L'excitation était à son comble et Clyde n'en pouvait plus. Son cœur tambourinait extrêmement fort contre sa poitrine, au point où il pensait que ses cotes allaient se briser sous la puissance des muscles de son palpitant déjà très en forme. Il avait, selon de ce qu'il a pu déduire des paroles de Nodoka, non pas qu'une seule fille, mais deux ! Deux ! Rares étaient les hommes qui pouvaient s'en procurer deux pour une nuit de plaisir, si on oubliait les bordels. Les vrais chasseurs allaient dans des endroits de ce genre, et non dans des bordels pour se soulager ! Enfin, la différence avec Clyde c'est qu'il venait régulièrement empaler Sombra de sa lance de chasse... Était-ce de la chasse que d'aller voir régulièrement une proie quand il n'y en avait pas à proximité ? Peut-être que oui, qui sait !
Il avait une autre proie du nom de Sandra donc... Et elle était une apprenti-pute qui allait apprendre bien vite avec une telle cochonne comme Nodoka et Clyde. Il sourit face à sa dernière remarque.
-Satisfaction garantie ou cul remis, hein ? Ronronna-t-il doucement.
Clyde sentit Sandra jeter un regard aux alentours, mais les employés de ce bar et de beaucoup de boites de nuit connaissaient Clyde, ayant recours a ses services le plus souvent. Et puis, tout le monde savait aussi qu'il était en excellents termes avec Sombra, lui dire non serait aussi risquée que de vouloir tenter de l'abattre. Mine de rien, Sombra s'attachait à ses amis de manière très profonde, encore plus envers Clyde, vu qu'il l'avait aidé a maintes reprises pour trouver des indices sur le Renard.
Elle se montra directe une nouvelle fois en attrapant son bras pour le diriger aux chiottes, suivant la jeune fille avec un grand sourire aux lèvres en sentant déjà une bosse se former sur son pantalon. Elle le fit s'asseoir sur le banc de la toilette richement décorée, le siège rembourré d'une sorte de cuir confortable donc il n'eut point à se plaindre du siège tout en profitant de la vue devant lui, deux filles qui se dandinaient le cul. Leurs jupes se levèrent, dévoilant leurs trésors, et Clyde sourit un peu plus, se léchant les lèvres.
-Oh oui, j'adore éclater le cul de petites putes comme vous... Regarde-moi comment faire, Nodoka.
Il attrapa les fesses de Sandra et la rapprocha de lui, son visage se rapprochant du cul de celle-ci. La drogue eut un autre effet cependant, celle d'atténuer fortement un de ses sens, l'odorat. Mine de rien, cela endommageait les nerfs du nez, mais avec la régénération rapide de Clyde et la technologie du Fer de Lance, cela n'allait poser guère de problème. Glissant sa langue dans son anus, Clyde commença donc à la remuer de manière professionnelle a l'intérieur de Sandra, qui gémit puissamment de plaisir tandis qu'une main vint s'occuper de pétrir les fesses de Sandra, l'autre était allée s'occuper de bien caresser les courbes de Nodoka de manière joueur et taquine.
Il ne suffit que d'une bonne minute de remuage d'organe buccale pour que la pute se mit déjà à mouiller abondamment. Clyde se retira avec un énorme sourire.
-Regarde-moi cette catin déjà en train de mouiller... Ta pas un peu honte ?
Puis, Clyde attrapa le menton de Nodoka et attira son visage contre lui, embrassant a pleine bouche et avec vigueur la jeune fille, sa langue se mêlant avec la sienne, tournicotant en synchronisation presque parfaite pour ensuite se retirer après une dizaine de secondes de baisers langoureux, un filet de salive reliant leur bouche.
-Tu aimes le cul de ton amie ici présente, ma grande ? Parce que c'était tout simplement... Délicieux.
Il sourit et se releva avant de tirer Sandra par les cheveux, faisant pencher sa tête en arrière, l'embrassant aussi de la même manière sensuelle pourtant sauvage et passionnée que Nodoka, la faisant goûter aussi son propre petit cul. Il prit même son verre des mains, s'en versa dans la bouche avant d'embrasser Sandra une nouvelle fois, partageant son alcool avec elle pour ensuite en faire de même avec Nodoka, en avalant la partie qui restait quant à lui.
Les relâchant, il se remit debout ensuite et détacha son pantalon avec un grand sourire, le baissant... Pour révéler une énorme bite en largeur comme en longueur, un bon vingt-cinq centimètre au repos, ce qui faisait étrange pour une personne qui ressemblait tant a une fille comme lui.
-Allez-y mes petites chiennes, sucez comme les putes de bas étages que vous êtes !