¤ à la Devil Hiryuu ¤ pv † élysia¤

Il faisait déjà noir, à l'extérieur et des bruits plutôt qu'étrange et sinistre régnaient dans la rue. Un adolescent, ayant une épée sur son dos, se promenait, marchant et arriva enfin chez lui. Au dessus de la porte avait un petit toit où régnait un nom "Devil Hiryuu", il monta les cinq marches avant de pousser la porte non fermée, rentrant pour, ensuite, la refermer. L'espace était propre, pour une fois. Il y avait un billard non loin de la porte, à gauche et au fond, dans un coin, régnait une jukebox de l'ancien temps ainsi qu'une batterie. Un salon était situé en dessous d'un escalier en métal qui ne faisait voir qu'une piéce vide ayant quelques photos sur le mur et une vitre. Au bout de la salle régnait un bureau où deux portes, sur le côté, laissait entrevoir le grand tableau montrant dracula et, à chaque côté du tableau, une "armoire" à armes. L'adolescent parcoura la longue piéce, retirant son épée pour la mettre contre son bureau et s'assit sur le fauteuil en cuir, posant un pied sur le bureau et l'autre suiva, se mettant sur le premier. Sur le bureau régnait un téléphone, un cadre de photo montrant une femme et une revue que le jeune adolescent prit pour la regarder juste après avoir lancé un objet mou sur le jukebox, l'allumant et la faisant fonctionné ( http://www.youtube.com/watch?v=MXE2jCHfb-4&feature=PlayList&p=3C04FD83F24E8D5C&index=40) . Après une heure de lecture, ce dernier leva le magazine et le mit en verticale, position peu ordinaire pour lire comme si il regardait quelque chose. Il ne faisait même pas attention, peut-être qu'on avait ouvert la porte et que la personne s'avançait vers lui? Il ne savait pas, il était trop occupé à lire.

-Comment ils peuvent faire des vétements aussi chéres...en plus, à quoi ça leurs sert de porter ce genre de trucs.

Je marchais dans la nuit noire, totalement démoralisée parce que je ne trouvais personne pour me faire des trucs pas bien, mais si bon. Je regardais ma poitrine en marchant. Elle était portant ferme, j'avais un cul d'enfer et en plus, je ne portais pas de culotte. Encore pire, j'étais encore aussi mignonne qu'une gamine alors... OU ÉTAIT LE FOUTU PROBLÈMEUH! Toute rouge de colère, je marchais dans les rues et je frappais un foutu chat noir qui avait choisir le foutu mauvais moment pour sortir de sa foutue ruelle. J'entrai alors dans le bâtiment où bossai un ami d'un ami d'un ami à moi nommé Hiryuu qui me connaissait pour avoir faillit me tuer. En colère, je bousculai tout sur son bureau et je me jetai à son cou pour le serrer fort.

-Hiryuu-samaaaa... est-ce que je suis encore jolie? T_T.

Sincèrement, la question se posait, maintant que je n'ai baisé que des démons depuis huit jours, je commençai à m'inquiéter. Peut-être devrai-je prendre une autre apparence... parce que je suis affreusement en manque et quand je suis en manque, je me sers d'un god et quand le god ne suffit plus, je vais voir un ami, si l'ami est occupé, je vais jusqu'à aller voir un inconnu qui a seulement faillit me tuer dans un accident, mais je m'en suis malheureusement sorti après trois semaines de convalescence. Je ne connaissais pas vraiment cet homme, mais il est mignon et je suis en manque et je vais bientôt faire un massacre si on ne me donne pas de tendresse rapidement.

Entendant tout le boucan, il leva le magazine et se fit saisir lorsqu'une gamine lui sauta au cou. Tien, c'est la démone qu'il a failli tuer, mais, pour sauver sa vie, elle a préfèrée le faire avec. Enfin, c'est un peu du passé. Il la prit par les hanches et la regarda avant d'entendre une question futile. Soupirant, il posa une de ses mains sur la tête de la démone et retira ses jambes. Puis, il posa la main qui était sur sa tête sur les fesses de son amie avant de dire, les massant :

- Oui...mais, tu sais, une fille ayant l'apparence d'une gamine, mais, un gros cul et et des seins demesurées n'est pas trés attirante. Surtout qu'à cause de la venue des démons, les pervers et autres sont plus entreprit par des succubes que par une fille comme....

