Deux fous... mais de folie différentes. [PV: Sandjiiii]

Je marchais un peu sur Terre. Il venait d'avoir de la pluie, alors il faisait humide et en plus de la chaleur, j'avais l'impression d'être en pleine forêt amazonienne... en ville. Je regardai un peu partout, cherchant une proie, un violeur ou un amant qui me donnerait un peu de plaisir, mais je ne trouvais que dalle. Je suis alors allé à l'hopital pour aller travailler. L'employeur me regardait d'un air pervers, mais il n'a même pas essayé de me toucher, pour ma grande peine. Je quittai l'endroit, habillée avec l'uniforme des infirmières. Je savais que ces putes pouvaient attirer le regard pervers des hommes alors, pourquoi pas?

Alors que je marchai dans le parc, je heurtai quelque chose qui trainait sur le sol et j'attéris sur quelqu'un qui était allongée à coté. C'était un blondinet, pas franchement repoussant, même plutôt joli, comparé aux horreurs que je dois baiser pour avoir de bonnes attentions et de la perversion à souhait. Je regardai le visage du monsieur.

-Je... je m'excuse... je n'ai pas vu où j'allais... est-ce que je vous ai fait mal?

Dans ma tentative de charmer une nouvelle proie, je me frottais gentiment au monsieur, ma vulve caressant son sexe au travers de leur tissu, un air de gamine perdue sur le visage. J'étais en manque... et j'avais besoin de sexe au plus vite, sinon, j'allais devenir complètement dingue.

A en claquer son clavier sur les murs en hurlant qu'Unreal Tournament, ça marche pas, si, si.

Pourquoi toujours ces maudits panneaux "ne pas marcher sur la pelouse" ? C'est marrant, pourtant, de gambader tel un papillon d'été dans un gazon fraîchement coupé ! Mais non, bande d'égoïste, à garder leur grand jardin pour eux. Un jour, il les boufferait, ces panneaux.

C'est ce qu'il venait de faire. A la place de "Ne pas marcher sur la pelouse", on lisait "Ouse", le reste avait disparu, laissant juste des traces sur les rebord, comme si un animal sauvage avait voulu le manger. Sauf que l'animal sauvage en question, c'était Sandji, en pleine sieste digestive, caché derrière un arbre hors du sentier de promenade, sa pelle à coté de lui.

C'est là qu'il sentit quelque chose le heurter, lui et sa pelle, avant de s'affaler contre lui, le réveillant. Il eut la vision un peu brouillée, avant de distinguer un visage féminin.

" Hein ? Non, Sandji va bien... "

Etrange sensation de frottement contre lui. Elle se frottait a un endroit sensible, encore assez mystérieux pour Sandji lui-même, mais dont Maman, ou du moins Nasira de son vrai nom ainsi que d'autres personnes, avaient réussi a lui en montrer un usage très intéressant. Néanmoins, il avait essayé de s'en occuper le moins possible et malgré tout ca revenait... Surtout à cause de Maman et ses enseignements.

C'est justement à ça qui pensa, quand il vit l'accoutrement de l'inconnue: une infirmière. Aussitôt, les paroles de Maman lui revinrent en tête, résonnant dans son esprit comme Jeanne d'Arc avait pu entendre la voix de Dieu, et un seul commandement retentissait.

Viole la.

" Sandji n'as pas eu mal... Et... "

Il saisit brutalement Elysia a la gorge, la soulevant dans les airs a mesure qu'il se relevait lui aussi. Son visage d'adolescent mignon avait cédé a un faciès horrible, déformé par sa folie omniprésente, ses yeux exorbité, son sourire démoniaque présentant sa dentition en dent de scie et ses pupilles rétractée au maximum n'en étaient qu'une preuve.

" Vous non plus, vous n'aurez pas mal. "

Il relâcha Elysia, qu'il s'empressa de plaquer au sol. Les ordres de Maman étaient les ordres, il fallait lui obéir. Et sans même crier gare, Elysia put sentit un corps étranger pénétrer son sexe avec brutalité suivi du rire dérangé de Sandji, qui n'accomplissait que son devoir, a se remuer brutalement en elle.