Laura savait qu’elle allait avoir droit à un fantastique rodéo, mais... Eh bien... Elle n’aurait jamais imaginé que ça puisse être à ce point ! Elizabeth se dévoila sous une toute autre identité, comme si tout ce charme glamour, et cette maîtrise d’elle-même, n’étaient que des masques masquant sa bestialité sexuelle. Une véritable hyène vint lui labourer la chatte, la faisant hurler, mais, effectivement, Laura ne ressentit aucune douleur... Ou, plutôt, aucune douleur rédhibitoire. La douleur, en effet, était bien là, que ce soit quand sa Maîtresse la pilonnait férocement, la pinçait, crispait ses mains sur ses fesses, s’enfonçant violemment en elle... Mais elle n’était jamais repoussante. Au contraire, la douleur contribuait au plaisir, dans une magnifique alchimie, un incroyable cercle vertueux de luxure dans lequel elle plongeait corps et âme.
Et, pour la motiver, Elizabeth l’insultait copieusement, donnant à ce coït une dose de sauvagerie et de perversion plus prononcées encore. Une dose dans laquelle Laura plongeait allégrement, suivant volontiers le rythme, s’insultant à son tour, tout en crispant ses mains sur le sol, ses joues divinement rouges, ses yeux se fermant régulièrement :
« Haaaa... O-Ouuuuiii... Ouuuiii, je... Haaaaa... Je suis vo-votre pute, haaaa... Votre sa-salope, hmmm... !! O-Ouuuuiiii... !! Bai-BAISEZ-MOI, OUUUIIII !! MAÎ-MAÎTREEEEESSEEEEUUUUUHHH !! »
Elle hurlait, couinait, piaillait, expulsant toute cette frustration, tout ce désir qui s’était si longtemps cristallisé en elle, et qui ne demandait maintenant plus qu’à sortir. Et elle sortait, au gré des impressionnants coups de trique de sa Maîtresse, qui était à la hauteur de sa réputation. Une pure Tekhane, qui ne cherchait guère à la ménager, et dont l’unique objectif, semblait-il, était de la faire hurler, de la faire rugir à s’en casser les tympans, et à s’en vriller les cordes vocales ! Sa verge, sa magnifique verge, était comme un aigle impérial qui déchiquetait son nid, faisant virevolter ses plumes dans tout son corps. La mouille de Laura s’étalait sur le sol, et la magnifique blonde courbait son dos, incapable de sentir le temps défiler. Plus rien n’avait d’emprise sur elle, et, effectivement, comme sa Maîtresse le souhaitait, elle ne pensait alors guère plus qu’au sexe. Yeux clos, elle ne visualisait qu’une chose : les mains gantées de sa Maîtresse, crispées sur ses hanches, et cette verge, cette queue qui remuait, qu’elle imaginait se perdre dans ses chairs, se galvanisant de sa mouille, s’en humidifiant pour mieux la ramoner.
Le spectacle était vraiment magnifique à voir, car, avec sa peau pâle, les rougissements de Laura ne faisaient que ressortir. Elle était méchamment culbutée, mais, pour autant, sa Maîtresse dominait le rythme, et ralentissait régulièrement. Le pire fut quand elle se « bloqua » en elle, s’enfonçant vigoureusement dans sa chatte, et resta comme ça, sans bouger. Le drone sphérique capta alors un magnifique hurlement de Laura, qui griffa le sol tout en se tortillant sur place :
« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !!!! »
Là, elle pouvait sentir toute l’expertise de sa Maîtresse, tout son talent. Comment diable faisait-elle pour arriver aussi naturellement à se retenir, à contrôler ses mouvements ?
*Moi, j’ai l’impression d’être une fusée à réaction, incapable de me contrôler, mais elle... Elle est si sûre d’elle, si calme, et, en même temps, si passionnée...*
Elizabeth la bloquait, et, même si Laura essayait de la relancer en donnant de légers coups de reins, ou en gémissant, elle restait inerte, comme pour savourer ce moment. Tout au plus avança-t-elle un peu son corps en rehaussant son bassin. Laura venait alors de jouir, et, tout en reprenant son souffle, vit sa Maîtresse pencher vers elle. Elle gémit en sentant le poids de cette dernière s’accentuer dans son dos, et durcit un peu ses mains, soupirant plus lourdement.
« Hnnnnn... !! »
Laura pinça ses lèvres, avant de reprendre son souffle... Et constata, fugacement, qu’elle avait même craché de la salive sur le sol. Elle en avait même aussi un peu qui dégoulinait le long de son menton, et sentit sa Maîtresse se presser dans son dos. Très agile, elle agrippa alors le menton de Laura, et tourna sa tête. Une mèche de cheveux rebelle s’était abattue devant l’un des yeux de Laura, qui partit sous ce mouvement. La respiration lourde et haletante, la belle secrétaire vit alors le petit appareil cubique, qu’elle avait eu l’occasion de voir.
Glissée dans son dos, sa Maîtresse joua avec son oreille, et Laura rougit encore devant ce qu’elle dit, se mordillant les lèvres.
*V-Vraiment ? Je... Je ne sais pas, je n’ai pas trop compris...*
Elle avait vu cette sphère, oui... Mais elle avait l’impression de sortir d’une impressionnante transe, et de reprendre le contrôle de son corps, juste pour sentir une cheminée qui reposait dans les braises de son incendie intime. Elle sentit alors sa Maîtresse donner un coup de reins, et poussa un nouveau gémissement, avant de se plier vers le sol, et d’appuyer sur ses bras, sentant encore sa salive s’échapper de ses lèvres.
« Haaa... Maî-Maîtresse... »
Cette dernière continuait à lui parler, tout en s’étalant progressivement sur elle, usant de ses muscles. Le visage de Laura heurta le sol, et elle écarta les bras au maximum, sentant les mains d’Elizabeth se crisper contre les siennes. Elle gémit à nouveau, prise par l’arrière, son corps s’étalant langoureusement sur le sol, ses cuisses baignant dans sa propre mouille, son corps reposant dans un mélange de sueur et de salive.
Elizabeth lui avoua alors son projet pour le porno, et Laura se mit à gémir quand sa Maîtresse annonça vouloir faire d’elle une véritable « starlette » !
« Haaaaa... »
Elle soupira à nouveau, se pinçant les lèvres, et remua faiblement.
« O-Oui, Maî-Maîtresse, je... Je ferais tout ce que vous voulez, haaaa... Je... Je vous aime te-tellement, Maîtresse, haaaa... Vous et... Vos fantasmes, hmmmm... O-Ouuuiii... Faites de moi votre star, hmmm... Mordez-moi, battez-moi, BAISEZ-MOI !! Haaaaa... Je... Je suis toute à vous, rien qu’à vous, haaaaaa... !! Maîtresse... !! MAÎTRESSE !! »
Laura gémissait encore, en se dandinant sur place, avec une furieuse envie de jouir... Mais Elizabeth, en choisissant de ralentir le rythme, ne faisait que la frustrer davantage. Laura était donc à nouveau dans cet état second, ce mélange de plaisir exquis et de souffrance absolue, ce mélange où plaisir et douleur ne signifiaient plus rien, car les deux étaient reliés ensemble, lui prodiguant des sensations exquises.
Indéniablement, ce moment resterait à jamais gravé dans sa mémoire comme la meilleure soirée qu’elle ait jamais pu passer de toute son existence...