Hiryuu n'avait même pas terminé qu'il s'aperçut rapidement qu'elle ne portait pas de sous-vétement, que ça soit soutien-gorge comme culotte et, relevant un peu la jupette, la regarda.

- Pourquoi tu ne portes aucun sous-vétement...?

Je baissai la tête, rouge de rage contre ces putains de succubes de merde qui me volaient toute mes cibles. Je laissai cet homme me masser les fesses comme il voulait, seul traitement qui pouvait me calmer en ce moment. Comme j,avais besoin de me donner un  peu, je glissai une main sous le pantalon de l'homme, jouant avec son prépuce et son gland, encore furieuse.

-J'essayai de me trouver quelqu'un pour me donner du plaisir mais toute ces connasses m'ont volée mes cibles. J'ai pensé les attirer en ne portant rien en dessous, mais ca n'a pas fonctionné... et je n'ai pas une poitrine démesurée, euh!

Je semblais boudeuse. Pas contente, je pris une autre apparence. Lentement, mon corps enfantin pris deux trois décimètre de plus, ma poitrine, ferme, devint un peu plus grosse, comme mes fesses. Mes cheveux blonds viraient au rose alors que mes yeux marrons deviennent verts. Ma voix enfantine devient sensuelle à souhait et je souris.

-Je suis toujours une gamine?

Le jeune adolescent regarda la forme de la démone changer et réapparut comme étant une adulte. Souriant et voulant encore s'amuser, ce dernier la porta, ayant ses vétements qui ont changés par la même occasion et s'appréta à sortir lorsqu'il la regarda :

- Oui, toujours, mais, voyons voir si tu peux me prouver l'inverse dehors.

La porte s'ouvrit comme par magie et, regardant l'extérieur, il sorta avec la démone dans ses bras pour marcher jusqu'à la place la plus visible de femmes, d'enfants et de démones, térranides femelles et surtout succube et, retirant le peu de vétements qu'avait la démone, se retira avant de dire :

-Prouves-moi que tu es une adulte, tu sais comment, n'est ce pas?

-hj- Elysia ne le sait pas, mais, personne ne les voit. Donc, tu peux dire qu'ils regardent vers toi, mais, tu ne peux pas les faire parler pour un truc du style : "TU as vue ce qu'elle fait?" ou je sais quoi ^^.

Je regardai ce jeune insolent qui me traitait encore d'enfant malgré mon autre apparence. Courroucée, je le laissai me porter dehors. J'étais quelqu'un d'orgueilleux et je n'avais pas l'intention de perdre la face. Il m'emmena au centre de la place publique et me demanda de lui prouver que j'étais une adulte. Très bien, sale petit dieu raté, tu vas voir. Sans perdre de temps, je détachai sa braguette et son bouton puis je baissai son slip pour révéler son sexe déjà bien dressé. Un sourire amusé se dessina sur mes lèvres alors que je m'en emparai avec douceur. Le tenant bien droit, je me mis à le masturber en même temps que ma langue léchait son canal éjaculateur avant de tourner sur le gland de cet homme qui a osé dire ses bêtises. Je n'aurais jamais cru qu'il me laisserait profiter de lui aussi rapidement. Je finis par prendre le sexe en bouche et d'y commencer un long et lent va-et-vient

Mettant ses mains derriére la tête d'élysia, elle n'avait, donc, pas remarquée qu'elle le faisait devant tout le monde? Son membre durcit de plus en plus dans la bouche d'Elysia, s'enfonçant de plus en plus et s'arréta à la moitié de sa gorge. Il la laissa faire quelques vas et vients rapides avant de la lui retirer pour qu'elle ne meurt pas. Ensuite, la retournant pour qu'elle soit presque dans l'eau de la piscine, Hiryuu commença à lécher son entre-jambe, suçant son clitoris pour y enfoncer sa langue, enfonçant ses doigts dans son anus, deux doigts dans l'anus et sa langue dans l'entre-jambe et fit des vas et vients avec ses doigts et bougea sa langue avant de la resortir, suçant la fente comme si c'était une paille pour la faire jouir. Lorsque le moment était venu, il remonta jusqu'aux lévres de la démone pour, ensuite, l'embrasser, laissant écouler sa sémence féminine dans sa gorge avant de se redresser, la prenant par les hanches et dit :

- Je suposse que tu la veux? Quoique, même si tu ne la voulais pas....Tu l'auras comme même.

