J'étais devant la grille du lycée, pourquoi ? Très simple, si je voulais réussir à m'infiltrer dedans sans attirer l'attention, autant habituer les élèves à ma présence, même si je n'étais jamais en cour, ce qui se comprenait, car je n'étais pas inscrite, j'aurais put être officiellement une élève, mais les prof auraient clamser avant la fin de la première semaine. Et je ne parle pas des élèves qui auraient voulut me toucher ou me montrer peu de respect.
- Ils vont me faire attendre longtemps nom de dieu.
Enfin le doux son de la fin des cours sonna … ouf, c'était pas trop tôt. Je regardais les élèves passer, certain en moto, d'autre en roller, il y en avait qui avaient des vélo et les piétons, je plaignais ces dernier, devoir se trimballer à vitesse d'escargot. Moi aussi j'étais un peu obligée, depuis que l'autre abruti m'avait exploser ma belle bécane.
- Que de petits morceaux.Tss
Puis je vit une demoiselle qui bailla devant mon nez, elle avait l'air de prendre les cours comme un somnifère qui n'agit pas complètement, le genre de personne qui prend plus de deux seconde une situation et dire un euh avant de voir qu'elle est prise au piège. De plus elle était mignonne et bien foutue, c'est surtout ces cornes qui attira mon regard, une terranide ? Elle avait une poitrine et des fesses qui me firent comprendre que c'était une femme-vache, bon ma poitrine était elle aussi imposante. Je voulus la suivre, mais une bande d'imbécile me confondant avec une pute de quartier me barra la route, j'attendis que la vachette soit assez loin pour ne pas entendre les cries que ces jeune crétin allaient crier. Un coup dans un point précis de l'estomac, les firent gémir et recracher leur déjeuner, on moins ça leur donnera une bonne leçon.
- La prochaine fois je vous castre à vie, ok ?
Les lycéens se barrèrent en courant, il n'y avait pas beaucoup de fortiche dans ce lycée, mais on les reconnaissait du premier coups d'oeil. Je me mis en route pour retrouver les traces de la terranide, je me mit à une distance assez éloignée pour la suivre, mais pas trop pour ne pas avoir ) courir entre chaque intersection, ce qui aurait montré ma présence, cependant à chaque fois qu'elle faisait mine de se retourner, je me mettais hors de son champs de vision, ce n'est pas facile quand on est belle et que l'on porte sur son épaule un katana de trois mètres. De plus elle semblait avoir de l'intuition, cette endormie. Je la suivit donc jusqu'au parc, là je me cachais entre les arbres, pour ne pas être vue de cette vachette, plusieurs fois je marchai sur des branches, les faisant craquer et rajouter un peu plus de tension dans ce lieux déjà un peu effrayant la nuis.
Et puis je ne sais pas comment l'expliquer, une branche me fit trébucher, bon je m'étais pas étalée de tout mon long, cela aurait été dommage de salir cette tenue de parfaite lycéenne. Une paire de chaussure noire, qui sont assortie à mes collants, de la même couleur, une mini-jupe verte d'où l'on pouvait voir, si il y avait un coup de vent, une culotte blanche et un chemisier blanc qui semblait avoir du mal à contenir ma poitrine. Vous me direz, comme des abruties, que j'ai oubliée de décrire mon soutient-gorge, non, je n'en porte pas, sinon j'aurais mal au seins et j'ai pas envie de manquer de sommeil à cause d'une bêtise de ce genre. Quo qu'il en soit j'avais perdue la jeune femme de mon champ de vision, je sortit des fourré pour me mettre à découvert te ne la vit pas.
- Ben merde alors, elle est passée où la vachette.