La demeure familiale des Ichtora n’avait rien de traditionnel. C’était une incroyable
villa dans les abords de la ville, avec une piscine énorme, et une vue sur la mer. Une richissime et luxueuse villa, à la hauteur de la propriétaire des lieux, la belle et redoutable
Erelda. Une démone qui avait choisi de vivre sur Terre, obtenant son nom japonais de son mari, qu’elle avait ensuite fait tuer. La démone adaptait une forme humaine, où elle était une plantureuse blonde, et avait tiré toute sa fortune du milieu pornographique. Erelda dirigeait en effet une série de sociétés et de compagnies spécialisées dans le porno’, que ce soit les simples
hentaï, ou le vrai porno, qu’elle organisait dans sa somptueuse villa. Richissime, la femme organisait aujourd’hui des castings en vue d’un prochain film, et avait, comme à son habitude, diffusé des annonces sur Internet et dans les journaux locaux.
Parmi les candidates potentielles, Erelda s’intéressait surtout à l’une d’entre elles, une jeune et belle blonde plantureuse dont elle avait retenu le nom de famille... Magdalena Takao, la fille des Takeo, une riche famille japonaise. Erelda fit une courte enquête sur elle, qui lui permit d’apprendre que la belle Magdalena était une sacrée nymphomane. Une recrue de choix pour la nouvelle gamme de films qu’Erelda voulait lancer. En réalité, la mère de Myumi ne visait pas que le porno’ terrien, mais aussi...
Tekhan. La démone ne faisait pas des films érotiques juste pour le plaisir d’être riche, mais aussi, et, surtout, parce que, fondamentalement, elle adorait le sexe. Erelda avait une mère succube, et avait transmis ses gènes à sa fille, Myumi, qui participait volontiers à une bonne partie de ses films. Et, l’avantage de tourner un film auprès des Tekhanes, c’était qu’on n’avait pas les limitations créatrices de la Terre. On pouvait utiliser des monstres, des hermaphrodites, sans risque, car Erelda garantissait que ses films avaient lieu «
sans trucage ». Sa réputation était à peu près aussi importante que son plaisir personnel.
«
Et c’est pour ça que je t’ai invité, ma chérie... -
Tu as bien fait, Maman... »
Les deux femmes étaient nues, subissant, dans le grand lit de la chambre d’Erelda, les assauts buccaux, digitaux, et brutaux, de plusieurs mâles musclés, nus, baraqués, et faisant office d’acteurs et d’esclaves sexuels. L’un embrassait les seins de Myumi, et remonta ses lèvres, venant l’embrasser, avant d’enfoncer sa queue en elle, faisant doucement gémir la jeune femme, dont les mains se crispèrent sur le lit.
Erelda, de son côté, repoussa un homme, et se mit à califourchon sur lui, attrapant rapidement son mât, et s’empala goulûment dessus, en soupirant longuement, un autre venant se glisser dans son dos, palpant ses seins, caressant ses fesses avec sa verge.
«
Tu... Hmmmm... Tu es sûre de... Haaaa... Ne l’avoir jamais eu co-comme... Comme élève, hmmm... ? -
Je ne l’aurais pas oublié, si... Si ça avait été le cas... !! »
Quand Myumi revoyait sa mère, elles faisaient toujours l’amour. Si Myu’ pratiquait le sexe intensivement, c’était encore plus vrai pour sa mère.
Quant à Magdalena, pour venir, elle avait dû envoyer un
book comprenant des photographies d’elle, et Erelda, par l’intermédiaire de l’une de ses employées,
Jun, lui avait demandé de venir avec son costume bleu et ses collants. Pour l’amener jusqu’ici, Erelda avait déployé l’un de ses chauffeurs,
Blaze, qui était venu la chercher en limousine.
Blaze approchait maintenant du portail menant à la villa, et regardait régulièrement un petit écran situé au tableau de bord, relié à une caméra filmant l’intérieur de la limousine, où Magdalena était là. La jeune femme ne le savait pas, mais Blaze était le frère d’un homme avec qui elle avait eu une aventure... Ou, plutôt, un
gang-bang bien salace. Depuis qu’il avait été la chercher au centre-ville, Blaze avait une formidable érection, une trique phénoménale qui n’arrivait pas à se calmer.
Le chauffeur s’arrêta devant l’entrée de la villa, et respira lentement.
*
Calme-toi, vieux...*
Il sortit de la voiture, et ouvrit la porte arrière, laissant Magdalena en sortir. La jeune femme en sortit donc, mais, dès qu’elle sortit, Blaze referma la portière, et posa son autre main, gantée, sur le visage de la femme, son pouce venant glisser sur ses lèvres.
«
Je connais ta réputation, Magdalena... Mon frère t’a sodomisé, l’autre jour, dans la chambre d’hôtel où tu avais été invitée... Moi, j’aurais dû y participer, mais j’ai dû conduire la patronne... Il m’a dit que tu étais le meilleur coup qu’il ait jamais tiré. »
Blaze sourit alors, et retira son pouce, puis alla embrasser la femme, pressant son corps contre le sien, sa queue tendue venant caresser le bassin de la jeune femme...