Il enfonça brutalement son membre en élysia qui alla défonçer directement son vagin, passant par l'entrée de l'utérus pour la lui défoncer, soulevant son ventre. la laissant comme ça, il s'allongea sur son dos avant de prendre son menton avec la main gauche et de la tourner vers lui sans lui faire mal pour, ensuite, dire en souriant à la coulée de salive qui coulait des lévres de la démone :

- Tu aimes? Le faire devant tout le monde ? Tout ces gens qui doivent penser des choses sur toi, regarde, tu as un groupe de femmes qui nous regarde.

Hiryuu montra le groupe de femmes qui regardait dans leur direction, mais, ce n'était pas eux qu'elles regardaient, puisqu'à part eux deux, personne ne pouvait les voir. Ensuite, chuchottant à son oreille :

- Tu aimes, ma grande? Si oui, cries le aussi fort que tu le peux et je réfléchirais à faire les premiers vas et vients en toi.

Depuis tantot, il n'avait même pas commencé, la laissant comme ça, en extase avec un membre immobile en elle.

Les traitements d'Hiryuu étaient experts et connaisseurs, comme il se doit d'une divinité qui a vécu plusieurs siècles. Sa langue et ses doigts en moi me font le plus grand bien et plaisir, assouvissant légèrement mon envie et besoin de sexe. Lorsqu'il est entré en moi et qu'il s'est enfoncé si profondément, défoncant le col de mon utérus, je ne pus rien faire d'autre que lacher un cri, à la fois de surprise, de plaisir, de douleur et d'incrédulité. C'était si bon que j'en salivais. Mes idées n'était plus du tout claires, je ne comprenais plus rien. C'était la première fois que ce traitement m'était infligé et je l'aimais déjà. Il me parla des autres femmes qui devaient penser des trucs sur moi mais je ricanai.

-Je crois plutôt... qu'elles pensent que tu es un homme violent... et un batteur de femmes, avec la brutalité... que tu démontres...

Répondant à son fantasme de me voir crier pour avoir ses traitements. Je poussai un grand "oui" à sa demande.

-Je veux te sentir bouger en moi! S'il te plait! Prends-moi!

Sous la demande de la démone qui avait fait ce qu'il lui avait demandé, il entama quelques vas et vient lent avant de pousser au maximum, histoire de faire soulever la peau du ventre un peu plus qu'à la normale pour, ensuite, recommencer des vas et vients qu'il augmenta de plus en plus. Mettant sa main sur les fesses et introduisant son doigt dans l'anus de la jeune fille, l'adolescent posa l'autre main sur le sein réciproquement et pinça le téton pour qu'elle lui fasse à la fois mal, mais aussi du bien, surtout du bien. Continuant de plus en plus à pincer le téton, ses vas et vients augmentérent de volume, la défonçant de plus en plus avant qu'il la retire, se décallant de la jeune fille et la regarda d'un air de démon. Sa voix avait changée et son regard aussi :

- Tu la reveux? Cries si tu la reveux, prends moi pour ton maître, conduits toi comme si tu étais un toutou à son maître, puisque j'aime les chiens.

La regardant agir, il atendit encore un peu pour voir la réaction de la jeune fille qui ne le decevait, décidement, pas du tout. Elle en avait envie au point d'essaier de se refaire du bien et, la contournant, leva les fesses de la jeune fille avant de la porter pour la mettre contre la fontaine. Les gens regardérent vers eux et, d'un coups fort brutal, enfonça son membre en elle, poussant jusqu'au bout avant de refaire des vas et vients.

