante à fixer quand on lui parle de certains sujets.
Quand elle ne porte pas son uniforme scolaire, elle aime s’habiller en blanc ou en bleu… Non vraiment, que ce soit sur son physique ou sa tenue, Otsoyu n’a absolument rien de particulier par rapport à n’importe quelle lycéenne.
Mentalité
Otsoyu ne vit plus que par et pour son pouvoir. Elle ignore totalement d’où il vient, mais elle est persuadé qu’il s’agit d’une sorte de mission divine, et qu’elle doit s’en servir pour tuer les violeurs et autres déchets de la sorte.
Elle est plutôt asociale et renfermée. Bien sûr, elle n’a jamais parlé à personne de son pouvoir, mais comme elle peut difficilement s’attacher à quelqu’un à un âge où la plupart des gens découvrent la chair et ce qui en est lié, et qu’en plus de ça elle accorde assez peu d’importance à son apparence, ce qui est assez rare pour une fille de son âge, elle tombe rapidement à cours de sujets de discutions quand elle essaie de s’intégrer.
Elle est également assez colérique, s’emporte rapidement pour à peu près n’importe quel prétexte. Certains pourraient dire que c’est du à son absence de relations, justement, qui fait remonter en elle une frustration impossible à combler.
Son traumatisme à l’âge de 15 ans lui a également valu une légère phobie des ruelles sombres et étroites. Après tout, un violeur à la fois, elle peut parfaitement gérer, mais elle ne saurait pas quoi faire si elle tombe sur plusieurs hommes d’un coup face à elle.
Autres
Le pouvoir d’Otsoyu fonctionne de la sorte : lorsqu’un homme (ou toute autre créature dotée d’un pénis ou autre organe s’en rapprochant) jouit en ayant son membre enfoncé en elle, et ce peu importe l’orifice, son orgasme, et l’éjaculation qui va avec, ne s’arrêtent jamais.
Lorsque sa victime s’est vidé de toute sa semence (ce qui met rarement plus de quelques secondes), son corps puise dans ses réserves physique, quelles qu’elles soient, pour les transformer magiquement en sperme et continuer d’éjaculer. Cela se traduit par un ratatinement lent et progressif du corps tout entier, jusqu’à ce que les réserves soient vides et que les organes vitaux finissent par lâcher. Selon les réserves de graisse et de muscle de la victime, cela peut durer entre 20 minutes et une heure pour un humain. Cette durée est également proportionnel à la puissance de l'éjaculation : quelqu'un capable d'évacuer un demi-litre de sperme en quelques secondes mourrait en moins d'une minute.
Si jamais le sexe de la victime sort du corps d’Otsoyu avant sa mort, son orgasme cesse aussitôt. Mais jusqu’à présent, aucune de ses victimes n’a compris ce qui lui arrivait avant de n’avoir plus assez de force pour s’arrêter.
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