Chaque coup de bassin m'arrachait un cri. Il était totalement en moi, c'était la première fois que je sentais un sexe aussi profondément, au point de défoncer mon utérus. Mon ventre se soulevait à chaque défoncement et j'embrassai mon amant pour étouffer mes cris. Son doigt dans mon anus, sa langue dans ma bouche, son sexe dans mon vagin, tous mes trous recevaient leur lot d'attention. Lorsqu'il pinça douloureusement mes seins, mon coté masochiste s'emballa et je lâchai d'autres cris. Hiryuu savait me faire l'amour comme je l'aime, avec brutalité mais expertise à la fois. Il me mit contre la fontaine, me demandant si je revoulais son sexe. Son air, sa voix et son regard était bizarre, mais j'obéis.

-Baisez-moi, maître, s'il vous plait. Soyez brutal, maître, je vous en supplie.

Comme un chien, je me mis à lécher les lèvres de mon amant, passant mes bras autour de son cou. Il aimait les chiens? Parfait, j'espérais qu'il me prenne en levrette plus tard, alors, c'est super. Mon vagin pouvait enfin mouiller convenablement et j'embrassai mon puissant amant. Qui a dit que les femmes sont attirées par le pouvoir, que je lui envoies des fleurs? Parce que, sincèrement, j'adorais être prise par un homme fort et bien membré.

Hiryuu continua à donner des coups de reins, défonçant l'utérus d'élysia tout en la maintenant pour qu'elle ne part pas. C'était assez fort, mais, à un moment donné, il obligea la jeune fille à se relever en ne faisant qu'une simple pression sur ses hanches et retira ses mains pour les poser sur la poitrine, la caresser, la pressant, l'écrasant jusqu'au moment où il pinça les tétons.

Les tétons, il tenta de les ouvrir et, reussisant qu'à moitié, les laissa se refermer, faisant un bruit bizarre. Il recontinua ses caresses avant de retirer son membre du vagin de la jeune fille. Caressant toujours sa poitrine, il mit son pénis entre les jambes de la jeune femme avant de sourire et de la lacher pour qu'elle mette ses mains sur le mur de la fontaine.

- Tu aimes ce genre de traitement, regarde-moi ce sexe qui dégouline comme si c'était les chutes du niagara. On va entamé autre chose. Dis-moi si tu ne veux pas.

Il écarta les fesses de la jeune fille avant de poser le bout de son sexe sur son anus. Même si elle disait non, lui, disait "Oui" et enfonça son membre dans son anus, défonçant complétement ses intestins et entama quelques vas et vients avant de lui dire, regardant la salive coulée de la bouche d'élysia :

- Dis moi que tu aimes et tu auras quelques surprises, élysia. Mais, dis le tout en aboyant, en te montrant comme une soumise, en m'appellant par "maître" et autres choses dégradantes et tu auras des choses encore mieux que les surprises.

C'était si puissamment bon que je ne sentais plus mes jambes. Gémissements, cris, soupirs et autres bruits indécents jaillissaient de mes lèvres. J'adorais sincèrement Hiryuu, à la fois sauvage et attentionné, imprévisible à souhait. Il agissait avec une bestialité remarquable mais toujours avec ce qui pouvait m'arracher des cris de plaisirs. C,est alors qu'il se retira de moi et s'enfonça dans mon anus non préparé pour la sodomie. Je lâchai un cri de douleur, ça faisait très mal, mais j'adorais. Des larmes coulaient de mes yeux, ma bouche ouverte dans un long cri silencieux alors que mon cul se faisait défoncer. Il me fit donc une requête à laquelle je répondis, laissant quelques petites jappements s'échapper de mes lèvres minaude et suppliantes.

-Maître... j'aime cela maître... frottez-bien l'anus d'Élysia, maître, c'est si sale... maître est le seul à pouvoir bien nettoyer...

En fait, la brutalité d'Hiryuu dans mon anus me donnait envie d'aller aux toilettes, parce que j'avais envie d'aller chier. Sentir cet énorme tube de chair dans mon cul, alors que, instinctivement, je tentais de le faire sortir, resserrant mes parois anales, aurait été le réflexe naturel pour évacuer les déchets.

Continuant, Hiryuu carrésait la poitrine de la "soumise" et défonçait de plus en plus son anus avant de retirer son membre de son anus après un long moment. La regardant, il s'assit sur le mur de la fontaine et prit de l'eau dans ses mains avant de la regarder. Elle avait bien fait ce qu'il lui demandait, mais, pas totalement et lui demanda :

- Voici le marché, je te laisse une chance, car, tu as oublié d'abboyer. Fais moi une féllation tout en abboyant et en léchant et tu auras gagnée. Ca rajoutera des points si tu abboyes et si tu enfonces mon membre au fond de ta gorge.

Prenant de l'eau pour le laisser tomber sur élysia, la nettoyant, il la laissa faire, montrant son membre spécialement devant sa figure et posant ses mains sur l'arriére de son crâne.

- N'oublies pas d'être douce.

Dit il ironiquement.

Lorsque mon amant me réprimanda puis s'adressa à moi comme à un animal, j'arrêtai tout mouvement. Je le regardai dans les yeux puis je reculai, froide, courroucée, mordante. Je m'assied sur le rebord de la fontaine et je regardai l'insolent. Moi, Élysia, avait la gentillesse de me soumettre à ses désirs, lui, il me traite comme une chienne, une vulgaire trainée. Je croisai mes jambes et je regardai cet homme.

-À avoir su que tu te montrerais ainsi aussi mauvais avec moi, j'aurais du rester dans ma chambre et laisser Dylan assouvir mes désirs. Je ne dis pas non à la domination, mais je veux un minimum de respect. Je ne suis pas une pute, Hiryuu Ryuuguu, mais si tu tiens vraiment à avoir une trainée, alors, va dans les coins pauvres.

Même si j'avais un grand désir pour Hiryuu, cette manière de me traiter était la goutte qui manquait de faire déborder le vase. Il a déjà perdu une fellation à cause de ses mots et gestes. S'il voulait faire l'amour, il allait devoir se racheter... quelque part, en moi, j'étais sincèrement déçue... comme si je m'attendais à autre chose de lui. Hiryuu était un homme comme les autres, après tout. Tous les hommes sont des égoistes qui ne pensent qu'à leur propre satisfaction. Une larme perla de chaque oeil, mais je l'effaçai en m'en rendant compte. Les hommes étaient répugnants...

La regardant, il ne voulait plus continuer. Non parce qu'il était dégouté, ou alors, qu'elle ne voulait plus rien faire ou du moin, plus grand chose, ce n'était aucun de ces raisons et aucunes autres sauf pour une seule. Hiryuu ne se sentait pas dans son état normal, déjà, à voir son regard et ses yeux, on pouvait le deviner. Posant sa main sur son front comme si il réfléchissait, il arréta tout sur le champ. Serais-ce là du à la visite de la générale Astaroth? En tout cas, il a surtout l'impression de revenir prés de "Lui" et ça le répugnait. Sortant un papier et un stylo, il marqua quelque chose dessus avant d'embrasser élysia sur les lévres, de mettre le papier dans sa main et de déplacer ses lévres jusqu'à l'oreille avant de lui chuchotter quelque chose à l'oreille. Il caressa la main d'élysia avant de la refermer, puis, se retira et partit. Arrivé chez lui, il claqua des yeux et tout les gens pouvaient les voir, cependant, aucun des deux, hiryuu comme élysia, n'étaient nus. Ouvrant la porte, il monta les escaliers, laissant la porte claquée, tourna dans le couloir et alla tout droit avant d'aller dans la salle de bain, se regardant dans le miroir. Un long moment de silence s'installa avant qu'un coups de feu et un brissement de miroir le cassérent. Ayant sortit un de ses guns, l'adolescent avait visé, puis, tiré sur le miroir qui se cassa en milles morceaux. Ensuite, il alla dans sa douche, se lava pour, ensuite, manger et aller dormir, espérant se calmer trés vite. Il repensait, cependant, au message qu'il avait donné à élysia :

- Téléphones-moi sur mon portable à ce numéros d'ici 1 ans. Ne cherches ni à me revoir, ni à me parler avant et, d'ici 1 ans, je serais redevenu entiérement comme avant.